P'titPapyrus
Je m’appelle Ellie, et j’écris avec ce que j’ai de plus fragile : le cœur, les tripes, et parfois un peu d’ombre que je camoufle dans des métaphores.
Je ne suis pas une héroïne tragique — enfin, pas tous les jours — mais mes histoires, elles, le sont souvent.
Parce qu’à force de ressentir trop fort, j’ai trouvé dans l’écriture un exutoire, une arme douce, un miroir un peu fêlé qui reflète la beauté dans ce qui fait mal.
Mes récits parlent d’amour, mais jamais simple. D’attachements qui déchirent, de silences plus violents que des cris, de regards qui changent une vie, et de cicatrices qu’on garde comme des souvenirs sacrés.
Je mets du sang dans mes mots — pas littéralement (quoique), mais chaque scène porte un battement de cœur, chaque personnage une part de moi que j’ai laissé filer.
J’aime les âmes écorchées, les rebelles silencieux, les tendres qui font genre ils s’en foutent.
J’écris pour celles et ceux qui tombent, qui doutent, qui aiment trop, qui n’aiment plus, qui veulent s’enfuir ou revenir — et qui cherchent, dans les pages, quelque chose qui leur parle.
Je crois que la beauté naît dans les failles. Et que parfois, il suffit d’une phrase, d’un dialogue, d’un personnage, pour recoller un petit morceau de soi.
Alors je continue. J’écris. Avec du cœur. Et parfois, avec du sang.
Œuvres
Ou parce que t’as tapé “comment arrêter de tomber amoureuse d’un mec qui dit ‘j’ai pas envie de te faire de mal’ mais le fait quand même” dans Google à 3h du mat.
Dans les deux cas, meuf : t’es au bon endroit.
Ici, tu vas apprendre :
Comment feindre la confiance en toi alors que t’es une boule d’anxiété sous mascara waterproof.
Comment répondre à un “t’es pas comme les autres” sans t’évanouir de honte.
Comment le ghoster avant qu’il le fasse. (Prépare-toi, c’est jouissif.)
Bref, tu vas reprendre le pouvoir, une punchline à la fois.
Voici ma petite contribution à ce trip à l’envers. Préparez-vous, on plonge dans un univers où tout est… flipped, twisté, remixé à la sauce cosmos détraqué.
Les Lueurs des Âmes
Dans la cité de Chromalys, les visages ne mentent jamais. La peau des habitants s’illumine ou s’efface selon leur humeur — mais pas comme chez toi, non non. Ici, la tristesse est une explosion de lumière, un feu d’artifice intérieur qui peint la peau en éclats vibrants. Ceux qui pleurent brillent comme des étoiles, et leurs larmes laissent des traces colorées qui s’accrochent aux joues comme des bijoux.
Le bonheur, en revanche, est une transparence totale. Quand quelqu’un est joyeux, il devient presque invisible, son corps disparaît doucement dans l’air. La société valorise la douleur, la mélancolie, et les plus lumineux sont les plus admirés, les artistes, les poètes, les « Âmes Luminescentes ».
Dans ce monde, les fêtes sont des cérémonies de tristesse collective, où l’on partage ses douleurs pour créer une symphonie de couleurs. Mais voilà qu’arrive Lys, une fille née avec une peau toujours transparente, incapable de briller malgré la peine qu’elle ressent. Une étrangère dans un monde qui célèbre ce qu’elle ne peut montrer.
Elle doit apprendre à exister sans lumière, à faire briller son invisibilité, et peut-être, à révéler que le vrai bonheur, même transparent, a son propre pouvoir.
