Chapitre 3
Le village etais animé, quelques villagoie se promenaient, profitant de la lumiere de la pleine lune. Plusieurs tavernes illuminaient les chaussé de pierre enguleuse, de nombreux chants ainsi que des rires etais audibles depuis l'extérieur des tavernes.
Les cloches emetais un doux tintement, qui resonné dans toute le village, celle-ci annonçant la nouvelle heure, et le debut du nouveau jour, il etais minuit pile.
Plusieurs banderoles annoncans le marché du petit matin etais accrochées entre chaque maison, flotans avec le doux air qui soufflé contre. Je pouvais deja sentire l’odeur du pain et autre viennoiserie en preparation, qui sechaper des boulangerie, cela me donné l’eau à la bouche et me rappeler que je n’avais rien avalé de la journer, mon estomac me tirailler, mais je devais passer outre, tant que je ne serais pas de l’autre côté de la frontière , je ne pourrais pas me reposer comme il se doit, ni manger sereinement.
Je remarqua que plusieur bâtisse avait sortie diferente espece de Moonakia, qui avait fleuri en contacte au rayon de la pleine lune, leur odeur envoutante ennivrais mes sens, je ne pouvais pas m’enlever de la tête que mon village natal faisait peine à voir face à celui ci qui etais fleuri de toute part.
Mais le temps pressé, je du plusieur fois me camoufler dans l’ombre ou dans plusieur groupe de villagoie tous trop emecher pour remarquer ma presence, afin d’echaper a des ronde d’inquisiteur, en general, c’etais les paladin de sol qui s’aucuper de garder la frontiere, mais la connaissance de mon existence avait du deja arriver jusqu’a ce village si, je devais rester sur mes gafrde et me faire la plus discrete possible.
Hélas à mon arrivée pret des portes de la frontière, je remarqua que bon nombre paladin si trouver, je m’y attendais, mais l’espoire que cela ne soit pas le qu’a n’avais pas quitter mon esprit jusqu'à maintenant. Il m’etais impossible de passé sens me faire atraper, je devais trouver un autre moyen de traverser.
Chaque pas faisait augmenter mon anxiété, ma main glisser le long de l’immense mur me separant de mon echappatoire, celui si n’etais pas excessifement grand, mais bien assez pour m'empêcher de l’engenbé sens attiré l’attention.
Les rondes etans etrangement acru pret du mur, cela avait le don de me desavantager. Chaque pierre glissant sous mes doigts faisait augmenter mon desespoire, de nombreuses questions me tiraillaient au même moment.
Que ferais- je s' il m’etais impossible de traverser ?
Devrais-je me cacher toute ma vie ?
Finirais-je par être attrapé et brûlé vive comme tous les hérétiques avant moi ?
— Eh vous !
Cria soudainement une rauque et metalique voix, qui me fit sursoté, je me tourna alors pour m’apersevoir avec horreur, qu’un groupe de deux inquisiteurs et deux paladin m’aproché a grande enjambée.
Pas une minute ne m’échapa, je pris mes jambes à mon cou, tout en me faufilans dans le village avec une rapidité qui me surprené moi même. Les inquisiteur ne m’avais pas lacher, ils etais toujour a mes trousse, me somnam de m'arrêter sur le champs, heureusement que les paladin et inquisiteur avait interdiction d’utiliser leur magie au saint des ville et village, ou je serais deja enchainer et entre leur main.
J’avais deja pu voir ces personnes à l'œuvre en dehor du village, leur chaîne etais de vraies toiles d’arraigner, une fois enroulé autour de quelqu’un, il etais impossible de sans defaire.
Brusquement, une main me saisit, m’arrachant un couinement de surprise, la personne qui venais de m’atraper me traina dans une ruel sombre sens que je ne puisse reagir, je fus ensuite traîné de force dans une vieille habitation qui sentait la poussiere et la decrepitude.
La porte se claqua, me laissans dans la penombre, sens savori qui ou quoi m’avais atrapé et mener jusqu’ici, ami, ou enemie, cela resté un mistere, seul les pas rapide des inquisiteurs passans face à la ruel me parvenait au oreille dans ce silence efrayans.
— On peut dire que tu las échappé belle jeune fille.
Dit une voix dure dans la penombre, me faisant sursauter et me tourner dans la direction de celle-ci.
