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Petite carotte

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Œuvres

Petite carotte

Bonjour à vous, je m'appelle Ysaline et j'ai 12 ans. J'ai commencé à écrire ce roman il y a plus ou moins deux mois. C'est en lien avec mes traumatismes, j'espère que cette lecture vous plaira !

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Bonjour, je m'appelais Mabolala et j'avais 27 ans. J'étais seule et desséchée. J'allais vous laisser avec la stupide Lienli que j'étais. Je m’appelais comme ça avant... Elle n'avait encore rien vu de ce qu'était la souffrance.

Bonjour, je m'appelais Lienli et j'avais 14 ans. Je vivais avec mon père et ma mère. Mon père travaillait dans une station d'essence où il vendait du lait périmé et ma mère courait en ville toute la journée pour jouer à des jeux d'argent.

Je rentrais de l’école quand soudain je vis un poisson. Un poisson?! Là, par terre dans la rue, devant moi?! Beaucoup de questions tourbillonnaient dans ma tête. Perplexe, je continuai mon chemin sans regarder devant moi. Par mégarde, je cognai une vieille dame :

« Eh oh, fais attention où tu vas, jeune fille », me lança-t-elle. Au moment où j’allais me retourner pour m'excuser, je tournai la tête et je vis la dame entourée d'une lueur violette. La dame s'était transformée en sorcière. Sans m'excuser, je pris mes jambes à mon cou et courus le plus rapidement possible en direction de chez moi.

Arrivée chez moi, je fermai la porte et m’assis contre, en criant :

« Mais qu'est-ce qui ne tourne pas rond chez moi ?! ».

J'avais très peur. Après avoir vidé toute l'eau de mon corps, je me ressaisis. La bibliothèque était ouverte ; si j'y allais maintenant, ça m’éviterait de croiser mes parents et en plus j'y trouverais peut-être un livre sur les hallucinations. Je me mis en route.

Arrivée là-bas, je comptais bien me dépêcher, j’avais tout simplement envie d’être seule. J'aperçus des filles de ma classe. Je ne comptais pas aller leur parler car je ne les aimais vraiment pas. Je ne m'entendais avec personne au collège. J'avais la plupart du temps des surnoms comme : La Solitaire, la Bizarre, la Sorcière ou encore la Psychopathe.

Oh et puis zut, je ne trouvai rien, je rentrai chez moi. Chez moi, je savais quoi faire pour obtenir un livre sur les hallucinations. En entrant dans le salon, ma mère était en train de compter son argent et mon père lisait un journal.

— Isabelle, papa (ma mère refusait que je l'appelle maman car ça faisait selon elle trop « maternel »).

— Que veux-tu, création du mal ? dit ma mère en ne levant pas les yeux de son argent.

— Venir avec vous à la brocante du samedi de demain.

— Bien, mais sache que tu ne seras qu'un poids lourd pour moi et ton père.

Les commentaires désagréables de ma mère ne me faisaient même plus rien. J'y étais tellement habituée. Nous arrivâmes rapidement au lendemain, j'avais eu beaucoup d'hallucinations la nuit précédente.

— Bon, aller, tu viens ? dit mon père.

— Heu, oui, tout de suite. e grimpai dans la voiture et nous partîmes. La brocante était réputée et connue car elle était très grande et c'est pour cela qu'on y restait une après-midi entière. Nous passâmes devant des tas de personnes vendant des choses tout à fait différentes.

« Achetez mon livre, achetez-le, il a réponse à tout ! » criait l'un d'eux.

Bahaha, un livre ayant réponse à tout ? Et puis quoi encore. Le monsieur, ayant remarqué que je me moquais de lui, me foudroya du regard. Hélas, nous avions fini la brocante et je n'avais rien trouvé. Nous rentrâmes à la maison. Dans la voiture, ma mère me dit :

— Tu vois, ça n'a servi à rien que tu viennes. Tu aurais pu rester étudier à la maison. Étudier, je pense que ça pourrait t'aider vu ton manque d'intelligence, haha.

Mon père se contenta d'acquiescer par un petit rire et moi, je me contentai de lever les yeux au ciel. Arrivée chez moi, je montai dans ma chambre et ouvris mon sac pour en sortir mon téléphone. Quand soudain, j'y vis le livre du monsieur.

— Quoi ? Mais je ne l’ai pas acheté ! m'exclamai-je.

