Chap 6 partie 1 - Hiver et Noël

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Malgré le fait que j’ai dû batailler avec mon père pour qu’il me laisse partir à la montagne avec Emma, je suis finalement assise dans le train en direction du village où se trouve son chalet. La neige recouvre absolument tout, heureusement pour nous. Le trajet en train passe vite grâce à une petite sieste et un livre. Un vent glacial fait voler mes cheveux quand je sors du train et fait rougir mes joues et le bout de mon nez. De l’autre côté de la rue en face de la gare se trouve Emma qui est venus me chercher dans sa toute nouvelle voiture, cadeau en avance de ces chers parents. Le trajet fut enjoué, pleins de rire et rapide jusqu’à ce fameux petit chalet, il est niché entre d’immense sapin à l’abri des regards sur une petit dune blanche et suffisamment reculer de la route pour qu’on ne l’aperçoive pas de cette dernière. Ce décor m’inspire beaucoup et j’eu envie de peindre de grande toile blanche, de croqué ces immenses sapins et tout ce qu’il y a autour de nous. Sur le pas de la porte je me tourne vers Emma, elle lit dans mon regard de la reconnaissance pour cette parenthèse de bonheur qu’elle m’offre. Un super cadeau de Noël en soit !

L’intérieur est superbe, tout en bois sculpté et vernis, des coussins et des plaides recouvrent absolument tous les canapés, fauteuils et chaises, quelques tapis colorés de ci de là, agrémente encore davantage le décor. Je suis la première arriver, comme toujours, j’aime être là en avance pour profiter des lieux et m’installer calmement. Emma me montre ma chambre et quel luxe d’avoir une chambre à moi toute seul ! Elle est petite mais aussi chaleureuse que le reste de la maison, la fenêtre qui déverser sa lumière donne sur l’arrière de la maison et m’offre une vue incroyable sur une immense plaine blanche.

- Bon je te laisse t’installé je vais aller nous faire du vin chaud pour nous réchauffer en attendant les autres.

- Okay super ! D’ailleurs qui a pu venir au final ?

- En fait on va être vraiment en petit comité, il y aura Maxime, Alex, Antoine et Vivianne, Marie a pas pu faire changer d’avis ces parents. Si tu l’avais vue !!! Elle était à deux doigts de faire une fugue pour nous accompagner !

- La pauvre, elle passe ces vacances chez sa grand-mère c’est ça ? répliquais-je en commençant à ranger mes affaires dans l’immense armoire en bois sombre.

- Oui et à parement c’est une vraie peau de vache, je la plains !

- On va prendre pleins de photo, comme ça on pourra tout lui montré !

- Bonne idée.

- Et puis il y a l’année prochaine !

- J’espère.

Elle me lance un clin d’œil et disparait dans le couloir. Je m’installe confortablement sur mon lit et respire un bon coup. Ces vacances vont vraiment être super, pas d’adulte, pas de contrainte, juste la bande presque au complet et 5 jours à vivre selon nos désirs !

Après avoir ranger toute mes affaires et glissaient dans la poche de ma veste un carnet et un crayon je rejoignis Emma dans la cuisine, la bonne odeur de vin chaud a envahi tout le chalet, le rendant plus accueillant encore.

Nous discutâmes une bonne partie de l’après-midi, commençant doucement à organiser journée et soirée, quand enfin nous entendîmes du bruit provenir de dehors. C’est Alex et Antoine qui essayaient tant bien que mal de monté la petite pente avec toute leur affaire, ils sont pires que des filles pour seulement 5 jours ils avaient réussis à venir avec pas moins de 5 valises.

- Venez surtout pas nous aider ! beugla Alex manquant presque de glisser sur la neige et de manger la poudreuse.

Nous rîmes en nous précipitant pour les aider veillant à ne pas nous vautrer. Et c’est dans la bonne humeur que la soirée continue, les garçons prirent leur temps pour s’installer tandis que Emma et moi refaisions du vin chaud, il en faudrait beaucoup, vraiment beaucoup ! Ils débarquèrent en rigolant du couloir, Alex se tourne soudain vers nous et lance.

