Des secondes, puis des minutes, puis des heures passaient. Manon et Louise étaient frigorifier dans cette pièce, elles avaient même les lèvres bleues.

- Mais qu'est-ce qui nous veulent à la fin ? Demanda Louise en brisant un silence insoutenable provoqué par la peur.

- Je...ne...sais...pas... répondit Manon par des mots espacer à cause du froid.

La porte s'ouvrit sechement. Elddir était sur le seuil de la porte.

- Pendant les prochaines heures, vous allez souffrir, et ceux jusqu'a ce que vous me révelerez ce que je veux savoir. Et croyez moi, vous me le direz.

Louise regardait Manon avec attention, et sa pensé ne vint que sur une seul chose. Qu'est ce qu'il entendait par "vous allez souffrir". De la torture ? Sa ne l'étonnais même pas.

- La première d'entre vous deux sera toi Louise...

- Non prenez moi à sa place, coupa Manon.

- Non, sinon quelle plaisir tirais-je de la torture. J'ais décidé que se serait ainsi alors rien ne pourra changé la donne.

Elddir rentra dans la pièce, et s'approcha de Louise. Avant de la prendre par le bras et la força à se lever avant de l'emmener hors de la pièce. Manon se leva tant bien que mal et poursuivit Elddir et Louise à travers la pièce.

- Non ! s'ecria t'elle à la fermeture de la porte.

Manon tembourina la porte de toute ses forces restantes. Elle termina par s'écrouler contre la porte, pleurant à chaude larmes et épuisée.

De son côté, Elddir emmena Louise dans une autre pièce, celle juste à côté de là où était Manon. Juste pour qu'elle entende Louise gémir et pleurer par douleur. Il était d'une cruautée sans pareil, prêt à torturer des jeunes femmes pour le plaisir et le savoir.

- Tu veux la nouvelle ? demanda Elddir. Je n'ai rien à aprrendre de toi, je vais le faire juste pour le plaisir. Ces murs ne sont pas épais, ta copine n'entendra que tes pleurs et tes gémissements. Quand tu criera de douleur, tout espoir la quittera. Bon commençons.

Il sortit sa baguette de sous sa cape, et la pointa sur Louise, et dans un lent soupire il prononça :

- Endoloris.

Louise se plia de douleur, ses cries pouvaient se faire entendre à travers toute la planque. Elddir n'en éprouvait que le plus grand plaisir. Le sort de sa pire ennemie entre ses mains. Manon qui était à côté entendait tout. Elle tombourinait au mur qui les separaient en lui suppliant d'arreter ce supplice. Elle ne pouvait rien faire, juste attendre que le temps passe.

Louise criait de plus en plus fort, et puis d'un coup, plus un bruit plus un sanglot. Un calme plat et morbide. Les deux minutes qui suivirent fut les plus longue que Manon n'ai jamais connu. Deux minutes avant qu'apparaissait un mangemort sur le pas de la porte et lançait Louise telle une poupée de chiffon sur le sol.

Manon courrait à la rencontre de Louise allongée sur le sol. Aucune sequel physique n'était aparente. Le sort Endoloris était un sort impadonnable et il porte bien son nom. Manon prit le corps de Louise dans ses bras. Des larmes perlaient sur ses joues. Le visage de Louise était tumifié de larmes anciennes. Les joues rouges, le teint livide.

Les secondes parraissait des minutes, les minutes parraissait des heures. Quarantes minutes dans l'attente, toujours à serré Louise dans ses bras. Louise ne réagissait toujours pas, son pou et sa respiration était irrégulier. Pendant un moment, Louise s'arreta de respirer, inquiétant Manon.

- Louise ! Reste avec moi ! S'il te plait... m'abandonne pas... termina par soupirer Manon.

Le teint de Manon était livide. Mais Louise eu un regain d'energie et se remis à respirer, comme si elle avait entendu l'appel de Manon. D'autres minutes passaient. Manon sentit quelque chose bouger contre son bras. Elle regarda. C'était Louise qui reprenait peu à peu connaissance. Les doigts puis les mains bougaient, puis, Louise finit par ouvrir lentement les yeux.

- Manon... souffla Louise.

- Louise ! Oh... Louise... enfin.

- Je suis désolé...

- Tu n'as certainement pas à être désolé. Je n'imagine même pas se qui t'es arrivé et la souffrance que tu as enduré.

- Horrible, voilà le mot qui me convient le mieux, finit par déclarer Louise, en se repassant le moment dans sa tête.

Juste après la déclaration de Louise, la porte se rouvra, elles étaient toujours devant. Elddir était encore là, à la place de la porte.

- A ton tour, dit t'il en attrapant Manon.

Elle était toujours sous Louise à la soutenir. Le faite que Elddir l'attrapa et la sortit de là fit tomber Louise. Lourdement, le sol était dur, et Louise se cogna la tête, elle souffrait. Elddir emmenait Manon dans la pièce où Louise c'était fait torturer. La pièce toujours aussi sombre, humide. Le sol était gravilloneux, les chaussures de Manon glissaient à moitier sur ce sol, trainer par Elddir.

Elle allait se faire troturer, elle finit par réagir. Elle le savait depuis le début, mais elle était un peu comme engourdie, et elle en prit conscience d'un coup. Elle commençait a se débattre, Elddir la jeta juste devant lui avant de pointer se baguette devant lui. Manon était à terre.

- J'ai besoin de tout savoir sur l'Obscurus, et tu vas me le dire. Endoloris !

Une douleur intense parcouru le corps de Manon. C'était comme si une décharge éléctrique de vingt mille volts lui traversait la colonne vertebrale. Elle criait de tout ses poumons, sans relache. Des larmes coulaient grandement sur ses joues. Ses joues étaient rouge, son teint commençait à devenir livide.

- Je ne sais rien ! s'ecria t'elle entre deux douleurs. Rien du tout !

- Menteuse !

La douleur redoublait d'effort à mesure qu'Elddir renforçait son sortilège. Elle finissait comme Louise, par perdre connaissance, par douleur.