Par curiosité, je l'ouvris. Avant même que je ne puisse lire un seul mot, un petit bonhomme, ou devrais-je plutôt dire un lutin, en sortit.

— Eh ! Que fais-tu ici, petit monstre ?
— Je m'appelle Freddy, dit ce petit lutin vert enjoué.
— Sors de ma chambre immédiatement ! criai-je.
— Hélas, c'est trop tard. Une fois que je suis devant toi, tu ne peux plus me tuer ou me faire partir. Je te donnerai souvent des petits conseils.

Cela faisait trop d'informations à ingurgiter. Je partis donc me coucher. Le lendemain, nous étions dimanche et Freddy me réveilla de bonne heure. J'avais envie de lui envoyer mon coussin sur la tête, mais il avait préparé des cookies. Il s'assit sur mon lit et me fit goûter ces petites pâtisseries qui étaient réellement délicieuses. Je le remerciai et nous discutâmes :

— Je suis tout à fait perdue. Comment as-tu pu sortir de ce livre comme ça, par magie ?
— Je suis plein de surprises, Lienli, dit-il en souriant.

Finalement, il ne paraissait pas si méchant ; nous passâmes la journée à rigoler et à parler. À un moment dans l’après-midi, ma mère passa devant ma chambre et m'entendit parler toute seule (car pour le moment Lienli ne le savait pas, mais personne ne voyait ni n'entendait Freddy, sauf elle). Elle prit en vidéo sa fille parlant toute seule. Lienli, plongée dans la conversation, n'entendit pas sa mère qui la filmait. Le lendemain matin, Lienli prit vite un cookie de la veille et prit Freddy sur son épaule. Ils arrivèrent devant l'école.

— Cache-toi, non ? Tout le monde va te voir.
— Ne t’inquiète pas, personne ne peut me voir, sauf toi, hé hé.

Je lui fis de grands yeux avant de rentrer dans l'enceinte de l’école et évidemment, en rentrant en classe, ma prof dit :

« Prenez une feuille du collège, c'est interro. J'espère que vous avez correctement révisé. »

Oh non, quelle bêtise ! Avec tout ça, j'avais complètement oublié de réviser. Mais durant l'interro, Freddy me souffla toutes les réponses. Il réussit à aller sur le bureau de la professeur pour voir les réponses. Il est vachement pratique, le Freddy. Soudain, l’éducateur entra en classe et dit :

— Lienli, je peux te voir ?

Moi ? Mais en règle générale, je suis très sage et je ne fais rien. Tremblante, je le suivis jusqu'à son bureau où il me montra l'enregistrement de ma mère où je parlais toute seule. Il me dit :

— Tu vas dans un hôpital psychiatrique. Je t’y conduis, elle t’a laissé une lettre que je te donnerai dans la voiture. En attendant, va dire au revoir à ta classe.

Je me dirigeai vers ma classe les yeux larmoyants. Arrivée dans la classe, je me mis sur l'estrade et dis :

— Pour des raisons personnelles, je dois quitter l’école pour aller dans un hôpital psychiatrique.

Un blanc s'installa alors, puis une élève populaire cria dans toute la classe :

— Je comprends tout, tu es une grosse folle. Tu étais à la bibliothèque vendredi soir. Je l'ai vue dans le rayon « problème psychologique ».
— Je savais que tu étais bizarre, mais à ce point ? me lança le petit ami de cette fille.
— Non mais attendez, dis-je, les larmes coulant sur mes joues.
— Je pense qu'on en a assez entendu, dit alors la prof. L’éducateur t'attend dans sa voiture, Lienli.

J'arrivai proche de la voiture de l’éducateur qui me remit alors la lettre que ma mère avait écrite pour moi. Je m’installai dans la voiture et l'ouvris, je ne savais pas trop à quoi m'attendre.

A suivre...
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Petite carotte

Pardonner ma légère dyslexie,il y'a certainement des erreurs d'ortographe dans le texte.

