• Et parle-nous de tes parents, tu ne nous as jamais rien raconté sur eux.

La grand-mère fait une pause.

«Mes parents étaient autoritaires, aimant et distant à la fois. Je me souviens d’une fois lorsque j’étais adolescente, je devais avoir dans les 14-15 ans. Je voulais aller à une fête qui se déroulait sur la grande place de la ville. J’avais fait toutes les corvées qu’ils m’avaient demandées. Seulement, ils ne voulaient toujours pas, me le faisant comprendre d’un ton sec et autoritaire. J’étais alors allé à cette fête en sortant discrètement de la maison par la fenêtre après mangé. Lorsque je suis revenu, j’ai essayé de rentrer discrètement sans me faire repérer. Seulement mon père avait remarqué mon absence et se tenait dans le salon prêt à me battre pour ma désobéissance. J’étais terrifiée, lorsque ma mère rentra derrière moi et réussi à faire passer à mon père que j’étais partie en promenade du soir avec elle, et que je l’avais distancé. Mon père s’était calmé ne savant pas trop comment réagir. Mais plus ma mère parlait, plus il se détendait, et au final, j’ai réussi à atteindre ma chambre sans le moindre mal. Ma mère a toujours été attentionné envers moi, prenant ma défense envers mon père qui tombait sous son charme à chaque fois.

Mon père était la figure typique de l’autorité parental, encore plus exagéré étant donné qu’il était militaire, mais je sais qu’il faisait son possible pour me protéger. Je n’ai pas eu l’enfance la plus heureuse, surtout que la guerre me priva d’eux.

Mais je n’en garde pas moins un bon souvenir.»