Bonjour les enfants : aujourd’hui je vais vous raconter l’histoire du canard. Comme toutes les mamans j’adore raconter des histoires à mon petit garçon. Mais ce petit récit est le plus original. Original parce que je fais le canard avec mes mains en prenant mon fils sur mes genoux. L’histoire commence écoutez-moi bien.
Le canard arrive chez Théo :
Il frappe à sa porte Toc, toc, toc
Théo répond Entrez
Le petit canard lui dit Bonjour
Théo répond Bonjour
À ce moment-là le canard lui demande à manger.
As-tu du maïs ? Répond le canard
Oui répond Théo
As-tu du pain- pain ? Lui demande le canard
Oui dit Théo
As-tu du blé ? Demande le canard
J’en ai répond Théo
Le canard très content avait le ventre bien rempli.
Mais ça ne lui suffisait toujours pas.
Il demande à Théo si il avait une mare.
Théo lui répond Oui là-bas
Le canard va à la mare pour se baigner.
Il nage, il nage
Puis le canard demande à Théo
Il n’y a pas de poisson dans ta mare ?
Théo répond Tiens voilà du poisson
Merci dit le canard
Il sont très bon tes poissons réplique le canard
Je suis ravi Répond Théo
Mais le canard n’en avait pas encore assez.
Il alla vers Théo en lui demandant
Aimes-tu les coins coins ?
Théo répond Non
Le canard tout fier dit
Et bien tu en auras quand même
Coin, coin, coin, coin, coin, coin
Mon petit garçon très retissant rigole aux éclats
Car les coin coin du canard le chatouille tellement qu’il rie sans pouvoir s’arrêter.
Et tous les soirs, il me demande de lui refaire cette petite histoire que je lui raconte avec tout mon cœur.
Fin
Catherine Régent

La faucheuse
L'histoire que je vais vous raconter, se passe à Londres, un couple Gérôme et Lisa décide d'acheter et d'emménager dans une maison près d'un cimetière, la maison est un peu délabrée, alors il décide de la faire retaper entièrement, il s'installe dans leur nouvelle maison et déballe tous leur cartons, et commence à aménager toute les pièces une à une.
Une semaine plus tard, Gérôme et Lisa décide d'inviter leurs amis Tom et Florence pour fêter leur crémaillère, ce soir-là, la pleine lune était au rendez-vous, tout le monde passé à table, et discute de choses et d'autres, quand soudain des bruits se font entendre dehors, Gérôme se lève, et sort pour voir ce qui se passer à l’extérieur, il fait le tour de la maison, regarde dans les recoins, mais après une bonne dizaine de minutes, il décide de rentrer.
C'était quoi ses bruits ? Demande Lisa!
Rien mon amour, personne à l'horizon, c'était sûrement un chat, continuons notre crémaillère lui répond son époux Gérôme !
On pourrait faire un scrabble, ça vous dit ? Demande Lisa !
Oui faisons un scrabble, ça vous tente les amis ? Demande Gérôme !
Oui absolument, nous adorons le scrabble, n'est-ce pas chéri ? réponds Florence !
Oui, nous y jouons presque tous les soirs répond Tom !
À la bonne heure, commençons à jouer demande Gérôme !
Mais après de bonnes heures de jeu, de nouveau bruit vienne interrompre leur conversation, Gérôme se lève, allume la lumière, et sort dehors, il marche vers le portail, quand soudain, il croit voir une ombre, il se frotte les yeux, puis regarde à nouveau, mais ne vois rien, il fait trop sombre pour distingués quelque chose dans le noir, il décide à nouveau de rentrer.
Que se passe-t-il mon amour ? Demande Lisa !
Rien ma puce, j'ai cru voir quelque chose au loin, mais ce n'est pas très important, continuons notre parti répond Gérôme !
Non merci il se fait tard , nous allons rentrer, merci pour la crémaillère, et merci pour votre hospitalité, à très bientôt, prenez garde à vous, tous ses bruits son pas très normal, viens Flo rentrons chez nous répond Tom
vous devriez appeler la police, avant qu'il soit trop tard, ses bruits me font froid dans le dos ajoute Florence ! Oui merci Florence, nous n'y manquerons pas, soyez tranquille, mais pour l'instant pas besoin de s'alarmer répond Lisa !
Bonne nuit les amis, nous sommes vos voisins maintenant, si vous aviez besoin de nous, n'hésitez pas répond Florence !
Partez tranquille, bonne nuit répond Gérôme !
Gérôme et Lisa monte dans leur chambre, éteignit la lumière, et se couche, quand soudain la porte de leur chambre s'ouvre brusquement, de peur, Gérôme rallume et saute de son lit, il saisit sa batte et regarde dans le moindre recoin de la maison, pendant ce temps sa femme Lisa attend sagement le retour de son mari, 1h après Gérôme retourne se coucher, et dit à sa femme qu'il n'y avait personne, vers 4h du matin, un nouveau bruit se fait entendre, un bruit de traîner, comme si quelqu’un traîner et frotter par terre avec un gros outil, Gérôme allume la lumière, et va voir dans le couloir, il s'arrête net devant son parquet éventré, frustré il appelle Lisa.
Mon Dieu que s'est-il passé, et qui a pu faire sa demande Lisa !
Je ne sais pas, le parquet est foutu, je n'ai vu personne, j'ai vérifié toutes nos portes elles sont bien fermées, je ne comprends pas répond Gérôme !
Tu crois que la maison est hantée par un esprit mal veillant demande Lisa !
Peut- être, demain j'irai à la bibliothèque pour tirer tout sa au clair réplique Gérôme !
Je reste pas seul dans cette maison, demain je viendrais avec toi demande Lisa !
Très bien madame, la nuit a été très dure, allons nous remettre au lit répond Gérôme !
Après une nuit mouvementée, Gérôme et Lisa s’apprêtent à partir à la bibliothèque, arriver sur les lieux, ils demandent à la bibliothécaire des renseignements sur la maison, après de bonnes recherches la bibliothécaire revient les bras charger de journaux.
Voilà c'est tout ce que j'ai trouvé, je vous laisse, si vous avez besoin de moi, je serais à l’accueil répond Sophie la bibliothécaire !
Gérôme et Lisa fouillent et fouinent et tombe sur un vieil article disant qu’un gamin de 20 ans serait mort dans cette maison, il aurait succombé suite à une grave maladie leucémie incurable à l'époque, Gérôme et Lisa prennent tous les articles et rentre chez eux pour en discuter, ils posent tout sur la table et réfléchissent, vider il se demandait bien ce qu'il pouvait bien faire, sans réponse à leur question, Gérôme et Lisa décide d’appeler un prêtre pour qu'il bénisse leur maison, le lendemain le père Mathieu vient rendre visite au couple, et commence à bénir toutes les pièces de la maison, mais une présence l'en empêche, le prêtre affolé dit au couple qu'il ne peut rien faire pour eux pour le moment car le fantôme était très en colère, le père Mathieu leur explique qu'il fallait en parler à son supérieur monsieur l'évêque et qu'il serait bientôt de retour, mais en l'absence du prêtre le fantôme refait surface.

Cette fois il est vraiment très en colère, il fait voler et balance les objets à travers la pièce, il balance les meubles contre le mur, Gérôme et Lisa son témoin de la scène, ils se jettent à terre et rampent vers la sortie, enfin dehors ils appellent les forces de l'ordre avec leur portable pour venir constater les dégâts en urgence.
Quand les forces de l'ordre arrivent, les faits et gestes du fantôme s’effacent, et s'arrêtent immédiatement, la police constate les dégâts sur place, pendant une demi heure il vont interroger les deux victimes rescapées.
Que s'est-il passé ici ? Demande le policier !
A qui ai-je honneur ? réponds Lisa !
Ho pardon je ne me suis pas présenté, je suis l'inspecteur Bertier chargé de l'enquête
heu nous ne savons pas monsieur Bertier, mais depuis qu'on a acheté cette maison des choses étrange nous tombe dessus répond Lisa !
Vous êtes sûrement en présence d'un fantôme, cette maison à son histoire, d'après ce que je sais un jeune homme de 20 ans serait mort d'une leucémie, ce gamin ne voulait pas mourir et il ne voulez pas quitter sa maison, je sais aussi qu' il avait une sœur, il était très proches, d'après ce que je sais il aurait passé un pacte avec sa sœur Diana, il lui aurait révélé le sens de sa mort, sa sœur est encore en vie je vous conseille d'aller la voir pour tirer tout sa au clair afin dans savoir plus, elle habite à 10 bornes d'ici, suivez-moi avec votre voiture, je vais vous y conduire répond le policier Bertier
très bien on vous suit, après vous dit Gérôme !
