4.8 Horreur **

9 minutes de lecture

Attention scène de violence sexuelle intense qui sera indiquée par des *** . Pour passer, se rendre aux prochaines étoiles :-)

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Sophie presse de plus en plus Solène. Sur les conseils d'une amie Alpha elle -aussi, la vice Suprême nous convie chez elle pour discuter tranquillement. Solène et elle mangent et bavardent de sujets légers pour une fois sans reproches. Je reste attaché dans le couloir de l'entrée avec les autres reproducteurs. Après m'avoir rossé, Sophie conduit Solène et moi dans une chambre contenant un lit avec des draps de soie rose intense. Elle nous a fait asseoir. Solène sur le lit, moi par terre entre ses jambes. Je sentais Solène trembler et je partageais ses craintes. Quelque chose de terrible va se passer, nous n'avons jamais été invités chez Sophie et notre présence dans cette chambre ne présage rien de bon.

La Vice-Suprême rassure son enfant en lui expliquant qu'elle veut juste lui montrer quelque chose d'utile pour son futur et qui sera très instructif. Sophie va chercher ses trois reproducteurs. Elle enchaîne Numéro Un au lit, les deux autres près d'une méridienne grise. Les trois garçons sont en panique et ignorent ce qui va se passer tout comme nous. Sophie ressort et revient avec une de ses Zêtas qu'elle tire par les cheveux, la fille doit avoir notre âge. Sophie a décidé d'initier sa fille, de faire son éducation.

Sophie nous explique que la Zêta a volé de la nourriture et doit être punie. Numéro Un a été gentil hier. Il va être récompensé. La vice Suprême désactive le bracelet du poignet gauche de Numéro Un. J'entends un bip d'alerte qui débute. Elle place le bracelet sur la Zêta et fait de même pour celui du poignet droit et des chevilles. La Zêta est terrorisée. Les garçons aussi.

C'est la première fois que je vois un reproducteur perdre une partie de ses bracelets. J'ignorais que cela était possible. C'est aussi la première fois que je vois une femme munie de ses entraves éléctriques. Inquiets, nous regardons successivement la jeune fille et Sophie, attendant de voir les chocs arriver. Avec un regard de mépris et un dédain visible, la Vice-Suprême laisse monter la panique en nous tous.

******************** début***********************

Sophie ordonne à Numéro Un d'enlever la chemise de la fille et la sienne. Mon ami s'exécute en tremblant de peur. Sophie retire et replace sur la fille les bracelets des biceps de Numéro Un. Je remarque les nombreuses traces de coups et de fouet sur son ventre et sur son dos. Sophie continue de le faire se dévêtir jusqu'à ce qu'il enlève son pantalon. Ses jambes sont couvertes de flagellations. Il ne porte plus que son collier de contrôle autour du cou. Sophie place les bracelets du haut des cuisses sur la fille en lui arrachant sa jupe.

Solène et moi, ainsi que les garçons commençons à comprendre que nous allons voir la punition de la fille et nous angoissons à cette idée. La vice Suprême vient s'asseoir à côté de Solène. Elle ordonne à la Zêta de se mettre à genoux. Numéro Un doit retirer son slip. Tout le monde est en panique. On ne comprend pas où veut en venir Sophie et pourquoi mon ami doit se mettre nu.

- Lèche-le, salope.

On se regarde tous, réalisant ce qui va se passer. Solène tente un mouvement de protestation que Sophie refrène aussitôt en lui ordonnant de regarder et d'apprendre. La Zêta a trop tardé. Elle se prend une décharge qui tétanise son corps.

-Lèche-le. Il a été gentil. Il va jouir dans ta bouche.

Numéro Un et elle sont horrifiés, comme Solène, moi et les deux autres reproducteurs. La jeune fille s'exécute en pleurant. Elle approche sa bouche du sexe de Numéro Un et commence à l'humecter. Sophie donne des indications à la jeune fille sur la manière de faire. Malgré lui, Numéro Un commence à voir son sexe grossir.

- Mets le dans ta bouche et suce le.

En pleurs, la fille obéit. Personne ne proteste, de peur d'attirer les foudres de Sophie.

- Montre lui comment aller jusqu'au bout. Attrape-lui les cheveux et oblige-la.

