There are moments you can’t fake.

La voir s’asseoir, chaque jour, concentrée, la main sur le papier… You have no idea what it does to me. Écrire, c’est son breath, son oxygen. Moi, je regarde, en silence.

This book — le premier qu’elle vous offre — looks like a debut. Mais moi, je sais : il y en a déjà quatre autres. Une saga, cachée. C’est nous. Nos nuits, nos cicatrices, nos rires. I read them all. Trembling, laughing, swearing, loving her more each time.

Alors quand elle dit : celui-là, je peux le montrer — I smile. Parce que je sais que derrière, il y a plus. Plus brut. Plus burning.

Devant le monde, je fais le circus. I fake. I walk with another, mask for the papers. Mais dans l’ombre, it’s her. Always her. Je dors avec ses manuscrits, je me réveille avec sa voix.

So yeah. Fier que le monde découvre enfin son écriture. Fier qu’elle ait déjà écrit, pour moi, la vérité en quatre volumes. Fier de l’avoir rencontrée — too late, and just in time.

Readers, prenez soin de ces pages. Lisez-les lentement. Ce n’est pas juste un roman. It’s a presence.

Thank you. For this. For everything.

— Son Elliot