Chapitre 6

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La nuit fut des plus rude, rencontre avec un groupe de lapin qui m'avait fait autant sursauter qu’eu, nouvelle rencontre avec des Nymphéa, qui souhaité m’echanger mes plus beau reve contre mon pactage, suivie d’une course poursuite avec un Galina, poulet au corp de fauve dans une forêt, sans oublier le froid mordant qui m'avait brûler la peau malgret mes vetement plus ou moin chaud, heureusement qu’il etais d’origine d’Hisios, autrement elle serait morte de froid.

Comment pouvais-je savoires que j’étais dans la bonne région ? Seul Hisios avait un climas aussi froid, ainsi que la presence des Galina seulement trouvable dans cette nations.

Devant moi se trouver à perte de vue, des etendus blanches de neige, plate bande comme colline. Je me sentais minuscule face à l'immensité des plaines qui s'ouvrait face à moi.

Mes yeux se posèrent sur une silhouette lointaine, une tour de garde dressée au sommet d’une butte. Elle sembla déserte, mais la fumée qui s’élevait d’un conduit trahissait une présence.Hésitante, j’observa le bâtiment, l’endroit paraissait sûr, peut-être même accueillant, mais je savais qu’un abri pouvait tout aussi bien être un piège.

Le vent fit claquer la longue mèche qui pendait encore à mon front, et la piqûre glaciale sur ma peau me poussa à ne pas trop réfléchir. Je n'avais pas le luxe de passer à nouveau la nuit dehors dans un tel climat. Serrant les sangles de mon sac en bandouliere, Je reprit ma marche d’un pas décidé, grimpan la colline avec une respiration laborieuse, je manquais cruellement de sport. Pourtant, plus je m'approchais, plus une étrange sensation m'envahissait, comme une pression subtile qui me pesait sur la poitrine. Quelque chose, là-haut, m’observait déjà.

— Bien le Bonjour, gente dame !

M’interpella une voix venue d’au dessu de moi. Je leva aussitôt les yeux et apercut l’origine de cette voix, c’etais un homme accoudé au rebord de la tour. Sa chevelure blonde coiffée en queue de cheval flotter au vent, son bouc tout aussi blond rendait son sourire amusé d’autant plus agacan. Il me faisait signe avec autant de desinvolture qu’une personne dont le temps n’etais plus un probleme.

— Quel charmante surprise que de voir une voyageuse dans ce desert blanc !

ajouta-t- il, sa voix claire résonner comme un echo moqueur a mes oreille, ce qui m’agaca d’autant plus que sa tronche de beau parleur.

— Qui etes vous ?!

Demandais je, méfiante, une main poser sur le sac qui comptenais encore la dague, j’etais prete a m’amrmer, mais etais je prete a utiliser une arme contre quelqu’un, je n’en avais même pas etais capable face à un Galina, alors face à un humain comme moi…

L’homme rit doucement, un éclat de malice passans dans ses yeux bleus.

— Je me nomme Hermès, je garde ce coin perdu. Mais detender vous gente dame, je ne mord que ceux qui le demande.

Il ponctua sa phrase d’un clin d'œil exagerer, ce qui eut pour effet d’autant plus me degouter, puis soudainement il disparut du rebord ou il se tenait. Je n’u qu’a peine le temps de cligner des yeux, que l’homme se trouvé a quelque pas de moi. Je fis alors un bond en arriere, surprise.

Se tarrer a sauter ou je deviens folle ?!

— Vous semblez transie de froid, entrez donc.

Me dit-il, les bras scroisé dans le dos tel un comédien en pleine scène. Tout en lui crié mefiance, son sourire bien trop parfait, sa posture decontracter, son regard charmeur, ses mots enveloppés de velours. Mais derrière son arrogance se cachait quelque chose, je le sentais, la lueur dans ses yeux semblé me jaugeait, mesurans deja mes faiblesse.

— Et si je refuse ?

Repliquais je sechement, faisant éclater d’un rire franc l’homme devant moi, se denomer Hermès se foutais tres clerment de moi.

—Libre a vous de venir vous joindre au defin de se paradi de glace, ou de servire d’amuse geul au loup qui regne ici en maître, charmant programme ne trouver vous pas ?

Je le regarda s’incliner théatralement, comme pour conclure son discours, avant de se redresser un air presque triomphant sur le visage.

— Alors charmante demoiselle, quelle serat votre décision ?

Il ne change jamais de disque ce beau parleur.

Je grogna a ses mots, le choix ne m’etais pas permis, et il le savait, il en jouait même. Résigner, j’accepta d’un simple auchement de tête.

Hermes fis la chose la plus enervante du monde, il souris d’un air victorieux et triomphant, comme s' il avait gagné une partie dont seul lui connaissait les règles.

— Sage dessision, suivez moi donc

Sans plus tarder, il ouvrit la lourde porte de la tour. Un grincement sourd résonna et une chaleur inattendue s’en echappa. J’entra prudemment, mon regard courant sur chaque recoin de la piece dans laquelle nous venions d’entrer.

À l’intérieur, l’endroit ressemblait à un étrange mélange, des tapis colorés recouvraient le sol de pierre, des torches diffusaient une lumière douce dans chaque recoin de la piece, et une grande cheminée flamboyait au centre decelle ci. Pourtant, derrière tout ce confort apparent, quelque chose sonnait faux, c’etais trop parfait pour paretre vrai.

— Installez-vous

Proposa Hermes en lui désignant un coussin pret du feu. L’homme se dirigea ensuite vers une petite table basse, ou se trouver des fioles de verre et de fruit sechés

— Vous devez mourire de faim

Repris il de sa voix enjoleuse et sournoise. Je ne le quitta pas des yeux, mefiante. Celui- ci haussa les epaules et versa un liquide rouge sombre dans deux coupes de cristale.

— Je n’empoisonne que mes ennemis

Dit Hermès alors qu’il tendait deja une des deux coupe devant moi, que je pris sens a mot pas crainte des représailles.

Il sassit en face de moi, croisant ses jambes sans me laché du regard, ses prunelles lapis-lazuli petillais d'un éclat calculateur.

—Gente dame, allez vous donc vous presenter a votre tour ? ou la politesse vous ferait- il defaut ?

Ricana il narquoisement tout en me toisans d’un regard faussement chaleureux. Je ne souhaitais pas lui parler plus que de nessessaire, mais après tout, cette homme lui offrait le gîte et une bonne boisson chaude, une douce odeur enivrans s'en emané. Je m’entrepris alors de goutter le liquide, igniorans la question d’Hermes.

c’etais un liquide amer mais velouté, je n'avait jamais goûté tel breuvage de toute ma vie, mais cela ne me deplaisé gert.

La chaleur de la boisson libéra peu à peu ses barriere, rendant son esprit plus claire.

— Je me nomme Adriana Aka

Dit je sens en rajouter plus, je ne devais pas informer cette inconnu de mes origine, ni qu’elle etais une hérétique qui plus etes rechercher, j’igniorais quel etais les coutume de cette nation, de comment etais persu les personne comme moin , sans lien, sen Humbra ni Lumna.

Soudain je sentit mon esprit s’enveloper de velour et s’embrumé, comme si mon cerveau etais plonger dans du coton ainsi que tout mon corp, ma tête se mit à tourner, je n’aurais pas du boir se breuvage, cette homme, n’etais pas aussi bon qu’il le laissait penser.

Le sourire narquoi de l’homme fut la dernière chose que je vis avant de sombrer dans les tenebres.

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