Chapitre 7

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A mon reveil, je remarqua bien vite le froid mordant dans lequel je me trouvé, tout en me redressans difficilement, je pu constater que la radieuse piece ou j’avais perdu connaissance etais a present en ruine. La cheminé etais eteinte et n'avait visiblement pas etais utilisé depuis fort longtemps, les tapis etais dechirer et ronger par les mites, les mur ainsi que le toit etais eventré de part et d’autre, la neige avait deja recouvert certaine parti des dalle de pierre du bâtiment, entrans grâce au ouverture du toit.

Aucune trace d'Hermès, en revanche la coupe qu’il m'avait servi se trouve à ses côtés, mais a present c’etais une afreuse coupe rouiller.

Je sentie des relens remonter dans ma gorge à l'idée d’avoir bu dans cette horreur, tout ce qu’elle avait vu n'avait etais qu’ilusion ? Hermès avait il etais réel, était-ce un esprit des glaces qui l'avait pieger ? Non, ou elle ne se serait jamais réveillée autrement.

Soudainement, je remarqua avec effroi que ma sacoche etais bien moin lourde que le veille, en l’ouvrans, je m’aperssu avec efroid qu’elle n’etais désormaisplus remplie mais vide, le paquet que je ne devais pas perdre avais disparue, seul ma dague etais resté, quel bonté d'âme à Hermès de me l’avoir laisser. Pourquoi lui avoir laisser sa seul armes, etais pour que je puisse en finir avec moi meme plutot que de mourir de froid ? l’idée même de me laisser tomber me faisait bouillonner de rage, je me promie de retrouver ce sale voleur et lui faire payer tres cher.

Sortant en trombe du bâtiment, je fit s'effondrer la vieille porte en bois qui etais autrefois bien solide, helas a l'extérieur le vent soufflé avec force, entraînant avec lui dinombrable flocon de neige, qui a eu seul couvrait la totalité de ma vue, impossible de se reperer, impossible de voir quelqu’onque pas qui pourrait lui indiquer dans quel direction etais partie Hermès, mais je n’avais pas d’autre choix que d’avancer, la bâtisse etais bien trop dangereuse, à tout moment elle risquer de s'effondrer sur ma tête, le froid etais le meme a l’interieur qu’a l’exterieur, seul le vent etais de plus a l’exterrieur.

Plus je m’avancer, plus le vent s’intensifier dans mes cheveux, la neige etais a present a mes cheville, je m’enfoncais de plus en plus dans cette épait duvet blanc, chaque pas m’eloignet de la seul habitation croisé jusqu’a maintenant. La morsure mordante du vent me remémoré à chaque instant le nid douillet qu’elle avait quitté quelque heure auparavant. Mais je devais retrouver cet homme, recuperer le paquet volé, j’igniorais se qu’il comtenais mais il était important, on me l'avait confié et voila que je le perdet inutilement.

Le froid devenait de plus en plus intense, je ne voyais plus à deux mètre et la tête commencé deja à me tourner, je me demandais si il n’etais pas judicieux de faire demitour, helas le temps d’arret pour reflechir me fut fatal, un pas de plus me fis m'effondrer dans la neige, le froid me submergea, il m’etais impossible de bouger, je me senté deja deperirre sous ce froid mordant, seul le bruit du vent parvenais à mes oreilles, mes pensé divaguert vite vers l’option d'être devorer par des loup ou quelconque créature qui rodait dans les environs. Les tenebres se firent profond, des pas résonner à mes oreille mais impossible de savoir se que c’etais, ennemi ou allié, pour moi, c’etais mes dernier instant, etrangement l’idée de mourir ne me faisais pas peur, la seul pensé qui m’atrister etais la vision du visage de ma mere, atristé par sa perte.

Je devais me trouver au saint du grotte, je pouvais entendre le vent frapper la roche à l'extérieur de celle-ci. Ouvrant les yeux je remarqua bien vite ce qui me peuser sur l’abdomaine, c’etais une queue ecailleuse, au bout de laquelle quatre grande plumes batais doucement l’air.