Gérôme et Lisa suivent le policier, et après 10 km ils arrivent enfin devant la maison de Diana.
Voilà ses ici, je vous laisse, j'ai encore beaucoup de choses à faire à mon bureau dit le policier Bertier !
Très bien merci de nous avoir accompagné, au revoir répond Gérôme !
A bientôt répond le policier Bertier !
Il avance vers la porte, sonne, mais personne ne répond, pas le choix que de faire demi- tour, il reparte et décide de retourner voir le policier Bertier.
Arriver au commissariat il demande à voir Mr Bertier, les collègues du policier les font patienter un petit moment, puis quelques heures plus tard, le policier vient les chercher. rebonjour Mr Bertier répond le couple !
Oui rebonjour que puis-je faire pour vous ? Demande le policier Bertier !
Nous revenons de la maison de Diana, mais il n'y avait personne répond Gérôme !
Ha, c'est ma faute, je ne me suis plus rappelé qu'aujourd'hui Diana avait son bridge, excusé-moi ça met sorti de la tête, c'est une femme âgée aujourd'hui répond le policier Bertier !
Et où se passe-t-il se bridge répond Lisa !
Il se passe à la salle des fêtes, mais je vous déconseille de la déranger pendant son bridge, renter plutôt chez vous, je m'en occupe, mais je serais à votre place je déménagerais répond le policier Bertier !
Vous nous dîtes de rentrer, après tout ce qui se passe, c'est facile de nous dire de déménager, mais vous n'êtes pas à notre place, quel culot, nous ne pouvons pas déménager, on a mis toutes nos économies dans cette maison, cet impossible répond Lisa !
Je ne veux pas vous faire peur, mais si vous décider de rester dans cette maison, vous devez installer des caméra vidéo, comme ça nous verrons à quel fantôme nous avons à faire répond le policier Bertier !
Très bien, nous allons installer des caméra vidéo,merci encore pour votre aide, aller viens chéri rentrons répond Gérôme !
Il rentre chez eux un peu déçu de ne pas avoir convaincu le policier, il décide donc de réparer les dégâts causer par le fantôme, une rude journée les attend, Gérôme commence par réparer le plancher du couloir, et finit par remplacer les meubles du salon, quant à Lisa elle remplace les objets cassés que le fantôme a laissés tomber volontairement, après de longues heures à tout remettre en état, ils décident de se reposer un instant sans se préoccuper des heures qui passe, la nuit commence à tomber, Gérôme appelle au cheval blanc, c'est un restaurant très réputé pour retenir une table,Gérôme appelle sa femme Lisa et lui demande de se changer, car ce soir ils sortent en amoureux.
Où m'emmènes tu ? Demande Lisa !
Profite ce soir je t'emmène au cheval blanc, pour célébrer nos 10 ans de mariage répond Gérôme !
Ho merci mon amour, tu na pas oublié notre anniversaire de mariage répond Lisa !
Non, je n'ai pas oublié mon amour, partons maintenant, j'ai retenu une table pour 20h répond Gérôme !
Ils partent, parcoure 3 km et arrive enfin, le voiturier vient à leur rencontre et Gérôme lui laisse les clés pour qu'il gare la voiture sur le parking, ils entrent dans le restaurant, et se dirige vers l’accueil, un homme de main prend leur manteau, et un serveur les accompagne à leur table, et leur donne le menu, il prenne un apéritif, et discute.
Monsieur, Madame,puis-je vous suggérer le menu du chef demande le serveur !
Oui bien sur, mais qui à t-il au menu ? Demande Gérôme !
Alors en entrée terrine de foie gras canard, avec la possibilité d'une seconde entrée, fricassée d'escargot et son coulis de persil, il y a aussi du poisson filet de turbot et son velouté aux morilles, et pour la viande médaillon de veau forestière, puis une assiette de fromage et enfin le dessert croustillant aux fruits rouges, je vous laisse réfléchir, et je repasse dans un instant répond le serveur !
Dix minutes après le serveur revient pour prendre leur commande, qu'est-ce que je vous serre Messieurs, dame ? Demande le serveur !
Alors je vais prendre la terrine de foie gras canard, avec un filet de turbot et son velouté de morille,une assiette de fromage, et un croustillant aux fruits rouges demande Gérôme !
Très bien Monsieur, et Madame demande le serveur !
Je vais prendre une fricassée d'escargot et son coulis de persil, avec un médaillon de veau forestière, puis une assiette de fromage, et en dessert le croustillant aux fruits rouges répond Lisa !
Merci pour votre commande Messieurs, dame, a tout à l'heure répond le serveur !
Gérôme et Lisa parlent de chose et d'autre, très détendu, mais au bout de 10 minutes, le serveur revient avec l'entrée.
Voici votre terrine de foie gras Monsieur, et pour Madame une fricassée d'escargot, bonne appétit répond le serveur !
Merci répond Gérôme et Lisa !
Gérôme et Lisa continue leur discussions tout en mangeant, il se rappelle des bons moments passés, mais au bout de 20 minutes le serveur revient avec leur plat.
Voici votre filet de turbot et son velouté de morille Monsieur, et pour Madame un médaillon de veau forestière répond le serveur ! Merci répond Lisa et Gérôme!
Gérôme et Lisa reprenne leur discussion, en mangeant, de nombreux souvenirs resurgissent, et Lisa commence à avoir les larmes aux yeux.
Ne pleure pas chérie demande Gérôme !
Ho ! Ce n'est rien, je pleure de joie, ne t’inquiète pas mon amour répond Lisa !
Attention le serveur revient, sèche tes larmes ma chérie répond Gérôme !
Avez-vous bien mangé Messieurs, dame répond le serveur !
Oui merci, c'était très bon répond Gérôme et Lisa !
Je vous apporte l'assiette de fromage et le dessert, bonne appétit répond le serveur !
Merci beaucoup répond Gérôme !
Gérôme et Lisa continue leurs discussions, mais au bout d'un quart d'heure, une musique d'amour retentit pour célébrer leurs 10 ans de mariage, son mari avait tout prévu, en gage d'amour, il offre à sa femme une bague, Lisa aussi avait tout prévu elle offre à son mari une chevalière, la soirée se termine en beauté, il paye l'addition, laisse un pourboire au serveur et attende le voiturier.
Votre voiture est avancé monsieur répond le voiturier !
Merci répond Gérôme !
Il donne un pourboire au voiturier avant de repartir, il reprenne leur route, quand tout à coup une biche traverse la route.
Attention ! Crie sa femme
Gérôme freine un grand coup et s'arrête net devant la biche, il la laisse passer avant de repartir, il reprenne leur route, et font un détour pour se rendre chez Diana la sœur du fantôme qui les hante jour et nuit.
Nous y sommes, j'espère que Diana va être là cette fois ? Demande Gérôme !
Oui elle est là, regarde il y a de la lumière répond Lisa !
Dépêchons-nous avant quelle se couche, le policier Mr Bertier a dit que c'était une vieille femme répond Gérôme !
Il se dirige vers la porte, et sonne, Diana les avait aperçu par la fenêtre elle leur ouvre la porte, et leur demande d'aller au salon pour discuter.
Alors que puis-je faire pour vous ? Demande Diana !
On veut savoir quel pacte vous avait passé avec votre frère à l'époque demandé Gérôme !
Vous savez mon frère ne voulait pas mourir, il se trouvait trop jeune pour partir au paradis, alors quand on a appris que sa maladie était incurable, et que sa vie n'avez plus de sens, nous avons passer un pacte ensemble, j'étais jeune à cette époque, et je ne savais que faire, alors il ma dit : quand je serais mort, tu devras garder mes cendres dans une urne funéraire toute ta vie, en faisant bien attention de ne jamais la casser, comme ça je pourrais revenir te voir à tout moment de la journée ou de la nuit, je l'ai cru, il est souvent venus me voir, mais maintenant j'aimerais qu'il s'en aille, et qu'il trouve la paix, mais je ne sais pas comment faire pour qu'il parte, je pense qu'il ne partira pas, car c'est notre maison, ont ni a vécu toute notre enfance dit la vieille dame !
Je pense que vous devriez vous séparer de l'urne funéraire, où même la casser aux pire demandes Lisa !
