https://www.scribay.com/defis/defi/396471236/reve

^^ pour répondre d'avance à la question "à quoi je carbure", la réponse est "chocolat".

Exceptionnellement, je prête une attention secondaire à la forme. Le niveau de wtf de la suite est trop fort !

Donc, première partie du rêve : je fais partie du personnel d'un groupe hôtelier situé dans une espèce de jungle clichée. Je suis pote avec Jérémy Ferrari à l'époque où il avait les cheveux longs.

Personne ne doit sortir le samedi matin, parce qu'à ce moment, des géants sortent et s'ils te marchent sur les orteils, tu deviens dingue.

Chose qui arrive à Jérémy Ferrari, sauf qu'il devient pas dingue et que ça l'emmerde qu'on le considère comme tel. Donc il vient quand même participer à une espèce de réunion des dingos, qui se passe un peu comme une réunion des AA, debout en cercle dans un coin tranquille le dimanche matin, et les dingos gesticulent dans tous les sens... bref, cliché de fous. Et Jémémy il reste les bras croisés à faire la gueule, il a rien à foutre là donc il prépare une revanche, et dès le dimanche suivant il tope les directeurs des hôtels.

Il les installe sur un parcours que lui et moi avons fabriqués, un parcours de TREC (un truc d'équitation, avec des obstacles naturels) branlant où les directeurs peuvent que se casser la gueule.

Ce qui arrive, ils se pètent la gueule, en meurent écrasés par les chevaux, Jérém est content et je rentre au village avec lui.

Partie semi-éveillée pendant laquelle je fais une paralysie du sommeil (et c'était pas ma première)

Je me sens enfermée dans une boîte. J'ai beau m'agiter, mon corps est mort et ne bouge pas, ce qui m'angoisse. Heureusement, je percute que je fais une paralysie du sommeil, et ça me détend d'un coup, même si ça ne me libère pas. Je pense que l'esprit part en vadrouille rapidement, car je parvient à sortir de ma boîte, pour émerger d'un cercueil mis en terre, mais pas recouvert. Je suis dans un labyrinthe aux murs gris, monoblocs. La poussière au sol est gris cendre.

Une présence se tient près de mon lit et m'observe. Je ne sens aucune intention particulière de la part de cette présence, juste elle me regarde puis sort de ma chambre.

Dans le labyrinthe, je sens que je dois fuir, un prédateur a ce lieu comme terrain de chasse. Je dois me démerder pour l'éviter. J'ignore si je suis seule ou non dans les lieux, mais je tiens à m'éloigner de la boîte. Et je cours, la peur au ventre, dans le labyrinthe poussiéreux, sans savoir si je suis seule dedans ou pas. Tout ce que je sais, c'est qu'un danger à visage humain s'y trouve peut-être.

Puis je me rendors tout à fait, quittant la phase de paralysie du sommeil.

2e partie :

Transition je rentre chez moi et change de personnalité, ainsi que d'apparence ! Je passe de moi-même à fillette voûtée un peu gauche. N'y cherchez plus Jérémy Ferrari, il a disparu avec mon ancienne personnalité !

Village cette fois de type viet dans les films sur la guerre froide.

J'admire une femme qui m'a prise sous son aile depuis une durée indéterminable, et tout le monde me considère comme une simplette, niaise et incapable de faire quelque chose correctement. Seule cette femme m'offre un toit et du travail, voilà ce que je sais de ce cliché de femme de film d'action mafieuse et sachant se battre.

Ma nature simplette fait que je suis la personne toute désignée pour aller chercher un classeur contenant des infos qui l'intéressent beaucoup. J'y vais, considère que le classeur rempli et prêt à éclater menace de partir en morceaux, donc je change les dossiers de classeur.

Quand je reviens, elle est convaincue que j'ai pas pris le bon, heureusement elle a encore deux jours pour aller se servir elle-même. Puis en regardant, elle se rend compte que j'ai ramené les bons dossiers. Donc ça lui va, ça l'arrange même.

Ensuite je sors me promener dans le village. Au début j'avais eu peur d'avoir mal agi en changeant le classeur, savoir que ça l'arrange me fait sautiller. En marchant je croise quelques mecs devant des étals qui me font de vagues signes, je fais partie du décor... et je sers la chef de mafia. Puis deux gus armés me demandent où la trouver. Je sais qu'ils veulent lui faire la peau, et je sais aussi qu'elle va les one-shot.

Donc je leur montre le chemin, et leur souhaite bonne chance, puis un des gars près des étals de poissons me demande si lui aussi, je le préviendrais s'il devait bientôt crever et je lui réponds que oui, bien sûr^^. Il est soulagé, se boit une bière et le rêve s'arrête là.