Chapitre 1

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Le petit matin se levait sur Drakensfell, les toits d’ardoise brillaient sous la lumiere rougeatre du soleil, leur donnant un aspect presque ecailleux, comme si un dragon endormi attendait son eveil.

J’observer depuis ma fenetre, la brume se glisser entre chaque ruelle tel un souffle draconique, entre mes main, une tasse de tisane encore fumante.

En ce jour, toute la ville serait réunie au temple. C’etais le jour de la Cérémonie du Cristal, cette cérémonie avais lieux chaque année lors du printemps.

Chaque enfant eyans atteint la majorité étais dans l’obligation de se presenter en ce jour funeste.

En bas, je pouvais entendre ma mere Séryn, deja s’activait, l’hodeur du pain chaud et des herbes grillées me parvenais deja au nez, me faisans saliver.

— Tu devrais te dépéché

Me dit ma mere depuis la cuisine alors que je la regoignais, je profita de son dos tourner pour piquer un petit pain fraichement sortie du four, je pu la voir rouler des yeux quand elle m’apersu faire. Ses long cheveux blond etais coiffer en chignon tresser, la couleur blé de son epesseur m’avais toujour rendu admiratif, mes cheveux a moi avais pris toute les gene de mon defin pere, long et epais, d’une couleur tape a l’oeil, rouge carmin.

Je me depecha de finir de grignoter mon pain, l’aportance de cette journée ne m’etais pas inconnu, c’etais un jour funeste, chaque Lien d’Humbra serais révélé et testé.

Un lien, c’etais la preuve que nous avions notre place sur c’est terre, la preuve que nous etions lier a un demon, mais moi… Je n’en avais aucun, la seul marque qui couvrais mon corp etais une etoile de vitiligo sur le thorax, mais ce n’etais pas un lien.

Depuis ma naissance, ma peaa etais vierge de toute Humbra, le Cristale ne serais se faire duper par une pale copie a base de plantes.

—Tiens

Me dit ma mère en saprochant de moi avec son petit pot d’onguent habituel, qu’es que je haisser se truc, l’hodeur etais des plus hodorante.

Elle me pris alors le poignet, observant la marque noir tracer il y a une semaine, celle si commencer deja a sestomper

— Un peu de ça, et elle sera comme neuve.

Ses parole m’arrachaire un faible sourire

— Maman… Tu sais bien que ca ne changera rien…

Elle me regarda alors avec détermination et espoire, se meme regard qu’elle me lancer a chaque cérémonie au quel nous avions assister ensemble.

—Ça suffira peut-être à te faire passer une journée de plus. Parfois, un seul jour peut tout changer

me dit-elle en apliquand longuant sur mon poignet. Soudain le son de la cloche du sanctuaire me parvint à l'oreille, trois coup lent, trois funeste, la cérémonie allait commencer.

J’inspira profondement l’air autour de moi, memorisans chaque odeur et chaque gout que mes sens me permettre de capter, j’igniorer si je reviendrais indemne, ou si ma vie s’arreterais aujourd’hui parmis les plus puissant des nôtres

Avant de sortir, ma mere me r’habilla quelque peu, elle rentra d’aventage ma chemise noir dans mon corset a rose rouge, et ressera egalement les lacet de mon pantalon, celui ci etais ouverte de mes genoux a mes cheville, me laissans asser libre de mes mouvement pour courire ou tout autre mouvement demandans mes jambes.

Lorsque je m’avanca en direction de la chapelle contenant le crystale, je pu entendre a mon aporche les murmure des villageois. J’avais toujour étais une personne discrete, ne faisans jamais parler de moi et sortant peu de notre maison. Nombreux etais les villagoie a me voir pour la premier fois, nrombreux d’entre eu ignorer meme que Séryn, ma mere, avais un enfant, c’etais pour dire a quel point elle me cacher.

Les premiers jeune adulte commencer deja a avancer, nous etions peu cette année, une jeune femme au cheveux roux ainsi qu’un garcon lui ressemblans comme deux goue dos, surment des jumeau.

Tout deux passaire chacun leur tour, la rousse passa en premier, au congtacte du crystale, celui si se mi a luire d’une douce couleur bleuté. Je pu entendre les soupire de soulagement de la famille des deux jumeaux.

Bleu signifié une vie tranquille comme tout le monde, une vie normal, en revanche, si le crystale devenais rouge, cela signifier la disparition, chaque jeune gens l’eyans fait briller de cette couleur funeste, avais etais arreter et emmener on ne sais ou, se qui etais certain, c’est que aucune personne ne les revoyez jamais, pas meme leur parent, pa sfaute d’esperer et de demander leur retour au pret des dieux et des inquiziteur.

Une fois le garcon passé, lui aussi eyans reussi le test, se fus mon tour, tout les regard etais tourner vers moi alors que je m’avancer face au crystale, la crainte me tirailler les tempe, pourtant, la finalité de se test ne m’étais pas inconnu, mais peu etre avais je une chance.

Je posa alors delicatement ma main sur la surface froide et dure du crystale.

Aucune lueur, rien, nada, ketchi, comme c’etais etonnans, cela aurais du me paraître logique, mais la desesption face a cette injustice me tordi l’estomac alors que les murmure commencer deja a croitre dans l’assembler des villagoie.

— Sans-Lien…

— Une heretique parmi nous…

— Nous allons etre maudit !