Laissez-moi un peu de temps pour me séparer de l'urne funéraire, vous voulez bien, mais je ne la casserai pas, j'ai promis à mon frère répond Diana !
Mais nous n'avons plus le temps d'attendre, votre frère nous hante jour et nuit, c'est insupportable, en plus il est devenu violent, et imprévisible répond Lisa !
Je ne peux rien faire avant demain, je vous promets que bientôt tout ça sera qu'un mauvais souvenir dit Diana !
Vous nous promettez que demain, vous porterez l'urne funéraire à qui de droit demande Gérôme !
Oui je mis engage dès demain, j'espère seulement qu'il m'en voudra pas dit la vieille dame !
Nous l'espérons aussi, maintenant nous devons rentrer, au revoir Diana, et prenez soin de vous répond Gérôme et Lisa !
Ils repartent chez eux, le cœur serré, mais en chemin, il rencontre Mr Bertier le policier.
Comment sa va les amoureux demandent le policier !
ça va très bien merci, nous sommes passé voir Diana, elle nous a dit que demain elle aller rapporter l'urne funéraire de son frère à qui de droit, pour conjurer le pacte répond Gérôme !
Très bien, je vous félicite, vous avez réussi à la convaincre cette vieille chouette, ça fait des années que je lui dis de jeter cette urne, mais sans succès, demande le policier !
Oui on pense l'avoir convaincu, enfin nous l'espérons répond Gérôme !
Je pense pas qu'elle jettera cette urne, à mon avis elle vous a menti, cette urne funéraire c'est toute sa vie, c'est les cendres de sont frère, elle ne le fera pas, et je suis sure qu'elle l'emportera dans sa tombe dit le policier !
Si vous dites vrai, on le saura demain, allez bonne nuit Mr Bertier répond Gérôme !
Bonne nuit les amoureux,soyez prudent répond Bertier !
Il continu leur route et arrive enfin chez eux, Gérôme entre la voiture dans le garage, avant de monter se coucher avec sa femme, tout feu éteint, il dorme à poing fermé avant que le cauchemar refasse surface, le fantôme resurgis en pleins milieux de la nuit en poussant des cris à faire peur, sans oublier que maintenant ils vont le voir sous son grand jour.
Le fantôme furax entre dans la chambre se penche sur Lisa, retire le drap tout doucement, lui attrape la jambe, et la tire hors de son lit en la traînant jusque dans les escaliers et l'entraîne dans la cuisine, Lisa pousse des cris de terreur, se débat et essaye d'attraper un couteau pour planter le fantôme, elle n'y arrive pas, le couteau passe à travers le corps du fantôme sans succès, au moment où il lève sa serpe, Gérôme entendant les cris de sa femme, se lève d'un bon, prend son fusil, le charge et descend l'escalier en ce dirigeant vers la cuisine, Gérôme le met enjoue, et tire, les balles passe à travers le corps du fantôme et finisse dans le mur.
Stop vilain fantôme, lâche ma femme crie Gérôme le regard triste !
Je ne suis pas un fantôme, je suis une faucheuse, vous êtes dans ma maison, et je ne laisserais personne me la prendre, vous devez mourir répond la faucheuse !
A ce moment la faucheuse brandit sa serpe, attrape Lisa par les cheveux, lui penche la tête en arrière et lui tranche la gorge, Lisa tombe à terre agonise et perd tout son sang avant de rendre l’âme, Gérôme pris de panique et paralysé hurle.
Non ! Sale faucheuse, c'est chez moi, et je ne partirais pas, j'ai acheter cette maison avec mes économies, et toi tu veut me la prendre, tu ne me fais pas peur sale vermine crier Gérôme un peu apeuré !
La faucheuse se retourne, va vers Gérôme, l'attrape à son tour par les cheveux, lui met la tête en arrière, brandit sa serpe, attend un moment, et lui tranche la gorge, Gérôme tombe à terre et meurs sur le coup.
Les voisins entendent les bruits, et les cris, il décide d'appeler les forces de l'ordre à la rescousse. Allô, bonsoir Mr l'agent, venez vite, il y a du bruit et des cris, et des coups de feu chez Lisa et Gérôme annonce Florence la voisine !
Bonsoir Madame, A quelle adresse je vous prie ? demande le policier !
50 rue des tilleuls Mr répond Flo !
Nous arrivons Madame, rester chez vous, fermer les portes à clé, nous serons là dans 20 min, bonsoir Madame répond le policier !
Merci Mr, a tout à l'heure, bonsoir Mr l'agent répond Flo !
Alors qu'est-ce qu'il a dit demande Tom !
Il a dit de rester chez nous, et qu'il arrivait dans 20 min répond Flo !
Les policiers arrivent 20 min après en faisant hurler la sirène, il sorte tous de leur voiture, et accoure vers la maison du couple, en entrant il découvre les corps inertes au sol, le policier Mr Bertier retourne à sa voiture pour appeler une ambulance et prévient la morgue, Mr Bertier retourne dans la maison pour trouver des indices, quand soudain il crut voir une ombre effrayante disparaître devant lui, l'ambulance arrive, deux ambulanciers sorte les civières et 2 sacs mortuaires pour ramener les corps à la morgue, le policier Mr Bertier fait boucler le périmètre avant de partir, quand les voisins Florence et Tom débarquent, il interroge le policier pour avoir des nouvelles de leurs amis.
S'il vous plaît Mr l'agent, dîtes nous que nos amis vont bien demande Tom !
Je suis désolé, mais vos amis sont mort répond le policier !
Ho mon Dieu, ses pas vrais répond Flo en pleurant !
Savez vous si le couple avait une famille ? Demande le policier !
Non je crois pas, il venait de la d.a.s tout les deux, enfin je crois répond Tom !
Très bien, ha j’allais oublier, les obsèques auront lieu dans 4 jours, maintenant rentrer chez vous, et essayer de dormir un peu, répond le policier Mr Bertier !
Merci Mr l'agent, nous ne manquerons pas les funérailles de nos amis, vous pouvez compter sur nous, mais nous ne resterons pas ici, nous allons partir dans le sud pour oublier, au revoir Mr l'agent répond Flo et Tom !
Vous partez, alors bonne toute et soyer prudent, au revoir répond le policier !
Le lendemain matin apprenant la nouvelle, Diana s'apprête à partir pour remettre l'urne funéraire aux autorités, comme elle l'avait promis au couple, mais son frère la faucheuse l'en empêche, très fâcher, il s'approche de sa sœur et lui dit d'une voix menaçante.
Tu me déçois Diana, tu m'as trahie, où compter tu aller avec mon urne funéraire ? Demande la faucheuse !
Nulle part répond Diana !
Menteuse tu voulais te débarrasser de moi répond la faucheuse !
Non, je voulais juste que tu retrouves la paix répond Diana !
Je n'aime pas la paix, et je n'ai pas demander à mourir, j’étais trop jeune répond la faucheuse !
Pourquoi ta tuée ce couple, il ne t'avait rien fait demande Diana !
Je les ai tué parce qu'il voulais me prendre la maison, personne doit se mettre en travers de mon chemin et me trahir répond la faucheuse !
Je suis désolé, mais je ne peux pas garder ça une minute de plus chez moi répond Diana !
Alors tu va mourir toi aussi Diana répond la faucheuse !
Diana recule, mais la faucheuse l'empoigne fermement, au moment où il lève sa serpe, Diana attrape le pistolet de détresse, et tire sur son frère, la boule de feu frôle la faucheuse, et atterri sur les rideaux, la maison s'embrase, la faucheuse lâche Diana, et lui dit :
tu vas mourir par le feu vieille folle, tu n'aurais jamais dû faire ça répond la faucheuse !
Non, me laisse pas, je t'en supplie, reviens, pardon demande Diana !
Adieu Diana, on se retrouvera au paradis répond la faucheuse !
La faucheuse s'empare de l'urne funéraire, et retourne le cacher sous la trappe du plancher du couple décédé, Diana intoxiqué par la fumée, s’évanouit et tombe au sol. Un policier qui fessait sa ronde, aperçois la fumée au loin, il fait demi- tour et s'engage dans un chemin menant à la maison de Diana, la maison brûle depuis des heures, quand le policier arrive sur les lieux, il ne reste plus rien, il appelle en urgence la caserne des pompiers.
Allô, oui bonjour, je suis le policier Bertier, j'ai une maison qui brûle ici, venait vite c'est urgent demande le policier Bertier !
