Mélancolie
Poème
A coté de toi,
Sous une crevasse béante,
Se trouvait caché
Les fastes périples de ton ego.
Tantôt armé
Tantôt appauvri,
Il te laissât
Tranquille que dans le répit
Provisoire de la mélancolie.
C’était toi
Triste tout le temps
N’esquissant le sourire
Un peu forcé
Jamais de toi-même
Tu ressentais et, la fin d’un monde sur toi
Et, la fin d’une époque de la jeunesse frivole
Or, dans ta vie, il y avait
Des moments de sourire
Que tu refusais de partager.
Ceux-là t’arrachaient
De ton siège baigné de sueur
De timidité et de paresse
d’une jovialité disparue.
Pourtant, tu n’a rien demandé
C’est arrivé comme un coup de poignard
Sur ta tête ennuyé
De milles soucis
S’il te plait, reprend-toi maintenant
Car tu ne sais
Quel mal tu fais
À tes parents te voyant comme un automate
sans exprimer haut ses sentiments
et en ressassant ce maudit passé.
Fais le pour la joie
La joie de retrouver tes amis
Que tu as malheureusement tous perdu
La joie de retrouver ton modeste confort
Malheureusement, tu vis dans l’insécurité.
Ressaisis toi, s’il te plaît !

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