Notre Aloe verra n'as que 4ans quand elle est éxporter de sont pays d'originen pour venir habiter en France. Il tomba dans une serre. Ce n'étais plus sa famille a ses cotés. Mais des plantes de toute sorte. Il ne trouva aucune Aloe Vera ici. Il se sentai seule et faible. Se sentiments dont il suffoquait déjà dans sont pays d'orgine. Il se faisait constamment rabaisser à cause de ça petite taille. Mais là il se sentais aussi différent. C'étais le seul venant d'aussi loin. Mais cette fois-ci il ne pouvais plus resté cette petite victime qu'il a toujours été. Maintenant il veut devenir plus fort mentalement. Alors que ça ne faisait qu'un seul jour qu'il avait cette nouvelle philosophie,une dame vint vers lui avec un autre homme.
-Il te plait celui là? Lui demanda t-elle les yeux pétillant rien qu'en voyant les tentacules vertes de l'aloe verra
-Je sais pas,prend celuis que tu veux. Dis l'autre homme en tirant une cigarette de sont paquet.
-Nous allons enmennager Carls,fait un effort ! Moi je l'adore ça fera un coté exotique dans la nouvelle maison. Dit-elle en regardant aloe verra comme un petit enfant. Mais la petite plante n'avait jamais reçus se regard. Il se sentais en sécurité,et ça faisait longtemps qu'il ne l'avait plus été. A peine sorti de la serre il se rendi compte que ça ne serait pas aussi facile que ça. Il suffoquait. Et non pas à cause d'un sentiment de faiblesse. Mais parce-que ce n'étais plus du tout la bonne température pour lui. Il faisait glacée en fait.
Sa nouvelle maitresse le déposa a l'arrière d'une voiture. Il faisait déjà plus chaud mais ce n'étais pas suffisant. Il arrivèrent dans un garage sombre où la voiture se gara. La dame se précipita à l'arrière pour récupérer l'aloe verra avec un grand sourire au lèvre. Aloe verra était tout chamboulé. Il priait pour que l'intérieur de la maison sois plus chaude et ce n'était pas le cas.

il n'arrivait que difficilement a tenir. Et cette dame me donnais de l'eau une fois par semaine! C'est beaucoup trop ! J'avais beaucoup de mal à tenir mais je devais rétser en vie . L'aloe verra que j'étais il y'a 1ans n'aurai jamais accaepté cette vie. Mais je voulais paraitre fort au yeux de ma maitresse.

3ans se sont écouler depuis
- Dis moi mon chérion ene devrait pas changer cette plante. Je commençe a m'en lasser.
-Fais comme tu veux
Moi je voulais crier que non,je voulais réster ici pour décorer ce salon.
-Bon je vais l'enmener à:" remplacer pour la planète" . Et me revoila dans cette voiture. J'étais de nouveau cette aloe verra perdu. Cette honte inexprimable,j'étais déçus de moi. Avais-je été une mauvaise plante? Cette connexion que j'avais ressenti avec cette dame,ce n'était que des chimère...
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Petite carotte

Salut chérie,

Je suis la plus forte et je suis une véritable génie. J’ai réussi à me débarrasser de toi. C’était si dur, mais j'ai trouvé la solution qui tue. Plus d’enfant à nourrir et même quelqu'un qui va te conduire dans ton nouveau chez-toi. Ne t'en fais pas, j'ai déjà donné tes habits à ton éducateur.

Au revoir. Je m'attendais à pire de sa part, mais j'eus quand même une larme de déception qui coula sur ma joue. Freddy, la voyant, l'essuya avec sa manche verte fluo et me réconforta. Ça m'a fait chaud au cœur. Nous arrivâmes là-bas.

— Désolé, Lienli. J'ai du travail, par conséquent je ne pourrai pas t'aider à t'installer. Tu rentres par l'entrée qui se trouve devant toi, me dit-il en pointant la porte du doigt.

Je soupirai et m'en allai sans broncher. À l’intérieur, à l'entrée du bâtiment, une jeune dame, avec un corps légèrement enveloppé, m'attendait avec un large sourire.

— Tu dois être Lienli, n'est-ce pas ?
— Heu, oui, c'est ça.
— Bien, donne-moi ta valise. Je vais la déposer dans ta chambre. Va manger, tu es déjà en retard ! me dit-elle en souriant.

J'arrivai rapidement dans une grande salle avec plusieurs tables collées pour n'en former qu'une. Il y avait une dame distribuant de l'eau, des plateaux avec des petits pois, du riz et des petits poissons congelés, très banal. Je cherchai mon plateau et me mis à la seule table qu'il y avait. Elle était longue. Devant moi se trouvait un grand roux vraiment mignon, il me sourit. Au bout de la table, je vis une jeune fille qui semblait avoir de l'assurance avec une veste en jean. Je vis également un jeune garçon bien garni, avec des lunettes. Toutes les personnes présentes ne ressemblaient vraiment pas à des personnes avec des problèmes mentaux.