- Et pourquoi on doit partager une chambre aux faites ? Sophie à bien une chambre pour elle seul !

- C’est parce que moi je suis la préférée de la maitresse de maison, répliquais-je en lui lançant un regard rieur.

- Tain’ en fait il aurait fallu faire plus de lèche à Emma !

- Pourquoi tu te plains ? Tu n’aimes pas être avec moi ? répliqua alors Antoine.

Il y eu un silence étrange jusqu’à ce qu’Antoine ricane en poussant le bras d’Alex qui soupire en se prenant le visage dans les mains.

- Nan mais sérieux mec je me suis vraiment demander si c’était une blague !

- C’était si dure à comprendre ?

- Bah t’en fais jamais donc ouais c’était un peu chaud là !

Emma et moi nous regardâmes tandis que les deux garçons continuèrent leur joute verbale. La luminosité commence doucement à baisser mais nous n’avons toujours pas de nouvelle de Vivianne ni de Maxime ce qui inquiète beaucoup mon amie qui ne cesse de regarder son téléphone. Au bout d’une heure je finis par la pousser dehors pour qu’elle l’appelle et arrête de ce faire un sang d’encre. Pour passer le temps je me mets devant la cheminé pour nous faire un bon feu. Antoine vint m’aidé et c’est dans une atmosphère légère que le feu pris vie. Soudain on entendit des cris provenir de l’extérieur, nous nous regardâmes un instant avant que je ne reconnaisse la voix d’Emma et que je ne me jette dehors. Assise dans la neige Emma s’est recroquevillé comme un petit animal apeuré ou blessé. Je m’approche rapidement d’elle en entourant ses épaules de mes bras, elle lève sur moi un air fatigué.

- Maxime ne viendra pas, lança-t-elle dans un reniflement plaintif.

- Mais… Pourquoi ? Vous vous êtes disputé ?

- Non il a un empêchement mais je suis tellement déçu Sophie, ces vacances elle devait être parfaite mais sans lui ce n’est pas pareil…

- Je comprends, aller vient à l’intérieur, tu es gelé !

Elle hoche la tête et me suit docilement jusqu’à l’intérieur de la maison, les garçons virent tout de suite que quelque chose cloché alors ils prirent guitare et partition, rapprochèrent les fauteuils en cercle, posèrent chips et autre friandise sur la table ainsi que l’énorme saladier de vin chaud qu’Emma avait fait plus tôt et s’installèrent confortablement pour passer une bonne soirée. J’assis Emma sur un fauteuil et lui servit aussitôt un verre et un bol de bonbon. Quant à moi je m’installe à côté d’Alex sur le canapé, nos pieds se touchent et il lève sur moi un regard rieur. Quand ils commencent à chanter l’ambiance change aussitôt. Emma retrouve un peu le sourire et se mets même, quelques heures plus tard, à chanter en même temps que nos musiciens. Je reçus quelque temps plus tard un message de Vivianne qui m’informe qu’elle ne pouvait pas venir, elle avait oublié un voyage aux tropiques avec ces parents. Quand je le dis au reste du groupe nous hument tous une minute de silence.

- Putain un Noël au tropique ça doit être trop bien ! lança Alex.

Nous nous regardâmes tous et levâmes nos verres comme lors d’une veillé !

- Ouais mais nous au moins on a pas d’adulte sur notre dos ! Criais-je alors en renversant un peu de mon verre sur mon haut. Et merde ça commence.

Tous rigolèrent devant mon aire blaser, Emma me conseille de vite aller nettoyer car le vin à tendance à ne pas partir au lavage. Une fois dans la salle de bain je retire mon haut, le passe sous l’eau chaude pour tenter de rattraper ma bêtise, et je me mets à frotter comme une folle. J’y suis allé tellement fort que de l’eau m’éclabousse le ventre j’allais retourner dans ma chambre pour prendre une serviette et un autre haut quand la porte s’ouvre. De l’autre côté se trouve Alex qui devait chercher les toilettes, quand il me vit il détourne vite les yeux.