Bonjour agent Bertier, à quelle adresse doit je envoyer mes hommes demande le commandant des pompiers !
Attendez je regarde tout de suite, aux 50 chemins du moulin répond Bertier !
Très bien nous arrivons dans 15 min, merci Mr l'agent répond le pompier!
Merci à vous répond le policier !
Pendant ce temps- là, Bertier fait des va-et-vient, impatient il décide quand même de rentrer dans la maison, il cherche la vieille femme, il tousse, ses yeux piquent, puis il trouve enfin son corps, il l'entraîne dehors, mais c'est déjà trop tard, Diana est décédée, il la couvre d'un drap avant la venue des pompiers.
15 min plus tard les pompiers arrivent sur les lieux, ils déploient la lance à incendie, et éteignent le feu, le policier Bertier appelle une ambulance, et prévient la morgue, le commandant s'avance vers Mr Bertier et lui dit :
mes hommes et moi avons maîtrisé le feu, nous retournons à la caserne, on vous laisse à vos occupations, j'espère que vous trouverais des indices, au revoir Mr l'agent dit le commandant !
Merci pour votre aide, Mr... demande le policier !
Oh pardon, je suis le commandant Sanchez
merci encore commandant Sanchez, et à plus tard répond le policier !
L'ambulance arrive sur les lieux, les infirmiers sortes une civière et un sac mortuaire, ils mettent la victime dedans et embarquent le corps à la morgue.
Le policier Mr Bertier retourne dans la maison, enfile ses gants, et fouille partout dans tous les recoins, il finit par trouver le pistolet fondu qu'il met dans un sac à indice, il cherche encore, mais n'arrive pas à trouver l'urne funéraire, il croit simplement que l'urne à brûler, avec le fantôme dans l'incendie, pour lui l'affaire est close, il retourne à sa voiture, et file au laboratoire pour y déposer le pistolet qu'il a trouvé dans la maison de Diana pour le faire analyser par le docteur Martin.
Bonjour Martin, j'ai besoin que tu analyses ce pistolet, appelle-moi si tu trouves des indices demandent le policier !
Bonjour Mr Bertier, j'ai besoin de 2 jours pour le faire analyser, je vous appelle très bientôt soyer tranquille répond Martin !
Merci Martin, je retourne à mon bureau, si tu as besoin de moi, tu sais où me trouver répond Mr Bertier !
Oui Mr l'agent, je vous appelle à votre bureau dans 2 jours répond Martin !
Merci mon petit à bientôt répond le policier !
A bientôt Mr l'agent répond Martin !
De retour à sont bureau, l'agent Bertier à une visite inattendu, le maire attend dans sont bureau pour lui annoncer une nouvelle venu.
Ha Mr Bertier je vous attendez, j'ai un promoteur immobilier qui viens s'installer dans notre belle région, j'ai besoin de mettre en vente la maison de la famille Picard, donc je veux que vous boucler l'affaire au plus vite demande le maire !
L'affaire Picard Lisa et Gérôme demande le policier !
Oui faite pas l'idiot, vous savez très bien de qui je parle, boucler l'affaire c'est tout ce que je vous demande répond le maire !
Ho je ne sais pas, j'ai pas encore reçu les indices du pistolet répond le policier !
Très bien, je vous laisse 3 jours, ensuite si vous n'avez pas fait votre boulot d'ici là, je me chargerais moi même de vous faire virer dit le maire !
Je vais faire de mon mieux Mr le maire répond l'agent !
J'espère bien, après je ne répond plus de rien répond le maire !
3 jours après Martin appelle Bertier pour lui donner ces conclusions, le verdict tombe, les empreintes trouver sur le pistolet sont bien celle de Diana, et l'autopsie révèle des traces de fumée dans ses poumons, ainsi que des contusions, Mr Bertier conclut que la vieille femme s'est défendu avec panache, et pense qu'elle a tiré sur le fantôme avant d'être intoxiqué par la fumée, seulement la balle du pistolet à fini sa route dans les rideaux ce qui aurait mis le feu à la maison. Le policier appelle le maire pour lui dire que l'affaire Picard est résolue, et qu'il peut vendre sa maison au promoteur immobilier.
Deux ans après le promoteur immobilier met la maison en vente sans savoir ce qui s'était passé 12 mois auparavant, vers 14 h un couple avec une petite- fille de 8 ans entre dans l'agence et achète la maison du couple décédé, mais personne ne parlera plus jamais de cette histoire, juste au jour où, la faucheuse refera surface. Deux semaines après la famille Granger emménage dans leur nouvelle maison, il attende le camion de déménagement pour commencer à ranger leurs meubles et leurs petites affaires, le camion arrive avec 10 min de retard, Alain Granger un peu déçu et furax donne un coup de main aux déménageurs pour débarrasser le camion au plus vite, Lucie Granger assiste les gars pour leur signaler ou placer les meubles, et envoie sa fille Jody dans sa chambre pour ne pas gêner tout le monde, vers 20h le déménagement s'achève, Lucie monte voir sa fille dans sa chambre, et lui demande de descendre pour l'aider à mettre le couvert, Jody obéis et rejoint sa mère dans la cuisine, ils se mettent à table, et passent une agréable soirée, vers 21h la petite famille très fatiguée, décident de monter se coucher, l'horloge sonne minuit, quand soudain Jody se réveille et crie :
Maman ! Maman ! Appelle Jody !
Lucie accourt et répond : je suis là ma chérie, que se passe-t-il ?
Il y a un fantôme dans mon placard répond Jody !
Calme toi ma chérie, les fantômes sa n’existe pas répond Lucie !
Si, je les vu, il était là répond Jody apeurée !
Bon, je vais regarder dans le placard répond Lucie !
Lucie ouvre le placard.
Tu vois il ni à rien, allez rendors-toi, je te laisse la veilleuse, et la porte ouverte, bonne nuit ma petite chérie répond Lucie !
Bonne nuit maman ! Réponds Jody !
Lucie retourne se coucher auprès de son mari, quand Alain lui demande : que se passe-t-il avec Jody ?
Rien, elle a fait un cauchemar, elle était persuadée qu'il y avait un fantôme dans sa chambre, elle est très perturbée en ce moment répond Lucie !
Demain j'irai l'inscrire à l'école du village, mais elle ne commencera que lundi, ça lui laissera un peu de répit demander Alain ! Oui chérie, ça sera mieux pour elle répond Lucie !
Le lendemain Mr Granger file à son travail et prend son poste de directeur à l'école primaire du village, il remplace ancienne directrice qui est partie en retraite, Lucie ne travail pas pour le moment, elle préfère rester à la maison pour s'occuper de sa fille qui est un peu perturbée a cause du déménagement, pendant ce temps Lucie prépare le petit déjeuner de sa fille, à l'étage Jody se réveille, elle entend un petit bruit venant du placard, elle ouvre doucement, et sursaute en voyant le fantôme, elle recule en restant immobile, et cris :
maman ! Maman !
Lucie monte les escaliers, ouvre la porte, et voit Jody assis par terre en train de pleurer.
Que se passe-t-il Jody répond sa mère !
J'ai entendu un bruit dans mon placard, j'ai ouvert et le fantôme était là, il me regarder, puis il à disparu répond Jody en pleurant !
Écoute-moi les fantôme sa n'existe pas, c'est dans ta tête répond Lucie en colère !
Pourquoi tu ne me crois jamais, je veux repartir à Boston répond Jody !
Tu sais très bien qu'on retournera pas à Boston, maintenant c'est ici chez nous, allez viens descend prendre ton petit déjeuné répond Lucie !
Jody descend prendre sont déjeuné, mais n'est pas rassurée pour autant, elle a très peur, Lucie regarde sa fille, et lui dit :
tu veux qu'on aille faire un tour au magasin de vêtement ? Demande Lucie !
Ho oui maman, super répond Jody !
Allez va t'habiller, on part dans 20 min répond Lucie !
Jody monte dans sa chambre, se change rapidement, et descend pour partir, elles passent toute la journée à faire les magasins, avant de renter Lucie passe au parc pour laisser sa fille s'amuser avec d'autre enfants, Jody oublie les mauvais moments un instant, et fait connaissance de Julia, Lucie pendant ce temps fait connaissance avec la mère de Julia, elles discutent pendant des heures, avant de rentrer.
