ACTE I SCENE II
ACTE I SCÈNE II
Entre Geoffroy
UNE JOURNALISTE : Bienvenue Geoffroy, ô vous avez un beau fauteuil roulant.
GEOFFROY : Cette objet, c’est l’accident des politiques, ils mettent le feu partout, ils mentent surtout et ils crachent pas du venin mais des flammes sur la populace.
UNE JOURNALISTE : Prix nobel de la politique, rien d’étonnant.
GEOFFROY : On nous manipule, on créée des guerres, on nous parle de notre nation alors que les enjeux futurs sont bien plus gigantesques et immenses comme le réchauffement ...
UNE JOURNALISTE : Climatique ? Oui, bon pourquoi avez vous gagner le prix ?
GEOFFROY : C’est mon fauteuil roulant, ça m’a rendu plus puissant sans doute.
UNE JOURNALISTE : Sans doute, les politiciens n’ont pas doutes.
GEOFFROY : Vous plaisantez ? Il faut douter pour progresser hein !
UNE JOURNALISTE : J’ai toujours aimé les personnes handicapés, ils ont un truc en plus que les gens simples et niais d’esprits n’ont pas.
GEOFFROY : La folie de l’humain mènera à sa plus brutale destruction, extinction.
Annotations
Versions