Chapitre 18
La table était ranger, Jill avait fini de prendre sa douche et laissa Fantôme en faire de même.
Elle était dans la chambre en train de réfléchir. Que faisait -elle avec lui. Pour l’instant, elle avait l’impression de jouer avec cette homme qui ne faisait que l’aider. Ressentait-elle quelque chose pour lui. Oui, bien sur que oui. Elle ne pouvait pas continuer à faire comme si de rien n’était. Elle devait assumer sinon, ils allaient continuer à se tourner autour, a s’échanger quelque baiser voler. Cependant, elle se rendis compte qu’elle voulait plus. Beaucoup plus que ça. Elle voulait continuer à la connaitre. Elle devait lui dire. Elle ne voulait pas attendre au risque de se décourager. Elle se dirigea vers la salle de bain, ouvrir la porte tel un ouragan.
Il était là sous la douche, il la regardait interloquer.
- Je veux être avec toi, déclara Jill.
- Tu t’es lavée avant moi Jolie Cœur.
- Non pas comme ça rétorqua la jeune femme en s’approchant de lui. Elle passa dans la cabine de douche, habiller. Je veux me rapprocher de toi, je veux que l’on continue d’être proche toi et moi. Je veux qu’il y ait un nous. La jeune femme avait dû mal de s’exprimer sur ses sentiments.
Fantôme avait tout de même compris le principal. Il plaça l’une de ses mains sur sa joue et l’autre dans le bas de son dos pour la pousser contre lui et l’embrasser.
- J’aimerai qu’il y ait aussi un nous Jill. La jeune femme avait les yeux brillant de joua. Tu me laisse finir de me laver rappela Fantôme.
- Oups, heu oui. Bredouilla la jeune femme sous l’hilarité de Fantôme.
Elle sortit néanmoins avec le cœur léger. Il avait dit oui. Elle s’assis dans le fauteuil regardant une nouvelle fois le coquelicot. C’était, elle.
Elle tourna la tête déranger par une sonnerie incessante. Elle porta l’appareil a son oreille.
- Il est occupé Coll.
- Putain, on s’en fout qu’il soit occupé chérie. Rappliquez vos cul c’est urgent. Le vice-président était agressif. Ça voit reflété autre chose.
- Qu’est-ce qu’il se passe ?
- Jill, ta mère à retourner tout ton appartement et ta sœur est introuvable.
- Quoi ! Non. Les yeux de Jill, se noyait. Pas maintenant, pas ça, non pas alors que tout allait bien. Encore une fois.
- Jill ! Ce n’est pas le moment. Coll comprit qu’elle n’était pas en état de raisonner correctement. Il souffla. Passe-moi Fantôme. Jill cria-t-il.
Elle eu comme un électrochoc. Fantôme arriva en trombe. Il avait entendu la jeune femme crier. Il lui prit le téléphone. Son frère lui expliqua.
- D’accord, on sera là dans une heure. Répondu-t-il avant de raccrocher.
Fantôme pris les mains de la jeune femme.
- Jill, on va la retrouver. Coll à demander au gars du club de la chercher. Il a fait un avis de recherche. Les flics sont aussi dessus.
- Et si elle lui fait du mal. Tu ne sais pas de quoi elle est capable. Murmura la jeune femme ancré dans les souvenirs de son passé.
- On l’en empêchera Jill. Il la sera dans ses bras. Elle s’agrippa de toute ses force. Il faut y aller.
Il tira Jill jusqu’à la voiture et démarrer immédiatement.
- Tu as une idée ou Annabelle aurait pu l’emmener ?
Jill réfléchit. Ou cette femme aurait pu aller.
- Vous avez regardé chez elle ?
- Oui, c’est le premier endroit ou coll est allée voir quand il a vu ton appartement. Ils ont fouiller la maison mais personne n’était là.
