Chapitre 5
J’ouvrie peniblement les yeux, la nuit avais étais quelque peu compliquer, parçemé de cauchemard et de rêve en tout genre, mais, pourquoi fait il donc aussi noir dans cette fichu piece !
En observant mieux autour de moi je pu enfin remarquer que je ne me trouvé plus dans la chambre, je n’etais même plus sur le lit, mon corps etais debout dans un espace empli de tenebre. L’air etais lourd autour de moi, soudain mon regard fut attiré par une source de lumiere dans mon dos, je tourna alors la tête.
C’etais une etoile noir, celle si etais entourer d’un hallo blanc qui me detruiser la retine telement le contraste etais fort entre les deux.
Je me senté comme aper par cette chose, attirer, je decida de commencer a m'en approcher, mais plus mes pare me faisaient avancer, plus cette seule source de lumiere reculait, nous etions tel deux aimean a se repousser malgret mon avancée.
Malgret la distance grandissante, je me mit à courir pour essayer d’atteindre cette forme sombre, je me devais de comprendre cette apparition, cette étoile, elle ne m’etais pas inconnu.
— Réveille- toi.
Résonna une voix cristalline.
Un sursaut me fit me réveiller, haletante, le souffle court comme si je venais de vivre le pire cauchemar de tous les temps, portant une main tremblante à ma poitrine, je sentis mon cœur battre à tout rompre.
La sueur perler sur mon front, glissans le long de mes tempes et de ma colonne vertebrale, les gouttes froides me procurent des frissons dans tout le corps.
La chambre me parut soudainement bien trop etroite et opressante , malgret tout je savais que je n’etais plus dans se reve, la sensation n’etais plus la même mlagret cette impression de réel qui me tiraillait l’estomac.
Mes yeux se posèrent sur le plafond de bois. Les fissures enciennes laissent deviner le poids du temps. Dans la pénombre, une faible lueur dansait, une chandelle presque consumée etais posée sur l’altar, l’air etais lourd d’encens eteint mele a l’hodeur de poussiere, Léto aurait dû venir prier durans son sommeil.
J’inspira profondement, esseyant de calmer les tremblement de mes main, mais a peine avais je réussi a trouver un semblans de serenité, qu’une sensation me serra les côtes, comme si quelque chose de mon reve m’avais suivie ici, une presence, silencieuse et tapie au creu de mon être.
Je n’aurais jamais dû prier avant d’aller me coucher, pensais-je en me calman. Glissans une main dans mes cheveux, je remarqua à quel point ils etais poisseu et sale, elle avait grand besoin de se laver, mais dans ses circonstance, je n’en avais pour le moment pas la possibilité, se laver etais dans l’imediat un luxe qu’elle ne posseder pas.
Un dou toquement me fis à nouveau faire un bon, Léto se trouve à la porte, un tas de vetement sur l’epaule ainsi qu’un sceau d’eau. Je crois bien que cette femme lis dans l’epris, ce n’etais pas possible autrement pour un timing pareil.
La pretresse saprocha alors, l’air soucieuse de mon état, je devais vraiment avoir une salle geul pour qu’elle me regarde ainsi, mes cheveux devais etre en pagaille et mon visage devait être encore degoulianans de sueur.
— Cauchemard ?...
Me demanda elle en posans la bassine sur la table de chevet, puis les vetement au coin du lit. D’un simple auchement de tête je lui confirma, soudain, l'ilumination me vin. Je deboutonan le cole de mon chemisier avant de regarder ten bien que mal mon thorax ainsi que la marque de naissance qui s’y trouver, c’etais en tout point la meme que dans mon reve, a l’execption que la mienne etais blanche et non noir , l’une et l’autre etais en total oposer.
— Quelle ravissante tache de naissance !
S’exclama la pretresse en apersevent la marque sur mon thorax, celle si fis glisser ses doigt le long de la forme avec delicatesse, me faisant frissonner face a se contacte soudain.
— J’ai fait un reve avec cette marque, elle etais plus net et noir mais elle etais casiment identique a la mienne.
Lui dis je en poussans gentiment sa main afin de boutonner ma chemise, mais leto m'en empecha.
— Je t'ai amener de quoi te nettoyer le corp, ainsi que de nouveau vetement, prend le temps qu’il te faut
Me dit-elle en pointant du doigt le sceau et les vetement de part et d’autre du lit, avant d'elle-même se lever, sortant de la piece en me sourians, me laissans seul et perplexe face à une telle gentillesse.
Une fois en sous vetement je m'entrepris à nettoyer ma peau crasseuse avec l’eponge fournie dans la bassine. Quand je fus plus ou moins propre, Léto revint m’aider à enfiler les vetement. Je portait à présent une tunique bleu profond aux manches courtes, enfiler sur un tishert a manche longue gris, un pantalon ample et brun, ainsi qu’une ceinture avec plusieurs sacoches accrochées à celle-ci, seul mes botte rester d’origine, dans lequel je glissa le pantalon.
J’igniorais comment Léto avait fait pour trouver ma taille mais tout m'allait comme un gant, se devait surment être les siens maintenant que j’y repensais.
La tenue n’était pas particulièrement élégante, elle respirait la simplicité et l’efficacité. Je portat mes mains sur le tissu, appréciant la légèreté du vêtement, bien différente de mes anciennes tenues qui avait toujours rappelé à ma mère un temps revolu qu’elle avait autrefois connu.
Mes yeux, encore fatigués par le sommeil et les reves, se perdirent un instant dans son reflet. Mes traits paraissent plus marqués, mon regard plus sombre, presque dur. L’impression de ne plus être la même qu’avant… comme si la fuite, la douleur et ce rêve étrange avaient gravé une nouvelle sicatrice dans son être.
