chapitre 7

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L’horreur de la combinaison me fait tellement mal aux yeux que je commence à avoir des vertiges. En retournant ma tête je vomis par terre. À ce moment-là je pensais que ça ne pouvait pas aller plus mal. J’ai parlé trop vite l’ours vient vers moi et je me repenche sur le coter du canoë et vomis encore. Non, mais sérieux estomac reste à ta place. Sa devient gênant surtout devant un inconnu humanoïde.

- Est-ce que ça va madame. Dit-il inquiet l’humanoïde.

Je vomis encore tous mon estomac. Et lui fais signe que non. Alors il me prend dans c’est patte et m’amené vers son bateau je présume. Je me suis endormi pendant le trajet. Là je suis dans une cabine et je vois des éprouvettes et autres qui traînent. Par ici et par là le plus troublant c’est qu’il y avait une personne qui se tenait assis sur une chaise à me fixer du regard. Je le regarde un peu et détourne les yeux. Je me lève ça tangue un peux. Sais tout je contrôle mon équilibre. Il me regarde aller comme si j’étais un cobaye. Je me dirige vers la porte, mais avant que j’arrive à la porte je sens un courant d’aire toucher mes hanches ma poitrine et même, mais cote. Je baisse la tête je remarque que je suis à poil. Je fais le tour de la pièce et je vois mon sac au pied de l’inconnue. Je marche dans ça direction. il voit que je vais dans ça direction.je le regarde dans les yeux, mais apen 2 minutes je baisse les yeux et me racotigue sur moi-même. Je me suis sentie menacer. Mon insint me dit de me mettre en mode défence.je rampe presque par terre je récupere assez vite mon sac et. Je fouille dedans pour voir si j’ai tout. Je suis soulager tout est la. Je prends mon cellulaire et je vois un appel manquer et aussi que la date à changer. Non pas vrai c’est déjà dimanche. J’aurais bien voulu être dans la cabine de père en boule dans mon panier. Je fais une face de déterrer qui veux tous dire. Je commence à faire le numéro de Barbe Blanche pour le calmer je crois. L’inconnue me regarde toujours je crois que j’ai un corps sublime pour qu’il me fixe comme ça sens raison. Appart vouloir me baiser dans tous les sens du terme. Je viens de remarquer que je n’es toujours pas peser sur la touche composer. je pèse sur la touche et le numéro ce compose pour l’appel. J’entends enfin la vois de Barbe Blanche.

- Allo qui est là. Dit Ed un peu sur ces gardes.

- Ha salut Papa je sais, je n’ai pas pu t’appeler hier. J’étais dans les vapes. Je crois fortement que j’ai recommencé en plus avec un inconnu. J’ai la poisse père… je dis avant de me faire couper. Dis-je un peux paniquer.

- Du calme ma fille tous vas bien. Penser à un endroit calme qui puisse te détendre. Dit Ed en parlant doucement et fort pour enterrer ma panique naissante

- Comment tu veux que je face une avec un inconnue et deux dans une infirmerie autant faire ma crise et me cacher ça serais moins la honte. Dis-je toujours en paniquant.

- Julie Newgate tu te calme maintenant et tu m’écoute. Ne pense pas à l’inconnue écoute ma voix et respire un bon coup. Inspire et expire répète l’action 3 fois. C’est bon là. Toujours avec le même ton de voix qui apaise ma panique

Je suis les consignes de Père et prend une grande inspiration et expire je répète l’action 3 fois.

- Oui ça va mieux.

- Passe-moi l’inconnue que je discute avec lui et le remercier de t’avoir sauver de quoi ou juste.

- De là couleur horrible des uniforme orange et de mon épuisement aussi. Là il me regarde méchamment.

- Ils ont quoi mes uniformes…

Je me mets en boule et chigne un peu.

- Désoler mes oranges c’est laid. Désoler. Désoler.

L’inconnue ce levé et s’avance vers moi. Je pose mon cellulaire sur mon sac et le mets sur haut-parleur.

- Tu peux parler père je viens de le mettre en rogne, car j’ai dit la vérité.

- Bon ça suffit tes niaiseries Julie.