- Oh heu… S’cuse je cherchais la salle de bain, Emma m’a dit qu’il y en avait une seconde je…

- T’inquiète c’est pas grave, répliquais-je en me couvrant le torse de mes bras.

Il tourne de nouveau le visage vers moi et je remarque alors que ces joues avaient un peu rosi, il semble alors hésité puis finis par entrer en refermant la porte derrière lui. J’ouvre la bouche pour lui demander ce qu’il faisait mais il me devance.

- Tu sais, je… Par rapport à ce qu’il s’est passé avec Sarah, je grinçais malgré moi des dents en entendant ce nom. Je voulais m’excusé. Quand quelque chose devient un peu trop compliqué pour moi j’ai tendance à faire du grand n’importe quoi. Et je voulais vraiment pas te blesser.

J’en reste bouche baie, je ne pensais pas que je l’entendrais un jour s’excuser, et surtout s’excusait comme il faut pour une chose qu’il a vraiment fait de mal. Quand il vit mon regard perplexe il tendit le bras pour prendre une de mes mains. Je décroise les bras et le laisse me tirer à lui. Son regard c’est ancré dans le mien et je me sens comme hypnotiser. Nous nous retrouvâmes si proche que son souffle fit voler quelque mèche de cheveux sur mon front, sa main caresse le dessus de la mienne. Il se penche alors vers moi et mon ventre anticipe la brûlure du baiser. Quand ces lèvres se posent enfin sur les miennes le baisé est presque douloureux, j’en fronce les sourcilles et me plaque contre lui, il emprisonne mon dos dans ces bras et la sensation de ces mains sur ma peau nue me fait gémir malgré moi. Ça fait tellement mal, tellement mal de le désiré comme ça, tellement mal de l’aimer, mais ça fait aussi tellement du bien. Le baisé devint plus puissant plus rapide, nos dents s’entrechoquent comme en éternel combat. L’une de ces mains passe sur mon ventre puis remonte sur un de mes seins, j’en sursaute de surprise. Il la recule alors aussitôt craignant sans doute de m’avoir fait peur.

- Excuse-moi, susurre-t-il entre nos lèvres. Mais j’ai du mal à me contrôler…

- Qui te demande de te contrôler ?

J’avais répliqué ça si vite qu’il cessa de m’embrasser quelques seconde, son regard s’assombris avant qu’il ne replonge dans ma bouche. Il me soulève et m’assois sur levier, fait descendre ses lèvres sur mon cou puis à la naissance de mes seins. Je ne peux m’empêcher de gémir de nouveau. Il me touche pourtant à peine mais c’est déjà si bon, un flacon de parfum tombe subitement sur le sol et se brise mais cela ne nous arrête pas, comme si ce que nous vivions était plus fort que tout ce qui nous entourer. Soudain on toque à la porte et une voix inquiète s’élève de derrière la cloison fermer.

- Sophie ? Tout va bien ?

- Oui oui ça va.

Ma voix je ne la reconnais pas, si roque, si cassé. Je repousse Alex pour me remettre debout et le pousse derrière la porte en lui faisant signe de se taire. J’ouvre la porte et découvre une Emma inquiète.

- Désolé qu’est-ce que tu voulais Emmi ?

- Bah rien mais j’ai entendu un truc se cassé et j’ai eu peur que tu te sois fait mal.

- Ah non désolé en nettoyant mon haut j’ai fait tomber un flacon.

- Oh t’inquiète c’est pas grave, elle me regarde de haut en bas. Et sinon… Tu sais ou est Alex ?

Je me suis senti si bête devant ça question et le silence qui suivit ne m’aide pas à trouver un mensonge digne de ce nom.

- Je… Je sais pas… Dehors ? hasardais-je alors la voix à moitié éteinte.

- Mmmm peut-être, elle me regarda de haut en bas avant de poursuivre, bon je retourne en bas tu me suis ?

- J’arrive !

