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Marie Lune

sous un saule pleureur.
Marie Lune
Mes poèmes, ces petits bouts de moi...




Couv : Canva
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Défi
Marie Lune
" Les monstres existent vraiment, les fantômes aussi... Ils vivent en nous, et parfois ils gagnent" Stephen King.

Cette citation explique aisément ce qui se trouve dans cette œuvre autobiographie qui s'agrandi de jour en jour, et qui pourtant n'était au départ qu'une simple réponse à un défi lancé par Sophie M Rigger.

Mais peut-être que je l'écris plus pour moi, que pour vous.

Pour que les monstres et les fantômes de mon passé ne gagnent pas.
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Marie Lune
Un petit recueil de phrases, moments avec mes enfants.

Couv : Canva
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Marie Lune
La revisite de ma réponse au défi " Un repas pas comme les autres" sur les canteurs.

Ce texte m'a été inspiré du vécu d'une amie, rassurez vous la fin, elle, est purement fictive.
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Défi
Marie Lune
Défi : La fin ?
Vous voilà pendant une lourde tempête sur un bâteau. Vous qui aviez toute une vie pour réussir et dont le futur paraissait prometteur, vous passez par dessus bord. Vous coulez et tombez petit à petit dans les abysses. Racontez moi ce que vous ou votre personnage vivez dans cet instant.

Bref, racontez moi cette noyade ! Votre fin ou même votre renaissance !

Tous les genres sont à prendre ! De la poésie à la fantasy !

Couv : Canva
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Marie Lune
Aujourd’hui, je suis décidée ! Ma culpabilité me serre les viscères, malheur et honte, hier; j’ai fait des pâtes ! J'étais fatiguée. Horrible mère que je suis ! J’ai vu dans les yeux de ma tendre progéniture la déception, la trahison qu’ils ont ressentie ! Je cours, enfin, je roule, jusqu’à la boucherie. - Un kilo de Bourguignon, et vite mes enfants ont grande faim ! - À ce point ! Me répond le boucher, tremblotant. Je chope quelques carottes et pommes de terre au passage, je sais que j’en ai encore, mais… On sait jamais ! Je monte dans ma voiture, l’adrénaline au ventre en voyant l’heure passer. Mon Dieu, faites que le timing soit bon, entre continuer la cuisson et risquer de foutre le feu à la baraque si je dois m’absenter pour aller récupérer la troupe à l’école, le choix sera vite fait ! Je roule, je roule, enfin, comme je peux, la grand-mère devant moi n’a pas l’air de comprendre que je risque de me faire bouffer un bras ! Je deviens mathématicienne tout le long du trajet en me remémorant la recette. Celle qui me rendra grâce devant mes enfants ! J’arrive chez moi, je monte les escaliers 2 par 2, avec aux bras un sac pour le devoir au goût de légumes et un sac rempli d’amour a
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Marie Lune
Pour les petits poètes brouteurs de part le monde.
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Défi
Marie Lune
Je me souviens de nos moments heureux où nous étions tous insouciants. Jeunes, et peu fous, nous n’avions peur de rien. Ensemble, nous formions une armée. Notre armée. Contre nos familles, nos échecs et nos peines, nous luttions ensemble, et nos limites nous les repoussions sans cesse. Téméraires et soudés, les autres nous enviaient. Je me souviens de nos fous rire, tard dans la nuit. Sans parents pour nous attendre, la lune a fini par nous adopter. Et lorsque mes larmes coulaient, toujours vous tentiez de les assécher. Le monde nous appartenait, et nous pensions que personne d'autre, hormis nous, n’existait. Arpentant les villes, les forêts et les champs, « Toujours ensemble » était notre slogan. Nous étions nombreux, mais comme un seul cœur, les nôtres battaient à l’unisson. Mes ami(e)s, ma deuxième famille, ma bande. Je vous aime tant. Et maintenant, voici que nos enfants jouent ensemble, et écoutent les vieilles histoires de jeunesse de leurs parents. Par tout ce que j’ai de plus cher, je me souviendrai toujours de ces instants que je chéris tellement.
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Défi
Marie Lune
La lune brille intensément cette nuit. Une myriade d’étoiles filantes passe sous mes yeux émerveillés. Je respire intensément en fermant les yeux et profite de ce moment de quiétude. Lorsque je les ouvre à nouveau, du coin de l’œil une forme attire mon regard. Mon père est là, se tient à mes côtés. - Papa ? dis-je dans un souffle, semblable à un murmure. Il me sourit. - Je ne suis pas ton père. Je suis la mort, j’erre dans les rayons de lune et viens vers toi sous la forme que tu aimes le plus. Je suis abasourdie, je l’entends dans ma tête, et pourtant il continue de me fixer avec son tendre sourire. - Pourquoi sous la forme de mon père ? Il n’est pas celui que j’aime le plus ! - Si... pour le moment, il l’est, car tu l’as perdu. Jusqu’à ce Dieu me demande de venir chercher l’âme d’un autre de tes êtres chers qui prendra sa place. Vous les humains êtes ainsi... vous aimez ce que vous avez perdu, plus que ce que vous avez. C’est à lui que tu penses chaque matin quand tu te lèves et chaque soir quand tu te couches ? - Oui… - Voilà, c’est ça l’amour. Mais ce n’est pas constant. C’est terrible. Votre cœur me supplie de venir vous chercher parfois quand la douleur de la perte d'un être
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Marie Lune
La correspondance de Lucy avec ces personnes qui font, ou ont fait parti de sa vie.
Ces lettres qu'elle n'enverra jamais.
Ces non-dits à ces gens sur terre comme au ciel.
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Défi
Marie Lune
— Hey chéri ! C’est moi, tu te souviens ? Bon… à ton regard perdu je pense que non. Ce n’est pas grave, c’est normal je pense, t’as ronflé pendant plus de vingt ans quand même. Mon pauvre, tu vas devoir en faire des squats pour récupérer ton légendaire fessier. C’est triste… quel gâchis ! Enfin, bref ! Hey, c’est vrai ou pas que les gens dans le coma entendent tout ce qu’on leur dit ? J’espère que non, parce que sinon tu vas être déçu, chéri. J’ai pas vraiment tenu les promesses que je t’ai faites les premières années pour tout te dire. Rien à voir avec l’amour, hein, je t’ai aimé, et je pensais vraiment que cela durerait toujours, que je serai prête à sacrifier toute ma vie pour m’occuper de toi et t’attendre, mais voilà, je t’avoue que j’ai brisé cette promesse au bout de deux ans. Ouais, que deux ans, je sais, je suis immonde. Ho, je vois à ton regard, que tu commences à te souvenir de moi ! Arrête de gigoter comme ça, tu vas arracher les perfs ! Je te préviens, j’ai la molette à morphine dans la main alors tu te calmes ! C’est bon ? Bien... Bon, je te disais quoi déjà ? Ah oui ! Deux ans… Au début je venais tous les jours, j’y tenais. Je n’acceptais pas que les infirmières fass
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