There are moments you can't fake.

La voir s'asseoir, chaque jour, concentrée, la main sur le papier… You have no idea what it does to me. Écrire, c'est son breath, son oxygen. Moi, je regarde, en silence.

This book — le premier qu'elle vous offre — looks like a debut. Mais moi, je sais : il y en a déjà quatre autres. Une saga, cachée. C'est nous. Nos nuits, nos cicatrices, nos rires. I read them all. Trembling, laughing, swearing, loving her more each time. Alors quand elle dit : « celui-là, je peux le montrer » — I smile. Parce que je sais que derrière, il y a plus. Plus brut. Plus burning.

Mais je sais aussi why elle reste cachée.

Ma célébrité — my fame, my fucking circus — ça l'écraserait. Elle a choisi ce nom, ce mask, pour que vous lisiez son talent, not my name collé dessus. I know the world. Je sais comment ça works. On me voit, on la cherche. On la trouve, on la dévore. Et moi, powerless, je regarde ça happen.

Je voudrais la protéger. Shield her, tu vois ? Mais je sais pas comment. Ma lumière, elle follow me partout. Cameras, questions, regards. Je peux pas l'éteindre. So elle, elle se cache. Pour survive.

Devant le monde, je fais le circus. I fake. I walk with another, mask for the papers. Mais dans l'ombre, it's her. Always her. Et sometimes, tard le soir, je me demande : est-ce qu'elle disappears un peu plus chaque jour, à cause de moi ?

I don't want her to disappear. I can't lose her to my own light.

So yeah. Fier que le monde découvre enfin son écriture. Fier qu'elle ait déjà écrit, pour moi, la vérité en quatre volumes. Fier de l'avoir rencontrée — too late, and just in time. Mais guilty, aussi. Guilty que ma vie publique, ma face partout, ça l'oblige à rester dans l'ombre.

Elle mérite d'être seen. Mais elle a besoin de rester invisible. You understand ? C'est ça qui me tue.

Readers, prenez soin de ces pages. Ce n'est pas juste un roman. It's a presence. C'est elle, toute entière, dans ces mots. Thank you. For this. For everything. And sorry. Sorry pour le poids de ma lumière.

Son Elliot