Je pris en vitesse mon t-shirt et le lance dans la baignoire, ramasse en quatrième vitesse le flacon brisé sur le sol sous son regard et sort de la salle de bain. Je prends au passage un autre haut dans ma chambre tout en jetant les morceaux de verre dans la poubelle de ma chambre, le parfum avait coulé sur mes doigts et l’odeur était devenus très forte. Dans le salon Antoine se tourne vers nous en souriant ces partitions dans les mains.

- Je vais vite fait me laver les mains, ce parfum sent vraiment trop fort pour moi.

Devant l’évier de la cuisine je tente vainement de faire partir l’odeur ainsi que le feu qui consume mon ventre et mon cœur. Un bruit provenant du couloir nous fait de nouveau tourner la tête, Alex débarque la mine ravis tout en prétendant qu’il avait eu besoin d’intimité pour passer un coup de file. Tandis qu’il s’assoit de nouveau dans le canapé, il me lance un coup d’œil avant de replonger dans sa discussion avec Antoine. Comme si rien ne c’était passé dans cette salle de bain. Alors que moi j’eu du mal à redescendre pendant le reste de la soirée, vraiment incroyable ce garçon.

Nous passâmes le reste du temps à discuter, boire et écouté de la musique. Mais quand nos ventres se mirent à crier famine il fut capitale de vite nous trouvé quelque chose à nous mettre sous la dent. Emma propose tout naturellement de sortir manger une montagne de fromage, la région étant peuplé de bon restaurant pas chère et qui reste ouvert tard le soir. Tout le monde accepta. Alors que j’enfile mes chaussures en attendant que les autres soit prêt pour notre petite sortis, Emma se mets à ma hauteur la mine inquiète.

- Ça va Emma ? Tu fais une drôle de tête ?

- Je voudrais pas m’affoler ou quoi mais…

- Mais ?

- Maxime ne répond plus à mes messages depuis notre coup de file de tout à l’heure…

Je me redresse en enfilant ma veste, elle pose sur sa tête un bonnet et entoure son cou d’une large écharpe rouge.

- Vous vous êtes disputer ?

- Je sais pas trop… ça m’a vraiment porté un coup d’apprendre qu’il ne venait pas.

- Je comprends mais si ça se trouve il est occupé non ?

- Je… Je sais pas.

Nous sortîmes attendre les garçons dehors, l’air était froid et la neige crissa sous nos pieds tandis que nous nous dirigions vers la voiture de mon amie.

- Ecoute si ça se trouve c’est rien, il a oublié de te prévenir ou il a plus de batterie, ne t’inquiète pas comme ça, il t’aime alors je vois pas ce qu’il pourrait se passer de mal.

- Oui tu as sans doute raison.

Derrière nous la porte claque et les garçons trottinent jusqu’à nous tout en rigolant d’une blague qu’un des deux à du dire. Une fois à notre hauteur nous nous mimes en route dans la joie et la bonne humeur. Alex glisse de temps en temps des regards pétillants vers moi, mais mes yeux ne quittent pas Emma qui se mue dans un silence que je ne lui connais pas.

Plus tard Emma semble allée un peu mieux et nous en profitons pour sortir entre fille, noël étant bientôt là c’est un peu la course. Cela fait déjà 3h qu’Emma et moi tentons de trouver quelques choses à offrir aux garçons, sans succès malheureusement. Assise à la table d’un café en train de siroté nos verres de chocolat chaud. Ça fait 2 jours déjà que nous sommes arrivés et les vacances reposantes que je désirais tans son compromise. Tout d’abord ma relation avec Alex est de plus en plus étrange. Il nous arrive d’échanger de brulant baiser cacher de nos amis et à d’autre moment il ne m’adresse plus la parole m’ignorant presque. De quoi devenir folle ! Si encore ce n’est que ça je pense que ces vacances n’auraient pas été si catastrophique mais c’était sans compter Emma. Depuis notre arriver elle n’a pas de nouvelle de Maxime et il est vrai que je commence moi-même à me poser des questions. Que le premier jour il n’est pas donné signe de vie passe encore, il y a une foule d’excuse qui sont valable dans ce genre de situation. Mais voilà, ça fait deux jours et mon amie commence doucement à sombrer dans la mélancolie et la peur, car pour elle la seule raison pour qu’il ne lui envoyé pas de message c’est que quelque chose de grave est arriver. Nous nous sommes évidemment tournés vers Antoine son frère mais lui-même nous à avouer ne pas avoir eu de nouvelle de lui, enfonçant plus encore mon amie dans la noirceur de la peine.

