Dans la cabine de Teixó.

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Le 23 du même mois.

Si la rive orientale du fleuve présentait, dans cette partie, un spectacle sauvage et désolé par ses sables et ses roches stériles, celle de l'Occident, attirait les regards par ses terres remarquablement cultivées, ses villages fortifiés et ses petits ports pittoresques.

Nous étions toujours à l’ancre dans une des nombreuses criques de ce fleuve aussi large qu’une mer et dont l’horizon n’était qu’une ligne brune, de la couleur des eaux qui baignaient notre galère.

Il n'y avait rien à faire puisque le navire était à l'ancre, mais il fallait toujours, en cas d'événement, être paré à vite réagir, aussi les scorpions ainsi que les catapultes étaient en batterie. Ainsi chaque fois que nous passions la nuit au mouillage, je doublais la garde.

***

  • Alors, Chiendri ? que s’est-il passé pendant que je dormais ?
  • Maitre, nous avons continué à remonter le fleuve, suivant vos ordres. Le temps a été beau.

Voilà, j'espère que c’est une navigation de plaisance qui nous attend ?

— Pas tout à fait, Maitre, mais c’est ce que tout le monde espère.

Ah ! bah ! on verra bien.

Avant de descendre du nid de pie. Dans la lunette, j’ai vu la petite escadre d’Hiru Iturriak qui croisait sur la rive occidentale, elle semblait à notre recherche, mais de nuit, elle n’aura guère de chance de nous trouver. Et avec les iles flottantes* elle ne tentera la traversée.

  • Tu penses que l’on risque de la croiser ?
  • Maitre, je ne saurais le dire… ce qui est sûr, c’est qu’ils remontaient le fleuve. Et qu’ils se dirigeaient vers un abri.
  • Il faudra être prudent, mais notre tirant d’eau nous permettra de frôler la rive. Va me chercher le capitaine, il faut qu’il m’explique deux ou trois petites choses. Dis-lui que j’ai une bonne bouteille et que je veux la partager en bonne compagnie.
  • Bien, maitre.
  • Tu reviens avec lui, Anne et toi ferez le service.
  • Anne, Maitre ?
  • Oui, c’est le nouveau nom d’Antje.
  • Bien, maitre. Elle a de la chance.
  • Ce n’est pas ce qu’elle pense.
  • Elle a tort. C'est un honneur d’être renommée par vous, maitre.

***

Le dîner fut très gai, Chiendri qui servait le capitaine, m’envoyait force œillades, le capitaine appréciait l’empressement de ma charmante esclave qui lui versait à boire et lui présentait les plats qu’Anne avait préparés.

Rapidement la bonne humeur s'installa avec les vins généreux et la gaieté communicative de mes esclaves. Le Champagne cimmérien pétillait dans les coupes lorsqu'on remplaça la nappe par le classique plateau de Déoshogi.

La partie commença, au milieu des éclats de gaieté. Le capitaine, qui avait beaucoup bu, était d'un entrain exubérant ; sa verve de vieux loup de mer s'abandonnait en jeux de mots et en plaisanteries de toutes espèces. Ses mains baladeuses n’en finissaient pas de se promener sur les bouts de corps qui passaient à sa portée.

Son jeu était de qualité. Il avait pris mon Chariot de Jade et je l’avais contré avec un Cavalier d’Or pour manger son Roi Dragon, mais le bougre ne s’en était pas laissé conteren plaçant devant mon Général de Jade son Général d’Argent. Il ne voulait point se laisser battre, et nous assistâmes à un véritable feu d'artifice où les bons mots, les traits d'esprit et les calembours dont le capitaine avait la spécialité, tombaient dru comme grêle. En même temps que les pièces se déplaçaient sur le plateau.

Le capitaine, qui avait de la chance avec les dés de tours, continuait à faire mousser dans les verres la pétillante liqueur, poussant mes esclaves à la consommation, avec l'intention évidente de leur faire perdre raison et retenue. De mon côté, j’avais un faible pour ce grand vin, comme l'appellent les Domiens, et je rendais rasade pour rasade, défiant à mon tour mon vis-à-vis, et il devint bientôt évident pour tous deux qu'à force de se défier le verre à la main, on en arriverait à se provoquer en combat singulier, les pièces, bien entendu, étant les armes choisies.

Après huit tours avec des péripéties diverses, ce fut le capitaine qui proposa de pimenter la lutte.