A leur retour Alain était rentré, le repas était déjà prêt, la table était déjà mise, mais Jody ne se sentait pas très bien en entrant, elle avait toujours peur du fantôme, Lucie range les vêtements qu'elle a achetés au magasin, et parle avec son mari de leur fille Jody.
ce matin Jody a encore vu ce fichu fantôme, je pense qu'elle a un gros problème, elle fait des cauchemars et je pense qu’on devrait la montrer à un psychologue demande Lucie !
Non je crois pas, laisse-lui encore un peu de temps, on vient juste d'arriver, elle va si faire, et si ça ne s'arrange pas, nous aviserons par la suite répond Alain !
D'accord attendons, et voyons répond Lucie !
Ils se rejoignent tous les trois dans la cuisine, et passent à table, le repas terminé, Alain, Lucie et Jody montent ce coucher, vers minuit le fantôme ressurgis, il entre dans la chambre de Jody, se penche sur son visage et la regarde dormir, quand tout à coup une idée lui passe par la tête, il prend Jody par la chemise de nuit, et la colle au mur en la déplaçant dans tout les sens, Jody se réveille et hurle :
au secours, maman, papa, j'ai peur,ha haha
Alain et Lucie se réveillent en sursaut, et accourt dans la chambre de leur fille, en ouvrant la porte ils aperçoivent la faucheuse en train de faire du mal à leur fille.
Ho mon Dieu, qu'est-ce que ses, on dirait une faucheuse, comment est ce possible répond Lucie affoler !
Pendant ce temps Alain court chercher sa batte de base-ball, et frappe la faucheuse sans succès, la faucheuse relâche Jody en plein milieu de son lit, et envoie le père valdinguer à travers la pièce, Lucie va chercher sa fille, mais la faucheuse l'en empêche en la poussant par terre, le fantôme se retourne vers eux et leur dit :
partez, partez pendant qu'il en est encore temps, vous êtes dans ma maison, foutez-le quand
nous ne partirons pas, cette maison ne vous appartient plus, vous êtes mort, répond Alain !
Si vous restez, je devrais vous tuer, à vous de prendre la bonne décision ha ha répond la faucheuse en disparaissant dans l'air !
Vous me croyez maintenant répond Jody !
Oui ma puce, pardon de ne pas t'avoir cru répond Lucie !
Pour ce soir partons dormir à l'hôtel, prenais une valise, on reviendra demain matin demande Alain !
Ils ferment la maison à clé, et partent tous les trois à l'hôtel du coin, la faucheuse croyant avoir gagné la partie, et les voyants fuir, se réjouit, et se met à la fenêtre de la chambre de Jody.
Regardez la haut, c'est la faucheuse répond Jody ! Ils regardent en l'air un instant, et sans vont le cœur triste.
Le dimanche matin, ils passent voir les forces de l'ordre, pour leur signaler la présence du fantôme, ils sont accueillis par l'agent Mr Bertier qui leur explique tout en détail 2 ans en arrière.
Avant vous il y avait un couple Gérôme et Lisa, un jour le fameux fantôme fait irruption dans leur vie, il ne savait que faire, alors il appelle un prêtre pour qu'il bénisse leur maison mais sans succès, quelques jours après il m'appelle au tél pour que je vienne constater les dégâts du fantôme, je leur ai conseillé d'aller voir la sœur du fantôme pour discuter du pacte passé, ils ont discuté avec elle, puis ils sont revenus me voir, je leur est même demandé de déménager, mais ils ne voulez pas partir de cette maison, puis un jour le drame arrive, en pleine nuit je reçois un coup de fil des voisins me disant qu'il y avait du chahut chez les Picard, quand nous sommes arrivé sur les lieux, il était mort, le fantôme les avait tué, mais plus tard la sœur du fantôme veut remettre l'urne de son frère à qui de droit, mais elle n'a pas eu le temps, parce que le fantôme lui en a empêché, elle s'est défendu avec une arme de détresse, elle a tiré et ça a mis le feu a la maison, Diana décède à son tour, ont pensé que le fantôme était mort avec son urne dans l'incendie, mais je vois aujourd'hui qu'il vit encore. explique Mr Bertier !
Pourquoi personne ne nous a rien dit quand on a acheté cette maison ? Demande Alain !
Parce que personne n'était au courant, ont pensé tous que la faucheuse avait péri dans l'incendie, alors si vous voulez vivre ne faite pas les même erreurs, la seule chose qu'il faut trouver aujourd'hui c'est l'urne, il faut la détruire en la cassant, ceci annulera le pacte, mais ou la t-il cacher ? répond l'agent !
D'accord on va essayer de chercher cette urne, on va passer la maison au peigne fin répond Alain !
Avant de mettre les pieds dans la maison, nous allons passer chez ma mère pour qu'elle garde notre fille Jody répond Lucie !
D'accord mais faite très attention, car la faucheuse est très maligne, ne vous faites pas avoir répond l'agent !
Ne vous inquiétez pas on fera de notre mieux répond Alain !
Très bien, je vous laisse partir, chercher pendant qu'il fait encore jour, si vous ne trouver pas rendez-vous ici avant la nuit, a tout à l'heure répond l'agent !
A tout à l'heure Mr Bertier répond Alain !
Le couple part et emmène Jody chez sa grand-mère, de retour chez eux, il cherche et fouille dans toute la maison, dans le moindre recoin, mais ne trouvant rien, il retourne voir le policier avant la tomber de la nuit, a leur arriver Mr Bertier était absent, un collègue les fait patienter dans une salle d'attente, mais après de bonne heure à attendre, Mr Bertier fait son apparition.
Alors vous avait trouvé l'urne répond le policier !
Non nous n'avons rien trouvé répond Alain !
Que devons-nous faire maintenant, on retourne chez nous répond Lucie !
Écoutez je ne sais pas, la faucheuse est dangereuse, alors faite comme bon vous semble, votre fille est chez sa grand-mère ? réponds le policier !
Oui nous l'avons déposé chez ma mère répond Lucie !
Retourner chez vous, et faite comme ci rien ne s'était passé, mais si des bruits refont surface dans la nuit, revenez me voir, s'il ne se passe rien d'ici là, vous pourrez retourner chercher votre fille, et continuer à vivre dans votre maison tranquillement répond l'agent !
Vous croyez que la faucheuse va nous laisser tranquille, c'est un comble, comment pouvez-vous dire ça répond Lucie !
C'est juste pour quelques jours, pour voir comment la faucheuse va réagir en vous voyant répond l'agent !
C'est tout vu elle va nous tuer, elle nous aime pas, elle veut qu'on parte répond Lucie !
Essayons vous voulez bien répond Bertier !
D'accord essayons répond Alain !
La faucheuse qui était là avait entendu la conversation, et décide de jouer le jeu pendant quelques jours pour les prendre à leur propre piège, Alain et Lucie retournent chez eux angoisser, la nuit tombe, et la peur monte, Alain et Lucie mangent en amoureux, regarde un film, puis vers 11h la fatigue se fait sentir, il monte tous les deux se coucher en pensant à leur fille, le couple avait un peu de mal à s’endormir, mais au bout d'une heure, tout le monde dormez, la faucheuse les regarde dormir sans faire de bruit exprès pour que Jody revienne, quelques jours après ne voyant plus la faucheuse le couple appelle le policier pour lui annoncer qu'il ni avait plus de fantôme, Mr Bertier leur donne l'autorisation de récupérer leur fille tout en étant très prudent.
La famille coule des jours heureux, mais un soir la faucheuse refait sont apparition en bas de l'escalier, fâcher et très en colère, il leur dit :
vous croyez que j'allais vous laissez tranquille, faux, répond la faucheuse !
Pendant ce temps-là, Jody qui joue en haut de l'escalier, fait rouler sa pièce vers la trappe, la pièce tombe dedans, Jody soulève la trappe pour la récupérer, mais en ouvrant, elle aperçoit l'urne, elle l’attrape et dit :
maman, papa j'ai trouvé l'urne grâce a ma pièce répond Jody !
C'est très bien chérie, apporte la moi répond sa mère !
Oui maman j'arrive répond Jody !
Mais la faucheuse surprise, monte et avance vers Jody, pour lui prendre l'urne, la petite fille très maligne, monte sur la rampe de l'escalier, et se laisse glisser jusqu'en bas, la faucheuse se retourne essayant de l'attraper, et revient vers eux, Jody se cache derrière c'est parent, mais la faucheuse très rapide empoigne Lucie et Alain d'une seule main, mais au moment où il lève sa serpe, Jody jette et casse l'urne devant ses yeux, la faucheuse crie et disparaît dans les airs, et retourne vers la lumière pour reposer en paix, la famille Granger prévient le policier que la faucheuse était morte, et qu'ils n’entendront plus jamais parler de ce fantôme, la famille décide de garder la maison et de finir leur jour à Londres, depuis ils y vivent très heureux.


