Chapitre 3
Dess perçoit à nouveau le sols, il semble être arriver sur une petit île de quelque kilomètre, mise à par l’herbe qui jonche le sol, il trouve aussi de mystérieuse arche en pierre alignée les une à coté des autre et Hank. Il fait quelque pas et arrive rapidement au bord de l’île, il découvre un fait intéressante cette îles ne flotte pas dans l’eau mais dans l’aire. En contre-bas dans un vide bleu comme le ciel des îlots flottent dans le vide survolés par des oiseaux de mille et une couleurs ainsi que des débris, un véritable petit archipel qui surplomb au plus bas un immense territoire qui s’étend à perte de vue. Ces bords sont couverts d’une immense forêt écarlate à l’aspect sauvage. Elle est démentie par un chemin qui la fend en plein milieu elle continue jusqu’en direction de construction mais Dess les voix mal ils sont trop loin.
« (Comment réussir à descendre ?) » se demande-t-il.
Hank qui depuis qu’il sont arriver est rester inanimé se dirige d’un pas ferme vers le bord, il s’apprête à se projeter, au moment où son pied devrait rencontrer le vide, une pierre semble se matérialiser sous sa semelle avec un claquement sec, paressant supporter son poids sans aucun problème. En se rapprochant, Dess constate que les débris s’alignent pour former à présent un escalier vers l’île. Avec précaution il décide d’emprunter ce chemin peu conventionnel, ce n’est qu’une fois arrivé en bas de l’escalier qu’il ose reprendre sa respiration, apparemment rodé à cet exercice, Hank l’attend adossé à un arbre.
Ils suivent le chemin qui parcourt la forêt, au bout de quelques minutes ils arrivent à un croisement où ce trouve un panneau fléché. Vers le nord est inscrit un assortiment de symboles sans le moindre sens, soudain les symboles commencent à se dénaturer pour former des lettres qui se déplacent pour former le mot «Refuge». Ils suivent cette direction pendant un quart d’heure et arrivent à l’orée des bois. Se dresse alors un gigantesque rempart qui semble grandir aussi loin que la forêt. Pour le franchir deux portes monumental en pierre, défendues par des gardes en armure boisée.
Sur le bord de la route se trouve, la statue marmoréenne d’un chevalier. Hank s’approche d’un garde qui lui demande de décliner son identité. Il tire alors sa manche pour laisser apparaître un bracelet argenté autour du poignet. À sa vue le garde sort d’une de ses poches une corne de brume en ivoire et souffle dedans. Lee sol se met a trembler de petite secousses, Dess tourne la tête et voit la statue qui s’anime.
Elle descend de son socle et marche vers le rempart. Elle pose ses deux mains sur les portes et se met à les pousser de tout son poids, jusqu’à les ouvrir puis elle se retourne et ce replace sur son pylône.
Ils entrent est découvre l’intérieur des murs, la route qu’ils empreinte depuis le début s’étend à travers une campagne pendant bien une centaine de borne jusqu’à un autre rempart, il faudrait une journée entière de marche pour atteindre le bout du chemin.
C’est alors qu’une charrette tirée par deux énormes loups blancs s’arrête devant eux, Hank fait signe à Dess de monter dès qu’ils s’installent à l’arrière, le chariot fonce à toute vitesse.
Le vent dans les cheveux Dess admire le paysage bucolique : des maisons, des champs, un moulin à vent, un lac… comme la vision d’un tableau moyenâgeux cette endroit semble être rester figée dans le temps. Depuis qu’il sont là Hank semble moins bavard, même si c’est vrai qu’il ne parle pas beaucoup maintenant il l’est encore moins, il n’a pratiquement rien dit depuis Denver. Dess a envie d’aborder une conversation mais il ne sait pas quoi dire.
Ils arrivent assez rapidement au deuxième rempart, le chariot passe le seuil de nouvelle portes qui sont ouvertes. Dess voit enfin se concrétiser sous ses yeux ébahi ce fameux "Refuge". Paris connu comme la ville lumière, New York la ville de la nouvel chance ou Londres la vielle cités européen ; aucunes de ces villes que Dess a vu en photo ne peut se mesurer à cette cité, si on devait lui donnait un titre se serait la ville du monde.
L’architecture diffère d’un bâtiment à l’autre passant d’une maison traditionnel orientale à une tours au allure gothique séparer par une échoppe occidental, rien qu’a l’œil on sait que plein de culture différente vive ici dans une sorte de symbiose.Ce lieu semble le résultat d’un mélange de toutes les villes du globes.
Notre protagoniste ne peut s’empêcher d’être épaté par le tableau incongru qui se dessine devant lui, la route pavée sur laquelle ils roulent est bondée de monde, tous les passants sont aussi loufoques les un des autres, certains sont anthropomorphe, d’autres ont une taille extraordinaire. On a l’impression d’assister à un carnaval, bien que Dess sache qu’il ne s’agisse pas de costumes, en contrebas un cours d’eau s’écoule le long de la chaussée, dans lequel nagent des sirènes. L’une d’elle regarde Dess et laisse échapper un sourire avant de disparaître sous l’eau.
