Hell hunt est un univers de jeu de rôle crée par un ami. Il est très complet et complexe. Je résumerai ici les bases
un Empire cruel asseoit sa domination sur le peuple. Le Hell Hunt est une organisation de rebelle ayant pour but de créer une révolution contre l'empire. l'univers n'est pas manichéen, je n'ai juste pas de moyen de résumé de manière courte un univers qui ne m'appartient pas. Il y'aura donc des notes du MJ au début de chaque récit pour détailler les éléments qui apparaitront dans cette partie là. Chaque chapitre est indépendant des autres.
amusez-vous bien, encore merci à la personne qui m'offre son univers

Ses cheveux noirs tombait en cascade sur son dos nu. je visualisais ses courbes voluptueuse, elle se retourna vers moi avec tant d'ardeur dans ses yeux émeraude. elle semblait si sure d'elle et son sourire ne pouvait que lui porter grâce. elle m'embrassa, ses lèvres avait le goût de miel, elle semblait si douce. je me perdais dans ses yeux avant que que je ressenti sa poitrine contre moi. elle se serrait et augmenter la chaleur. ses yeux verts semblait s'allumer comme si la prairie qu'incarnait ses prunelles me disait de m'abandonner.je touchais son dos nu et y sentis quelques cicatrices. Ma muse s'était blessé visiblement il y'a fort longtemps. je n'osais lui demander d'où lui venait ses vieux sillons dans sa peau si parfaite. mes doigt caressèrent doucement sa chevelure. elle posa ma tête contre sa nuque, je sentis une odeur d'océan, de liberté. Elle semblait représenter tout ce que j'avais connu, que je connais, et que je connaitrais. Même si je l'avais voulu je n'aurais pas put partir face à elle. Elle continuait de me sourire comme une invitation à oublier le vacarme de la ville et la lumière à la fenêtre. Elle avait un grain de beauté sous l'oeil qui rajoutait encore du charme à un tableau quasi-parfait presque iréel. pourtant je savais qu'elle partirai, qu'elle disparaitrai. elle est ma muse et elle vient la nuit pour me faire oublier le poids de la solitude. elle était jeune et moi aussi.

Je souhaite vous remercier, tous autant que vous êtes d'avoir construit cette vie avec moi. mes amis, mes ennemis, mes peurs, mes espoirs... tous mes regrets, toutes mes connaissances... je sais qu'ils disparaitront lentement avec la chair qui entoure mon corps. ne m'enterrez pas, brûler et disperser les cendres dans la vallée. J'ai passé une vie à m'asseoir en face de vous et à sourire à mes petits-enfants, à leurs raconter des histoires. Aujourd'hui après 83 ans d'existence, j'accepte de cèder ma place. à quoi bon me retenir ? Je suis tellement heureux de mourir entouré de mes proches, de mes connaissances... Je suis heureux de ne pas souffrir de l'oubli et de pouvoir dire à mes petits-enfants que je les aime. Ma vie n'a jamais été qu'une longue quête visant à comprendre qui j'étais. aujourd'hui, oui je crois avoir trouvé le Dasein d'Heideggeder. Peut-être est ce une vulgaire illusion ? mais du fond du coeur, merci de me laisser mourir chez moi. je ne vous oublierais jamais, je sais que le petit Anthony non plus ne m'oubliera pas, il est si jeune mais il veut tout le temps que je lui raconte l'histoire des l'homme qui souhaitait capturer la lune et les étoiles. il est mon seul vrai regret, j'aurai voulu le voir grandir. faites en un bon jeune homme mes fils ! merci et au revoir là-haut ! j'ai trouvé qu'elle place j'avais dans ce monde, peut-être est cela le privilège des condamnés.. je vous aiment.

