A la taverne des âmes perdues où ils servent le malheur et le désespoir, s'assit un homme et fit un signe au barman désintéressé. Il n'a pas vu tout mais il a perçu assez. Il demanda avec non nonchalance au client: - Une bouteille de solitude comme d'habitude?" Il lui répondit avec un signe et la liqueur arriva presque instantanément. Soudain, l'alcolique fut abordé par un ivrogne: -Les gens pensent que je suis fou et je crois qu'ils ont raison. Lorsque vous voyez une montagne je vois les dégâts d'une bataille menée par deux terres, lorsque vous voyez la tendresse d'une mère je vois l'instinct de protéger sa progéniture, vous voyez l'œuvre d'un génie je vois un effort fourni pour une validation... " L'homme répliqua: -je ne pense pas que vous êtes fou. Vous voyez au delà de la chose pour saisir son signe. De plus, je vois l'étincelle d'un homme vif dans vos yeux. Je peux vous assurer que vous n'êtes pas fou. -Que suis-je alors? demanda l'ivrogne avec un ton maussade. l'homme haussa les épaules et emprunta un autre coin de la taverne pour boire sa bouteille en paix.

La nouvelle se répandit dans toute la cité. Elle frappa ses disciples comme la foudre. Praotes, avec tant de colère cria avec toute sa force le mépris de ces représailles. Socrate cherchait à apaiser la discorde par le dialogue plutôt que par la force mais en vain. Il en fallait plus pour briser les dogmes,pensa son disciple fidèle. La menace de peine de mort se concrétisa. Le précurseur demeura calme malgré la sentence. Praotes, en versant des larmes, se lança vers Socrate et le serra dans ses bras en angoisse : « Maître ! Prenez la fuite, allez prêchez ailleurs. Quittez cette cité fanatique, ne faites pas le martyr. » Le sage lui répondit sobrement : « Mon cher Praotes ! Ce sont les aléas du différé. Que mon meurtre résonne plus que ma vie. Pour que ma doctrine s’incarne dans ma mort et vivra jusqu’à la fin des temps. » Lors de l’exécution, Socrate se présenta à l’agora pour faire face à son destin. Les envoyés du tribunal coururent comme le vent pour annoncer la clémence du conseil. Face à cette décision inattendue, l’ermite prononça ses derniers mots : « Votre tolérance me touche, mais le venin que j’ai déjà avalé avant de se présenter ici est a agi plus vite. »

Sous les cieux enragées du globe se trouva New York, Wall Street exactement. Guillaume Garnier, un trader en bourse étant venu d’un autre continent pour soulever un défi: faire la plus grande fortune possible. Telle était son attitude: pouvoir, argent et conquêtes amoureuses. Il répondit à une offre publique à l’achat d’un holding pour obtenir un monopole . Cette opération fut bien illégale pour des raisons que je vous épargnerai de l’évoquer. Mais notre vedette compta bien l’assurer. Après le travail, il monta dans sa limousine pour aller à son bistrot favori.Une fois entré au bar il demanda avec mépris une bière. Voilà, sa cavalière est arrivée avec tant de délicatesse. Elle posa son sac au comptoir puis baisa son amoureux. L'étincelle dans leurs yeux qui s'éclata à chaque moment où leurs mains se touchèrent prouve toujours qu'ils se sont dévoués l'un à l'autre. Après un moment de silence Guillaume rétorqua:«quand je suis avec toi, je sens...je sens que peut être dieu avait raison de me créer ; que la pleine lune, qui est ton visage, peut me faire passer la nuit et que tu es mon alibi pour cette vie. Tu sais quoi ? Je t'aime et je t'aimerai toujours tant que je vis et au-delà.» N

Ce morceau évoque un amour non réciproque, un amoureux incapable d’exprimer ses sentiments malgré çela il trouve la consolation dans l’attente et l’hésitation de lui confesser son amour. Peut être un peu d’obsession mais ça va aller tant que ses intentions sont bonnes. L’admirateur reconnaît que sa bien-aimée est née sous une bonne étoile et qu’il ne la mérite pas. Mais à la fin de la chanson, il admet que cette étoile la flatte plus qu’il faut. A cause de son chagrin il se doute de son statut d’idole. La chanson exhibe le périple émotionnel de l’idolâtre de l’amour jusqu’au dégoût. Avec cette mésaventure j’ai fait le passage d’un garçon à un homme mature qui maîtrise ses sentiments. Avec la chanson je suis devenu mature et capable de faire face à sentiments sainement. Merci Stone Sour ! https://www.youtube.com/watch?v=vAGtkWGpD_Y&list=RDvAGtkWGpD_Y&start_radio=1