Fin

Catherine Régent

Je vais vous raconter l’histoire de la licorne bleue

Un jour, à Corniville vivaient des familles de licorne au couleur blanche éclatante, elle adorait gambader, et faire des cabriole dans le grand champ fleuri et près du grand sous-bois.
Mets ce que les licornes préféré le plus, c’était de manger les fleurs de toutes les couleurs au parfum et senteur irrésistible, elle ne pouvait s’empêcher de goûter à ces jolies petites fleurs si tendre.
Puis, dans un coin à côté d’un rocher se trouver un plan de fleurs bleues, mélanger à des fleurs rouges.
Elle était éclatante de beauté, et le parfum qu'elle dégagez était encore meilleur que celui du champ.
Lilou et Lilas aimé venir dans ce champ pour contempler, et sentir ses jolies fleurs à l’odeur parfumée.
Mais un jour, alors qu’il gambader, et faisait des cabrioles, il tombe sur un plan de fleur bleu et rouge.
Lilas manger les petites fleurs bleues sans savoir ce qu’il pouvait se passer en les mangeant.
Lilou se contenter juste des autres fleurs du grand champ mais, il aimait surtout les petites fleurs blanches.
Les jours, mois, années passent, et Lilas mit au monde une merveilleuse petite licorne nommée Lilo.
Soudain, Lilou s’écria: OH, que se passe t-il, j'aperçois un bébé licorne tout bleu, comment est-ce possible.
Tout bleu. Répond Lilas
Pourquoi n’est-elle pas blanche comme nous. Répond Lilou
Lilas la prit dans ses bras, et la regarde stupéfaite en disant: Je ne sais pas pourquoi elle est bleu, et non blanche, comment ça a pu arriver
Et il dire en cœur Elle est magnifique, et très jolie avec son petit regard malicieux, et sa petite couleur bleu, elle nous fait fondre de bonheur
Ils sortent de chez eux, pour la montrer au reste de la troupe sans savoir comment les licornes allaient réagir.
Les licornes c'étaient mise à ricaner, et à se moquer d’eux. Ils attrapent leur fille Lilo, et rentrent chez eux tout triste sans dirent un mot.
Pourquoi se moque t-il tous de notre petite Lilo, ça ne leur portera pas bonheur.Répond Lilou
Les années passent, et Lilo fête ses 1 ans, elle voulait voir le monde, elle décide de sortir de chez elle.
Lilou et lilas lui en empêche, et la petite Lilo se demande bien pourquoi ses parents ne l'à laisse jamais sortir de chez elle, Lilo demande à ses parents des explications.
Lilou et Lilas lui explique qu’elle devait rester ici à cause de sa couleur bleu, parce que les licornes du village allait se moquer d’elle sans scrupule.
Lilo demande Comment suis-je devenu bleu
Nous ne savons pas, mais nous trouveront la réponse un jour où l’autre Répondit Lilou et Lilas à leur fille
Alors, je peux sortir, s'il vous plaît Demande Lilo à ses parents
Après réflexion Lilou et Lilas accepte que leur fille sorte de chez eux.
Mais fait attention les vilaines licornes veille Prévient Lilas
Oui maman, merci maman Répond Lilo
Elle part au village, et marche jusqu’au champ de fleurs à la senteur irrésistible.
Elle s’amuse, elle fait beaucoup de cabriole, puis, elle s’allonge, et s’endort au milieu des jolies fleurs parfumées.
Soudain, elle est réveillée par un petit bruit, elle regarde autour d’elle, et elle aperçoit toute la troupe de licorne qui ricane à cause de sa couleur bleu.
Regardé c’est la fille de Lilou et Lilas Où est ta couleur blanche Dire la troupe de licorne en se moquant
Assez ricaner, vilaine licorne vous n’avez pas honte de vous moquer d’une toute petite licorne comme moi sans défense, pourquoi faîte-vous ceci. Demande Lilo
Et elle parti en courant à toutes jambes, elle appela, son papa et sa maman en sanglotant.
Papa maman vous êtes là, les vilaines licornes se sont moqués de moi à cause de ma couleur bleu. Crie Lilo désespérée
Ma pauvre petite chérie Dit Lilas
On t’avais averti, allez viens me faire un gros câlin. Demande Lilou
Lilo monte dans sa chambre, et se regarde dans le miroir en disant Je ne suis pas belle, je veux être blanche comme mes parents

Lilas et Lilou entendit la petite Lilo se morfondre, et pour la réconforter, il lui parler gentiment, en lui expliquant les choses.
Tu es notre magnifique petite fille, on t’aime comme tu es, en plus tu es la seule pour le moment à être si jolie
C’est vrai vous me trouvez jolie Demande Lilo
Bien sûr! Rassure Lilas et Lilou tu es notre bébé adoré
Lilo toute fière, compris aussitôt ses parents, elle s'avance vers eux, et les embrasse tous les deux.
Demain nous irons au champ de fleurs parfumées ensemble, tu es d'accord interroge Lilou et Lilas
Oui génial! S'exclame Lilo
La nuit tombe, et la petite famille monte se coucher exténuée de leur journée, il attende le lendemain matin pour aller réveiller Lilo qui dormait à poings fermés.
Debout! Debout! crie Lilou et Lilas
Lilo ouvrit les yeux et dis: C’est déjà l’heure de se lever
Oui annonce ensemble Lilou et Lilas
Habille-toi vite et viens prendre ton petit-déjeuner demande Lilas
D’accord maman je viens: dit Lilo Il se retrouve tous les trois dans la cuisine pour un bon petit-déjeuner que papa et maman licorne avait préparé spécialement pour Lilo ce fut un merveilleux petit festin.
Ensuite, le petit déjeuner terminé, il prit leurs affaires, et sortit faire une petite ballade jusqu’au champ de fleurs parfumées.
En arrivant au champ, ils aperçoivent la troupe de licorne en train de manger des fleurs au coin du petit rocher où se trouvent les petites fleurs bleues et rouges. Par leur grande surprise, personne ne se moquer d’eux c’était bien étrange mais c’était mieux comme ça.
Ils vont rejoindre le troupeau de licornes près du rocher, et soudain:
Toutes les licornes qui avait mangé ses petites fleurs bleues, et rouges changer de couleur comme par magie.
Lilou interroge Lilas Tu as vu ça les licornes sont bleues, et certaines sont rouges, Tu n’en aurais pas mangé par hasard quand tu attendais Lilo
Oh! si c'est possible ça me revient maintenant j’ai mangé que les petites fleurs bleues assure Lilas bien étonné
Ben voilà, ne te pose plus la question, c’est pour ça que Lilo, est devenu bleu à la naissance. S'exclame Lilou
Lilou et Lilas appelle leur fille Lilo, et lui explique que c’était à cause de ces petites fleurs, qu’elle était devenu bleu, mais la gentille petite Lilo n’en voulais pas à ses parents, elle leur répond simplement, qu’elle était heureuse d’avoir une couleur aussi jolie.
Puis, il s'exclama ensemble
Hé! le troupeau vous avez vu votre couleur, vous êtes bleu et rouge à cause des petites fleurs magiques que vous avez mangé près du rocher. S'exprime Lilou, Lilas et Lilo Le troupeau répond Magique ! Comment est-ce possible ! Mais on s’excuse pour tout le mal qu’on t'a causé, on ne se moquera plus de personne, c'était très méchant, Excuse-nous Lilo Mais comment on va faire maintenant avec nos couleurs bleu et rouge
Vous êtes tous excusé, maintenant on est tous pareils, c’est original non! et en plus c'est très beau. S'exclame Lilo
Merci, dire le troupeau Nous sommes maintenant des vedettes de cinéma avec nos jolies couleurs
Oui c’est vrai ajoute Lilou et Lilas
Plus de différences, et plus de moquerie, soyez vous même Proclame Lilo
Mais, si vous n’aimez plus vos couleurs, vous pouvez toujours manger des petites fleurs blanches, pour redevenir d’un blanc éclatant annonce Lilo
Non merci! Nous resterons avec nos jolies couleurs bleu et rouge pour le moment, parce que nous sommes maintenant les plus beaux de Corniville. S'exclame le troupeau
Ça aussi, c’est vrai, dire ensemble Lilou Lilas et Lilo
Puis, ils s’amusent tous ensemble à faire des cabrioles, gambader, et surtout à manger de bonnes petites fleurs de toutes les couleurs, mais pas n’importe quelle fleur, surtout celles qui sont magiques.
