Chapitre 4

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Une douce melodie me réveilla, c'était Léto, elle se trouvait assise à mes côtés et humé un doux chant, tout en epluchant une pomme, celle-ci devenait rapidement de petit quartier de pomme en forme de mignon petit lapin. Soudain mon regard croisa celui de la pretresse, qui avait assez vite remarquer mon reveille, surment du a ma respiration, a moin que je ronfle dans mon sommeil, mère ne s'en etais jamais plaint pourtant…

— Bien dormie petite marmotte ?

Me demand-t-elle doucement. Un grognement m’echapa des levre quand je me redressa, mon dos était courbaturé du bassin jusqu’au omoplate, comme si j’avais dormi durans des lune entierre, mes jambe etais egalement toute engourdi, quand a mon cerveau, se n’etais gerts mieu, il etais embrumer a cose du reveil.

— J’ai dormi combien de temps ?...

Demandais je de ma voix raude du reveil, je passa une main dans mes boucle, la surprise me tirailla l’esprit, le sommeil m'en avais fait oublier que ma long chevelure rouge, ne se resumer dorenavant que un carré grossierement taillé, une unique meche me rester, comme ultime relique de ce qu'avait ete autrefosim a longueur, me pendait le long de ma joue. Je la fixa un instant, une amertume muette au fond de la gorge, mais bon, je me dis pour me rassurer que j’avais encore tout mon temps pour que tout repousse, a moin que je ne meurs avant.

— Deux jour

Répondit Léto en posans calmement le couteau sur la table qu’elle avait rapproché de nous, ainsi que que le plateau de lapin pomme. Elle s’avanca doucement avec sa chaise pour être plus proche de moi.

— Tu as dormi deux jours complets, ton corps avait besoin de se repit et ton esprit d’avantage.

Je resta silencieuse. Deux jours. Le temps s'était échappé et le sommeil m’avait recouvert de son voile onirique, comme s’ils s'étaient vengés de mon envie de vivre et de ma perseverence a survivre. Mon regard se perdut dans les fissures des murs de la piece, ou filtrait la lumiere du petit matin.

Deux jours, l’information me render incredule, je baissa les yeux. Des éclats de souvenir me revinrent, decousu et etouffé.

Le visage masqué des inquisiteurs, la panique dans mes jambes alourdie par la fuite, le sang battan a mes tempes… Puis, cet etranger nommé Marcus qui avait surgi comme une ombre, sa main tendue pour me tirer dans cette ruel sombre. Le miroire au reflet etrange, avalant sa conscience d’un seul souffle.

Le reste n'était qu’un vide indistinct

Je seras alors les drap entre mes doigts.

— Où suis -je réellement ?

Léto me regarda longuement, son sourire s’adoucissant, mais ses yeux gardant une gravité encienne.

— Tu es en sécurité. C’est tout ce qui importe dans l’imediat, cette chapelle appartient aux oubliés.. Ceux que notre pays a rejeté, les malades, les sans nom, les rebelles, les hérétiques comme toi..

Léto me tendit alors un des petits lapins pomme, hésitant avant de le prendre. Je l’amena docilement à mes levre s’en me soucier rèelement si cette pomme etais empoisonnée ou non. Le morceau de pomme etais tendre et juteux, son acidité etais tout simplement parfaite.

Je n’avais jamais goûté à un fruit aussi enivrans et addictif, un vrai pecher d’aimer à ce point un fruit.

Ma reaction sembla amuser Léto qui gloussa face à ma frimousse satisfaite.

— Je vais me presenter a nouveau, je suis Léto, encienne pretresse de Sol, j’ai etais revoqué mais aujourd’hui je me bat pour aider les personne dans le besoin tel que toi ou les oublier, je me bat pour faire reconnaître leur droit au saint de se pays discriminant.