  • Ce n'est pas amusant, dit-il en parlant du Déoshogi, où deux joueurs émérites puissent se mesurer avec avantage, le hasard y a trop de prise... parlez-moi du Néoshogi... ça c’est un jeu !
  • Je suis de votre avis, répondis-je, et d’ici quelques jours où vous serez disposé, je vous montrerai, mon ami, comment on manœuvre. Ce jeu si simple en apparence, mais où l'intelligence à l’avantage sur la fortune.
  • Et pourquoi pas ce soir ? Je me sens en veine, et il me semble que je vous soulagerai facilement de quelques milliers d’has*.
  • C'est étonnant comme nous avons les mêmes pressentiments, répliquai-je, et c'est avec plaisir que je vous gagnerais jusqu'à votre dernière galérienne... mais il faut savoir combien vous avez dans votre coffre ; je vous préviens qu'au Néoshogi, je ne joue jamais moins de mille has par tour.
  • Cela me va, et vous mon cher Res Teixó, vous avez de quoi soutenir plusieurs parties ?
  • Mon cher Res Arcadi, vous semblez oublier que je suis de la Guilde Souveraine et que je suis un Hors Loi.
  • Non, je ne risque pas de l’oublier, il suffit de voir l’Oracle à votre bras gauche.
  • Bon les filles, montez sur le lit et faites-vous plaisir pendant que nous plaçons les pièces du Néoshogi sur le plateau. Capitaine, à vous de choisir, les blancs ou les rouges ?
  • Bien, maitre.
  • Res Teixó, les rouges. J’ai entendu dire que vous faisiez dans le commerce d’esclaves ?
  • Si peu, et il faut bien fournir vos galères, d’ailleurs j’ai pu constater que vous les traitiez fort mal.
  • Ce ne sont que des iŭga, elles arrivent sur les marchés en grande quantité. Ce n’est pas à vous que je vais expliquer la loi de l’offre et de la demande ? Elles sont vendues à un prix tellement modique… de sorte que je fais comme tous les propriétaires qui permettent à leurs contremaîtres de les mener à la dure, de ne pas les ménager et de les nourrir pour le moins cher possible. En plus, ce sont des iŭga, les vêtements sont inutiles. Et je pense que cela coûterait plus cher de bien les traiter pour les conserver plusieurs décennies que de les conduire durement et d'acheter de nouvelles filles quand elles sont trop diminuées, oui c’est bien plus rentable. Mes argousins on ordre de ne pas les épargner… quand on pense qu’une rame vaut trois fois les prix des deux iŭga qui la manient.
  • Mais capitaine, vous auriez pu les remplacer par des iotas, elles sont plus rustiques et moins chères ?
  • vous oubliez, cher ami, que les iotas sont encore plus stupides que les iŭga… et il y a toujours le problème de leur embryon de queue, alors les maintenir assises, autant oublier. Je trouve que l’on devrait élever une statue à celui qui a inventé l’Elixir qui permet de transformer une esclave en iŭgum.
  • Vous devriez alors me détester, je fais partie de ceux qui l’ont tué, et je peux vous dire que c’était un fieffé connard.
  • C’est vrai, Res Teixó, que le temps ne s’écoule pas de la même façon que pour nous.
  • Vous pensez que l’on risque de heurter une iloméduze*, c’est je crois la plus grande forme de vie sur le fleuve, En ce qui concerne sa taille, c’est un immense arbre ​​flottant, ou plutôt un petit bois.
  • Oui, d’ailleurs si on en croise une, nous l’aborderons car l’eau est de meilleure qualité que celle du fleuve. On ne risque rien, ou presque, car les iloméduzes*dérivent au centre du fleuve. Mais comment se fait-il qu’un homme tel que vous ait deux iŭga au lieu de deux esclaves ?
  • Disons qu’elles sont exceptionnelles, déjà elles parlent normalement. Et le bleu de leur peau est plus pâle. De plus, elles sont pour moi des armes terribles. Grâce à elles, j’ai quasiment exterminé tout un clan de Greenheads. Sur ce, je place ma tour devant votre lancier, je crois que vous êtes en mauvaise posture.
  • Ma foi, c’est vrai je vous dois bien 9000 has. Vous m’avez laissé manger votre général d’or pour me tendre un piège, vous êtes très fort.
  • Oublions cela, j’ai une téquila triple X venant tout droit du Moggave, une merveille.
  • N’est ce pas par là que vous avez rencontré ces maudits Greenheads ?
  • Si fait, c’est aussi un convoi d’esclaves qui m’a rapporté la bagatelle de 75000 has plus 150000 de plus pour la tête du chef Greenhead et celle de ses lieutenants.
  • C’est une fortune, dit-il en sifflant. Je comprends pourquoi vous avez pu louer mes services en exigeant d’être le seul passager. Qu’est ce que 20000 has pour un homme tel que vous ? Ainsi vous dites que vos iŭga sont dangereuses ?