Avec le peu d'énergie qu’il me reste, je tournai lentement la tête vers l’origine du ronflement que mes oreilles captéent depuis mon reveil, la crainte me noua le ventre.

Autour de moi etais enroulé un grand dragon ecailleux, quelques plumes parsemer son dos, sa tête en etais en revanche recouvert, quatre petites ailes troner de chaque côté de la tête du reptile qui semblait dormir paisiblement, tout mon contraire. S'en lacher la creature du regard, je tentas de bouger mon corps mais cela en etais impossible, je ne le sentais plus, mais tout mon être me criait de fuire au plus vite.

Je vais finir dans le ventre d’un dragon !

— Elle n’aime pas être devisagé ainsi.

Résona soudainement une voix rauque et forcé, redressans la tête, je pu apercevoire, un jeune homme penetrans dans la grotte, celui ci porter un manteau de fourrure sans menche dont la capuche couvrait son visage, celui si etais couvert de neige, des epaule au pied.

Une fois ebrouer et la capuche retirée, j'ai pu un peu mieux apercevoir mon interlocuteur. C’etais un jeune homme d’a peu pret mon age, au cheveux court noir et blanc, ses yeux gris me regardé d’un air renfrogner, comme si ma presence ne lui etais guert plaisante, je me demanda alors pourquoi il m’avais aider, car elle etais sur que c’etais lui.

—Merci…de m'avoir sauvé…mais… Comment m’avez vous trouvé avec ce blizzard…

Articullais je avec difficulté, ma guorge me faisait terriblement mal, comme si elle etais a la fois seche et brûlante, la tête me tourna alors soudainement, grimacans a cette sensation, je ne pu que fermer les yeux pour calmer cette afreuse sensation.

—Vas-y doucement, ton corps n’est pas entièrement rechauffer, tu ne dois pas forcer, mais pour répondre à ta question, ton odeur l'a attiré.

Dit-il en pointant du doigt le dragon derrière moi.

Malgret son air renfrogné et son ton de voix forcer, sa voix etais bienveillante mais rude, ce qui me detendi, je sentie la queue du dragon me tapoter la tête, se qui me fis imediatement r’ouvrire les yeux, tournans mon regard en direction de la tête du reptile , je remarqua alors que du même côté de sa tête se trouver deux yeux, qui me fixé avec amusement et dédain.

—N’est crainte, je ne te devorerais pas, pas pour le moment.

Résonna une vois douce mais tranchante, celle du dragon, enfin, de la dragonne, la vois etais belle et bien celle d’une femme. Je preferas re fermer les yeux, la vu de se lezard me faissans deja assez peur comme ca, alors l’entendre en prime parler etais un peu trop pour moi, je ne m’attendais pas a croisé quelqu’un possedant un Humbra, et encore moin une personne, possedant un Humbra dragonoïde, cela etais si rare d’en avoir un si grand, en general les demon de ce type la etais de petite taille, juste assez grand pour tenir sur l’epaule de leur maitre.

Je me sentis à nouveau sombrée dans les songes au ritme des tapotements sur ma poitrine, cette sensation etais bercante et calmante.

Mon second réveil fut bien plus rude que le précédent.
Le vent fouettait mon visage avec violence, plaquant mes mèches en arrière, me forçant à entrouvrir les yeux. J’émergea lentement de mon sommeil… pour découvrir, à quelques centimètres de moi, le vide. Un cri de surprise s’échappa de mes lèvres, étranglé, presque étouffé par le rugissement du vent.

Dans la panique, je me redressais brusquement, et l’arrière de ma tête heurta quelque chose de dur. Je cuina en me massan l’arriere de la tête, remarquand que le vent ne me fouettez pas les yeux, tout cela grâce à des lunettes qui se trouvaient sur mes yeux. Un grognement résonna derrière moi. Je me retournais d’un geste brusque, je reconnut l’homme de la grotte, il était assis juste derrière moi, une main serrée sur son nez, visiblement meurtri par le coup.

Oups, c’est donc ça que j’ai cogner

—Aïe… Tu sais, il existe des manières plus douces de dire bonjour…

Grogna il de nouveau, la voix etouffer.