Je ne pu qu'être touché face à tant de douceur, Léto servait un merveille son role de pretresse, meme si elle ne l’etais plus officiellement, elle etais serviable et presente pour autrui même sens les connaitrer eu ou leur passé, mais elle n’en oublié pas ses principe pour autant, l’autel de sa chambre en étais une preuve.

— Avant que je ne puisse te laisser entre les mains de Marcus, veux- tu bien me raconter ton histoire Adriana ?

Léto savais qu’elle marché sur les oeuf et qu'à tout moment je pouvais à nouveau faire une crise, mais je me douter qu’elle avait besoin de savoir, quand a moi, j’avais besoin de me confier, de lacher se qu’il peuser sur mon coeur, j’avais besoin d’une oreille attentive qui m’ecouterais sans jugement, et Léto en etais la personne toute choisi.

J'hésitais un long moment avant de débuter mon récit. Je racontas comment moi et ma mère avait passé dix huit ans a lutté pour cacher l’hérétique que j’étais, née sens Humbra. Je continua a expliquais la fausse marque que sa mère lui faisait chaque semaine avec des plantes, jusqu’au jour fatidique ou le crystale m'avait demasqué.

Les larmes commencais deja a me monter au yeux en mention de ma mère, la suite m’etans bien trop dure à évoquer, qu’il me fallu un certain temps pour continuer mon ressi.

Je continua donc a d’ecrire mon chemin ainsi que chaque instant vecu, le fait que je me sois retrouvée sans rien dans les bois de mon enfance, le chemin parcouru jusqu'à la nuit tombée ou la fatigue m'avait ratraper au creu de cet arbre.

Je ne laissas aucun détail de côté, pas même l’échange douteux avec cette Nymphéa. S’en suivie de l’explication de sa marche jusqu'à la ville, comment elle avait suivi le coucher du soleil eyans du plusieurs fois changer de trajet acr le soleil n'allait pas dans la même direction qu’elle.

Je finei par la course poursuite dans la ville ou Marcus m'avait empêcher une capture certaine.

— Ma pauvre enfant… Vivre tant d’atrocité a peine devenu majeur, je comprend que cela puisse être si dur pour toi…

Les larmes semblé avoir envahie les yeux de la pretresse, celle si pris delicatement mes main entre les sienne, les caressans avec douceur, une pointe de pitié dans son regard.

— Tu n'es plus seul a present Adriana

Murmura doucement Léto, me sourians avec tendresse, sourire que je lui rendi calmement, malgret toute sa gentillesse, je ne pouvais m'empêcher de ressentir une certaine amertume au fond de mon coeur, je ne souhaitez la pitié de personne, cela ravivait en moi la crainte que mère ne sois plus, et cette pensé, je la refusé.

D’une main, Léto m’aida à sortir du lit qui m’avais si genereusement aceuillie durans c’est deux dernier jours, la douce pretresse me tendit alors une nouvelle pomme, cette fois si entiere, en effet sans m'en rendre compte le platezua de lapin pomme etais deja entièrement vide.

— Je m’escuse de te presser ainsi det ton reveil mais Marcus, l’homme qui t'a amené ici, commence vraiment à s'impatienter…

S’excusa elle en me guidans jusqu'à la grande salle où j'avais atterit quelque jour plutôt, rien n'avait reelement changé a l’exeception de l’emplacement de chaque habitant de ce lieu.

La luminosité etais moindre dans ce lieu, j’en vin à la conclusion que la chapel devait se trouver dans une forêt, je pouvais en effet voir quelque branche traverser certain vitrail ou autre mur fissuré, la seul lumiere venais de torche accrocher au quatre coin des murs viellie du bâtiment.

— Enfin réveiller.

Grogna une voix que je ne pu que reconnaître, c’etais celle de l’homme qui m'avait sauvé, le denommer Marcus, cette fois ci je pu un peu mieu le detailer car il n'avait plus sa capuche qui lui couvrait casi tout le visage.