  • Que oui, vous les voyez là sur ce lit en train de se faire des mamours… mais elles sont plus fortes et plus rapides que n’importe quel soldat. J’ai pris le temps de les initier à la malemort des Hors-loi. Ne vous y trompez pas. Ce sont de vraies tueuses. Deux chiennes parfaitement dressées. De toute façon, si nous sommes attaqués vous aurez bien le temps de constater l’étendue de leurs pouvoirs. Je trouve étrange que la flottille des Hirus Iturriaks nous ait pris en chasse. Vous avez une idée du pourquoi ?
  • Je pense qu’ils nous prennent pour une proie facile. Pensez, un seul bateau, presque pas de soldats à bord. Au port, ils ont eu le temps de soupeser le pour et le contre.
  • Vous ne semblez pas être plus inquiet que cela ?
  • J’en ai vu d’autres et avec mes scorpions et mes catapultes, ainsi que les deux canons à vapeur que vous avez fait installer... je ne pense pas craindre grand-chose. Et puis il n’y a que cette petite partie du fleuve qui est dangereuse, plus en amont, la population est bien plus pacifique. Mais je suis curieux, vous faites souvent des raids pour vous procurer des esclaves ?
  • Vous le verrez bien assez tôt. Nous remontons le fleuve pour les araignées et les esclaves. Pour moi, en traquer dans cette région est une première. En règle générale, je me contente de les acheter sur les marchés où dans les Campronds.
  • Je croyais que les membres de la Guilde Souveraine ne pratiquaient pas la traite ?
  • Très juste. Mais je me contentais de suivre les chasseurs d’esclaves.
  • Je reconnais bien là, la Guilde. Faire faire à d’autres ce qu’elle répugne à faire. Mais vous-même, vous semblez bien connaitre cette chasse.
  • Pour ce que je connais, les chasseurs d'esclaves s'en vont, une ou deux fois l'an, opérer leurs razzias parmi de paisibles populations agricoles ou des ennemis. Pour moi, je me contente de les suivre.
  • Vous pourriez m’en dire davantage ?
  • Voici comment cela se pratique ; seule la caste des guerriers a le droit de se livrer à cette chasse, ils appellent cela la cueillette : lorsqu'un chef a conçu le dessein de partir en expédition, il en demande l'autorisation au roi, ou au gouverneur ou à tout autre dont il dépend ; on fixe de gré à gré le tribut, et qui est généralement de moitié, alors muni du felvas* (consultations juridiques) délivrées par les juges, il fait appel à tous les guerriers qui veulent se joindre à lui, et il garde le plus grand secret sur le lieu où il va les conduire, afin que la peuplade ou la ville qu'il veut envahir ne puisse être prévenue. Toute la troupe part alors et arrive à l'improviste, entoure de nuit sa cible et fait sans coup férir toute la population prisonnière ; tout ce qui tente de fuir est impitoyablement massacré. Au jour, on opère la sélection ; les vieillards et les infirmes sont rendus à la liberté, tous les autres sont enchaînés six par six et reliés entre eux par deux bambous qui leur emprisonnent le cou ; on les laisse sous la garde des plus jeunes guerriers, et on se presse de courir à de nouveaux pillages, jusqu'à ce que le chef ait atteint le nombre d'esclaves qui était inscrit dans le felvas ; ce qui revient au donneur d’ordre lui est fidèlement envoyé, et le reste du partage a lieu sur les bases suivantes : Le tiers de ce qui reste à celui qui a obtenu le felvas et dirigé l'expédition, et les deux autres tiers aux hommes qui l'ont assisté. Au-dessous de dix ans, deux enfants ne comptent que pour une tête, on ne tient nul compte de la parenté, les femmes sont sans pitié séparées de leurs maris et les enfants de leurs parents. Le tout est vendu immédiatement à des marchands comme moi, qui ont suivi l'expédition et vont alors conduire cette marchandise sur les différents marchés. Les esclaves sont parqués comme des moutons entièrement nus dans des cages.
  • Cela doit générer de gros revenus ?
  • Oui je ne crains pas de l'affirmer les marchands d'esclaves sont les hommes les plus riches et les plus puissants de toutes les contrées, et qu'il est impossible de rien y tenter en les ayant pour adversaires. Un seul d'entre eux peut mettre une légion sous les armes.
  • Mais pour nous, il n’est pas question de chasse. Nous irons juste au marché. Dans cette région du monde, les cours sont bas. Et c’est de familles entières que j’ai ordre de me porter acquéreur.
  • Vous avez donc une felvas ?
  • Evidement, faire un pareil voyage juste pour des esclaves et des araignées…
  • Oui, je réponds à une demande de Samaël.
  • Je croyais qu’il était contre l’esclavage ?
  • Oui, mais c’est pour peupler certaines de ses villes. Car parmi ces nations, la majorité sont nomades et elles honnissent la sédentarité.
  • Mais dites-moi, mon cher pour vous qui avez vécu si longtemps, qu’est ce que vous aimez le plus ?
  • Oh, j’ai des plaisirs simples, tenez par exemple : Chiendri ! vient satisfaire ton maitre.

