L'alouette
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L'alouette répand sur nos draps le sel pour l'alarme.
Elle déploie l'observatoire de ses plumes remaniées à l'abri de ton cartable, conjure les perspectives de son cri meuble ; de sa huppe, les parcelles cagneuses. Tu fus dressée pour les combats ; on t'habilla de copeaux et de miettes. Avec une obstruction de chevauchement, je te regarde cloquée par le poids des demoiselles cirées dépendues de la burle, venant après les prairies de cire. La nuit auxiliaire pela ton cadavre promené.
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