
natacha
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de toujours
Mon fils est un homme à présent. Il n'a plus autant besoin de moi que lorsqu'il était enfant.
Depuis sa naissance, je n'ai vécu, respiré, transpiré qu'à travers lui.
Que de merveilleux moments passés avec lui : des sourires, des jeux, des balades mais aussi des instants inoubliables où les difficultés s'estompent grâce à nos tendres partages !
Tout ce que j'ai donné et l'immensité de ce que j'ai reçu !
Maintenant il a fini ses études, il est parti s'installer au pays du Soleil-Levant.
Après des printemps d'errances amoureuses que je croyais inscrites dans mes gènes et deux échecs, je décide quand même de reprendre ma vie de femme.
De quitter ce chemin de grande solitude.
Je prends la résolution, en ce jour du 14 décembre 2018, d'aller me promener sur un site de rencontre.
Depuis sa naissance, je n'ai vécu, respiré, transpiré qu'à travers lui.
Que de merveilleux moments passés avec lui : des sourires, des jeux, des balades mais aussi des instants inoubliables où les difficultés s'estompent grâce à nos tendres partages !
Tout ce que j'ai donné et l'immensité de ce que j'ai reçu !
Maintenant il a fini ses études, il est parti s'installer au pays du Soleil-Levant.
Après des printemps d'errances amoureuses que je croyais inscrites dans mes gènes et deux échecs, je décide quand même de reprendre ma vie de femme.
De quitter ce chemin de grande solitude.
Je prends la résolution, en ce jour du 14 décembre 2018, d'aller me promener sur un site de rencontre.
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Ta vie est comme un roman, Certains chapitres sont tristes, Certains sont heureux, Certains sont intéressants, Mais si tu ne tournes pas la page, Tu ne sauras jamais ce que la suite de l'histoire te réserve. Quatre heures trente du matin. Une nouvelle journée à affronter. Je m’extirpe de la chaleur de ma couette. Aucun bruit ne vient perturber mon réveil, pas même les pas incessants de mon voisin qui, quotidiennement, résonnent au-dessus de ma tête. Tout comme mon HLM, il dort. Dans la cuisine, assise sur une chaise, les yeux dans le vague, je fixe ma tasse de café sans vraiment la voir. Comme si elle s’effaçait peu à peu de ma réalité… Les larmes montent, silencieuses, glissant sur ma joue sans que je les retienne. Un malaise m’envahit. Un vide immense me submerge. Le seul être qui me donnait la force, le courage, l’espoir est parti poursuivre son chemin d’homme. Un repère disparaît. Une raison vacille. Une bataille s’efface… Et une femme reste seule, face à elle-même. Un instant suspendu. Le silence pèse, le vide s’installe. Puis, lentement, je me lève. J’avance, dans une brume solitaire, un quotidien qui m’impose de vivre, de continuer le combat : je n’abandonnerai pas. On dit q
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Défi
Une minute de lecture Toc, toc... — Qui es-tu ? — C'est moi, le vide. Je viens te parler. — Me parler de quoi ? — De ton vide intérieur,celui qui te ronge, celui qui lentement t’extirpe ton énergie vitale, celui qui endeuille ton âme. — Où je peux être ton vide émotionnel. Tu me connais. "ELLE" me connaît. Je suis le vide de ta solitude, le vide de tes jours morts, asphyxiants, dévastateurs — Et que penses-tu de ce vide, le vide existentiel ? Je peux être celui qui s’installe quand le sens de ta vie devient ténébre, quand ton enthousiasme se consume à l’indifférence. — Mais pour toi, je serai le vide abstrait. Je suis ton entité, je t’observe, je t’attends. Je suis prête à te siffler à l’oreille... Alors, dis-moi.
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Seize heures, je prends le bus : il est déjà bondé. Je me fraye un chemin vers le fond pour ne pas avoir à subir les regards et m'assois côté fenêtre. Dehors, ça marche, court, virevolte en tous sens, telles des mouches. Décembre est là. Ouf ! Dans quinze jours, les vacances scolaires. Je vais pouvoir souffler un peu, je suis épuisée à travailler sans cesse. D'un côté un trente-cinq heures, nounou le reste du temps. À peine ai-je fini un travail que je me précipite dans l'autre, je n'ai pas un moment de répit. Suis-je la seule à me battre, à lutter chaque jour sans la certitude d'un lendemain meilleur ? La seule à avoir le visage triste, la mine blafarde, le regard perdu dans mes pensées ? Je suis en mode ralenti. Le monde autour de moi semble indifférent, figé dans des couleurs délavées et avec un goût fade. Tout est uniforme, terne. Les bruits résonnent sourdement, les odeurs se dissipent avant même de m’atteindre. Plus rien n’a d’intensité. Plus rien ne me touche vraiment Je me sens seule, vraiment seule. Le vide. Plus rien, ni personne ne peut me rendre ma gaieté d’antan. Avant… Lorsque j’avais mon fils, et que nos journées étaient empreintes de simplicité et de partage. Comme
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Défi
Le pouvoir de changer le monde se trouve là où il s’est toujours trouvé. Non pas au sein des organes du pouvoir, mais en nous-mêmes. »** — Theo Ikummaq Le pouvoir de changer le monde se trouve là où il s’est toujours trouvé, à l'intérieur de nous-mêmes. Notre force intérieure est cette énergie qui nous pousse à agir, à transformer les choses. Elle nous permet d’influencer notre environnement sans dépendre des systèmes extérieurs. C'est notre capacité à évoluer, à surmonter les obstacles tout en inspirant les autres. Notre force intérieure n’est-elle pas l’évolution de notre force originelle ? N’est-elle pas le prolongement de cette énergie essentielle ?
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