Quel homme résisterait aux seins arrogants de Chiendri ?

Je vois Anne qui râle dans son coin.

  • J'ai envie de baiser... maitre !

Je lui désigne sa cage :

  • Rentre là-dedans. Si tu veux bouder.
  • Mais maître !

Je lève la main. En vitesse à quatre pattes, elle descend du lit et va vers la petite cage. Nous la regardons et nous venons la rejoindre. Nous rigolons tous les deux et nous faisons des commentaires sur son cul et ses seins. Je lui donne une bonne claque sur les fesses.

  • Allez ! entre.

Ça nous amuse de la voir se tortiller. Elle y pénètre, mais il lui est impossible de trop bouger. D'un côté son cul est contre les barreaux et de l'autre sa tête passe juste dans une sorte de lucarne.

  • C'est excitant ce cul contre les barreaux !
  • C’est une cage faite pour les dogues. Je l’utilise de temps en temps. Il faut que je vous dise capitaine, que j’ai acheté mes iŭga au Dépotoir de Yuchekha. Là-bas elles ont plus été souvent baisées par des chiens que par les gardiens. Je crois même qu’Anne a une certaine préférence pour les dogues bien membrés. Vous savez, on ne nait pas iŭga, on le devient. Et pour celle-ci la chute a été vertigineuse, de richissime, elle est passée à iŭgum. C’est aussi une fille de cocon, je crois même l’avoir croisée il y a quelques milliers d’années sur Terre, notre planète d’origine. Je pense, même, je suis certain, qu’elle aime sa nouvelle vie.

Je retourne m’assoir, Chiendri m’apporte un cigare qu’elle allume ainsi qu’un verre de Cognac Dominien. Elle se met à genoux entre mes cuisses. Dégrafe les boutons de mon pantalon de cuir. Elle prend mon gland en bouche. Il est déjà tout suintant, elle le lèche et le suce avec application. Oh c’est sûr, ce n’est pas du travail bâcler. Je la sens aussi excitée que moi et, rapidement, je sens mon sexe se gonfler. Je n’ai pas l’intention de faire durer, je veux juste me soulager, je décharge et mon sperme chaud lui remplit la bouche. Elle me le montre avant de l’avaler. Je prends une bonne lampé de Cognac avant de l’embrasser et de lui en faire cadeau.

Le capitaine est un grand type, genre baraqué, pas mal du tout. Il est basané et ses cheveux noirs sont coupés très court…

  • Tu crois qu'une esclave ne doit pas être punie sévèrement quand elle oublie sa place ? demande t’il en lui caressant les fesses. Peut-être, je pourrais être indulgent, si tu arrives à me convaincre !! Supplie !!
  • Maitre, j'ai besoin de … de… Compassion.

Il rit…

  • De sexe ? comme une chienne en chaleur ?
  • Oui maitre.

Il rit à nouveau et lui donne une claque sur les fesses. Gentille mais bon, cela claque quand même. Anne sent bien qu’il faut prendre cela comme un petit rappel à l'ordre. Amusé, je suis la scène de mon fauteuil. Il se déshabille. Grand, musclé, des cicatrices, des tatouages, des poils, un engin de belle taille. Un mec bourré de testostérone, un capitaine au long "pas" court du tout. Anne va surement apprécier. Il s'agenouille, et lui caresse les fesses.

  • Maitre si je sors de la cage, ce sera plus agréable pour vous.
  • Je ne veux pas que ce soit plus agréable, je veux que ce soit plus excitant… pour moi !

D’une main il lui écarte les fesses, crache plusieurs fois et dirige son sexe vers son anus.

  • Ouulalah !! vous êtes bien monté maitre.

Elle gémit. Il s'enfonce un peu en disant :

  • Tu aimes ça hein, iŭgum ?
  • Oui, Maitre.

Je sais qu’elle ne ment pas. Elle déteste se faire sodomiser d’entrée, à moins qu’elle soit enfermée dans une cage. Il la baise vite et fort. Elle gémit, il est très brutal. Mais au fond je me doute qu’elle apprécie. Ses couilles gonflées claquent sur le haut de ses cuisses. Je connais le secret de mon esclave. Je sais qu’elle se met de plus en plus à penser qu’elle est dans une des cages pour chiens du Dépotoir et que c'est un chien qui l’encule !! ça, ça doit l'aider à.… à....

  • Regardez là ! capitaine. Elle va jouir, cette chienne !
  • Oh non ! maitre ! Pas ce mot-là, je vais !! Aaaaahhhhh !!!!!" Je jouis....

Le capitaine est excité de la voire prendre son pied ! et il jouit aussi.

( ça va là ou je fais plus long ?)

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