L’inconnue s’arrête et regarde mon cellulaire. Je crois que mon bon vieux cellulaire ma sauver la vie encore une fois. Je souris et je recule en silence. Je recule jusqu’à un lit. Je prends la couverture et me fait comme un tapis et me roule en boule. Je me sens plus apaiser et cacher de la vue de l’inconnue. J’ai une bonne vue sur la porte si c’est le seul. Il semblerait que je n’es pas fait de ravage appart me foutre à poil encore. J’entends des pas venir dans notre direction et ouvre la porte. Je prends sur moi ce n’ai pas mon territoire, mais la personne eu la mauvaise idée de trop s’approcher de moi. Je feule pour montrer qu’il y a quelqu’un, mais il continue d’avancer. J’attends vaguement mon père dire de faire attention que j’allais attaquer. Il n’a pas le temps de le dire à son subordonner que je lui saute dessus toute griffe sortie. Je tombe sur de la fourrure toute douce et à la place je m’enroule sur lui et frotte ma tête. J’en tends crier mon père, mais je ne porte pas attention à ce qu’il dit.

- Est-ce que ma fille va bien.

- Oui elle se porte à merveille, elle s’est enrouler à mon subordonner et se frotte la tête contre lui. Il n’est pas trop à l’aise. Il ne s’est pas quoi faire.

- Simple caresse sur la tête et elle suivra ou il va. Je paris qu’il a de la fourrure.

- On peut dire ça dit-il froidement.

- Au moins il a de la fourrure sa vas l’empêcher de faire des conneries.

- Ouais mais mon subordonner pourra pas faire son boulot lui.

- Elle l’écoutera et feras tous ce qu’il dit si lui porte une peu d’interet.

- Mais la j’ai une question d’ordre médical.

- Sur quoi?

- Pourquoi elle est à poil.

Un gros silence se fait sentire du coter de mon père. Je commence à ronroner apres que l’ours mais caresser le dos et la tête. Je présume fortement que je suis un félin. Tous me regardais bizarrement et une autre personne rentre dans l’infirmerie. Je grogne et me décroche de l’ours. Il me prend par la taille et mais ça patte devant mon visage en le tournant vers lui. Son capitaine se tourne var moi et me scrute. Il remarque mes yeux car il change de couleur à ce moment.

- Autre question car je crois que je vais pas avoir de réponce. Pourquoi elle à les yeux qui change de couleur.

- Ça non plus on peut rien dire mais comme je les entendu grogner. Je crois qu’il y a quelqu’un d’autre qui est rentrer dans la pièce. Conseil avant qu’elle attaque d’autre personne aller la m’être dans une cabine plus petite avec une seul porte et laisser la ce reposer. De préférence avec personne.

- J’ai pas ça sous la mains une cabine seul…

- Je peux dormir dans un cagibie ou une cellule ça pas d’importance tant que personne ne viens. Ou au pire si vous vouler me surveiller ta juste à me trouver une tapis pour chien et je dormirais deçus. Ça veux pas dire que je vais dormir tous le temps dedans s’il fait froid. Je préviens d’avance.

- Je peux confirmer qu’elle ne dors pas tous le temps …

- Arrête Ed ça devient gênant vraiment gênant.

Tous le monde me regarde et fixe le téléphone. Je crois que j’ai dit une connerie je crois. Le grand que j’ai mis en rogne me regarde avec attention et ouvre la bouche.

- Tu es la fille de Barbe Blanche?

- Sur papier seulement pourquoi?

- Ben c’est simple je vais pouvoir t’utiliser comme cobaye.

Mes yeux change de couleur et je me dégage de l’ours avec l’efficacité d’un félin. Sérieux je crois fortement que je suis un félin ça pas d’allure. Je me rapproche de mon sac. Je mets mon teléphone sur le lit juste à coter. Prend des vêtements dedans et les mets. Je me tourne vers la personne que je présume fortement maintenant que c’est Law Water D Trafalgar.

- Je racroche Ed mais avant je peux poser une question.

- Vas y ma fille.

- Je peux faire des conneries si on me menace?

- Oui si tu sais prendre tes responsabilité après.

- Ok «bye» Papa je te revois à la fin de mon voyage fait bien attention a Thatch et à Ace aussi il vont faire plein de connerie. Bon je te laisse «bye».

- Ok bye ma fille. Il raccroche la ligne.

Je regarde Law et je me dis que même si je voulais faire une connerie. Je pense que je ne pourrais pas faire grand chose contre lui de toute façon. Je sais quand je ne peux pas gagner un combat.

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