Suite de texte.

Tu m'a mis a terre, dès le moment ou tu as appris pour mes sentiments. Tu en as souiller leurs valeurs, les rendant grossier et echoeurant. Pour toi, ce n'était que des sottises, des balivernes. Un essai ? Pourtant ca ne l'était pas. Et ça ne l'est toujours pas, tu sais.
J'aimerais que tu arrêtes de me regarder avec ces yeux dédénieux. Je ne t'ai jamais pris pour acquis, tu sais... Je savais que je courrais a ma perte en te les avouant. J'ai appris a prendre les coups que tu me donnais, j'ai appris a te laisser deverser ta haïne sur mon pauvre corps marqué par tes multiples supplices. J'ai appris à faire face a ton homophobie.
Oui. Un garçon qui t'aime. Moi qui t'aime. Je ne comprend pas pourtant, pourquoi cela te dégoute tant. J'ai un coeur, une âme, comme Marie. Comme elle, je suis un être humain.
Mais... Tu ne regardes que ce que tu vois physiquement. Pourquoi un physique peut faire peur ? Nous ne passons pas notre vie avec un corps, mais plutot avec une personne.
Je comprend dans un sens, pourtant. J'ai brisé ce que toi, tu pensais pour acquis. Notre amitié. Mais, ne crois tu pas que ta haîne est trop simple ? Trop rapide ? Peut être que c'est plus facile pour toi.
Mais haïr une personne pour une chose, tel que l'amour... C'est une erreur. Une grosse bêtise.
L'amour ne se contrôle pas. Mais j'encaisse tes coups, tes mots, aussi coupant qu'une lame de rasoir. Et j'encaisse ta haïne. Peut-être qu'un jour... Tu comprendra que l'amour n'est rien d'autre que l'amour. Et qu'il ne mérité pas de telle sanction. On ne punis pas l'amour par la haïne. On ne le souille pas, ne le rend pas plus bancal qu'il l'est.
Et pourtant Malgrè tout ce que tu me fais subir pour mon amour... Je te pardonne. Absolument tout. Je ne t'en veux pas. Pas parceque je t'aime, mais plutot parceque tu ne mérite pas ma haïne. Tu ne mérite pas ma colère.

Comme tous les autres, tu as dis que c'était de ma faute. Crois-tu vraiment que tous ce qui ce soit passer est était programmer uniquement par moi ? Hélas, tu n'avoueras jamais. Je ne sais que faire devant ton regard hagard devant ma personne.
Je n'ai pas était le seul a t'enlacer. Je n'ai pas était l'unique personne entre nous deux a faire tous ça. Tu y a participer. Alors ne dis pas que c'est uniquement de ma faute. Ne viens pas m'accuser de t'avoir effrayé par mes actes. Tu as répondu a tous ce qui c'est produis. Tu étais d'accord, consentant.
Mais devant les autres, tu as nier en bloque que nous sommes intime. Tu as juré devant eux que je n'étais qu'une chaudasse. Et tu as dis qu'en plus de ça, tu n'avais pas étais d'accord.
Crois tu que ce soit réelement ce qui c'est passer ? Moi non. Hélas, tu n'avouera jamais.
Alors... La faute a qui ?

En hurlant, tu as fais trembler les murs. Le miroir accrocher a finis par tomber, et ses briser en un milliard d'éclat. Vois-tu, ce que tu as fais ? Vois-tu a ce que mon coeur dois ressembler ? A force d'agir comme tu le fais, tu me blesse. Et certaines choses son irreparable. Pourquoi fais-tu autant de mal autour de toi ?
Est-ce un automatisme ? Un acte pour te défendre du monde qui t'entoure ? Mais personne ne te veux du mal, tu sais. C'est toi qui met corps et âme a repousser le monde entier. Et tu hurles, tu continue de crier.
Tu ne t'arrête plus, la maison tremble devant ta voix qui doit porter sur des kilometres. Tu assourdit tous autour de toi. Et moi, je tombe a terre, au millieux des éclats de mon coeur.
Tu t'arrête soudain, et te met a me regarder, aux millieux des bouts de mon organe qu'on associe souvent a l'amour.
Oui. Tu m'a briser le coeur, en repoussant ce que tu étais toi même. Tu as briser ce miroir, tu as briser mon coeur.

Hugo a toujours fais attention à tenir une vie linéaire et sereine. Il n'a jamais eu de gros soucis à régler. Bonne entente familiale, future copine, emploi stable...

Puis la lettre. Qui chamboule tout. Un vieux dont il ne connait rien qui décide de léguer un terrain d'il ne sais où, à lui. Le dernier de la famille Covlin. N'étant même pas du même nom. Mais de sang, à priori.

Pour la première fois de sa vie, il pense à tout quitté tout. Son pays, sa famille, sa bien aimée...

Mais pour y trouver quoi ? Il ne le sait pas. Et il le redoute.

Il craint que tout soit chamboulé par ce simple papier. Et ça pourrait bien être le cas.