Je resta figée un instant, les yeux écarquillés, avant de comprendre enfin où je me trouvais. Sous mes cuisses se trouvait une selle de cuire sombre, celle si etais accrochée au dos de l’immense créature, qui avais veillait sur moi dans la grotte. La dragonne autrefois etendu derrière ma tête, planait a present au-dessus des nuages, ses quatre immenses ailes dotées de plumes batais avec calme. Mon cœur manqua un battement a la vue de la créature et de la distance qui nous sépare du sol..

—Q… qu’est-ce que…

balbutiais je, incapable de trouver mes mots.

Une soupire d’exasperation me frola la nuque quand un bras fort senroula autour de mes anches. Il replaca correctement la couverture qui se trouvé au par avant sur mes epaule.

—Bienvenue dans les airs. Pas la peine de crier, tu es en sécurité… enfin, tant que tu ne fais pas de gestes brusques.

La dragonne émit un grondement sourd, presque amusé, comme si elle partageait la plaisanterie de son cavalier. Quand a moi, je m’accrocha fermement à la selle, incapable de détacher mes yeux du vide abyssal qui s’étendait sous mes pieds.

—M-mais qui… qui êtes-vous à la fin ?

parvint-je à demander d’une voix tremblante, encore haletante, tout en lancans un regard derrière mon dos. L’homme releva la tête,

—Tu na pas a le savoir, Magnus seras le seul nom que je te donerais

Ce qui n’etais clerment pas son prenom, peut être un patronyme, ou bien un simple nom inventé à l’instant même, je n’en savais rien, et dans l’instanté ce n’etais pas ce dont je me soucier le plus.

Soudain il prit mon menton entre ses doigts de sa main libre, me relevant la tête, mon regard se perdi alors dans l’horizon, me figean sur place. Un coucher de soleil nous faisait face, sa lumière dorée se refleter sur chaque nuage nous entourans, c’etais tout simplement magnifique, à tel point que j’en gardai la bouche ouverte, ce qui me fit tousser fortement à cause de l’air s’engoufrans dans celle-ci.

—Comment as- tu réussi le test du crystale avec une telle créature comme demon …?

Une ombre passa aussitôt dans le regard de Magnus que je pu capter juste à temps. La question semblait l’avoir frappé plus fort qu’une masse. Un grondement sourd monta des profondeurs de sa gorge, lourd, étouffé, presque animal. Alarmée par le changement de ton je tourna entièrement la tête afin de mieux le voir, je découvris alors son visage. Ses traits, auparavant froids et contractés, s’étaient davantage refermés dans une expression sombre, dure. Ses yeux de saphire refleter sa colère et sa soudaine haine à mon encontre…

—Choisis mieux tes mots, ce que tu ignores pourrait bien te coûter plus cher que ta vie.

La dragonne fit claquer sa langue contre ses crocs, comme pour dissiper la tension, attirans notre attention.

—Toujours aussi susceptible… Tu devrais la remercier, au lieu de la menacer. La petite ose poser la seule question que tu fuis depuis trop longtemps.

Je sentit mon cœur s’accélérer, oscillant entre crainte et curiosité. J’ouvrit la bouche pour m’excuser, mais Magnus détourna brusquement le regard, fixant l’horizon. Mes mains s’étaient crispées sur la scelle de la dragonne.

—Il vaut mieux que tu ne cherches pas à savoir

Finit-il par lâcher, froidement alors que l’etrainte autour de ses hanches se resseraire comme un avertissement silencieux, me faisant admirer à nouveau les couleurs rosé et orangé que nous ofrait le ciel.

Un silence pesant tomba entre nous, seulement brisé par le souffle régulier des ailes de la dragonne dans les airs ainsi que son soupire lasse.

Le malaise etais palpable, le silence peusans avais le poids des non dit, des chose cacher et lourde,que je ne devais pas savoir, que je n’avais pas à savoir, la culpabilité me serrer l’estomac.

Je dessida de tenter quelque chose afin de briser la glace qui c’etais consolidé il y a de cela quelque minute apresent, tout en remplaçant la couverture sur ses epaule, je me tourna delicatement vers Magnus, qui releva son regard vers moi

— Moi c’est Adriana…

Fini je par dire tout en tendan la main vers lui.