- Oh !!! criais-je soudain en la faisant sursauté. Des trucs en rapport avec la musique !

- De quoi ?

- Pour les cadeaux des garçons, non mais sérieux on est trop conne c’était évident !

- C’est vrai que ce serait une bonne idée, elle se redresse et bus une gorgé de sa boisson. Mais quoi dans ce cas ?

- Mmmm vue que Alex joue de la guitare peut être des accessoires ?

- Et pour Antoine des cahiers d’écriture et pourquoi pas des livres sur des compositeurs célèbres ?

- On pourrait même leur offrir des T-shirts personnalisé ! J’ai vu une boutique pas loin.

- Oh oui !!! Avec le nom de leur groupe dessus et deux trois autres machins à côté !

- Super ! Bon attend on a presque plus de temps, Noël c’est ce soir on va diviser pour mieux régner…

- Ok je m’occupe des accessoires et des livres, toi des T-shirts si jamais il faut dessiner un truc mieux vaut que tu le fasses.

- C’est sûr !

- Bon aller go, on se retrouve ici dans 2h ça marche ?

- Ça marche !

Nous nous précipitâmes chacune dans une direction. Heureusement pour moi la boutique de t-shirt était encore ouverte et il n’y avait personne. On me donne un formulaire à remplir avec ce que je veux marquer dessus et s’il y a un dessin, je décide de partir sur une guitare stylisée et un micro croisé. Une fois tout remplis on me précise qu’il faudrait que j’attende 30minutes au moins, j’en profite pour faire un autre tour du centre commercial.

Ce centre est vraiment grand, beaucoup de monde y circule mais les avenus sont suffisamment large pour permettre une bonne circulation. Je me mets à flâner entre les magasins, m’arrêtant de ci de là devant une boutique. Soudain une vielle vitrine de musique attire mon œil, l’intérieur est poussiéreux mais sent bon le bois et le plastique. Je rentre à l’intérieur et suis rapidement émerveiller, il y a vraiment beaucoup de choix, du rock jusqu’au classique en passant par des genres musicaux dont je n’avais jamais entendus parler. Sur une vielle étagère pleine de CD je vois soudain un vieux groupe de rock dont le nom me dit vaguement quelque chose. Je m’en saisis et retourne la jaquette pour lire le dos.

- Je peux vous aider ?

Je sursaute malgré moi à l’approche du vendeur.

- Oh désolé, je ne voulais pas vous effrayait.

- Y a pas de mal j’étais plonger dans mes pensées, il jette un coup d’œil au CD dans ma main et me sourit fortement.

- Je vois que Mademoiselle est connaisseuse, ce groupe avait fait fureur dans les années 60, c’est encore un grand classique même si peu de gens se souvienne encore de ce groupe.

- Oh, c’est alors que j’eu l’illumination.

Ce groupe c’était celui dont m’avait parlé Alex, il adore leur morceau et leurs manières de jouer de la musique mais le groupe était tombé dans l’oublier et les CD ne se trouvaient plus ou alors à des prix bien trop important pour lui. Je me mets alors à chercher frénétiquement le prix sur la jaquette mais rien n’était inscrit.

- A combien est-il ?

- Ah vous avez de la chance c’est le dernier que j’ai en magasin et comme ce groupe ne marche plus de nos jours je veux bien vous faire un prix.

Il me sourit de nouveau en m’approchant de la caisse, je suis aux anges ! Je m’en sors pour à peine 20€. Je suis sûr que ça lui fera plaisir, pendant cette soirée il n’avait cessé de me parler de ce groupe qu’il avait entend lors d’un concert, le groupe qu’il écoutait faisait une reprise et Alex c’était enflamment, c’était resté pour lui un des meilleurs souvenir de son passé.

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