Plus rien ne les dérange, ni les gens, ni les couleurs, il fallait juste qu’ils s’entendent entre eux pour pouvoir vivre en harmonie à Corniville.
Ensuite, il se réunir tous au village, pour une grande soirée, et une grande fête où il manger tous ensemble autour d’un bon feu de joie.
Mais au fur et à mesure que les jours passent, il continuer à manger des tas de fleurs, et changer souvent de couleur à cause des petites fleurs magiques, et promettez de garder le secret de Corniville.
Corniville était tout simplement une petite ville de licorne tranquille aux couleurs éclatantes avec leur grands champs de petite fleur parfumée et magique.
Mais soudain une petite chenille passe par là, elle entendit le secret, puis, parle d’une toute petite voix:
Bonjour les licornes, je passais par-là, quand, je vous ai entendu dire, qu’il y avait des petites fleurs bleues et rouges magiques C'est vrai n'est-ce pas, j’ai pas rêvé Demande la petite chenille
Heu! Le troupeau hésité à parler.
Mais Lilo qui n’avait peur de rien, s’approcha de la petite chenille, et ajouta.
Bonjour petite chenille, alors comme ça tu aurais entendu notre petit secret. S'exprime Lilo
Oui, mais je n’en parlerai à personne croix de bois, croix de fer, si je mens j’irai en enfer! Réponds la petite chenille
Je crois qu’on peut lui faire confiance dit Lilo
Pour le moment il fait nuit, nous allons tous rentrer chez nous, et demain nous en reparlerons. Annonces Lilo
Papa, maman, je peux accueillir la petite chenille chez nous? Demande Lilo
Oui bien sûr ma chérie Ajoute Lilas
Il rentre tant bien que mal jusqu'à chez eux, et invite la petite chenille à rester autant de jours qu’elle voulait.
Arrivée à leur maison, il rentre et pris place autour de leur table, et discute.
Soudain, Lilo demande: Haut fait ,comment t’appelles-tu petite chenille, tu as bien un nom n’est-ce pas
oh oui! excusez-moi je ne me suis pas présenté S'exclame la chenille Je m’appelle Chenilla
Chenilla c’est un très joli nom Dit Lilo
Merci Répond Chenilla
L’heure passe, Lilas et Lilou demande à leur fille d’aller se coucher car il se faisait tard.
La petite se lève, souhaite bonne nuit à tout le monde, puis monte se coucher.
Madame Chenilla j’ai préparé votre chambre soignesement. Proclame Lilas
Merci beaucoup madame Lilas, à demain je monte me coucher, je suis très fatiguée, et exténuée. Réponds Chenilla
A demain réponde Lilas et Lilou
Puis, Lilou et Lilas allait eux aussi se coucher jusqu’au lendemain.
Par une belle journée d’été, Lilo demande à Chenilla, si elle voulait aller se promener au grand champ de fleurs fleuries.
Celle-ci accepte et les voilà partie, arrivée au champ fleuri, elles discute un peu puis, Lilo l’emmène jusqu’au petit rocher où il y avait le plan de fleur bleue et rouge.
Voilà c’est ici, ce sont des fleurs magiques, elle change ta couleur, si tu en manges S'écria Lilo
Elles sont si belle, et si parfumée, que j’en goûterai bien une. Demande Chenilla
Vas-y ! Vas-y! Goûte et tu verras le résultat S'exclame Lilo
Chenilla goûte à une petite fleur rouge, et hop! elle change de couleur, elle se regarde de haut en bas en s'admirant devant un morceau de verre en guise de miroirs.
C’est super je suis rouge, c’est magnifique, et magique Crie Chenilla
Surtout ne le dis à personne d’autre que nous les licornes Demande Lilo
D’accord! tu peux me faire confiance, je ne dirai rien à personne à part vous les licornes S'exclame Chenilla
Merci beaucoup, c’est un secret qui doit pas être divulguée Répond Lilo
Crois-tu qu’il y a d’autres endroits comme celui-ci Demande Chenilla!
Peut-être, je ne sais pas. Proclame Lilo
Elles partent visiter d’autres endroits et arrive dans une toute petite ville où était inscrit sur un petit panneau Cheniville.
Cela étonné Chenilla, parce q'elle ne connaissait pas cette ville, puis, elle avançer, et vit au loin un grand champ de fruits sa sentait si bon qu’elle décidé de s’arrêter pour grignoter c’est joli fruit parfumé, et faire une petite sieste, mais ce qu’elle ne savait pas c'est que les fruits qu’elle grignotait été aussi magique.
Quand, elle se réveille de milliers de petite chenille était la souriante autour d’elle, les insectes leur demande.
Comment vous appelez vous Et que faites vous ici Demande les petites chenilles
Moi c’est Lilo et elle c’est Chenilla répond telle
Enchanté de faire votre connaissance dire les petites chenilles
Nous sommes arrivés ici en marchant un peu, nous avons aperçu ce champ de fruits, nous y sommes arrêtés pour grignoter un peu, et nous reposer ça Sentait si bon qu’on a pas pu résister S'exclame Lilo
Vous avez grignoter nos fruit magique Réponde les petites chenilles
Oui! mais on ne savait pas que vos fruits était magique Proclame Lilo et Chenilla
Alors maintenant vous devez sentir aussi bon que nous, parce que nos fruits on le pouvoir de nous parfumés quand on en mange Dirent les petites chenilles
Super on sent bon! C’est formidable S'exclame Chenilla et Lilo
Et vous arrivez d’où comme ça Dire les petites chenilles
Nous arrivons d’une ville nommé corniville. Répond Chenilla
Corniville vous dîtes S'exclame les petites chenilles
Nous ne connaissons pas cette ville Répondent les petites chenilles
Pourtant elle est juste à côté de votre ville Juste quelques pas à faire pour y arriver Proclame Lilo
Bien on ne savait pas qu'il y avait une ville juste à côté! Vous êtes les bienvenus dans notre royaume! rester autant de jours que vous voulez Dire les petites chenilles

Merci beaucoup,mais nous ne resterons pas très longtemps Annonça Chenilla et Lilo
Lilo et Chenilla visite le camp des chenilles et s'amuse beaucoup, mais le temps passe et il faut déjà repartir.
Maintenant nous devons rentrer, nos troupes nous attendent avec impatience Répond Lilo
Lilo voyez bien que Chenilla ne voulait plus rentrer avec elle à Corniville, elle ne savait que faire, elle demande à Chenilla si elle voulait rentrer.
Tu rentres avec moi Chenilla Demande Lilo
Non sans moi S'exclame Chenilla
Ici je suis chez moi, je vais rester ici avec mes amis chenille Demande Chenilla
Comme tu voudras Répond Lilo
Alors je te dis au revoir et n’oubliez pas que vous serez toujours les bienvenus chez moi Insiste Lilo
Merci beaucoup Dire en cœur les petites chenilles
Lilo rentre seule, comme une grande, et va retrouver tout le troupeau, et ses parents en leur racontant qu’il existait une autre petite ville nommée Cheniville et que Chenilla était resté pour vivre avec toutes les autres chenilles.
Elle leur dire aussi que dans cette ville il y avait un grand champ de fruit à la senteur irrésistible et que les fruits était si bon si sucrées que personne peut y résisté elle leur dit aussi que les fruits avait le pouvoir de parfumé tout en les mangeant.
Les licornes était stupéfaite et voulait voir cette fabuleuse ville, elle décide de construire d’autres maison tout le long du chemin jusqu’à Cheniville. Arrivée à Cheniville elles aperçoivent ce fabuleux champ de fruit à la senteurIrrésistible, et commence à en manger, c’était si bon et si paisible, quelle décide toutes de rester, et comme elle avait réuni les deux villes elle ne pouvait que vivre en harmonie avec ses petites chenilles, et toute les licornes sentez aussi bon que c’est fruits magiques.
Toutes les petites chenilles ainsi que Chenilla, les accepte à condition qu’elle puisse elle aussi goûter aux petites fleurs bleues et rouge, ainsi qu’aux grands champs de fleurs parfumées.
