"L'art ne représente pas la visible, il le crée". Le nom de l'auteur m'échappe, mais quoi qu'il en soit, il porte une part de réalité qui crée chez moi une sensation active, un affect actif, qui me pousse à l'action. Avec les mathématiques et la programmation, tu peux créer des mondes, au début des mondes très simples, avec un ou deux objets (organisme vivant).

Un trip d'égomaniac mais quel plaisir plus intense que celui de vivre tous les jours dans de nouveaux mondes. Je lisais dans le Code de la créativité, qu'en zoomant sur une fractale (programmable), au lieu de la voir se simplifier, elle conserve sa complexité, tant et si bien qu'en utilisant à fond les possibilités de cette art mathématiques, on peut créer rapidement sur ordinateur une succession infinie de planètes, chaque planète se dévoilant en zoomant à la surface de chaque planète.

Les fractales découvrent le monde sous les mondes, comme Proust trouve la société et le monde sous les mots et la littérature. Proust (et Knausgaard avec lui) ont compris que le monde git dans l'infiniment petit et qu'en se concentrant sur les faits les plus petits, on accède à une complexité étonnante.

Vers la nuée infinie des possibles (J2 - CodeAcademy - Data Analytics Path)

Laborieux ce matin, l'imagination se perd dans l'attention, et une lecture trop poussée des matériaux. Une difficulté ? Non, pas une difficulté, rester humble. On me montre les sommets à atteindre, et la beauté mathématique qu'ils incarnent. Des visualisations de données pour montrer des faits intéressants : corrélation entre une infinité de faits, répartition d'une infinité de choses. Une matrice d'apprentissage que j'appliquerai partout, tout le temps. Et l'appliquer au ski, et pourquoi pas ? Plus grande source de plaisir ?

Analyser qui sont les skieurs ? Les avis laissés sur les réseaux comme Tripadvisor ? Et pour décortiquer des constructions littéraires ? Montrer une autre explication de la construction des grandes oeuvres. Et pourquoi pas ? Constituer sur Seatable une immense base de données avec tous les avis des stations et des analyses de mots. Constituer aussi une immense base avec toutes les oeuvres littéraires lues, admirées, une nouvelle bibliothèques et de recettes de créations décortiquées. Et expliquer l'effet thérapeutique par la donnée. Faire la même chose avec la production de vin et le climat, pour faire du data journalisme, et raconter les histoires sur le rouge qui tâche et le blanc bourgeois.

Les nouvelles possibilités de plaisir que je vais développer

• Data Analytics—donner du sens aux données (viser la maximisation de l'étonnement quand la visualisation apparait, viser l'effet WAOW)
• Data Literacy—rire comme lorsqu'on comprend un nouveau langage pour la première fois
• Descriptive Statistics—mettre à jour la structure des faits et leurs secrets
• Inferential Statistics—émettre des probabilités sur les caractéristiques d'un immense ensemble
• Data Visualization—montrer des tendances, faire prendre conscience
• Programming—nouer une relation active avec la technologie
• Domain Expertise—développer une immense bibliothèque, une nuée infinie des possibles

Expérience : développer un template de pas à pas en se posant des questions, et non en apportant des réponses

Se demander : comment pourrai-je ne pas répondre à la question, mais plutôt poser la question la plus pertinente.

Précedemment, je me suis posé la question : de quelle information un étudiant a-t-il besoin pour pouvoir effectuer chacune des étapes de la méthodologie. A l'évidence, il a besoin d'avoir une pluralité de mode explicatif (s'adapter à l'architecture cognitive), avec :

* une explication sous la forme d'instructions écrites

* une visualisation de ce qu'il doit atteindre à la fin de chaque étape

* un outil ou un guide de bonne pratique

* un expert qui peut montrer la tâche à effectuer en live, ou un exemple réel.

Maintenant, reste à se poser ces questions sur chaque étape