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Bonjour à tous,

Si je devais me résumer en un mot, ce serait curieux : je suis vraiment curieux de tout et j’adore apprendre et comprendre ! La lecture est une passion depuis tout petit et j’ai toujours voulu me lancer dans l’écriture. Avant, c’était compliqué, je voulais écrire un roman, mais ce n’est pas si simple que ça. Depuis un concours de nouvelles il y a quelques mois, je m’y suis mis plus sérieusement et j’adore écrire ce format.

C’est plus simple qu’un roman, mais je garde toujours en tête l’idée du livre que je veux écrire, en y réfléchissant davantage et en prenant mon temps.

Merci d’avoir lu cette petite présentation. Sur Wattpad, je tiens un recueil de nouvelles où je publie celles que j’ai écrites. Je demande, que ce soit à des amis ou aux lecteurs, de me proposer un thème et des mots obligatoires pour en créer une nouvelle. N’hésitez pas à me donner vos idées ! J’ai mis le lien en haut.

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œuvres
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défis réussis
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"J'aime" reçus

Œuvres

Défi
bptcor
Je marchais tranquillement dans la rue. Mon regard était vide, plongé dans les profondeurs silencieuses de mon esprit. Je ne faisais pas attention à ce qui se passait autour, et les gens non plus. Je passais à travers la foule sans difficulté. Un coup d’œil à ma montre : 17h 53. Je vais être en retard si ça continue ! Je sortis de mon état d’auto-hypnose et accélérai le pas, les yeux fixés sur ma montre. Après quelques minutes, j’atteignis mon lieu de rendez-vous : un vieux pont en bois, bordé de fines barrières, qui s’avançait jusqu’à s’achever au-dessus de l’eau. D’ici, la vue était splendide : la plage la plus vaste de la ville s’étendait en contrebas, et les vagues venaient s’écraser dans un tumulte hypnotisant. Je marchai jusqu’au bout du pont, observai l’horizon, et consultai ma montre : 17h 59. Pour une fois, j’avais de l’avance. Je m’adossai à la rambarde et laissai mon regard errer sur la plage : certains s’allongeaient au soleil, d’autres jouaient dans l’eau. La mer était agitée, mais cela semblait amuser ceux qui se jetaient dans les vagues. Parfois, l’une d’elles engloutissait un nageur dans un éclat de rires. Le laps de temps s’écoula lentement. Je vérifiai de nouveau
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Défi
bptcor
Il fait noir, on ne voit rien. Le stress monte, la sueur perle. Soudain, la lumière s’allume : le jeu peut commencer. On entend des bruits, des rires, mais depuis la scène on ne distingue pas grand-chose ; la lumière des projecteurs nous éblouit. L’excitation d’aujourd’hui a pour racine la peur d’il y a quelques années. Est-ce qu’il m’aurait cru, ce petit bonhomme qui passait sa vie à lire des livres, qu’un jour il pourrait monter sur scène — et surtout qu’il aimerait ça ? Brusquement, je tombe au sol : mon personnage vient de se faire poignarder. Allongé, je respire doucement, et je repense aux innombrables exercices de répétition que j’ai faits pour m’améliorer. Mais ce dont je me souviens avant tout, ce sont les personnes avec qui j’étais. Celles qui m’ont fait grandir. Parce que c’est ça aussi, le théâtre.
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Défi
bptcor
Les portes du sanctuaire s’ouvrirent d’un coup. Une lumière éblouissante inonda l’entrée, empêchant de distinguer qui en sortait. Deux gardes portèrent la main à leurs yeux. Un prêtre apparut, suivi d’un garde, puis d’une foule vêtue de haillons. Certains, inconscients, étaient traînés par d’autres. La plupart portaient sur leur corps des marques profondes. On comptait trois borgnes et deux amputés. Derrière la procession, deux gardes les poussaient en criant. Lorsque tout le cortège eut pénétré dans le sanctuaire, les portes se refermèrent. Une cloche sonna trois fois. Les deux gardes, réhabitués à la pénombre, se placèrent devant l’entrée. Chacun tenait une lance. Ils portaient des habits blancs, une armure légère : plastron d’acier, protections de bras et de jambes en métal, et un casque poli. Le prêtre s’arrêta, fit signe au garde qui l’accompagnait. Celui-ci montra un premier trou dans le sol. Cinq personnes furent désignées. Puis dix autres, envoyées derrière une grille qui se referma aussitôt. Le reste fut conduit derrière une porte laissant entrevoir une salle noire. Le prêtre se mit à prier. Il se leva, sortit un livre sacré et déclama des paroles. Un moment, il s’interrom
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Questionnaire de l'Atelier des auteurs

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