Ses cheveux noir etais parsemer de meche grisonante, ses yeux claire contraster avec ses large cicatrice, mais se qui me surpris la plus fus la large cicatrice sur son front, dissimuler par de courte meche, un symbole qui ne m’etais pas inconnue. A leur arrivée en fonction chaque paladin qu’importe de quel église il faisait partie se faisait voirgraver le symbole de leur dieu sur le front au fer chaud. Marcus posseder cette cicatrice, je deglutie bruyamment en la regardant un peu trop longtemps, ce qui eu pour effet qu’il me fusilla du regard.

— V-vous etes un paladin ?...

Murmurais je comme si cette information aller me brûler la langue, se qui fit grogner l’homme, je pense qu’il ne voulait pas que l’on le lui rappelle.

— Ancien. Paladin.

Ok il ne voulait vraiment pas que cette information sorte de ma bouche, il semblait detester que je le sache, ou du moins il detester cette affiliation.

Le soupir de Leto nous fit tous deux tourner la tête dans sa direction, celle si defie les quelques plis de sa longue robe blanchatre. Léto lui lanca alors un regard de travers, ce qui lui fit lacher un grondement entre ses dents serrées.

Cet homme ne m’aimé pas et n’esseyais même pas de le cacher, c’etais assez anxiogene.

Marcus me fit alors soudainement signe de le suivre, j’igniorais si j’avais bien le choix mais je le suivie après avoir entrapersu le sourire emplie de bienveillance de Léto qui finit de me convaincre.

Non loin de leur emplacement initial se trouvait un enfoncement dans le mur, celui-ci semblait s'être efondrer, deux pots d’encens etais posés de part et d’autre de l’ouverture alors que l’ouverture etais barrée par diferent draps rapiecer de diferent colories.

L’hodeur de plante brûlée etais des plus ignoble, mais j’avais pu ceinture pire quand mère tester différent onguent ou autre mixture etrange, dont elle etais seul à connaître le contenu.

Marcus penetra dans se lieu cacher sens reelment m’attendre, malgret tout, il me teint en hauteur l’un des tissu coloré , afin que je puisse le suivre sans encombre.

La nouvelle piece etais en fait une sorte de tente ratacher au bâtiment, celle donnant sur l'extérieur, l’air y etais beaucoup plus frait malgret un feu brulans au milieu de l’extention.

Un bureau se trouvé directement à ma droite quand j’entra dans la piece, de nombreux papiers y traînent. L’air de ce lieu etais emplie defluve de diferente plantes, surment celle qui secher, accrocher plus loin, mais malgret tout, une autre odeur me parvenait au nez, celle de la maladie et de la transpiration.

J'ai pu enfin remarquer qu’autour du feu se trouver plusieur paillasse, ou reposer des corp a la respiration laborieuse, tout avait l’air de terriblement soufrire, les couverture qui les couvrait etais en lambeau et reveler les meme marque blanchatre que les autres habitant arborer.

— Qu'ont-ils tous ?...

Demandais-je d'une voix basse, peu sur de savoire si la reponse m'intéresse vraiment ou non. Je n’avais jamais vu de tel fenomene dans mon village natal, les oublier etais il rejeter a cose de cette etrange maladie, tout cela etais idiot, cela n’avais pas l’air contagieux loin de la.

— Ils ont contracté la Noctismalum, ou maladie de pierre de lune

Répont Marcus l’air grave. Je n’etais certes pas une pro dans la medecine mais je conaisser quelques noms de maladie, helas celle ci m’etais inconnue, pas même une bribe de souvenir me parvenait.

J'espère qu’il ne me demanderais pas de trouver un remedde, mes connaissances n’etais clerment pas assez développées pour que cela me suis possible, même en quelque mois, il faudrait des années pour ne seraisse que comprendre la maladie dont souffrait c’est pauvre personne.