Numéro Un ferme les yeux quelques secondes et déglutit. Des larmes coulent sur le visage de Solène et je serre les doigts comme les deux autres reproducteurs, nous sommes impuissants face à Sophie. Numéro Un place ses doigts dans la chevelure de la jeune fille, la regarde implorant comme pour lui demander pardon. Il appuie sur sa tête, la force à faire des va-et-vient avec sa bouche, à prendre son sexe en entier dedans. La jeune fille s'étouffe un peu. Il la recule et recommence. Il ferme les yeux à nouveau. Je vois qu'il pleure. Mon ami se dépêche d'en finir et lui éjacule dans la bouche pour abréger les souffrances de la fille. Elle crache tout par terre, vomissant de dégoût.

- Bien.

Sophie prend une voix mielleuse et s'adresse à Numéro Un qui pleure debout face à nous.

- Rhabille-toi mon chou et approche. Là. Comme ça. C'est bien. Tu es un bon garçon. Tiens mange ce sandwich.

Numéro Un est assis au sol, entre les cuisses de Sophie. Il dévore son sandwich en pleurant. Sophie lui caresse les cheveux. Mon ami a honte de ce qu'il a fait. Il n'ose regarder personne et sanglote tout en mâchant.

- Vous deux. Chauffez-vous. La punition n'est pas finie. Toi, allonge toi sur le bout de la méridienne et toi reste debout.

Je vois les deux autres garçons se masturber, inquiets. Solène croise mon regard abasourdi et ouvre la bouche pour discuter avec sa mère qui la rabroue avec violence. Sophie ne tolérera pas qu'on la contredise. Solène doit voir comment on éduque ses reproducteurs et ses Zêtas. C'est un ordre.

Sophie se lève et place un des garçons sur le dos, couché sur la méridienne. Ses genoux sont au bord et ses pieds touchent le sol. Elle lui ouvre le pantalon et baisse son slip, laissant entrevoir sa toison. Quand les deux garçons sont durs, elle attrape la Zêta et lui arrache sa culotte et son soutif. La pauvre fille est nue devant nous. Solène tente de réagir, le regard de Sophie la fait se rasseoir illico. Nous entrevoyons que trop bien ce qui va se passer. Sophie tient son fouet d'une main et menace chacun de nous.

-Assis toi sur lui, à califourchon.

La jeune fille hurle. Sophie oblige le garçon debout à la soulever. Elle saisit les chevilles de la fille et fait passer une de ses jambes au-dessus du premier garçon. Sophie dit au couché de tenir les jambes de la Zêta. La pauvre fille est debout. Les jambes de chaque côté de la méridienne et maintenues par le garçon allongé. Sophie ordonne à celui debout de tenir les poignets de la fille dans son dos et d'appuyer sur ses épaules pour qu'elle s'assoie. Malgré les hurlements, il s'exécute. Pendant ce temps, Sophie prend le pénis du garçon allongé, le guide et le fait pénétrer de force dans le vagin de la jeune fille qui hurle de douleur.

- Appuie sur son dos. Allonge-la sur lui. Toi, commence à bouger. Prends ses poignets. Tiens la contre toi.

Le reproducteur encore debout force la jeune fille à s'allonger sur le torse du couché. Le couché saisit les poignets et de l'autre main plaque le dos et la tête de la fille contre lui. Il lui donne des coups de reins. J'ai l'impression qu'il lui murmure quelque chose à l'oreille. Sophie profite du spectacle quelques instants. La fille hurle de trop. La Vice-Suprême saisit un foulard et la bâillonne pour diminuer les cris. Elle se tourne vers celui debout.

- Encule-la. Profondément et en cadence.

Le garçon est horrifié et veut refuser. Il se prend une violente décharge. Alors, terrorisé, il récupère le sperme de Numéro Un sur le sol, l'étale dans les fesses de la fille semblant la masser légèrement. Sophie revient s'asseoir à côté de Solène et caresse doucement la tête de Numéro Un. Alors que Sophie leur tourne le dos pour se rasseoir, le debout regarde le second reproducteur et semble lui parler avec les yeux.

Tous les deux ont un mouvement quasi-imperceptible de la tête. Ils se sont mis d'accord sur quelque chose sans que Sophie ne le voie. Le troisième reproducteur, celui debout, se durcit avec la main. Il écarte les fesses de la jeune fille et se rapproche sous nos regards horrifiés.

