Chapitre 3, Premières révélations.

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Elle ne se fait pas prier et entame une gorge profonde effrénée, mais toujours extrêmement agréable. J’ai vraiment la sensation de la prendre sauvagement, par le vagin, mais avec ce supplément de sensation procuré par sa langue, ses aspirations, sa salive abondante, ses lèvres, et ses aspirations au fond de sa gorge serrée... Quelques petits spasmes trahissent maintenant l’arrivée imminente de l’explosion, et Aurélie ouvre grand les yeux en me regardant avec insistance. Elle ne veut rien rater de mon plaisir, rien rater pour son plaisir... Les saccades s’accélèrent, la rosée coule franchement et ma première contraction fait ressortir mon sexe de son fourreau. Elle tend bien mon sexe à sa base avec sa main, et en enfourne la moitié dans sa bouche largement ouverte. Elle le caresse partout avec sa langue, lorsque la deuxième contraction le fait cracher violemment dans sa bouche qu’elle garde fermée, pour ne rien perdre du nectar. Une dizaine de contractions suivent, j’ai l’impression que cela va durer toujours, mais les bonnes choses ont une fin... Aurélie déguste mon sperme pour la première fois et ses yeux semblent dire qu’elle apprécie particulièrement. Elle entreprend alors d’avaler à nouveau mon sexe, toujours dur, mais moins qu’avant l’éjaculation, et continue comme cela jusqu’à son repos complet. Elle ouvre alors avec un grand sourire satisfait largement sa bouche sensuelle en tirant bien la langue pour me faire constater avoir dégusté toute ma liqueur et qu’il n’en reste plus une goutte.

— Magnifique Aurélie, c’était vraiment génial, et tu as eu vraiment l’air d’apprécier mon jus...

— Oh que oui, ton sperme est vraiment très, très agréable, doux, légèrement iodé et salé, avec une pointe d’astringence, un pur régal... Merci à toi.

Je défais alors sa laisse improvisée avec ma ceinture et lui dit :

— Allonge-toi sur le lit, et écarte les cuisses comme si tu étais offerte au premier venu !

Aurélie s’exécute, et offre à ma vue sa chatte ouverte bien rose, ses belles lèvres charnues surmontées de son clito bien excité. Elle est encore plus mouillée et plus excitée que lors de notre premier jeu, et sa cyprine coule littéralement à flot vers son petit trou. Je plie en deux ma ceinture, la maintient fermement, et lui administre quelques petits coups bien localisés sur son bouton en érection. Pas fort, mais suffisamment pour la faire réagir.

— Hooo oui, sa pince, vas-y, corrige-moi, j’ai vraiment été une grosse salope...

— Oui, une bonne salope, écarte-toi bien.

— Oui, je suis à toi, utilise-moi comme tu veux, je suis ta chose, ta chienne...

Je prends mon pantalon resté sur le lit et en ressort d’une poche deux petites pinces à seins japonaises.

— Ne bouge pas, je te mets ces deux pinces sur tes tétons.

— On ne m’a jamais fait ça. Aïe, ça fait mal !

— Attends tout à l’heure...

— Quoi ?

— Tu verras...

Sur ce, je m’approche de sa chatte magnifiquement offerte, et plonge dans cette intimité détrempée, à l’odeur de sexe bien présente, musquée et légèrement sucrée. Son clito est complètement sorti, d’un beau rose pâle presque transparent. J’entreprends des caresses sur ses lèvres, en évitant soigneusement son bouton, puis m’enfonce légèrement à l’intérieur. Elle met ses deux mains sur la nuque, sans appuyer, et me caresse doucement pour m’indiquer son plaisir. Ces caresses sont agréables, et je me remets doucement à bander. Je lèche maintenant franchement sa chatte, m’abreuve de son breuvage épicé, et profite de ses petits cris de plaisir. Ma langue pénètre son vagin en de délicats va et vient, puis remonte vers son clitoris.

— Ahhh, vas-y bouffe-moi, je n’attends que ça !

Dans l’impossibilité de répondre, je redouble d’intensité et m’affaire sur son berlingot en de multiples jeux de langue variés, entrecoupés d’aspirations et de mordillements. J’entreprends alors de pénétrer Aurélie avec l’index de ma main droite. Je viens ensuite avec mon majeur, tourner autour de son petit trou. L’hydratation naturelle est telle, que mes deux doigts sont comme aspirés littéralement, et j’entame des allers-retours de plus en plus rapides et profonds dans sa minette et son petit trou, sans arrêter de jouer avec ma bouche. Aurélie se met à se tortiller, à crier, à râler de plaisir en voulant encore plus, plus loin et plus fort, lorsqu’elle se fige, les jambes tendues, presque sans respirer, et prête à jouir... Je porte rapidement ma main droite, libre, vers sa poitrine et défait d’un seul coup l’une des pinces à tétons, qui lui fait expulser un cri de douleur, puis la deuxième dans la foulée.

Aurélie se lâche alors complètement, hurle, halète, tremble et grimace d’un plaisir qui semble énorme. Elle est submergée d’une jouissance qui la laisse souriante et rêveuse, exténuée et dans l’incapacité prononcer un seul mot. Les soubresauts continuent à espaces réguliers. Je reprends alors de plus belle les va et vient de mes doigts dans son anus et sa chatte, et insiste avec le revers de la langue sur son clito tendu, lorsqu’une deuxième vague l’emporte à nouveau. Son bouton est tendu au maximum, son souffle coupé, et je profite simplement et sublimement de ce moment unique et jouissif, d’une femme heureuse, magnifique et sereine, que je ne connaissais pas encore ce matin... Elle pose alors délicatement sa main sur mon front tout en me repoussant doucement la tête.

