les marches
La vie est un grand huit, pour se retrouver en haut il faut toujours passer par le bas.
On fait des kilomètre parcourant la vie, et puis souvent malgré tout, on en revient à la même question.
Où serais-je dans 20 ans, j’espère de ce monde, pour voir d’autres arbres, d’autres feuilles qui jaunissent, écouter d’autres chansons, entendre d’autres rires, et aimer encore la vie.
Ces infinités de choses auxquelles on ne fait pas attention quand le cœur bat normalement.
La seule façon d’avancer c’est d’oublier. L'abandon est une force.
Pas facile d'exister dans un monde sans existence
Est-ce que les gens sont comme moi, s’accommodant de leur vie ?
La bassesse dans ce bas monde est une chose très rependue, certains s’en font même une spécialité
C’est un flot ininterrompu d’histoires qui nous traverse chaque jour
Et nous, tant qu’on est vivant on construit
Et la révolte surgit déstabilisante jours et nuits, que tuent en silence les cris d'impuissances.
On sublime la réalité, la voix n’est pas assez forte
Il ne faut pas laisser le choix aux hommes.
Je suis comme tous les hommes, je veux garder ma vie et en vivre une autre.
Tous ceux qui viendront ne comprendront pas non plus
Les nouvelles générations bâtiront sur nos cendres
C’est très compliqué de se projeter dans l’avenir
Le temps me presse, là, à mes côtés qui m’accompagne.
Le destin est une chose étrange
Que tu fasses quelques choses ou pas, la postérité ne se souviendra pas de toi, alors fait le pour toi
Je ne savais pas que la vie c’était ça, qu’on finissait par parler à des fantômes
Si on ne pouvait avoir d’autre projet que le jour qui se lève.
Croire à toujours été le moteur d'une vie
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