Jill essaya de se souvenir, qu’est-ce que ça génitrice faisait quand elle était en crise ? Elle lui faisait mal. La jeune femme serra son bras. Fantôme le remarque et entrelaça ses doigts au sien. La rassurant. Que lui faisait-elle d’autre ? des larmes coulèrent sur ses joues, elle avait essayé une fois de l’enterrer.
- Dans le jardin, ils pont regarder dans le jardin ?
- Je crois que s’il avait vu de la terrer retourner ils auraient regardé.
Jill senti un poids se retire de ses épaules, cependant son estomac était toujours aussi crispé. Annabelle n’aurait jamais emmené Mary dans leur ancienne maison. Néanmoins…
- Je crois savoir où elles sont décréta Jill.
Elle se saisissait du téléphone de fantôme et tapota une adresse a Coll. Elle enclencha la même adresse sur le GPS de Fantôme.
- Elles sont là. Décréta Jill.
- Alors on y va.
Quand ils arrivèrent Coll, Pice et le président étaient déjà présent. Ils étaient devant une Annabelle, ors de la réalité. Ses yeux étaient injectés de sang. Elle ne répondait à aucune question, se balançant continuellement sur sa chaise totalement sous l’emprise d’une substance.
Jill pris son courage pour sa sœur et sortit de la voiture. D’un pas décidé, elle les rejoignit.
- Ça sert à rien, elle ne réagit plus quand elle est comme ça.
La jeune femme passa devant le groupe d’hommes. Le cœur lourds de souvenir. Un Cauchemard. Cette maison ou elle avait débuté sa misérable vie sous les coup de sa mère et sa violence verbale continuelle. Top ceci-trop cela. Jill trembla.
Elle senti une paume chaude sur ses épaules, et un regard émeraude lui donner la force dont elle avait besoin. Il était là. Elle continua son avancé jusqu’à l’étage. Elle savait où chercher. L’endroit, ou elle finissait à chaque fois.
Elle ouvrit la première porte. La pièce ne comportait qu’un coffre. Elle s’avança prudemment de celui-ci. Comme s’il pouvait la mordre.
Elle l’ouvrir, étonnamment son visage resta de marbre mais son cœur saigna. Sa sœur était là, inconsciente. Le visage ensanglanté.
- Merde s’exclama Fantôme.
Pice, les avait suivies. Il saisit les bras de Maryline et passa un de ses bras sous ses jambes une fois debout. Il se retourna sur Jill.
- Elle a besoin de soins. Je m’occupe d’elle.
Jill incapable de parler, hocha la tête. Ils sortir de la maison. Jill fut la dernière à passer devant sa génitrice.
- Tu es comme ton père murmura celle-ci.
Elle se retourna et la gifla.
- Sort de nos vie.
Un rictus, puis sa mère rigola. Posséder.
- Tu veux que je te dise un secret. J’aurais dû t’empoisonner. Comme j’ai empoisonné ta mère. Rigola-t-elle.
- Qu’est-ce que tu racontes ? Jill se figa.
- J’ai mis de la mort au rat dans son gâteau, la pauvre n’a pas survécu. J’ai dû prendre son fichu bébé. Pour avoir sa place.
La vieille femme se leva pour agripper le t-shirt de Jill.
- Mais même avec ça il ne m’a pas voulu. Il ne voulait qu’elle, ma stupide sœur. Elle pencha sa tête. Tu leur ressemble tellement. Murmura Annabelle. Surtout à ton père. C’est pour ça que je t’ai toujours détesté. Tu as détruit m’as vie.
Jill ne voulait plus se laisser faire. Elle n’était plus seule.
- Tu as détruit ta propre vie. Ne m’accuse pas pour tes tords. Tu finiras ta vie en prison. Comme la meurtrière que tu es.
Coll agrippa les poignet d’Annabelle.
Vous être en état d’arrestation Annabelle Logans. Pour kidnapping, séquestration de mineur. Il regard Jill qui s’éloigna légèrement. Je m’occupe d’elle chérie.
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