Une lanterne venait de s’allumer face à moi, celle si revela un homme encapuchoner a ses coté, il etais adossé contre les reste d’un bar de taverne, l’homme fumer une pipe dou s’echapper une légère fumé qui me vins jusqu’au nez, retroussans celui ci je reconnu imediatement l’hodeur.
— Chevrefeuille…?
Murmurais je ne connaissans que trop bien cette plante ainsi que ses vertus terapeutique et relaxante. Je pu voir l’homme plisser alors les yeux, je deglutie, avait il entendu ?
Peu importe, celui-ci avait relevé la tête, me revelans un peu mieux son visage.
C’etais un homme au visage creusé par le temps, je pouvais lui donner au moins une soixantenne d'années. Quelque meche grisatre lui tombait sur ses yeux bleu, un bleu profond et abyssaux, de nombreuses cicatrices barrer le visage de l’homme, je ne pu que m’imaginer la douleur qu’il avait pu ressentir et à quel point les soins avais du être longs. Sa barbe de trois semaine etais tout aussi touchée par le gris du corps vielissans.
—Pourquoi … Pourquoi m’avoir aider ?...
Finie je par dire en m’avancan d’un pas peu serain en sa direction, celui-ci me fixa d’un œil observateur, avant de se pousser du comptoir pour saprocher de moi. Je ne bougea pas malgret la crainte, tout en croisant le regard de l’homme.
Soudain celui ci me soufla sa pestilante et desagreable fumer a la figure, le chevrefeuille etais une plante que j'adoré, mais qu’es que je detester son odeur noseabonde.
— Que tu es impolie, un merci ne te turas pas.
Retorqua le sexagenaire qui souriait en coin face à ma reaction, la peur avais beau me tetaniser, je me retenais temps bien que mal de lui coler mon point dans la figure.
— Passons, repond a ma question. T’y connais tu en plante de soins ?
Me demanda il de sa voix rauque, la question etais serieuse. Je n’etais pas guerisseuse, ma mere aurais etais plus utile dans ce genre de qua, mais heureusement qu’elle m'avait appris quelque connaissance, je la remercié du fond du cœur de m’avoir forcé à apprendre toute les plantes debase.
— Je… Je connais quelques plantes medicinal…
Dis- je d’une voix tremblante de peur, à tout moment l’homme pouvait m'éliminer ou me remettre au autorité si il décidé qu’il n'avait aucune utilité de me garder.
— Ça devrait suffire…
Marmona l’homme en se frotant le menton, avant de le relever vers moi, me toisans d’un regard sevaire et denuer de toute sympati.
— Suis moi jeune fille.
Ordona il en venant récuper la lanterne qui se trouvé a ses côtés. D’un pas silencieux mais rapide, il se dirigea vers une seconde porte que je n'avais alors pas vu jusqu'à maintenant, celle-ci donnée sur une cave tout aussi poussiereux que l’etage.
Durans un instant, j’hesita a le suivre, ne sachant pas si je le devais ou non, mais après tout, je lui devais bien ça, il m'avait sauvé, mais c’etais surtout la peur qui me noué les tripes qui me faisait avancer .
Les escaliers grinçaient et manquaient de se briser à chaque marche ou je posais le pied.
L’homme et moi même, arrivairent enfin en bas de cet escalier qui criait d’agonie, en bas, seul un miroire plain pied, encastré dans le mur nous attendait.
Je pu observer l’homme s'en approcher, d’un simple revers de main, le reflet se mit à onduler avant que le verre ne se transforme en une epaisse fumée grise.
— Entre.
M’ordona le sexagenaire. Je deglutie, peu rassuré par le regard severe de l’homme et par le mur de fumée. Il me fallut un instant pour prendre mon courage à deux main, je glissa une première main , puis la deuxieme, et enfin, je pris une grande inspiration avant de fermer les yeux et de traverser l'écran gris.
Il faisait bon, limite chaud, etais je en enfer ? impossible. Un doux brouhaha me parvenait à l' oreille, je me permit alors d’ouvrire les yeux et de regarder autour de moi. La surprise me fit ecarquiller les yeux, quelque minute au part avant je me trouvé dans une cave délabré et miteuse, a present je me trouvé dans une chapelle tout aussi abandonner, vertige des encienne croyance du dieu sol au vu des statuts et tout autre symbole solaire qui se trouvait dans ce lieu, la pierre du bâtiment etais encore blanche comme si la chapel avait etais refaite il y a peu.