J'ai envie de vomir. Nous sommes tous, sauf Sophie, au bord du malaise. Si l'un de nous ferme les yeux ou détourne le regard, refusant d'obéir à Sophie, il devra en subir les conséquences, nous l'avons tous compris. J'ai peur de devoir m'en prendre à la pauvre jeune fille si je bouge. Solène a peur de subir le même sort que la fille si elle contredit sa mère. Les reproducteurs ont peur de se faire électrocuter à mort.

Une des jambes du garçon debout est entre celles de l'autre. L'autre jambe masque un peu la scène à nos yeux. Le debout tient son sexe et le guide avec la main et pénètre légèrement la jeune fille. Puis, il appuie sur les fesses de la fille pour la plaquer contre son camarade et s'enfonce en elle. Malgré le bâillon, on entend le beuglement de douleur de la fille. Les deux garçons font des va-et-vient en elle. Sophie sourit en caressant les cheveux de Numéro Un. Elle semble excitée par le spectacle.

Solène est en pleurs au bord du malaise. Elle part en courant vers la salle de bains et je l'entends vomir. Je n'ose me lever pour faire de même. Numéro Un pleure toujours en silence, assis comme un toutou auprès de sa propriétaire.

- C'est bon. Je vous autorise à jouir. Solène a vu ce qu'elle devait voir.

Les garçons s'empressent de finir et se retirent très vite. La jeune fille est tétanisée. Sophie la relève en la tirant par les cheveux, la jetant à terre sans ménagement. Les cuisses de la jeune fille sont dégoulinantes de sperme. Elle pleure et suffoque avec son bâillon.

- Bien. Maintenant, vous savez tous ce qu'il en coûte de me désobéir. Les garçons, allez-vous laver. Vous avez été gentils. Vous aurez à manger ce soir.

Sophie détache les chaînes des trois garçons. Ils se précipitent dans la salle de bains, faisant ressortir Solène paniquée. Sophie se lève et époussetant sa robe, se dirige vers le salon, avec un air de fierté et de joie absolument dégoûtant.

- Prends ton reproducteur et suis moi.

********************* Fin de la scène de viol ****************************************

Résumé : en allant voir sa mère, Solène et son reproducteur voit une Zêta se faire violer brutalement par les trois reproducteurs de Sophie, sur les ordres de Sophie. Une punition pour vol de nourriture. Un spectacle pour éduquer Solène et son reproducteur. Ils sont tous deux dégoûtés. Solène vomit devant la scène.

Solène est en larmes, en état de choc. Malgré la colère que j'ai pour elle et la situation, je lui prends la main et lui serre doucement. La jeune fille est prostrée par terre. Je vois Numéro Un qui arrive et commence à s'occuper d'elle. Il lui demande pardon en lui enlevant le bâillon et la soutient jusqu'à la salle de bains pour l'aider à se laver et se soigner. Solène ouvre son sac à main. Elle a une pommade grasse pour soigner ses mains sèches en hiver. Elle la donne à Numéro Un lui faisant signe de se taire.

Solène inspire un grand coup et m'entraîne vers le salon. Très digne, elle continue de faire la discussion à sa mère comme si rien ne s'était passé, en me caressant elle- aussi, les cheveux comme un toutou. Elle tremble et je surprends son regard rapide vers la salle de bains. Solène fait patienter sa mère pour que les garçons aient le temps de soigner la fille. Elle reste malgré l'horreur dans le but de les aider.

Solène est capable de gérer ses émotions. Solène la stoïque. Quand la fille apparaît enfin et s'enfuit, Solène prend congé et nous rentrons. Sophie est un monstre. Ce soir-là, Solène est venue me voir sur le canapé. Elle m'a apporté une grosse assiette.

- Je suis désolée. Pour aujourd'hui. Je ne veux pas ça. Je n'ai pas le choix. C'est ma mère. C'est l'Alpha. Je dois obéir et toi aussi. Je te demande pardon.

Elle repart vers la chambre. Elle pleure. Ce soir, elle ne me demande pas alors qu'elle est au milieu de sa période de fertilité. Je n'ai pas envie de la consoler, ni de manger. Les coups reçus me font trop mal. Solène pleure toute la semaine et ne me demande rien.

Le mois suivant, le rituel reprend. Solène demande. Je refuse. Elle punit pendant une semaine puis m'ignore. Solène est moins insistante. De mois en mois, elle perd espoir. Ça fait un an que je tiens depuis sa première demande. Deux ans que je ne la touche plus. Deux ans que je serre les dents de colère.

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