Voila a quoi je n’avais pas etais preparer, la reaction des villageois, de la haine de la peur et de la colere, mais apres tout, n’avais il pas raison.

Une hérétique, voila se que j’etais a leur yeux, non plus un etre humain normal, j’etais devenu un monstre, un etre qui n’aurait jamais du exister , une entité denué de toute Humbra, je n’etais qu’un parasite dans se vaste monde qui, a peine arrivé a mes dix huit ans, me rejeter deja.

Je pouvais sentir les inquisiteur cacher derrière leur masque de fer, me fixer, ils etais pret a m’arrété, a me bruler vif, car tel etais le prix a payer pour etre née dans la mauvaise nation, aucun pardon ne me serais accorder.

— Cour !!

Cria soudainement ma mere face a la foule, je pu apercevoir a ses coté l’une de ses invocation, Orgos. Celui si créa alors deux mur de flamme, me separans de tout autre etre vivans, dorenavant devenu mes traqueur.

Je pu apercevoir de nombreux villageois se metre a courir pour s'écarter de la chaleur etouffante, que procurer les flamme infranchissable du demon mineur, tous s'écarter de se chemin tout tracer.

En voyant le regard anxieux de ma mere, je n’u qu’une seul penser, courir.

Dévalant les marches du temple en direction de ma mere, celle si me fis signe de continuer sens m’arreter, suivie de pret par une nouvelle invocation, cette fois si j’igniorer qui elle etais, le lien qui la liyer a son demon etais vraiment tres utile dans se genre de situation.

La peur etais si grande et ancré dans ma peau, que je pouvais sentire mon coeur pulsé dans chacune de mes veine. Les palpitation me faisait terriblement mal, mes poumon crié de douleur et les larmes me bruler les yeux.

Mes pensé étais tourner vers ma survie et ma mere, qu’allais tel faire face au inquiziteur ainsi que les villageois enragé face a une tel trahison.

Soudainement, la nouvelle invocation don j’ignorer le nom , me sortie abruptement de mes pensé, en me tirans dans une ruelle.

Mon souffle etais court et ma vision tournante, levant le regard vers la créature, je pu la voir former un sceau avec son doigt, la forme tracer se transforma bien vite en un portaile, se qui ogmenta mon angoisse.

Cette ouverture donnée sur les bois calme et ensoleillé des montagne ou j’avais l’habitude, d’aller recolter des herbes medicinal avec ma mere.

— Part, et ne t’arrete qu’a la nuit tombée.

Grogna une vois roque qui me fis sursauter, c’etais la premiere fois que j’entendais une invocation de mere parlais, mais je sortie vite de ma stupeur, entendans deja les villageois enragé avancer dans notre direction.

— Je ne peu pas laisser mere !

Criais je alors que mon regard se tourner avec inquiétude vers le versans opposer de la ruel.

La créature agripas soudainement mon poignet, me jetant sens vergogne a travers le portail, me faisans m’écraser contre l’herbe fraiche, m’eraflans les genoux et les coude. Je me retourna juste a temps pour voir le passage se refermer sous mon impuissance a agir.

La réalisation me frapa soudainement, un hurlement me dechira les corde vocal, sortant d’entre mes levre sens que je ne puisse le retenir, je ne pu reconnaitre ma propre vois, se crie etais emplie de peur et de regret.

Ma mere aller mourir si ce n’etais pas deja le qua, pour sa trahison, pour ma survie, elle aller mourir, et pourtant, un faible espoire persister au creu de mon esprit, je me refuser a croire que c’etais finie, je ne pouvais pas me laisser tomber dans cette croyance de desespoire, ma mere ne se serais jamais laisser perire ainsi, elle étais forcement en vie, quelque part, caché, apres tout elle etais puissante, son lien d’invocation ne pouvais pas ne lui servire a rien dans l’instanté.

Le souffle court et haletant, je me releva , oublians la douleur qui tirais me sjambe et mes poumon, je me mis en route vers le coucher de soleil, en direction de l’est, en direction de la nation voisine. Drakensfell n’etais gerts loin de la frontiere, un a deux jour de marche estimais je en me rememorans la carte de notre salon.

Il n'y avais pas de temps a perdre, le chemin serais long et qui sais se quyi l’attendais. Les inquisiteur n’allais pas a employer tout les moyen pour la retrouver et l’eliminer sur le bucher, je me devais de faire attention, mais mon premier objectif étais de courir, autant que possible, autant que l’adrénaline me le permettre encore sens agonis, comme l’avais dit l’invocation de ma mere, je devais partir loin, je ne devais m’arreter sous aucun pretesque, pas avant que la nuti sois arrivé.

Le soleil venans de se lever, la journée promet d’etre longue, mais je devais le faire, je devais survivre, ne serais que pour retrouver ma mere.

Je ne m’arreta qu’au lever de la nuit, celle si se levant a peine. La journée avais eté épuisante, je pu trouver refuse sous les racine sinueuse d’un chene massife, le froid me faisais frissonner, mes jambe me hurler et menacer de seder a tout moment, mes yeux me bruler a force de pleurer, quand a ma gorge, celle si etais seche.

Atout instant, je pouvais m’endormir, helas la crainte d’etre decouverte etais si intente qu’elle me poussé a garder les yeux grand ouvert, malgret tout mes paupière etais lourde, si lourde que je ne me sentie pas sombrer dans les bras Ichor, dieu du sommeil.

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