Autour de moi,
Ils sont tous, parents, marié,
Avec des désir de roi,
Moi je n'avance pas,
Pataugeant dans la même pitié,
A croire que je suis condamné au trépas,
Serais-je capable de plus?
De moins je suis capable en tout cas,
Toujours à découvert même pas de quoi payer le bus,
Mais je ne rêve pas de gros bolide,
Je sais je suis un cas,
Mais en rien unique on est tant à végéter en ce monde,
Même si dans mon entourage il n’y a que mépris,
Toujours à questionner mes choix,
Me demandant de quel passion je suis épris,
Me demandant quand je vais me poser,
Quand je vais suivre leurs plans tel des lois,
Quand flemmardise et insouciance vont me quitter,
Mais il y a toujours en moi ce vide,
Qui me fait rajouter le vice à mon cursus,
En plus je dois mettre deux fois plus d'effort pour récupérer de mes bides,
Depuis que la déprime chronique c'est installer à mon corpus,
Est ce que quelque part il a y une sauveuse,
Même si le temps d'une nuit elle sera réduit à une sauteuse,
Et que lendemain pour ne pas le revoir je trouverai mille excuse,
Mon habitude l'auto destruction j'accuse,
Pour ne pas m'engager je m'enferme derrière cette berceuse,
Mais je sais bien que c'est ma tombe que je creuse.
Comment pourrais-je être digne de toi ?
Même pas midi et juste envie d'être bourré,
Fans cette alcoolisme sans lendemain je m’échois
J’ai eu échos qu’à celui qui se lève tôt le monde appartiendra,
Mais il est 17heure et mon lit je n’ai toujours pas abandonné,
Me parle pas de vision je ne sais même pas encore ce que sera mon prochain repas,
Je n’ai pas l’ambition pour me servir de tonus,
Dans ce typhon d’échec je suis pris,
De toute façon je ne jamais su courir après un chèque de fin mois et des bonus,
Il voudrait que j’ai de l’ambition avant que j’ai trop de ride,
Bientôt trente ans et quand on me parle d’avenir d’un air incertain je souris,
Avançant avec insouciance et incertitude,
Mais n’empêche que quand les autres avancent et réussissent je suis surpris,
Le temps passe est une vie de déception et de stagnation j’écris.