Elle remarqua d'ou venais le brouhaha, de nombreuse personne etais assie sur les banc du bâtiment, des adulte prier, d’autre discuter en bercans leur enfant, mais se qui me frapa le plus fus leur marque, plusieur d’entre eu avais des tache blanche semblable à du vitiligo , bien trop blanche pour que cela en soit, d’autre etais couvert de cicatrice au point que leur visage en etais defigurer.
Avant meme de pouvoir faire un pas, le sexagenaire traversa à son tour le mur de fumer, juste avant que celui ci ne redevienne un simple miroire, refletant mon teint blafar.
— Bienvenu chez les oublier
A ses mots de nombreuses tête se tournairent vers nous, des regard empli de crainte et de curiosité, je les comprend, si une inconnu debarquer du jour au lendemain chez moi je me demandais qu'es qu'elle fout là et qu'es qu'elle veut.
Helas, le regard etais de trop, les souvenirs des regards des villageois me toisans avec haine et reproche me revinrent en force, toute mes peur et crainte en profitaire pour me submerger à leur tour.
La nosé fut forte, a tel point qu’un de mes genoux se derobas sou moi, me metant alors à genou face à tout, ce qui ogmenta ma peur, une main sur ma bouche menpechant de regujiter le vide de mon estomac, pendant que l’autre se trouver sur mon ventre.
Tout tournait autour de moi, les gens, les murs, tout semblait dirforme a present, les larmes se mirent à me brûler les yeux et les jous, mais ce n’etais rien face au image que mon cerveau m'envoyait. Son et image me paraissait si lointain, pourtant, je pouvais distinguer des voix autour de moi, mais impossible de les entendre clerment.
Le dernier sourire de ma mère me revint en mémoire, suivie du regard haineux des villageois, la dernue vu de son village au reveil, tout lui etais si douloureux.
J’aurais voulu hurler mais mon corps refusait de répondre au ordre de mon cerveau, tout mouvement et tout bruit étaient impossibles.
Soudains, alors que je croyais sur le point de mefondrer, une etreinte chaleureuse maitraignie, c’etais doux et chaud, tel une mère qui serrer son enfant avant de dormir, cela lui rappeler les etrainte partager que sa mère lui faisant lord des orage qui l'avait toujour terrifier.
Durans un instant je ferma les yeux pour m’apaiser et profiter de ce câlin dont j’avais bien besoin. Mes tremblement se calmaire, les nosé diminuaire et le tournie suivie vite derrière, les murmur autour de moi devinrent bien plus audible qu’il y a quelque minute.
— Tu es en sécurité…
Murmura une voix des plus douce et chaleureuse, je n’avais jamais entendu une voix aussi bieveillante de toute sa vie. J’ouvrie alors doucement les yeux, je tombas nez a nez avec une longue touffe de cheveux blanc comme neige, je soufla sun peu pour les enlever de mon visage se qui fis glousser la personne a qui il apartenais, celle si se redressa pour me caresser les joue, c’etais une femme au yeux glacé mais apaisans, sa peau etais quasiment tout aussi pale que ses cheveux, son souri etais emplie de douceur , presque maternel, elle ressembler a un fantome.
— Tout va bien, comment te sens-tu ?
Me demanda la femme d’une vois crystaline. J’etais si subjugué par sa beauté que j’en oublia la question qu’elle venait de me posé.
— Qui … Qui êtes- vous ?
Balbusiege, faisans glousse la jeune dame a mes coté, d’une douce main elle m’aida a me relevais, je pu ainsi un peu mieu l’analiser, la dame porter une longue robe blanche diviser en deux, au centre tomber une longue etoffe rouge et doré, ses manche tomber jusqu'à ses genoux, quand à son cou, un ras de cou lui couvrait la moitié de celui ci, auquel etais accroché le symbole de Sol, le dieu soleil.
Sa longue chevelure blanche lui tombé sur les epaule, encadrans son doux visage.
— Je me nomme Léto, je suis une pretresse de Sol, quant a toi, quel est ton nom ?