Je me tournais alors vers Léto qui m’observé avec satisfaction.
— Le style d’Hisios te vas plutôt bien
Murmura elle sent me lacher du regard, alors que j’etais en train de tourner sur moi même afin de lui montrer plus amplement la tenu complete, Léto vin replacer quelque plis en place avant de sourire doucement.
— Merci Léto… Mais pourquoi si soudainement me preter de svetement ?
Demandais-je en observans sa reaction, elle sembla chercher ses mot, voir meme hesiter à les dire, puis un soupire lui echapa, elle me prit doucement les main.
— Nous ne pouvons pas te garder… Tu est bien trop recherchée de ce coté la du pays et nous manquon cruellement de vivre pour tout le monde…
Me dit elle l’air desoler en me serans les mains. Je devais respirer l’anxieter car elle finit par me serrer contre elle, en effet cette information m’engoisser, je venais tout juste de m’habituer à ce nouveau lieu, mais je comprenais, je les meté en danger par ma simple presence. Soudain Marcus entra dans la chambre s’en réel politesse.
— Elle est prete ?
Demanda-t-il d’une forte voix, emplie d’inquietude, quelque chose clocher, et je n’allais certainement pas tarder a decouvrire quoi. Léto le regardé avec tout autant d’inquitude, elle ne semblé pas habituée à voir l’homme ainsi.
Quesqui cloche ?...
— Adrian, suis m-.
— Adriana.
Le coupais je, n’eyans pas apprécié que l’on ecorche mon prenom de la sorte. Marcus me lanca alors un regard noir , me fusillans sur place, n’ayans a son tour pas aimer etre couper devinais je, l’air devin tout de suite electrique entre nous deux, laissan la pauvre Leto peuno et paniquer assister a notre echange de regard.
—C’est pareil. ecoute moi bien jeune femme. Tu vas te rendre dans un autre camp, il est tres différent de celui si, tu as intérêt à te tenir a caraux.
Me dit il alors, se qui me mit un poid sur le coeur, me rapelans que j’allais devoir quitter ce lieu qui m’etais deja chaire, cela l’atrister de devoir quitter Léto ainsi que tous ses pauvre personne qui souffrait temps.
— Leto va t’acompagner, grâce à son Lumna, vous allez traverser la frontiere s'en être vue.
Dit Marcus, se qui soulagea la jeune femme, ne pas etre seul et en plus de cela accompagner de Léto, me soulagea. Je ne pu m’empecher de regarder perplexe Leto face a se mot, Lumna, qu’etais se, celle si me souri me montrans un fin bracelet blanc qui entourer son poignet a meme la peau, une marque semblable au Lien Humbra, mais en oposea de couleur, je devina imediatement que cela etais le lien avec un ange, que tout les personne naissance au saint d’Hisios posseder, Léto devais donc venais de la nation voisine, ce qui m’etonnais gerts.
— Vous aller rejoindre, ma fi-mon fils Ilias, il saura quoi faire de toi une fois la bas. Soiyer prete dans trente minutes.
Continua Marcus, alors que je reste muete totu comme Leto, face a la sévérité soudaine de Marcus, quelque chose clocher en dehor de ce depart soudain.
— Tiens prens ca.
Me dit soudainement Léto en me tendant un sac en bandoulière, je le pris delicatement, il etais plutot lourd, je me permis de regarder a l’interieur, dans celui si , se trouver une dague noir, probablement en Onyx ou en obsidienne. Il y avait également un petit sachet que je tapota légèrement afin de savoir se qu’il contenait.
— C’est un coli pour Ilias, ne le perd surtout pas.
Me dit-elle alors que son ton devins beaucoup plus sevaire, emplie d’avertissement, je ne pu qu’aucher la tête pour confirmer.
Soudain un tremblement secoua tout le bâtiment.
Ah, voila donc ce qu'il clocher, youpi
Léto me saisit alors la main, me tirans hord de la chambre en direction de la piece principale de la chapelle, tout trembler autour de nous, les murs s'effriter, la poussiere voler autour de nous, tout etais si irréel.
Arrivant dans la piece, je pu voir le visage paniqué de chaque personne presente, de nombreuses mères sérraient leur enfant contre elles, tous etais blotie dans des coins difefrent, voir même contre des piliers, de nombreux priés, les cris emplisser toute la zone. Léto me traina dans un coin juste avant que je puisse voir Marcus accompagner de son Humbra passer à vitesse grand V pret de nous, suivie de nombreu autre personne, toute armé.
— Léto qu’es qu’il se passe ?!
Crie ais je par dessu le bruti ambiant, celle ci ne me répondit pas, tendant sa main vers un mur, sa marque se mit alors un brillet, un long fillet lumineu senroula autour de son bras avant de senfocer dans les pierre du mur, celle si semblaire comme se distordre, alors qu’il ne devenais que fumer, mais cette fois ci blanche.
— Ne pose pas de question et part ! Ne sort surtout pas de Télévak et attends mon retour, c’est compris ?!
Ca vois etais grave emplie de crainte mais ausi d’un autre sentiment que je ne su décrypter, sen pouvoir répondre, elle me poussa à travers le mur de fumer, contrairement à ce que je penser je ne hurta pas de la pierre, mais de l’herbe couverte d’une fine couche de neige.
— Qu’es que… Léto !
Mon cri se repercuta en echo tout autour de moi, le portail n’etais nul part autour de moi, seul une etendu de neige me faisait face, froide et immense, je me trouver au milieu de nul part, sen reperts, sen carte, sen rien. J’étais seul dans un environnement que je ne connaisser pas.

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