La suite de la journée se passa avec Nathalie et sa tonne d'administration. Elle avait cinq tasses de café sur sa table (qui était vraiment désordonnée) puis elle me posa des questions comme : "avais-tu de bons liens avec tes parents", entre autre. C'était vraiment parfait pour me mettre mal à l'aise.

Après cela, on me laissa aller manger et défaire ma valise. À ce moment-là, j’étais toute seule dans ma chambre avec Freddy sur mon épaule. Je rangeais mes affaires, parlant à Freddy en même temps.

— Dis, Freddy. Ils sont où, tes parents, à toi ?
— Moi, hihi, je ne sais même pas comment j'ai été créé et comment j'ai été foutu dans un livre. Ne me demande pas mon âge non plus, je ne saurais pas te répondre.
— Ah bon ? C'est marrant ça. En tout cas, une chose qu'on sait tous les deux, c'est qu'on ne restera pas longtemps ici. Je veux qu'on fasse le tour du monde, tu sais, rien qu'à deux. Ça serait bien, non ?
— Oh oui, tu as vraiment raison, m'affirma Freddy. Soudain, j'entendis quelqu'un se rapprocher du dortoir ; je sentais bien que notre conversation allait être perturbée. C'était Whalter.

— Salut, t'es Lienli, toi, non ?
— Heu, oui, c'est ça, dis-je timidement.
— Alors, j'imagine que t'es passée au questionnaire méga ennuyeux de Nathalie, hahaha.
— Heu, oui, en effet, dis-je avec un petit rire nerveux.
— Tu veux que je t'aide à ranger deux ou trois trucs ?
— Non, ça va, merci, j'ai bientôt fini.

Le restant de la soirée, je continuai à parler avec Walther. Freddy était vachement fatigué, alors il s'installa sur un fauteuil de la salle commune pour faire une sieste. Au moment d'aller dormir, je vins chercher Freddy et lui dis qu'il était temps de dormir, mais il me répondit que la sieste l'avait fatigué, alors je lui proposai de sortir par la fenêtre du dortoir pour se glisser dehors.

Nous marchâmes et parlâmes pendant trente minutes quand, soudain :
— Alors, tu parles toute seule, la nouvelle ?

Je me retournai en sursautant.
— Han, tu m'as foutu une de ces trouilles !
— Réponds.
— Non, je parle à Freddy, mais tu ne le vois pas, il est sur mon épaule.
— Hein, c'est ça, me dit-il en s'approchant de moi et en glissant une de ses mains dans la mienne. Soudain, j'entendis quelqu'un se rapprocher du dortoir ; je sentais bien que notre conversation allait être perturbée. C'était Whalter.

— Salut, t'es Lienli, toi, non ?
— Heu, oui, c'est ça, dis-je timidement.
— Alors, j'imagine que t'es passée au questionnaire méga ennuyeux de Nathalie, hahaha.
— Heu, oui, en effet, dis-je avec un petit rire nerveux.
— Tu veux que je t'aide à ranger deux ou trois trucs ?
— Non, ça va, merci, j'ai bientôt fini.

Le restant de la soirée, je continuai à parler avec Walther. Freddy était vachement fatigué, alors il s'installa sur un fauteuil de la salle commune pour faire une sieste. Au moment d'aller dormir, je vins chercher Freddy et lui dis qu'il était temps de dormir, mais il me répondit que la sieste l'avait fatigué, alors je lui proposai de sortir par la fenêtre du dortoir pour se glisser dehors.

Nous marchâmes et parlâmes pendant trente minutes quand, soudain :
— Alors, tu parles toute seule, la nouvelle ?

Je me retournai en sursautant.
— Han, tu m'as foutu une de ces trouilles !
— Réponds.
— Non, je parle à Freddy, mais tu ne le vois pas, il est sur mon épaule.
— Hein, c'est ça, me dit-il en s'approchant de moi et en glissant une de ses mains dans la mienne.
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Questionnaire de l'Atelier des auteurs

Pourquoi écrivez-vous ?

Pour m'évader. Pour éxprimer mes traumatisme mais pas éxplicitement.
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