Chapitre 2
Le soleil était deja haut dans le ciel quand j’emergea, je me frotat les yeux afin de m’encrée dans la realité, j’observa la terre qui m’entourer ainsi que les racine sinueuse qui me servé de cachette.
— Ce n'était pas un reve …
Murmurais je, une larme chaude quittance le coin de mon oeil, mais je me ressaisit bien vite en secouans la tête, non, ma mère compte sur ma survie, je ne dois pas me laisser engloutire par le desespoire, je me dois d'être forte, pour elle, pour moi même.
Soudainement, mon regard sur porta sur les rameau qui se trouver au dessu de moi, il faisais deja noir quand je me suis habriter sous cette arbre, mais j’ai la certitude qu’aucun putain de buisson ne se trouver avant ici. Rampant à travers la végétationafin de sortir de mon abri de fortune, je m’apercu avec effroi que des traces de pat se trouvent autour de mon emplacement, des personnes etais passé pre de ma cachette durans mon sommeil. A aucun moment le son de leur pat m’etais parvenu durans la nuit, j'aurais dû, la chance fus heureusement de mon coté, ou bien etais se quelque chose d’autre.
— Uhfufufu, enfin réveillé jeune pouce ?
Une vois douce mais taquine me fis sursauter, me faisant sortir de mes pensées. D’un pas rapide, je recula en tombant à même la terre grâce à un caillou. En face de moi, se trouver une femme en tout point humaine a quelque ecception, ses cheveux etais semblable a du lierre, quel son buste depassé de l’ecorse de l’arbre qui m’avais cervie de planque.
La mysterieuse femme s’extirpas alors du tronc, elle etais grande et élancé, sa poitrine ainsi que sa féminité etais couverte par de fine feuille de lierre, de pret la peau de cette etre ressembler a s’y meprendre a de la porcelaine ornée de diferente motif florale.
Je la reconnu aussitot, grace au nombreu livre de maman, j’avais pu etudier les differente espece de notre pays, et la femme devans moi ressembler a sy meprendre a l’une d’elle. Cet être etais une Nymphéa, une Eliosas, dieux de la nature et des voyageurs, je compris alors imediatement l’origine des buissans cachant mon abri de fortune quime semble si etrange. Ils n’étaient belle et bien pas présents avant que je m’endorme.
— Vous… Vous m’avez protégé ? Pourquoi ?
Demandais-je à l'entité de la nature, celle-ci se mit à glousser tout en m’aidant à me relever.
— Tu n'es vraiment pas très futé, rien de plus normal pour une jeune pousse comme toi.
La remarque me fis retrousser le nez, cela me frustré d'être traiter ainsi. Vexer, je lui lanca un regard noir, qui la fis rire, un rire semblable au vent dans les branches d’arbre.
— Ne t’offusque pas voyons, je me nome Danéa
Finit elle par dire l’entité des bois, avant de continuer ;
— Pour répondre à ta question jeune pouce, c’est simple, notre espece est protecteur des voyageurs, fugitif ou non cela reste un voyageur, en revanche les traqueurs n’en sont pas.
Expliqua la Nymphe l’air fiert , tout en m’epoussetant les epaules, je ne m’etais pas rendu compte jusqu'à maintenant, mais ma j’etaiq couverte de terre et de branchage, les manche de ma chemise etais a presant quelque peu dechirer, la fausse marque que m’avais dessiner maman c’etais deja estomper, quand a ma longue tresse rougeatre, elle etais a present désordonné et remplie de branche et de feuille.
— Que tu as mauvaise allure jeune fille, et si tu accepté mon aide ?
Demanda d’une voix douce Danéa en poussans les meche rebelles de mon visage, je fronca alors les sourcils. Les nymphéa n'étaient pas connu pour leur coeur tendre, tout comme leur père Eliosas, elle etais egalement connu pour leur coup bas et leur vols. Tout y avais un pris, la était le piege des Nymphéa, tout leur etais favorable, c’etais un service contre un service.
—Quel en serait le prix ?...
Demandais-je, le regard inquiet, je n’avais rien a donnée, pas même ne serait qu’un centime ou un seul bijou, rien.
— Nous allons poser les bases, je vais te donner la direction que tu dois prendre et je vais te faire une promo, je vais ajouter a ce compte la petite protection de cette nuit.
Je releva le regard, trahissans mon intérêt pour de tel informations, la chance m'avait aider à trouver un refuge cette nuit là, mais si je devais me perdre, je serais a coup sur devorer par les loup des montagne, je me devais de savoir par ou mon chemin etais.
— En echange je souhaite tes magnifique cheveux rouges.
Finit par dire Danéa en caressan ma natte, comme si celle ci lui apartenais deja, je la regarda surprise et perplexe par cette demande, malgret que cela ne soit que des cheveux, cela me faisait un pincement au coeur de savoir que je devais m'en débarrasser, mère avait passé tellement de temps à me convaincre de les laisser pousser et à me les coifés…
Je pris une grande inspiration avant de simplement aucher la tête.
Soudainement une ronce s'enroula autour de ma nate, me tirants en arrière, j’en frôla la chute, au même moment je sentit ma tresse se décrocher, la ronce venais de me trancher les cheveux au niveau des épaule, ma belle et longue chevelure rougeoyante était à présent entre les main de la Nymphéa qui, observé avec joie les cheveux luire sous les quelque rayon du soleil qui transpercé la canopé forestière.
— Magnifique ! leur énergie est tellement intense !
Se rejoua Danéa qui enroulans ma natte fraîchement coupée autour de ses epaule, comme si elle n’etais qu’une vulgaire echarpe en sois.
— Le soleil se couche par la bas
Me dit-elle en pointan une direction, j’en avais oublié cette information que je connaisser deja, lachans un jurons je me tourna en direction de la nymphe qui disparaisser deja dans le tronc du chene en roucoulans vicieusement.
— Putain !
Je m’etais fait avoir par ma propre mémoire, mais a quel pris, des cheveux, ce n’etais rien, peut être etais se pour cela que la nymphe avait choisi cette contrepartie, peu lui importe maintenant.
Un soupir lasse s’échapa d’entre mes levre, j’observa le soleil un instant me souvenant dans quelle direction il se lèvé, j’en deduis la direction qu’il prenait et que j’allais également emprunter a present.
Je me mits en route, exasperer par ma propre bêtise et deja agacé face à tout le chemin que je devais a present parcourire.
Par chance je ne m’etais pas trompé de chemin, j’atteignie le village de frontiere au milieu de la nuit, heureusement que j’avais pu rencontrer quelque voyageure qui m'avait indiqué la bonne route au coucher du soleil, helas je me rendais compte qu’apresent que je n’aurais peut être pas dû me montrer, ils pourais me denoncer au pret des inquiziteur si ils sont interrogés.
Mais le plus important etais que j’etais enfin arrivé au poste de frontiere, le village de Vaheldrit se trouvant au pied de la colline où je me situer. Je rabatie ma capuche avant d’entreprendre la descente de cette butte.
J’y etais presque, bientot je serai en sécurité, tiens bon maman, je trouverais bientot un moyen de revenir te chercher.

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