— Je suis desoler… Mais je ne possede pas assez de connaissances en medecine pour trouver un quelconque remede…

Lui dis- je avant de remarquer son regard incredule, comme si je venais de lui dire la pire des bêtises qu’il n'ait jamais entendu. Un soupire lui echapa au moment même où il s’aprocha de l’unique bureau dans l’extention.

—Ce n’est pas ce que je te demande faire.

Me rassura l’encien paladin, alors que celui si sassie en se massans le crâne, la situation avait l’air de le preoccuper plus que necessaire.

— J’aimerais que tu me dises quelle plante peut les aider à apaiser leur crise.

Me dit il en levant ses yeux dans ma direction, une pointe d’espoire se refleter dans le bleu de ses prunelles, cet homme placé une trop grande esperance sur mon dos, je ne savais moi même pas si je pouvais ne seraisse que faire une seule chose pour les apaiser.

Je ne pu prononcer un seul mot, mes pensées me render d'autant plus anxieuse à l'idée qu’il me forcerais à partir si je ne pouvais rien faire, mais, comme s’il sentais ma peur, Marcus me tendit un carnet de note, que je pris avant de le regarder perplexe.

— Installe toi, tu trouveras tout ce dont tu as besoin de savoire dans ce carnet, il y a de quoi ecrire sur le bureau. Je n’aime pas dire ça à des inconnus tel que toi mais… Je compte sur toi pour les aider.

Ses mots me touchaire plus que nécessaire, je sentis une bouffée de confiance grimper du plus profond de mon être jusqu'à mon cœur, c’etais la première fois que de tel mot m’etais adressé.

D'un simple auchement de tête, je pris place derrière le bureau a la place de Marcus, je raprocha la bougie posée sur le meuble afin d’y voir ne serais qu’un peu plus claire, avant de debuté ma lecture.

Cela faisait à present plusieur minute, voir heure que je lisais et reliser encore et encore les même page de carnet, afin de bien comprendre l’etendu de la maladie, j’avais pu apprendre que la Noctismalum étais une maladie transmise par la surexploitation des mine de pierre de lune.

C’etais une une pierre reputer comme céleste, elle etais utilisé autrefois en temps qu’eclairage durans la nuit,helas, ce que personne ne savais c’etais qu'à long terme, cette pierre etais toxic et empoisonné le corp, procurans des crise plus ou moin lourde, ainsi que l’aparition de tache blanchatre.

L'apparition de cette maladie avait provoqué à taurans de panique chez la population en contacte avec cette pierre, les personne touché par la malédiction du dieu lunaire – comme disait de nombreuse personne à l'époque – était alors discriminer et craint, la croyance local disais que cette maladie était contagieuse, c’est ainsi que les infecté furent radié de tout village ou ville, avec le temps , la maladie fut oublié et caché par les plus haut, et l’utilisation de pierre de lune rendu illégal.

Tout étais si précisément detailler que la sensation d’y avoir etais et d’y avoir assisté me tirailler les côtes, tout c’est pauvre gens devais avoir ete mis en contacte repeter avec cette maudite pierre.Mes pensé aller au victime les plus proche, les mineurs, il etais après tout les premier affecter.

Mon regard glissa alors en direction des quelque souffrant que se trouver avec moi, mon coeur me faisait mal à l'idée que ma propre nation avait pris la dessision de les chasser, les massacrer au lieu de leur offrire une quelconque aide, alors que c’etais les dirigean qui avait décidé d'exploiter cette pierre de malheure.

Je remercié les sœurs du destin d’avoir forunie a cette terre des personne tel que Léto et Marcus, des etres pret a aider c’est malheureux malade.

Je voulais faire quelque chose, les aider à mon tour. Je reporta mon regard sur le carnet tout en essuyans les quelques larmes de pitié qui avaient commencé à couler.

