4.2 Première Tentative*

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Attention, Ce chapitre contient des passages à caractère sexuels hyper softs. Ils seront indiqués par des ***** au début et à la fin*******

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Solène est en train de ranger de vieilles affaires. Elle est en équilibre sur un tabouret. Un équilibre précaire. J'arrête de nettoyer le sol et me rapproche. Je m'inquiète. Les faits me prouveront que mon anxiété se fait à raison. Je suis à peine à côté d'elle que le tabouret chavire. Solène tombe. Je la rattrape in extremis et bascule à mon tour. Nous sommes tous les deux sur le sol, emmêlés.

J'éclate de rire en voyant nos positions plutôt farfelues. Je suis allongé par terre, au milieu d'un tas de papiers qui volettent autour de nous, Solène le flanc droit allongé sur mon ventre. J'ai les bras autour de sa taille et ses cheveux en plein sur le visage. Mes jambes sont relevées au niveau des genoux, on dirait qu'elle est assise dessus alors qu'on est au sol. Nos corps sont placés de manière improbable, très proches.

Solène ne s'est pas fait mal et s'inquiète pour moi. Elle craint de m'avoir cassé un os et panique un peu. Tout en se levant, de son mieux, ma jolie blonde me pose mille questions. Elle s'est fait peur toute seule et s'en veut d'avoir été imprudente. Si en plus, elle m'avait fait mal, Solène en serait navrée. Je la rassure. Je ne devrais même pas avoir un bleu. La chute a été légère et je n'ai mal nulle part.

En essayant de se relever sans m'écraser, Solène commence à ramasser les papiers tombés. Je l'aide de mon mieux. Nos mains se touchent. Elle rougit en sentant l'échange de chaleur et retire sa main. Elle est si incroyablement timide. Nous continuons à ramasser, à genoux. Nos mains se frôlent de nouveau. Avant qu'elle ne soustrait sa main droite, je la saisis doucement pour la porter à mes lèvres.

************************************Début****************************

Je souris à Solène. Elle me rend mon sourire et tremble un peu. On est face à face, sur nos genoux, les feuilles étalées autour de nous. Je pose mes lèvres sur ses doigts, un à un sans cesser de lui jeter des regards pour m'assurer qu'elle n'a pas peur. J'aimerais bien qu'elle cesse d'être effrayée en ma présence. J'y vais doucement, pour ne pas la brusquer, comme on m'a appris.

Je débute en lui embrassant l'extérieur de sa main puis la paume. Lentement, je remonte vers son poignet et lui picorant l'avant-bras, j'atteins son coude. Sa peau est douce, comme de la soie rose. Mon corps se réchauffe en une seconde avec ce contact fugace. Solène tremble de plus en plus. Je lève les yeux pour surveiller son consentement. Elle m'observe, inquiète de la tournure des événements. De ma main libre, je lui caresse le visage. Mon pouce cajole sa joue, les autres doigts, placés sous son oreille, chatouillent son cou, frôlant à peine son épiderme.

Je me rapproche doucement de ma belle et pose mes lèvres sur les siennes. Ma jolie blonde est crispée, mais ne bouge pas. Sa bouche, parfaitement dessinée et de couleur framboise, est incroyablement douce. On ne m'avait pas prévenu que ce serait si agréable. Je sens un frisson courir le long de ma peau, l'électricité fait dresser mes poils sur tout le corps, donnant à ma peau un aspect temporaire parsemé de petites pointes . Mon cœur bat à toute vitesse et j'oublie ce que je voulais faire.

Je pose sa main sur mon torse. Je veux qu'elle sente mon cœur battre et son rythme accélérer à son contact. Je ne sais pas si c'est ça qu'il faut faire. J'essaye de suivre ce qu'on m'a enseigné en cours, je n'arrive plus à réfléchir et j'oublie tout. J'y vais à l'instinct. À l'aide de sa main sur mon cœur, j'espère qu'elle comprendra que je suis aussi nerveux qu'elle.

Délicatement, je saisis son visage dans mes mains et couvre ses lèvres et ses joues de petits bisous. Lentement, la laissant se préparer au prochain contact fugace et me remettant aussi de l'affolement de mes sens. Je picore son nez et ses pommettes puis son front. Je commence à saisir sa lèvre inférieure avec les miennes. Je la sens frémir et son corps se tendre comme le mien. Le gonflement de mon entrejambe commence à me faire très mal.

J'attends un peu pour que la tension de Solène et la mienne se dissipent puis je mordille le haut de l'ourlet fruité. Avec précaution, je lèche sa magnifique bouche bombée du bout de ma langue râpeuse. J'ai l'impression de croquer un fruit sucré et juteux, encore chaud du soleil. Ma respiration s'accélère, je tente de la contrôler et de reprendre les rênes de mes pensées. J'ai tellement peur de mal faire.