ce village à 50% composé de vache sur une population de 500 habitants est perdu dans le centre-France. Les journées se sucèdent normalement, ils ne sont que des grains de poussières dans l'immensité du monde. le lieu de rassemblement comme bien souvent dans les villages est le café-bar. la vie est simple et les gens respirent l'honnêteté. pourtant unne nuit, une pluie de météorites tomba sur le village et fracassa le bar tuant le patron et sa femme. la tranquilité de ce village sera troublé par l'arrivée d'armée de sicentifiques et de journalistes qui veulent étudier les météorites sous Cops. Arnold Basil vivant de génération en génération ici refusera de partir de chez lui, il veut défendre sa terre d'enfance, l'endroit où tous ces souvenirs se rassemblent et où sa vie avait de l'importance. la plupart des habitants le rejoindront. . Zachary est scientifique, il rêve de gloire et de découverte, de soigner des maladies et aider ces concitoyens, il entendit parler de météorites découverte et se précipita, il rêvait de cet instant depuis longtemps. ce qu'ils allaient découvrir dans ces météorites risquait de changer la face du monde....

j'écris car j'en ai envie. ça s'arrête là^^

On se connaît bien toi et moi. On a traîné ensemble souvent. On a grandi ensemble. Enfin, non. La vérité, c'est que je ne te connais pas. Je ne t'ai jamais connu. J'ai grandi dans une famille merveilleuse, mais al vie étant ce qu'elle est. Ce petit cocon n'a pas été épargné. Avant même ma naissance, tu étais supposé exister. Un grand gaillard de deux ans mon ainé. Tu aurais peut-être eu les cheveux bruns et bouclés ou longs et raides. On se serait peut-être détestés. Je ne peux m'empêcher de nous imaginer. Faisant nos études ou nous aventurant ensemble dans les contrées du monde du jeu vidéo. Je nous imagine un soir de juillet alors que la chaleur nous a accablé toute la journée. Ça pue la sueur dans ma vieille chambre d'ado. On se relance une game, on rigole. Trop fort, notre mère vient nous voir pour nous dire de baisser d'un ton car on fait trop de bruit. Dehors, il fait enfin nuit. On ouvre la fenêtre et on s'échappe dans la nuit pour aller au vieux château. Je te fais part de mes doutes sur mon choix d'étude, sur mes amis et mes aventures. Tu me taquines gentiment en me disant que de toute façon, je ne pourrais pas faire mieux que toi. En haut de cette tour bercé par l'obscurité, nous regardons le village où nous avons grandi. Le monde s'en tient à notre famille. Tu me dis d'arrêter d'être une boule de nerf et d'envoyer chier toute personne qui essaie de faire des efforts pour moi. Je te réponds juste que je ne veux plus jamais avoir ce sentiment d'être enfermé dans mon propre corps. Je t'évoque ma petite amie. Une fille géniale. Tu me chambres en me rappelant qu'elle n'a qu'à écouter mes goûts musicaux pour s'enfuir.
Tu m'aurais engueulé pour les premières conneries. Tu m'aurais sûrement soutenu dans certains choix. On aurait tout partagé même si je ne suis d'ordinaire pas capable de partager grand-chose. Tu m'aurais fait sourire avec tes blagues stupides. Tu serais venu à Dijon et on aurait évoqué le temps qui passe si vite. Les amis qui finiront par disparaître. La vie d'adulte et ma terreur de ne jamais être pleinement adapté dans cette vie.
Est-ce que tu crois qu'on se saurait aimé comme des frères ? Ou détesté ? Est-ce que tu m'aurais pris pour un gamin ingrat ?
Moi, je pense qu'on se serait aimés. Je t'avais déjà écrit par le passé.
Je t'imagine devenir ingénieur ou livreur domino. Dans le fond, cela n'a pas d'importance. Je t'imagine dans notre maison en train de chambrer ma sœur et d'éclater de rire tous ensemble autour de cette table à un seul pied devant un repas simple de champignons et de riz. Je t'imagine me sortir de ma coquille. je t'imagine m'exhortant à vivre quoiqu'il arrive. Et c'est ce que je fais. Je vis pour que tu vives à travers mes yeux.
Une feuille de hêtre dans le dos pour ne jamais oublier.