Me demanda elle calmement tout en croisant les doigts pret de son cœur en signe de priere, la tête penchée sur le côté. Durans un instant l’’hesitation m'envahit, pouvais je reelement lui faire confiance et reveler mon identiter, peu importe après tout, elle n'avait pas l’air mechante. L’aura douce qui emaner de la pretresse me fit vite culpabiliser de me mefier a se point, surtout en prenoans en compte l’aide qu’elle m'avait offerte avec l’autre homme qui me toisait depuis deja trop longtemps à mon goût.
Je regardais autour de moi, soucieuse a l’idée que des inquisiteur soit caché quelque part autour de nous, avant de reporter mon regard sur Léto.
— Adriana Aka…
Articulais je difficilement, toussotant un peu, ma gorge c’etans considerablement assecher a cause du manque d’eau et de la crise d’angoisse dont Léto m'avait heureusement sortie.
— D'où viens-tu ? tu ne semble pas d’origine de Vaheldrit au vu de ton accoutrement.
Je ne savais pas si je devais me sentir vexer face à de tel propo, durans un instant je baissa les yeux sur mes vetement en lambeau, me demandans se qui différencie mon style de celui des villageois de se village, outre le fait que vu de l'extérieur je devais bien plus ressembler a une mandiante ou une vagabonde qu’autre chose.
— Je viens de Drakenfell…
Dis je d’un ton peu serains en regardant tour a tour le sexagennaire et le pretresse, tout deux se regardaire un certain temps avant d’aucher la tête en même temps, la pretresse pris alors mes main entre les siennes.
— Tu ne risques rien ici dacor ? Tu est en sécurité, nous ne te vendron pas au inquisiteur
Sa voix etais douce et calme, elle se voulait rassurante et cela marché plutôt bien sur moi.
— Vous… Vous savez ce que je suis ?...
Leur demandais-je d'une vois peuno, la reponse devait être claire, mais je devais en avoir la certitude.
— Les journeau on rapporter la presence d’un hérétique dans un village voisin, j’en déduis que cela doit être toi.
Répondit Léto en me caressans les mains, je ne pu qu’aucher la tête pour confirmer. Sa douceur etais des plus calmantes, je sentais toute mon angoisse senvoler a son contacte, etais se le pouvoir de son lien ? peu importé, je n’allais pas chercher à savoir le lien de chaque personne que je rencontré, cela n'avait aucune utilité aprt celui de me rendre d’avantage anxieuse.
— Viens, suis moi Adriana, tu as besoin de repos, Marcus tu la verra plus tard.
L’homme nommé Marcus nu pas le temps de protester que Léto m’entrainer deja dans un recoin de la chapel, tous deux travairsaire un couloir avant de nous arréter devant une porte faite d’un bois ancien et sombre, quelque gravure religieuse avait survecu au travail du temps sur celle ci.
—C’est ma chambre mais tu peux l’utiliser comme bon te semble le temps qu’une couchette te sois trouvé, allez vas
A ses mots Léto s’eclipsa, me laissan entrer dans la piece, c’etais une chambre assez sobrement décorée. Un lit simple en bois, un bureau ainsi qu’une petite table au centre de la piece, je pu egalement voir dans le coin de la piece, un altar en l’honeur de Sol, dont une statuette surplombé des offrande deja entreposées devant.
Je restais un instant immobile devant l’autel. La statue du dieu solaire semblait presque briller dans la penombre de la chambre. Je sentit un frisson me parcourire l’echine, comme si la representation de pierre me regardait.
Je dessida alors de m’aprocher du lit avant de m’y laisser tomber avec lenteur, observant les poutres qui me surplombé. Depuis la première fois depuis ma fuite, je sentais mon corps céder à la fatigue, mais mon esprit, lui, refusait de s’apaiser. Les paroles de Léto résonnaient encore dans mon esprit.
Pourquoi une telle bonté à son egard tout en sachant ce qu'elle etais ? Était- ce un piege ? Pourquoi une telle bienveillance à son egard, trop de questions se bousculaient dans ma tête, me donnans limite mal au crâne. Je ferma les yeux quand mes pensées s'aventurairent sur les souvenirs de ma mère, je pouvais sentire quelques larmes couler le de mes joue, et sens que je ne le remarque, la fatigue m’envaillie et je plongeais dans des reves les plus sordides.

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