Effrayé et paniqué, j'ai pourtant envie d'aller plus loin. Si cela ne tenait qu'à moi, je réduirais en miettes tous nos vêtements avec une sauvagerie animale. Cependant, je dois me refréner pour ne pas effrayer ma belle et surtout garder le contrôle de mon enveloppe charnelle. Solène respire doucement et ferme les yeux, j'entrouvre le mur d'ivoire en appuyant légèrement, pour mêler nos deux langues avec précaution. Je ne suis pas sûr de comment il faut faire. J'espère que je ne la dégoûte pas trop et je panique en me demandant si j'ai bien lavé mes dents après le repas. Ma si douce et si jolie propriétaire me rend mon baiser avec précaution. Timidement, ses douces lèvres au gout de fruit commencent à bouger.

Sa main remonte vers mon épaule tandis que la seconde se place derrière ma nuque. Solène me caresse les cheveux tout en m'attirant vers elle. Je suis pris de terreur soudaine, ne sachant pas quoi faire de plus. Nous nous embrassons, découvrant tous les deux des tonnes de nouvelles sensations enivrantes et déstabilisantes. Les lèvres de Solène sont bien plus agréables et effrayantes que celles du mannequin en silicone d'entraînement.

Ce moment est si doux, je l'attendais depuis le premier jour où j'ai vu ma jolie blonde. Solène tremble tellement, j'ai peur de l'effrayer, de la brusquer. J'avance le plus lentement possible, nous laissant le temps de savourer chaque instant et de rester calmes. Je suis dans le même état de fébrilité, à la fois heureux et terrorisé. Les émotions et les sensations se bousculent dans ma tête. J'ai envie d'aller plus vite, les tremblements de Solène et mon début de panique m'en empêchent. Je n'arrête pas de bouger doucement pour trouver une position qui diminuerait la pression sur mon pantalon qui me fait atrocement souffrir par la compression exercée sur mon intimité.

Je me rapproche de manière à coller mon corps contre le sien. Ses deux mains sont posées sur mon torse. On s'embrasse avec lenteur. Une de mes mains lui tient la tête en caressant la masse de fils d'or. L'autre plaque sa délicieuse enveloppe charnelle contre mon corps et agrippe le bas de son dos. Je veux que Solène soit le plus près possible de moi sans se sentir prisonnière. Nous restons plusieurs minutes ainsi. Le temps s'arrête. C'est tellement agréable. Mon corps réclame Solène. Je commence à souffrir également des jambes et des genoux aussi, la position semi debout me coupant la circulation sanguine.

Pour trouver une posture plus confortable pour nous deux, j'essaye de la basculer et couche Solène sur le sol en lui soutenant la tête. Heureusement que ma jolie blonde comprends ce que je veux faire et m'aide sinon je lui aurais arraché les cheveux sans faire attention, trop concentré à essayer de ne pas me vautrer au sol.

Solène est étendue sur le dos, son corps porté par le parquet de la pièce. Elle peut étendre ses jambes. J'embrasse son cou puis, pour détendre mes mollets en manque de sang, je me place au-dessus d'elle, en équilibre sur un bras, les genoux toujours repliés, à quatre pattes. Je continue de poser mes lèvres sur son visage de poupée de porcelaine, doucement. Comme je tremble, je manque à plusieurs reprises de tomber, l'équilibre sur un bras n'étant pas des plus stable.

Ma main libre fait remonter sa jupe crayon sur ses cuisses. Je vais lentement, pour qu'elle n'ait pas peur. Je savoure la douceur de sa peau, prenant mon temps pour contempler cette adorable vision, pour que mon corps réagissant fortement se calme un peu. Je ne sais plus ce que je suis censé faire. Tout ce que je me rappelle, c'est qu'embrasser sa peau est un moment absolument divin et douloureux.

Solène tremble tellement. Je plaque le bas de mon corps contre le sien en prenant appui sur mes deux mains et l'effleurant, je commence à me frotter sans cesser de l'embrasser. Solène est tétanisée. J'ai super mal, me retenant uniquement pour ne pas l'effrayer davantage. Je patiente de longues minutes dans cette position, jusqu'à ce qu'elle reprenne une respiration plus calme. Je continue d'embrasser ses lèvres et son visage avec douceur.

Je veux aller plus loin, mon corps le souhaite. J'essaye d'ouvrir son chemisier d'une main et enlève un bouton. Je tremble tellement que je crains de m'écrouler. Je dois reprendre appui sur ma deuxième main, trois ou quatre fois, avant d'arriver à enlever le premier bouton. Le petit objet de plastique résiste sous mes doigts maladroits.

On ne m'a jamais appris cela alors j'espère que je vais y arriver. Le chemisier finit par céder pour mon plus grand plaisir. Un deuxième bouton et enfin trois se détachent facilement. J'aperçois le ventre plat de Solène qui était masqué par le tissu noir opaque. Cette vision m'étourdit les sens et me cause de violentes douleurs dans le bas ventre. Je dois fermer les yeux et serrer les dents quelques secondes pour ne pas venir trop tôt.