Il sembla hesiter, l’echange de regard duras quelque minute, dans ses yeux je pouvais y lire des questionnement varier, mais il finit tout de même par serrer sa main avec la mienne, je souri alors de soulagement.

La tension passé, je decida qu’il etais peu etre temps de récolter des information

— Ou allons no-

— Tu parle trop.

Me coupa il net, le regard sevaire et sérieux se qui me fis frissonner et deglutire, eyans oublié pendant quelque instant que je me trouver à sa merci. Le grondement qui provenu de la geul de la dragonne me fis sursauter, cela sonner comme un avertissement, se qui fis grogner Magnus derrière moi, je lui lanca alors un regard, son visage etais renfrogner, limite boudeuse.

— Tu…Tu ne me demande pas comment je me suis retrouvée dans la tempete ?...

Lui demandais-je la voix enrouée par le vent frais.

— Libre a toi de me le dire mais je m'en moque pas mal. Tu n’est clerment pas d’ici pour t’etre retrouver en plaine saison des tempete dans le desert blanc.

Deuxieme grondement venans de la dragonne, cela etais clerment un avertissement à l'encontre d’Ilias, peut être par aport a sa facon de me parler ou quelque chose d’autre dont j’igniorer la raison.

— Lukari, arrête de me grogner dessu. Je ne suis plus un enfant.

Rechignia t il, faisant souffler la dragonne don j’apris le nom par la même occasion, Lukari, c’etais un jolie nom, mais il ne sonner clerment pas demoniaque, a vrais dire, elle avait beau être un dragon, son corp couvert de plume denoter pas mal avec le coté demoniaque qu’elle etais sencer avoir.

—Tu ne sais vraiment pas y faire avec les femmes.

Grogna Lukari, bien vite imité par Magnus. Je me souviens soudainement du lieu où j'aurais dû atterrir à la toute base et ou Léto devais me retrouver.

— J-Je dois me rendre a Télévak !

Criais-je soudainement, prenans de court les deux individu qui m’avait sauver, les faisans tous deux sursauter, je pu voir Lukari tourner la tête affin de moi voir, m’observant de ses deux yeux bleu persans.

— Nous nous y rendons justement jeune fille…

Son regard avait changé, elle me regardait de facon suspicieuse a present, trouvais elle suspect que je me rende au même endroit qu’eu ? Peu importe, je devais m’y rendre, j'espère de tout coeur que Léto n’etais pas deja arriver , même si cela m’etonnerais.

Soudain, j’apercu de grande tour blanche, une ville se dessiner à l'horizon. J’étais impressionné par une telle beauté archetictural, les structures etais bordées de fine sculpture.

Un crie s’echapas de mes levre quand la dragonne se mit à piquer en direction du sol, sacrochans fermement à la selle, je nu d’autre choix que de fermer les yeux sous le coup de la peur, ainsi que par le vent qui faisait fvirvolter mes fine meche rousse.

La descente ne duras qu’une fraction de seconde, mais suffisamment longtemps pour me retourner l’estomac, je me sentie noseheuse a l’atterissage. Je ne pu m'empêcher de degopiller tout ce que mon estomac contenait contre un arbre une fois que mes pieds touchaire la terre ferme, une fois ma bouche essuyer, et malgret le gout atroce qui c’etais logé dans l’entierter de ma bouche, je pu observer les alentour.

Nous aviont atteris au beau milieu d’une clairiere, de grand arbres nous entourer de par et d’autre. En me tournans je pu voir le regard de degout que m’afficher Magnus.

Il commence à me taper sur le systeme celui la.

— Tu vas marcher maintenant.

Me dit il en restant sur le dos de sa dragonne, a vori de plus pret il avais fier allure dessu, il ressemblait soit à un grand et noble guerrier, soit un a un ignoble voriens, j’etais plutot pour la deuxieme idée. Je le regarda perplexe, ne sachant même pas par où aller au beau milieu des bois, je le vis alors soupirer en même temps que Lukari.

Ils se moquent de moi tout les deux ou je reve.

Magnus pointa alors une direction, vers la quel je pu voir a cette distance , un chemin de terre.

