Chaque histoire commence toujours par le même début, même si souvent celui-ci est éclipsé. C’est l’une des rares phrases que l’on ne peut contredire, car elle ne possède aucune exception.

« La naissance est le début de tout, la tienne sera le commencement de ton histoire, Hana Kaze. »

Je suis celui qui t’observera toi et tant d’autres, mais laissons le temps guider tes pas vers l’avenir. Tandis que les miens me guident déjà dans le présent.

Comme toujours avant toi il y en a eu et après toi il y en aura, car rien n’est figé dans ce monde où le temps avance quels que soient nos choix.

Il n’est ni un allié, ni un ennemi juste une autre vie qui ne se préoccupe que de ses propres problèmes alors que nous-mêmes gérons inlassablement les nôtres.

Le travail, les enfants, mon mari, ma vie. Je m’organise afin de ne pas me perdre dans tout ce que je dois gérer chaque jour. Je rends visite à ma mère qui se sent seule, refusant tout autre relation. L’amour est-il inconditionnel ou multiple, je me pose cette question alors que de nouveau comme chaque mardi je vais à ce même rendez-vous. Seize heures, j’entre en saluant, puis m’assied. « Bonjour Mary, ravie de vous revoir. » « Merci, même si mon porte-monnaie l’est moins. » « Vous ne perdez pas votre sens de l’humour, je vois. » « Jamais, c’est une vraie source de protection. » « En effet, de quoi désirez vous parler aujourd’hui. » Mon psy comme toujours me laisse libre de décider du sujet, il sait y faire. Il est un peu manipulateur, mais amical au fond. Je me demande si je ne devrais pas lui parler de mon patron. Ce type me fait des avances constamment, genre tu es belle, tu sais que tu es jolie. Cela semble anodin et je me fais peut-être des idées. Est-ce du harcèlement ou juste des compliments. Alors que je prends la décision de lui expliquer les faits les minutes s’écoule vite, mais je ne les ressens pas. Parler me fait du bien, surtout en sachant que l’on m’écoute. Il prend

Court texte pour un défi du site

Ceci n'est pas le récit juste des indications pour le comprendre.
Indications de lecture
Merci d’en tenir compte pour apprécier et comprendre le texte :
Le locuteur est indiqué avant les deux-points au début de chaque phrase. Il représente la personne qui s’exprime et ne change que lorsqu’un autre personnage prend la parole.
Les dialogues sont encadrés par des guillemets doubles (« »).
Les murmures sont placés entre guillemets simples (“”).
Les pensées sont présentées directement dans le texte, sans aucun symbole particulier.
Les chansons sont placées entre des notes musicales (♪♪)
Exemple :
Pensée : Bonjour ! Je suis une pensée, sans italique, donc vérifier les symboles pour me trouver.
Murmure : “Moi, je suis un murmure, mais vous ne me verrez peut-être pas souvent.”
Dialogue : « Quant à moi je suis le dialogue, et je suis très présent, vérifiez mes guillemets »
Chant : ♪Je suis une chanson !♪

Cette voix que j’entends me dit que le mode est vierge… Qu’il n’y a que moi… Que je suis l’origine… Alors qui est-elle ? Peut-être la mienne ? Ou une créature qui me précède… Elle veut mon histoire… Soit… Je vais lui l’offrir sur un plateau. J’ai créé ce monde ! Non, je n’ai fait que lui redonner vie, car il existait avant moi et existera sûrement après. L’origine de tout n’est rien d’autre que ce que nous souhaitons. D’abord la première chose est de respirer… Puis vienne les besoins, Manger, Boire, Les choses que l’on dit à demi-mot, Dormir… Enfin, il nous faut un cadre, Sécurité, Loisir, Communication. L’étape suivante est triste, car elle montre la cruauté… Dominé ceux que nous jugeons inférieur à nous… Puis Construire, Bâtir, Créez, Innovez… Voici ce dont sont capables les humains… Mais une face plus sombre existe… Détruire… Alors pourquoi est-ce que je ne recommencerais pas tout ! C’est une question qu’il m’est facile de contredire… Car je ne suis plus humaine depuis longtemps et désormais j’observe juste le résultat de toute ma vie, aussi imparfaite fut-elle. Tu te demandes sûrement quelle est l’origine de l’univers toi qui es si curieuse, mais qui malgré tout ton savoir l’ig

Un jour banale, juste un jour comme un autre et pourtant...

Je me tiens sous la pluie et sur ce pont de pierre, Un murmure si léger, berce ma solitude toute entière. Sous l’arche qui est usée, je reste immobile, Tel un arbuste, qui s’accroche aux débris fragiles. Les gouttes dansent en rythme avec mes pensées vaines, Le vent chante au loin comme une mélodie ancienne. Sur ce pont déserté, où l’écho se fait entendre, L’arbuste perdu que je suis semble rêver d’un monde à comprendre. Mais la pluie s’arrête et laisse, place à un ciel brisé, Ma solitude s’évapore dans un dernier Le pont redevient témoin des âmes qui vont et viennent, Et l’enfant timide, espère encore qu’on le devine.

Dans un petit village niché entre deux grandes collines, vivait un jeune garçon nommé Takari qui toujours sérieux, car il pensait que pour être un adulte et devenir une personne importante, il fallait avoir l’air grave et ne jamais, au grand jamais, faire l’idiot.

Ceci est un essai avec une version écrite différente pour l'histoire la dernière Eien

Ceci est un premier jet sans prétention.

Le protagoniste ce réincarne après avoir vécu une vie calme et paisible.

Alors que je pose cette question une femme blonde coiffé d’une que de cheval me pousse légèrement puis entre chez moi sans un mot avant de s’asseoir dan l’un de mes fauteuils puis m’invite à prendre place face à elle ? Confus, je saisis mon téléphone pour appeler la police, mais d’un mot me dit. ‘Assis.’ Son regard froid me laisse perplexe, mais je l’écoute. Face à elle je répète ma question. « Qui est tu ? » d’une voix riante elle répond. « Qui tu désires. » Provocateur, je lui revoie alors. « Sois mon esclave ! » C’est sans hésitation qu’elle se moque et me dit. « Si tu veux, mais tu pourrais me demander tellement plus. » Hésitant, je lui demande comment devenir riche ? Sa réponse me glace le sang. « Regarde ton compte en banque ? » Alors que je le scrute avec mon téléphone j’y vois les millions, mais quand je relève la tête elle n’est plus la comme si j’avais rêvé, mais l’argent est pourtant réel. Donc, je me demande encore aujourd’hui qui elle était et par peur tout l’argent de ce jour a été donné a des associations ? Cependant, je me demanderais toujours était-ce la malice du diable ce jouant de moi.