Un membre de la société est condamné à subir des instructions, des ordres, influencés par des décisions, par des circonstances, par une constellation de croyances, des idéologies souvent imposées par une entité élitiste qui évoque plusieurs ressources pour concrétiser cette finalité pour des raisons controverses. Pour arriver à leur fin, la méthode la plus simple et la plus efficace est de priver toute sorte d'individualisme chez les ménages et élaborer toutes sortes de techniques et de projets ainsi que des organisations dans ce but. Ce régime archaïque formant des machines dépourvus de valeurs et de conscience sauf celles qui constituent le credo du corps, qui servent l’agenda du "marionnettiste", les mettant dans des situations en les faisant chanter la même cadence pour des milliers de fois, leur dictant ainsi comment réfléchir et agir initiant le premier lavage de cerveau. Par la suite, il se procure de l'enseignement et le façonne à sa guise agissant sur l'esprit des jeunes innocents avides de curiosité et forme des bétails en les apprenant à quoi penser au lieu de comment penser limitant ainsi leur conscience et toutes sorte de clairvoyance qui sera susceptible de faire repé

Un homme de quarante ans, lassé de son quotidien et de sa relation conjugale, fait un rêve étrange où il se réveille dans le corps d’une femme vieillissante. Confronté aux regards, aux injustices et à l’indifférence de son entourage, il découvre à travers cette expérience onirique le poids invisible que portent celles qu’il côtoyait sans vraiment les voir. Ce cauchemar poignant lui ouvre les yeux sur la solitude, l’usure du couple et la résilience des femmes face aux pressions sociales et affectives. À son réveil, une profonde empathie naît en lui, et le quotidien reprend, transformé.

Un homme remarqua un berger sur une colline et décida de le joindre pour se moquer de lui: " Veiller sur des bêtes comme un chien qui veille sur le périmètre d'une manoir. Tu Vis comme ces bétails en se nourrissant du même pâturage " dit l'homme avec un ton sarcastique tout en se rapprochant du berger. Le berger se tourna calmement vers l'homme et répliqua "C'est vrai que je suis comme eux . Je me réveille pour que je puisse ensuite me rendormir et je dompte ma faim et ma soif avec du lait et du fromage. Mais j'ai ma flûte: quand je m'entends jouer, je traverse plusieurs mondes. Je m'élève aux cieux pour toucher les astres. Je me découvre et je me surprends lorsque je joue des aires inconnues influencée par mon admiration pour le miracle de la nature. " L'homme intrigué par sa réponse, décida de profiter de sa compagnie et lui demanda de lui faire son propre instrument.

Dans un monde où la connaissance est étroitement contrôlée par une autorité suprême, la sagesse devient une arme à double tranchant : elle peut élever l’esprit vers la vérité ou le condamner à la damnation. À travers une réflexion profonde sur la soumission intellectuelle et la quête de liberté, ce texte interroge les dogmes et les préjugés qui limitent l’évolution de la pensée humaine. La révolte devient alors essentielle pour préserver la sainteté de l’esprit et revendiquer le droit d’être.

Dans un New York sombre et impitoyable, Marcel, accablé par la souffrance de son neveu mourant, cherche un sens à sa douleur. Déchiré entre révolte et désir de croire, il se rend à une cathédrale et confronte un prêtre dans un confessionnal. Il y exprime son scepticisme envers Dieu, dénonçant l’injustice du monde et l’inaction divine face à la souffrance des innocents.

On dit que la misère aime la compagnie mais la compagnie n’aimait pas Mudada. C’était le cas jusqu’à ce que soudain des silhouettes énormes apparurent devant lui. Mudada, enchainé et aux yeux bandés, demanda-t-il : « Qui est là ? -Nous sommes les messagers des dieux. Crièrent à leur tour. -Des séraphins ! Quel bon vent vous amène. - Nous sommes ici pour vous emporter à la terre divine. Vous êtes élu pour devenir un dieu. Annoncèrent-ils avec un ton intriguant. - Devenir un dieu ? pourquoi faire ? -Pour devenir éternel et côtoyer les divinités du cosmos. Félicitèrent-ils le chanceux. -Allez-vous en ! Je n’ai rien à faire de devenir immortel et surtout être avec des pourritures qui se proclament bonnes et clémentes tandis qu’ils ne font que détruire ce monde avec leur hypocrisie. Je vous maudis. S’exprima à haute voix. -Nous craignos que ce n’est pas une requête. Vous devez nous rejoindre ou faire face à un sort épouvantable. -J’accepte l’amertume avec plaisir au lieu de fréquenter les morbides que vous vénérez. - Cet acte de rébellion ne passera pas inaperçu. » Ils commencèrent à fouetter le pauvre. Dès qu’il devint inconscient, ils regagnèrent leurs habitats. Ensuite, Une bande de

Dormez et dormez encore, je veux regardez la lune tout seul. Portez vos parapluies, je veux que la pluie me chatouille tout seul. Restez dans vos barricades de pierre et de verre je veux errez dans la nuit tout seul. N'oubliez pas vos lunettes, je veux que le soleil me fait un clin d'œil tout seul. Demeurez dans vos forteresses urbaines, je veux contempler la nature tout seul. Enfoncez vous dans les plaisirs terrestres, je veux méditer tout seul. Contentez vous de faire ce que vous êtes entrain de faire, je veux vivre tout seul.