— Suis se chemin. et ne te trompe pas. je ne viendrais pas te chercher par la main pour te faire à nouveau traverser la forêt.

Me dit il sechement avant de se prendre un coup de queue sur la tête, on dirait vraiment une mère et son enfant, toujour a se chamailler pour la moindre mauvaise parole du jeune homme.

— Se fus un plaisire Adriana

Me dit Lukaris, avant de s’envoler, me manquant de tomber en arriere, je ne remarqua qu'après son depart que je ne luiu avais pas rendu les lunette que je porter toujour sur le nez, je les retira, celle ci me genant a present, avant de les ranger au côté de ma dague.

Je m’entrepris alors de rejoindre le chemin en esseyans de me souvenir de quel côté j’avais apersu la ville.

Il me fallu une bonne heure avant d’enfin sortir des bois, apersevant au loin Télévak, elle n’etais pas toute proche, encore de bonne minute avant que je l’atteigne, mes pied me hurler deja dessu, si seulement j’avais un cheval, mais cela etais du luxe, je n’avais rien pour le payer, je ne savais même pas monter à cheval d’ailleur.

Il y avait tant de choses que j'aurais aimé apprendre, si j'avais su, j'aurais demandé à mère de m’apprendre plus de choses pour survivre en extérieur, la fuite n’etais pourtant pas quelque chose dont nous n’aviont jamais pensé.

Quelques minutes me suffirent pour rejoindre la ville blanche, je me stopa a quelque metre de la cité ou plusieurs personne vaquer à leur occupation, formans une foule assez epaisse au porte de la cité.

J’observa alors avec crainte la grande porte, je ne risquais theoriquement rien, mais la crainte me noué les entrailles, d’un pas peu serains je me dirigea alors vers l'intérieur de la grande ville.

La ville etais plutôt grande et espacée, suffisamment pour se perdre, ce qui arriva, je ne su plus part où j'étais entré dans cette immensité, je dessida de me poser pret d’un parc, un banc l’aceuilla alors.

Je mi alors a reflechir a quoi faire ensuite, j’étais enfin arrivé dans la ville ou j’aurais du arriver a la base, mais je n’avais plus rien, et la peur me freiner à l'idée de demander de l’aide à qui que ce soit, j’ignoré comment fonctionnée cette nouvelle nation, comment la population reagirais face a une heretique tel que moi.

Aucun indice, rien, j’igniorais comment retrouver Léto, la ville etais si grande, la pretresse pouvait se trouver n'importe ou, prenans en compte qu’elle etais arrivée avant moi, elle avais du me chercher, si elle ne me trouve pas dans la ville es qu’elle chercherait ailleur ?

L’angoisse monta vite sain de mon estomac, je m'en ebourifa les cheveux, si seulement il n’y avait que ca qui me tracasser, ma mere etais egalment dans mes penser, je devais trouver un moyen de la faire venir jusqu’ici sens qu’il ne lui arrive rien, j’aurais pu demander de l’aide à Magnus, mais au vu des regard qu’il me lancer, celui ci ne m’aprecier gerts et ne serais tres probablement pas pret a m’aider.

Je ne souhaitais pas briser les efforts de Leto et Marcus qui avaient tout fait pour moi, surtout la jeune pretresse. La pensée de la dame qui m'avait tent de fois aidée me fit remonter des inquiétudes.

Es que tout le monde allait bien, j’etais parti si vite, sans reelement savoir ce qu'il se passé, pourquoi de telle secousse, la chapel avais etais elle attaquer ? mais par qui ou par quoi ? Tout cela m'angoissé.

Soudainement j’apersu une longue chevelure blanche passée entre la foule, se qui me fit ecarquiller les yeux. La jeune femme se leva avec hate, se pressipitans vers la personne lui saisissans le poignet sens reelemen faire attention au gens autour d’elle ni meme si l’individu etais bien celle a la quel elle penser.

— Leto ?

Demandais je a la jeune femme que je venais d’arreter, celle si se tournie vers elle avec une grande surprise. C'était bien elle, c’etais la Léto qu’elle connaisser, celle qu’elle devait retrouver.

— Adriana ?

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