APRES LES COURS

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Pendant 2 heures de notre cour, Bastien, avec qui je commençais à me rapprocher, n'avait eu de cesse de me caresser discrètement et délicatement la cuisse. De plus en plus haut aussi, au point que son petit doigt m'a plusieurs fois effleuré l'entrejambe. C'était doux et agréable. Et terriblement excitant.
À la sortie, nous nous sommes embrassés et j'ai retrouvé aux toilettes le fond de ma culotte presque détrempée. Je ne pensais pas que sa main parcourant ma cuisse m'avait fait autant d'effet.

Ce soir, me retrouvant enfin seule dans mon lit , je repense à Bastien, à ses caresses, à son petit doigt effleurant l'entrejambe de mon jean, cette petite pression, presque anodine mais néanmoins présente, qui devenait l'apothéose de cette marque d'affection et surtout de désir.

Toute à mes pensées, je ne me rends pas compte de mes mains commençant à parcourir mon corps. Ma main droite caressant mes seins, pinçant mes tétons durcissant, tandis que ma main gauche reprend la place que la main de Bastien occupait cet après-midi a l'intérieur de ma jambe.
Je la remonte tout aussi délicatement, viens rejoindre le bord de mes lèvres humides et mon aine avant de repartir. Je ressens à nouveau l'excitation reprendre possession de mon corps entier.
Puis je viens caresser subtilement mes lèvres avec mon index, les écartant à peine, les autres doigts sur l'intérieur de ma cuisse, mon pouce en profite pour caresser mon pubis. Je sens ma chatte devenir folle. Je me fais languir.
Enfin, j'applique tous mes doigts sur mon sexe, avec une pression douce mais ferme, puis, remontant légèrement, mon majeure entre dans mon sillon, découvrant une humidité abondante, et se met à tourner autour de mon bouton d'amour lorsque la pulpe de mon doigt le rencontre enfin.
Mon dos se cambre sous l'effet de la caresse précise. Je suis trempée. Mon jus, par le jeu de mes doigts, envahi ma peau. Ma main droite va prendre le relais tandis que ma main gauche remonte mon ventre, ma poitrine, mon cou, pour enfin atteindre ma bouche. Au moment où je me délecte du nectar présent sur mes phallanges, ceux de la main droite me pénètrent sans attendre. C'est tellement bon, je monte. Ma main gauche redescend sur mes seins, tandis que je me fouille de plusieurs doigts...
Le plaisir est intense, mais pas vraiment assouvi, je veux une queue, je veux me sentir pleine de Bastien, le sentir en moi aller et venir, comme le font mes doigts. Les mouvements de mes mains se font plus intenses, plus rapides. Les images érotiques de Bastien me passent par éclair dans les yeux tandis que mon corps explose enfin. Tournée sur le côté, le souffle court, le corps exténué, je sers de mes cuisses ma main encore présente entre elles, tandis que l'autre finit de me caresser tendrement, en osmose avec moi même.

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