Lienli et Freddy partie2

Salut chérie,
Je suis la plus forte et je suis une véritable génie. J’ai réussi à me débarrasser de toi. C’était si dur, mais j'ai trouvé la solution qui tue. Plus d’enfant à nourrir et même quelqu'un qui va te conduire dans ton nouveau chez-toi. Ne t'en fais pas, j'ai déjà donné tes habits à ton éducateur.
Au revoir. Je m'attendais à pire de sa part, mais j'eus quand même une larme de déception qui coula sur ma joue. Freddy, la voyant, l'essuya avec sa manche verte fluo et me réconforta. Ça m'a fait chaud au cœur. Nous arrivâmes là-bas.
— Désolé, Lienli. J'ai du travail, par conséquent je ne pourrai pas t'aider à t'installer. Tu rentres par l'entrée qui se trouve devant toi, me dit-il en pointant la porte du doigt.
Je soupirai et m'en allai sans broncher. À l’intérieur, à l'entrée du bâtiment, une jeune dame, avec un corps légèrement enveloppé, m'attendait avec un large sourire.
— Tu dois être Lienli, n'est-ce pas ?
— Heu, oui, c'est ça.
— Bien, donne-moi ta valise. Je vais la déposer dans ta chambre. Va manger, tu es déjà en retard ! me dit-elle en souriant.
J'arrivai rapidement dans une grande salle avec plusieurs tables collées pour n'en former qu'une. Il y avait une dame distribuant de l'eau, des plateaux avec des petits pois, du riz et des petits poissons congelés, très banal. Je cherchai mon plateau et me mis à la seule table qu'il y avait. Elle était longue. Devant moi se trouvait un grand roux vraiment mignon, il me sourit. Au bout de la table, je vis une jeune fille qui semblait avoir de l'assurance avec une veste en jean. Je vis également un jeune garçon bien garni, avec des lunettes. Toutes les personnes présentes ne ressemblaient vraiment pas à des personnes avec des problèmes mentaux.
La suite de la journée se passa avec Nathalie et sa tonne d'administration. Elle avait cinq tasses de café sur sa table (qui était vraiment désordonnée) puis elle me posa des questions comme : "avais-tu de bons liens avec tes parents", entre autre. C'était vraiment parfait pour me mettre mal à l'aise.
Après cela, on me laissa aller manger et défaire ma valise. À ce moment-là, j’étais toute seule dans ma chambre avec Freddy sur mon épaule. Je rangeais mes affaires, parlant à Freddy en même temps.
— Dis, Freddy. Ils sont où, tes parents, à toi ?
— Moi, hihi, je ne sais même pas comment j'ai été créé et comment j'ai été foutu dans un livre. Ne me demande pas mon âge non plus, je ne saurais pas te répondre.
— Ah bon ? C'est marrant ça. En tout cas, une chose qu'on sait tous les deux, c'est qu'on ne restera pas longtemps ici. Je veux qu'on fasse le tour du monde, tu sais, rien qu'à deux. Ça serait bien, non ?
— Oh oui, tu as vraiment raison, m'affirma Freddy. Soudain, j'entendis quelqu'un se rapprocher du dortoir ; je sentais bien que notre conversation allait être perturbée. C'était Whalter.
— Salut, t'es Lienli, toi, non ?
— Heu, oui, c'est ça, dis-je timidement.
— Alors, j'imagine que t'es passée au questionnaire méga ennuyeux de Nathalie, hahaha.
— Heu, oui, en effet, dis-je avec un petit rire nerveux.
— Tu veux que je t'aide à ranger deux ou trois trucs ?
— Non, ça va, merci, j'ai bientôt fini.
Le restant de la soirée, je continuai à parler avec Walther. Freddy était vachement fatigué, alors il s'installa sur un fauteuil de la salle commune pour faire une sieste. Au moment d'aller dormir, je vins chercher Freddy et lui dis qu'il était temps de dormir, mais il me répondit que la sieste l'avait fatigué, alors je lui proposai de sortir par la fenêtre du dortoir pour se glisser dehors.
Nous marchâmes et parlâmes pendant trente minutes quand, soudain :
— Alors, tu parles toute seule, la nouvelle ?
Je me retournai en sursautant.
— Han, tu m'as foutu une de ces trouilles !
— Réponds.
— Non, je parle à Freddy, mais tu ne le vois pas, il est sur mon épaule.
— Hein, c'est ça, me dit-il en s'approchant de moi et en glissant une de ses mains dans la mienne. Soudain, j'entendis quelqu'un se rapprocher du dortoir ; je sentais bien que notre conversation allait être perturbée. C'était Whalter.
— Salut, t'es Lienli, toi, non ?
— Heu, oui, c'est ça, dis-je timidement.
— Alors, j'imagine que t'es passée au questionnaire méga ennuyeux de Nathalie, hahaha.
— Heu, oui, en effet, dis-je avec un petit rire nerveux.
— Tu veux que je t'aide à ranger deux ou trois trucs ?
— Non, ça va, merci, j'ai bientôt fini.
Le restant de la soirée, je continuai à parler avec Walther. Freddy était vachement fatigué, alors il s'installa sur un fauteuil de la salle commune pour faire une sieste. Au moment d'aller dormir, je vins chercher Freddy et lui dis qu'il était temps de dormir, mais il me répondit que la sieste l'avait fatigué, alors je lui proposai de sortir par la fenêtre du dortoir pour se glisser dehors.
Nous marchâmes et parlâmes pendant trente minutes quand, soudain :
— Alors, tu parles toute seule, la nouvelle ?
Je me retournai en sursautant.
— Han, tu m'as foutu une de ces trouilles !
— Réponds.
— Non, je parle à Freddy, mais tu ne le vois pas, il est sur mon épaule.
— Hein, c'est ça, me dit-il en s'approchant de moi et en glissant une de ses mains dans la mienne.
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Lienli et Freddy partie 2 | Chapitre | 6 messages | 3 mois |
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