Tu as fracasser mon coeur, la reduit en cendre après lui avoir fouttu le feu. Et tu ne vois pas ce que tu as fais de mal, même plusieurs mois après notre réconcilliation. Oui, on est redevenu amis. TU as juste oublier ce que tu m'as fais, et ce que j'ai ressentit envert toi.
Ne t'en fais pas. Je ne t'en voulais pas. Je m'en voulais a moi même pour tous ça. Et malgrès le gout acre qui reste coller a ma langue, je souris.
On en as traverser, des choses. Peut-être que je ne me suis pas mit a ta place. Mais tu ne l'a pas fais non plus pour moi, hélas.
Malgrès ça, je te pardonne tous le mal que tu m'a causé. Après tout... Ne s'était on pas dit amis pour la vie ?

Un retour dans son village natale prévu depuis plusieurs années, sans qu'elle n'est réussis a franchir le cap jusqu'a finalement s'être décider des années après ?

Erica a mit le cap a Mountain-Valley, chez son oncle. Elle ne s'attend pas a ce que les choses soit tous a fais comme avant, mais son oncle a l'air d'avoir changer, beaucoup trop d'ailleurs.

Comment peut-on être aussi lunatique ? Et avoir autant de secret, qui ont l'air de lui mener la vie dure ? Erica voudrait en savoir d'avantage, l'aider.

C'est sûr... Un secret plane autour de Mountain-Valley et de ses habitants... Et, elle comprendra que tous est relier au tunnel sombre, de Mountain-Valley.

A les entendre parler, je ne suis qu'un moins que rien. Mais qu'ils aillent faire ce que j'ai fait, et vécu, moi ! Ils ne le savent pas. C'est beaucoup plus facile de juger quelqu'un quand on ne le connait pas ! Ils ne peuvent plus se tairent, eux ! Eh bien, qu'ils aillent se faire fouttre ! Malgrès ça, je tait tous ces sentiments. Toutes la haîne que je ressens envers eux, je la garde, l'enfonce dans mon âme. Et le jours ou elle sortira... Ce sera trop tard pour qu'ils puissent prier pour leur vie. Je ne suis pas brutal dans mes actes... Mais croyez moi... Les mots, mes mots, peuvent tuer comme ils ont pu m'anéantir avec leur phrases acerbes. Et je savourerait ce jour, oh oui. Celui de la vengeance. Et, quand je les regarderais, me supplier de cette douce discorde, je me sentirais libérer de ma haïne. Mais pour l'instant, je suis là, a les observer, en serrant les poings devant leur regard joueur.
Un jour, le sentiment detestable qui m'abrite en sortira. Et il sera dévastateur. Et peut-être que ce moment arrivera plus tôt que prévu. Car si cela ne se produit pas... Je vais finir par partir en vrille. Car chaque jour qui passe m'affecte au plus au point. Et je serre les dents, les poings, et j'encaisse leur regard détestable.
Je les déteste comme ils me deteste. Et c'est peut-être le plus cruel des jeux de la vie.

Il fais noir, ici. Mais j'avance, j'accélere la cadence. Peut-être que la bas, il fera beau. Peut être que là bas, j'apercevrais des lumières venant d'un village. Mais la route est tellement longue, tellement sombre...
Le murmure du silence autour de moi penche dans ma solitude.
Et je ne peux me résoudre a m'arréter. Pas maintenant. Pas tout de suite.
Pour compagnie, j'ai emmener ma voix. Elle s'éleve de temps en temps dans ma tête, dans de multiple tentative de me faire croire que je ne suis pas tous seul. Pourtant je le suis, dans cette dangereuse atmosphère non éclairé. Même la lune n'est pas suffisante pour pouvoir appercevoir quoi que ce soit.
Soudain je m'arrête. Ma voix, mes voix, ce sont arréter. Le poids du silence plane autour de mon être, de mon âme. Je ne veux pas être seul. Pas maintenant, pas tout de suite.
Il fait noir, ici. Mais je me remet a avancer, et les voix reprennent leur trajectoire dans ma tête, m'indiquant le chemin de mon parcours.
Elles me disent parfois, de me dépecher, que je leur manque. Et je me demande de temps a autre si je ne deviens pas fou.
Mais je continue. J'avance, dans ce lieu non éclairé. Ni par les lumières, ni par l'astre lunaire. Je commence a avoir un peu froid, dans ce lieu un peu bancal. J'ai parfois l'impression de faire du sur place. N'ai-je pas déjà vu ce banc ? Ce lampadaire qui ne fonctionne pas ? Suis-je déjà passer par là, tout a l'heure ?
Tempis. Je continue d'avancer. Les voix se multiplie, s'intensifie. Puis s'eloigne dans un melange de cacophonie sourde.
La dernière que j'entend avant que mon âme fu happé dans un trou noir et béant, je la reconnu. Et je l'écouta, pour la dernière fois de mon existence. Pourquoi ? Pourquoi ?! Non ! Jacky ! Reveille toi, reveille toi... Vous ne...