Le chariot s’arrête, ils sont arriver à destination, Hank descend suivi de prés par Dess, ils arrives à encore à un autre rempart en regardant un plan de la ville au murs Dess comprend que les différent quartier sont séparer par des remparts, il y en a aussi un qui entoure la ville et sont enceinte. Le changement de couleur des murs et du pavement montre aussi le changement de lieux, un panneau indique "Quartier de l’Administration". L’air semble moins lourd dans cette partie de la ville, la route s’est raccourcie devenant une rue les bâtiments se ressemble tous des vieux édifices en pierres noirs fissurés, le plus étrange est la végétation qui envahit les lieux.
Elle recouvre les bâtisses, les bancs et même les lampadaires un jardin rurale. Au bout de la rue se trouve le plus grand monument du quartier. Il ressemble à un vieux temple Bouddhiste a l’allure d’un château, Dess suit Hank à l’intérieur.
Ils avancent dans un corridor bordée de pièces qui ne semble jamais en finir. La végétation est omniprésente, chaque salle est remplie de plantes, dans l’une des chambre se trouve un étang où coassent des grenouilles et dans une autre un pommier, mère nature c’est réellement approprié les lieux.
Au bout du couloir se dresse une immense porte en pierre ornée d’une fleur de lotus, Hank pousse vigoureusement la porte qui laisse émerger une lumière éblouissante, il semble avoirs quelque chose à dire avant de continuer.
- Ta mère est morte et ton ancienne vie a pris fin. Mais tu as l’air déterminé à comprendre ce qui s’est passé. La personne derrière cette porte pourra sûrement te guider sur le chemin sinueux qui te mènera à ces réponse.
Sur ces mots Hank repart en arrière et laisse Dess face à l’entrée. Il s’avance dans la lumière, étonnamment devant lui s’étend une prairie surmontée d’un ciel bleu, en son centre, un arbre gigantesque, il s’approche de l’arbre et ne remarque personne, il demande d’une voix frêle « Il y a quelqu’un ?».
- Alors tu es enfin arrivé.
En levant la tête il aperçoit un homme allongé sur une des branches. Surpris par celui-ci qui saute de l’arbre aussitôt, Dess recul alors qu’il atterrit sans le moindre à-coup. Alors qu’il vient bien de sauter de dix mètres de haut, se tient devant lui, un homme plutôt ordinaire, mise à part des grands lobes d’oreilles qui tombe au niveau de sa mâchoire.
- Ravi de te rencontrer Dess je suis le directeur du Refuge.
- Vous êtes la personne qui dirigée cette ville, vous êtes quoi le maire ?
- Le terme de directeurs fais plus accueillant je trouve. Je ne vais pas y aller par quatre chemins tu ne peux plus rentrer chez toi, et il semble que tu veuille des réponse sur tous ce qui t’est arriver.
- Pour l’instant je voudrais savoir ce que je fais là, Hank ma dit qu’on l’avait envoyé pour me chercher, pourquoi.
- Je ne peux pas répondre, non plus précisément je ne veux pas répondre à cette question.
- Pourquoi !
- Pour te répondre je vais essayer de t’expliquer la situation actuelle. Tu est au Refuge une institution qui existe depuis des temps immémoriaux, ici vive les mythe dons maintenant tu connais l’existence. Ici nous apportons notre aide au mythe mais tu en est pas un alors ne avons aucun devoir de te venir en aide.
- Ou vous voulez en venir.
- Si tu veux qu’on t’aide il va falloir que tu nous aides.
- Je suis censé faire ça comment ?
- rejoint le Refuge, vie, apprend et grandi ici est si tu réussit à devenir un élément assez important nous t’aiderons.
- Et il se passe quoi si je refuse.
L’aire satisfait qu’il arbore depuis le début de cette entrevue disparaît pour laisser un visage plus sérieux.
- La plus part des mortel qui arrive ici finisse de plusieurs façons. Dans le meilleur des cas, on t’effacera la mémoire, tu oublieras tout ce que tu as vu aujourd’hui, littéralement tout, du moindre détail de paysages jusqu’à la mort de ta mère, son existence même disparaîtra du plus profond de ton être et elle ne sera plus qu’un écho du passé. Pour le reste, je te laisse l’imaginer.
Dess reste muet ne sachant pas quoi répondre.
Le Directeur s’approche de Dess, le regarde dans les yeux la main sur sont l’épaule.
- Je sait que c’est pas un choix mais dis toi que tu fait partit des rare à qui on fait cette proposition. Que décide-tu ?
Dess est confus a la fois cette impression qu’on lui force la main lui donne envie de refuser mais il est dos au murs il s’est passez trop de choses, il a vus trop de chose pour abandonner maintenant.
- A votre avis, j’accepte.
-Tôt ou tard tu auras la réponse à tes questionne les réponses te plairont ou pas sa ne tiendra qu’a toi, mais pour l’heur je te souhaite la bienvenue au Refuge.
Le directeur sort de sa poche une lettre.
- Donne là au chef des gardes de la porte sud de l’Académie. Suit le golem il t’y mènera.
Dess se retourne pour voir une sorte de statue en pierre animée qui fait à peut prés sa taille mais avec des sorte de veine bleus qui parcoure sont corps. Le directeur lui a disparue sans faire un bruit.
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