Les page suivante du carnet y registées chaque symptome de la maladie ainsi que de la crise, celle ci duré un temps indéterminé, quand au symptôme, Je les conaisser bien, ils allaient de la fièvre plus ou moin forte, au mot de crâne allant jusqu'à la migraine ainsi que la faiblesse des membre. Cette maladie n'était certe pas directement mortel, mais les crise rende la vie des plus douloureuse et dure, ainsi que de la racourcire, car le corp a force de subir tout cela s'affaiblissait, un enfant de sept ans qui était touché pouvais surement vivre qu'à ses quarante ans et encore.

— Soif…

Murmura une faible vois dans mon dos, se qui me fit me retourner aussitôt, la voix venait d’un jeune garçon d’au moin dix ans, son visage etais marqué par les tache blanche, ses etais mi clo etais vitreux et ses toussotement montrer que sa gorge lui etais douloureux

— Soif…

Murmura t-il à nouveau, je me leva alors afin d’avoir une meilleure vision de ce qui m’entourer, pret du bureau se trouver une caisse, sur lequel etais posé un verre en céramique ainsi qu’une carafe remplie d’eau claire. Versant delicatement le liquide dans le contenant, je veins m’agenouiller pret du garçon, lui soulevant doucement la tête afin de l’aider à boire, celui si bu avec avidité il ne semblait pas avoir consommé d’eau depuis un certain temps. Une fois le verre vidé, je le ralongea delicatement.

—Merci…

Chuchota à nouveau l’enfant en me regardant, je ne pu que sourire face à sa politesse malgret sa situation. Au même moment, je remarquas Léto adosser au mur, en train de m’observer sourire au levre.

—Tu as très bien agit, mais ne crains- tu pas que la maladie soit contagieuse ?

Demanda la prêtresse l’air sérieuse, aucun son ne sortit imedaitement de ma bouche, un simple haussement d’epaule, pas que je me ficher de si la maladie etais contagieuse, ma pensée etais certe naive mais, si le carnet disais que ce n’etais pas contagieux, alors j’y croyais, après tout, qu’es que cela faisait si elle etais contagieuse cette maladie de malheure ?

Je suis deja recherché pour être tué, peut être même que d’atraper cette maladie serait une sorte de liberté, on n’oserais m’aprocher par peur d’attraper la même chose.

—Non, même si ce mal est contagieux, je ne le crains pas.

Dis-je d'une voix resolue, ce qui sembla attrister Léto, mais un doux sourire finie par à nouveau illuminer le visage de cette dame.

— Marcus ta donner une lourde demande, penses- tu y arriver ?...

Je relevas la tête vers elle, les yeux emplis des flammes de la determination, j’aucha vivement la tête pour lui confirmer. Tout en me levant je vin reposer le verre a sa place pret de la carafe, avant de me remetre au pupitre, sur le quel je pris une feuille avant de me saisisre de l’encre et de la plume qui aller avec afin de debuter mon ecriture, commencan a ecrire le nom de chaque plante nessaire pour soulager les maux de chaques patiens.

—Millefeuille et camomille pour la fievre…Eucalyptuse pour les maux de tête…En revanche pour tout ce qui est lourdeur, ou faiblesse des m’embre, je ne pourrais pas vous aider…

Alors que Marcus entrait dans la tente, celui-ci posa les yeux sur la liste que je tendais à Léto, il dessider vraiment d’arriver au bon moment celui là. Je me tourna dans sa direction afin de lui remettre la liste, a lui plutôt que Léto vu que c’etais aquand meme lui qui me l’avais demandé.

— Merci pour ta contribution jeune fille.

Me dit il en recuperans la feuille de mes mains, celui ci l’observa un certain temps, il vint murmurer quelque chose à Léto, avant de s’eclipsé de la piece, nous laissans toute deux seul avec les patiens.

— Bravo, tu viens reussir ta première mission, pas trop stresser ?

— Un peu, mais ce ne sont que de simples craintes…

Avous ai-je en me levans.