— Stop, je n’en peux plus, c’est trop bon, hummm... j’ai adoré Maxence, je n’ai pas souvenir d’avoir joui autant et aussi intensément. Je suis complètement vidée, épuisée, dit-elle avec un sourire ému.

— Je n’aurais déjà pas cru cela possible avec un amant de longue date ou avec mon mari, alors avec un "inconnu", ne le prends pas mal, je n’en reviens pas. J’ai complètement lâché prise, je m’en suis entièrement remise à toi... Et tu as scrupuleusement respecté notre accord. Pas trop frustré de ton côté de ne pas m’avoir enfilé ?

— Tous les sentiments m’ont submergé, mais pas la frustration, bien au contraire ! Je ne voudrais pas te décevoir, mais je préfère en définitive ta façon jouissive de me sucer à une pénétration...

— Tu ne me déçois pas, au contraire, je préfère la pénétration comme dessert en général, et me concentrer plutôt sur les préliminaires, bien plus intenses pour moi aussi. Du coup, nous sommes en cela aussi sur la même longueur d’onde...

— Oui, mais de ton côté, tu pratiques la gorge profonde à tous tes "hommes" ?

— Ahah, dis comme ça, ça fait un peu, comment dire... pute, non ?

— Pas du tout, tu m’as juste dit avoir des amants sans me dire combien, et un mari, alors je m’interroge ?

— Ahah, je rigole, je te sens redevenir sérieux là ! Bon, je vais te répondre. Certains amants, oui. Je n’ai par contre jamais sucé profondément mon mari, et je ne le ferai jamais. Je ne sais pas trop expliquer pourquoi. Tout d’abord je l’ai rencontré assez jeune, j’étais en première, et à l’époque, bien qu’ayant presque 17 ans, j’étais encore vierge. Par contre, j’avais déjà sucé quasiment toute la classe ! dit-elle, en ne pouvant réfréner un fou-rire un peu gêné. Un jour, Richard, le coureur de l’école, vient me voir et me dit. Tiens, prend ce billet, c’est Francis de la terminale 4 qui veut une gâterie. Je lui réponds vas te faire foutre Richard, je ne suis pas une traînée, t’es malade ou quoi ! Mais il glousse et s’en va en courant en me jetant le billet à la figure... j’étais très mal à l’aise, je t’assure, et je me suis instantanément dit que cela pourrait avoir des répercussions sur mes deux dernières années de lycée. Mais personne ne nous avait ni vu, ni entendu.

Je ne prête donc plus attention à cette histoire lorsque un soir, à la sortie des cours, Francis débarque comme une fleur et me dis suis-moi. Je ne sais toujours pas ce qui m’a pris ce soir-là, mais je l’ai simplement suivi, sans réfléchir, sans poser de question. De façon incompréhensible, je dois l’avouer j’étais très excitée. Francis était beau, grand, avec un joli sourire. Il ne m’adresse aucun mot, et me fait entrer dans le petit square pas loin de là. À cette époque, il existait encore ces immondes pissotières... Et il se dirige droit vers elle, légèrement cachées au fond du jardin. Il me fait entrer directement, et sur le premier urinoir, Richard était là, la queue à la main, en train de se branler. Je connaissais bien sa belle bite pour l’avoir soulagée à maintes reprises, ce qui accentuait mon incompréhension à le trouver là. Il n’avait pas besoin de toute cette mise en scène pour obtenir des faveurs de ma part.

Francis me fit passer derrière lui, et au troisième et dernier urinoir, m’appuya sur l’épaule pour me faire comprendre de mettre à genoux. Il me dit sur un ton neutre : tu as été payée, alors suce moi. Richard profite de ce moment pour se rapprocher et se mettre sur l’urinoir d’à côté, tout en continuant à se masturber. Sa bite me touche presque le coude, et je dois avouer que la situation m’excitait, même si j’aurais dû ne pas me laisser faire jusque-là, mais je savais inconsciemment que les deux coquins m’auraient laissé partir si j’en avais montré le désir. Au contraire, j’entrepris sans hésiter de dégrafer le pantalon de mon "client", qui bandait bien entendu déjà. Mais je dois dire qu’en extirpant la bête, j’étais déçue. Pas par la taille, mais plutôt par la forme, un gland tout en longueur, presque pas de couilles, et une peau un peu cailleuse, bref, j’ai bien déballé son engin, mais je n’étais pas emballée, m’étais-je dit en souriant. Je l’ai ensuite sucé pendant 10 longues minutes, sans passion, en lorgnant régulièrement vers le sexe du deuxième compère, lorsque sans prévenir, il me déverse son foutre gluant dans la bouche. J’étais furax. Je lui dis : tu aurais pu me prévenir, hein ? tout en recrachant son sperme le long de son sexe.

Mais cela les faisait marrer. Richard avait dû lui dire que j’adorais avaler le sperme, ce qui était vrai... mais là, je n’en avais absolument pas envie. Ce dernier s’approcha alors pour se faire sucer aussi, mais je lui dis non. Je n’étais pas là pour ça. Notre épisode latrines s’est donc arrêté là, et chacun est rentré de son côté. Je ne suis d’ailleurs jamais ressortie avec lui. Ensuite, Francis m’a fait la cour avec insistance, et a fini par me dépuceler à une soirée bien arrosée alors que je suçais un autre garçon. Bref, comme tu le vois, nous ne perdions pas de temps, et les parties à trois étaient (et sont toujours) ses préférées... Par contre, ce serait trop long à expliquer, mais il est aujourd’hui mon mari... Et malheureusement, si je l’aime, je n’apprécie toujours pas vraiment son sexe, et je me répète, jamais je ne pourrais le sucer comme je t’ai sucé…

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