Je pose ma main sur son ventre. Il est chaud. Sa peau est si douce, on dirait du velours. Je continue d'ouvrir les minuscules serrures. Sa chemise est ouverte en grand. Je caresse son ventre en continuant à joindre nos lèvres, en équilibre sur une main. Je me relève pour retirer mon tee shirt à toute vitesse, l'envoyant voler à l'autre bout de la pièce, m'arrachant quelques cheveux au passage.

Solène a des seins magnifiques. Son soutien-gorge en dentelle noire souligne la rondeur de sa poitrine. Le noir contraste avec le rose de sa peau délicate. Je m'apprête à aller embrasser les deux magnifiques bosses de la grosseur d'une orange en descendant doucement mes lèvres dans son cou, sur le haut de son torse.

Ma main libre remonte vers son visage pour précéder mes lèvres. Je veux qu'elle sache où je vais l'embrasser pour qu'elle ne soit pas surprise. Je lui malaxe doucement le mont gauche et dépose un baiser dans l'attirant canyon sillonnant au milieu des deux collines couleur pêche. J'entends son cœur battre sous mes baisers.

Mon short me fait mal. Je le retire aussi rapidement que mon tee shirt, m'arrachant quelques poils pubiens, ce qui me fait grimacer. Comme je suis à genoux, je manque de tomber sur Solène dans ma précipitation et me rattrape de justesse à quelques centimètres de son visage. J'en profite pour lui donner un baiser profond pendant que j'essaye de faire partir mon short accroché à ma cheville droite. Je me dandine en frottant avec mon pied gauche pour parvenir à me libérer après plusieurs secondes qui m'ont paru des heures. Ce soulagement de pression temporaire me permet de retrouver un peu mon souffle.

Ma main libre redescend de sa poitrine vers son ventre tandis que mes lèvres butinent ses seins ronds et fermes. J'ai du mal à me contenir. C'est au tour du coton pourtant extensible de mon boxer de me faire atrocement souffrir. La douleur devient presque insupportable si je me frotte à elle. J'arrête donc pour ne pas faire partir trop tôt mon désir. Je perds le contrôle de mon entrejambe. C'est tellement différent de ce qu'on m'a enseigné. Si intense et si terrifiant, je n'ai plus aucun repère et j'oublie tout à cet instant, me concentrant uniquement pour ne pas perdre mon sang froid.

Je passe ma main sur le petit carré de tissu soyeux qui recouvre son intimité. Je veux continuer à effeuiller Solène, voulant sentir tout son corps contre le mien. Je commence à être très fébrile. Solène se raidit soudainement à ce contact charnel sur son intimité et me repousse violemment.

— NON, je ne peux pas. Je ne veux pas. Ne t'approche plus de moi.

Elle s'enfuit en courant vers sa chambre et s'enferme, me laissant me finir seul avec la main pour soulager ma souffrance qui m'empêche de me relever pour lui courir après.

************* Fin**** Après s'être embrassés avec douceur, et avoir retiré une grande partie de leurs vêtements, Solène repousse violemment son reproducteur et s'enfuit en courant*************

Solène et moi avons parlé. Je ne comprenais pas. J'avais peur d'avoir fait quelque chose de travers. J'avais suivi du mieux possible l'enseignement qu'on m'a donné. Je voulais m'excuser auprès de ma douce propriétaire. Savoir ce que j'avais mal fait pour la satisfaire la prochaine fois. Le plaisir de ma jolie blonde m'importe beaucoup.

Solène est juste inexpérimentée. On ne lui a pas appris comment faire l'acte de procréation. Elle ignore tout de la chose. Je n'ai rien fait de mal. Je suis très gentil et doux. Je lui plais beaucoup. Solène a juste peur de cette chose nouvelle. Elle n'est pas prête à l'acte de procréation. Ma jolie blonde voudrait le faire avec moi, mais n'y arrive pas. On a convenu d'y aller doucement.

Dès que je le peux, je lui dépose un baiser dans le cou, les cheveux, sur l'épaule. Je pose mes mains sur elle et fait de petites caresses, pour qu'elle s'habitue à ce que je la touche, à mon corps contre le sien. Je la serre contre moi quand on regarde la télévision et la fait s'asseoir sur mes genoux quand elle me montre les objets qu'elle veut acheter plus tard pour la maison.

Je me promène souvent torse-nu lorsqu'on est que tous les deux. Ainsi, Solène s'habitue à voir mon corps. Je lui prends la main parfois et la pose sur mon buste pour que ma jolie pivoine me touche. En général, elle est écarlate quand je fais ça. Elle se force un peu. On y va pas à pas.

Je lui dis quand j'ai envie d'elle, lui montrant mon pantalon qui gonfle quand elle me touche. Je n'ai pas besoin de me préparer. Avec elle, l'envie vient toute seule. Je dois parfois me finir pour me calmer quand Solène a le dos tourné, tellement mon désir est puissant. Je crois que quand elle sera prête, je n'aurais aucun mal à accomplir mon devoir. Je suis vraiment bien avec elle.

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