— Viens avec moi, nous allons te presenter , tu est des notre a present.

Je me stopa net en entendans ses dire, un froncement de sourcil me barra alors le front.

— C'était un test ?

Demandais je en me tournant vers Léto, son sourire coupable en disait long, se qui me fit lever les yeux au ciel dans un fort soupire, mais après tout ils avaient raison de se mefier, j’en aurais fait de même, mais de la a etre tester de la sorte, sur des connaissance qu’elle n'aurait tres bien pu avoir.

La pretresse nous fis sortir de l’infirmerie de fortune, au meme moment, une jeune femme qui devais avoir mon age s’apreter a son tour a entrer dans la salle, celle si porter de lour fagot de bois dans les bras, ses cheveux chatain etais couvers de feuille. Quand la jeune femme nous apersu, celle si me decocha un regard noir, avant de me bousculer pour passer. Je tourna la tête vers Léto qui secoué la tête.

— N’y prete pas attention, elle se mefit de toutes les nouvelles personnes qui arrivent au camp.

Mon regard se porta sur les tissu coloré qui couvrais l’entré de la tente, par la quel la jeune femme venais de disparetre.

Léto, s’entrepris de la presenter a chaque personne presente , qu’elles croisairent, beaucoup me regarder avec bienveillance, mais je pouvais malgret tout sentir la peur et la mefiance a mon egard au fond de certain, j’igniorais si cela etais du a mon statue d’hérétique, qui sois disans aporte le maleure ou ils vont, ou si cela venait du fait que je venais d’arriver et qu’ils ne me conaisser pas. Je ne preferais ne pas savoir qu'en fin de compte, cela ne me rendrais que d’autant plus anxieuse, même si cela etais deja le qua.

Léto eyans remarqué mon changement d’atitude me pris delicatement les main, les caressana avec douceur pour me rassurer.

— Les etoiles se sont mise en mouvement, tu devrais te reposer, ton esprit en a bien besoin

Me dit-elle en continuans ses caresses, tout en me guidant jusqu'à sa chambre qui m'avait accueillie, sans me laisser la moindre chance de refuser, Léto me fis m’assoir sur le lit, me somman de me reposer avant de me laisser seul avec mes pensées.

Qu'avait elle voulu dire par “les étoiles se sont mises en mouvement”, qu'est que cela pouvait bien signifier, pourquoi lui avait elle dit cela. Je ne me sentais plus la moindre du monde fatigué, anxieux oui, fatigué non, et ses paroles n'avaient en rien arrangé les choses.

Dans un soupire, je me leva, durans un instant mon regard se porta sur la piece dans laquelle je me trouvais, mes yeux se posairent alors sur l’altar dans le coin de la piece. Après tout, je ne pouvais rien y perdre, je me mit a genou face à l'autel, seu si etais encore quelque peu douloureux mais je m'en moquer.

Lian mes doigts entre eux, je me mit alors à prier. A aucun moment de ma vie je me serais dit qu’il etais temps que je prie, après tout la religion n’etais pas sa tasse de thé, je n’etais que tres peu croyante au grand desarois de ma mère qui en hoposé, etais une fervante croyante, en particulier envers le dieux de la lune, Nox.

Les minutes passèrent dans un etrange calme, j’igniorer combien de temps je resta assise ainsi, ni même si mes prier avais etais ecouter par ne serais qu’une entité divine, mais cela avait calmer mes angoisse, lorsque je me considera assez calme et detendu, je me releva, la fatigue vin imediatement m’envahire, la journée m’avais a vrais dire aspirer l’entierter de mon énergie, entre le moment de reflexion et la rencontre avec tout le monde, la peur et la crainte devenais de plus en plus handicapant.

Je decida qu’il etais temps pour moi d’aller se reposer comme m'avait conseillé, non, ordonné Léto. Apeine avais je touché le duvet que mes yeux se fermaire, me plongean dans un noir complet.

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