Et comme tout le monde était d’accord, elles vécurent heureuse aussi bien à Corniville, que Cheniville, des villes où l'on peut s’amuser, et manger, comme dans un conte de fée, où tout est possible de voir des licornes et des chenilles changer de couleur aussi facilement et c’est comme ça que le secret fut divulgué.
Mais un jour les petites chenilles se transforment en de jolie et magnifique papillon de toute les couleurs ce fut superbe à voir et le ciel en était recouvert.
Les licornes elle continuer à manger de jolies petites fleurs blanches pour reprendre leur couleur blanche éclatante mélangée aux papillons de couleurs qui était si magnifique.
Par une belle journée d’été un superbe papillon survole la petite ville et se pose sur une petite fleur au milieu de la troupe de licorne et des magnifiques papillons.
Elle entame la conversation et dit: Bonjour tout le monde, je me présente mon nom et Papillote, et je suis la fée des papillons, j’ai le pouvoir de donner des ailes au licorne qui désire voler comme moi
Les licornes stupéfaite demande à voir, mais le troupeau refuse de passer en premier, elle demande à Lilo de passer la première.
Quelle bande de trouillard, vous n’avez pas honte, que peut-il vous arrivez, réfléchissez un peu de temps en temps, elle vous a dit qu’elle avait le pouvoir de vous donner des ailes pour pouvoir voler, ce serait chouette de pouvoir voler dans le ciel. Demande Lilo
Papillote je suis prête fais de moi ce que tu veux Dit Lilo
D’accord mettez-vous là et ne bougeait plus, je vais prononcer les mots magiques, qui fera de toi, une superbe licorne volante. Dit Papillote
Chenilla, Cornilla, que les ailes te pousse immédiatement Demande Papillote
Et à ce moment-là, Lilo devenu une superbe licorne avec de jolies ailes, elle était magnifique, elle s’envole, et fit tout le tour de Corniville, et de Cheniville, puis, revint au village.
Super, je suis superbe, et magnifique, et pouvoir voler, c’est vraiment extraordinaire Dit Lilo
Le troupeau de licorne stupéfait veulent elle aussi à leur tour, avoir de jolis ailes, et Papillote transforma toutes les licornes chacune à leur tour, ensuite, il la remercie, et lui offrit des tas de fruits et de fleurs.
Papillote les remercie à son tour, et commence à manger les fruits, et les fleurs, à sa stupéfaction Papillote changer de couleur, et se mit à sentir bon.
Oh! que m’arrive-t-il Demande Papillote
Ce n’est rien Dit Lilo
Tu as manger nos fruits, ils ont le pouvoir de te parfumer, et nos fleurs ont le pouvoir de te changer de couleur Raconte Lilo
Alors, je ne suis pas malade Demande Papillote
Non! tu n’es pas malade Répond Lilo
Vous m’avez caché que vos fruits, et vos fleurs avait ce pouvoir S'exclame Papillote
Oui mais c’était pour la bonne cause, et vous êtes magnifique Répond Lilo et le troupeau
ça me convient assez bien Dit Papillote
Maintenant je dois m’en aller, si vous avez besoin de moi, vous êtes les bienvenus dans mon royaume, mesdames, messieurs je vous salue bien S'exclame Papillote
Puis elle s’envola vers son royaume, et n’entendons plus parler d’elle, sauf en cas de besoin.
A Corniville, et Cheniville, petite ville tranquille où régnait papillon et licorne de couleur étrange, et à la senteur irrésistible.
Depuis ce jour, toutes les licornes, et les papillons vécurent tous ensemble à Corniville, et à Cheniville, et c’est ainsi que les licornes pure voler, quand à Lilou et Lilas ils reprirent le chemin de leur maison de campagne, où était née leur petite fille Lilo.
Quant à Lilo, elle resta auprès du troupeau, et des papillons, pour rencontrer l’âme sœur.
Un jour, elle rencontre un superbe étalon blanc nommé Éclair, il discute et joue ensemble pendant de longues heures, et se mit à leur tour à faire des cabrioles, et à gambader, dans le grand champ de fleurs parfumée au senteur irrésistible, puis, ils vont dans le grand champ de fruits, où il pouvait manger en toute tranquillité, et dormir jusqu’au petit matin.
Eclair ne pouvait pas se transformer, parce qu’il était déjà blanc de nature, et qu’il sentait toujours bon.
Pourquoi tu n’as pas d’ailes Lui demande Lilo
Je n’ai pas d’ailes parce que je suis un cheval blanc, et dans ma troupe on ne vole pas, on marche, et on court Répond Eclair
Nous ne sommes pas comme vous les licornes, nous sommes différent de vous Dit Eclair
Mais nous aussi, nous n’avions pas d’ailes auparavant C’est Papillote la bonne fée qui nous a donné des ailes en prononçant les mots magiques dit Lilo
C’est génial d’avoir une fée qui peut vous transformer S'exclame Eclair
Ben oui ce n’est pas trop courant, mais c’est bien Répond Lilo
Tu veux que j’appelle Papillote pour qu’elle te donne des ailes. Dit Lilo
Non merci, je préfère rester comme je suis, mais c’est gentil de me l’avoir proposé Répond Eclair
Lilo change de conversation….
Et tu vie où en ce moment Demande Lilo
Je vie comme vous avec ma troupe dans une ville merveilleuse qui s’appelle Chevaville, nous avons aussi un grand champ de fleurs parfumées, et un grand champ de fruits sucré au parfum irrésistible, et nous avons des champs de blé, et d’avoine, tout dont un cheval a besoin Répond Eclair
Cette ville doit être merveilleuse supplie Lilo
Si tu veux, je te la fais visiter Dit Eclair
Oh oui! je veux bien Supplie Lilo
Et ils partent tous les deux pour Chevaville, quand ils arrivent, tous les chevaux les salut, et Lilo visite tous les champs de fleur, de fruit, de blé, et d’avoine, elle trouve cette ville encore plus magnifique que celle qu’elle connaissait. Ta ville et superbe, et jolie, mais je dois repartir, ma famille m’attend Répond Lilo
D’accord! quand je pourrai te revoir Demande Eclair
Je ne sais pas, Bientôt peut-être Répond Lilo
Mais je reviendrais, je trouve votre ville agréable, joyeuse, et accueillante, votre village est très grand, et bien situer, enfin, vous avait tout ce qu'il vous faut. Dit Lilo
Pourquoi vous ne venez pas habiter ici, il y a tout don vous avez besoin Répond Eclair
Oui se serais merveilleux Dit Lilo
Je vais en parler à mon entourage, et si ils sont d’accord nous viendrons habiter ici! Dit Lilo
Lilo repart, et va annoncer la bonne nouvelle a tout le monde.
Tout le monde était charmer, et voulu voire ce beau paysage, ils construire des maisons tout le long du chemin jusqu'à Chevaville, et réunir les trois villes.
Quand il arrive à Chevaville, Eclair et la troupe de chevaux les salut, et leur montre leur nouvelle habitation.
Vous êtes ici chez vous Dit Eclair
Merci beaucoup Répond Lilo et la troupe
Il fête leur nouvelle habitation tous ensemble, et Eclair annonce à toute la troupe qu’il était amoureux de la jolie petite Lilo.
Ils sortent ensemble pendant de longues années, et un jour ils se maria, et ures deux magnifiques enfants, le premier ressembler à Eclair, ils l’appelèrent Epis à cause de sa crinière en bataille, la seconde ressembler à Lilo, ils l’appelèrent Fraisy à cause de son odeur parfumée qui sentez bon les fruits. Epis et Fraisy avait pour habitude d’aller se promener seul, et un jour ils arrivent dans une autre ville qui se nommé Rhinoville.
Les habitant de cette ville les salut, et leur demande ce qu’il venait faire ici.
Nous avons marché, quand on a aperçu votre ville, nous y sommes arrêtés pour parler, et faire connaissance avec le monde extérieur. Dire les enfants
C’est gentil de passer nous dirent bonjour, nous ne savions pas qu'il y avait d'autres habitants sur cette terre . Réponde les rhinos
Les rhinos sentaient quelque chose d’inhabituel mais agréable.
Mais quel est cette odeur somptueuse Dire les rhinos
Au pardon, c’est nous qui sentons bon les fruits. Réponde Epis et Fraisy
Comment est-ce possible? Demande les rhinos
C’est simple chez nous on a des champs de fleurs magique, qui ont le pouvoir de changer notre couleur, et des champs de fruits qui ont le pouvoir de nous parfumée, et bien d’autre encore dire Epis et Fraisy
Ah oui! Réponde les rhinos
Et chez vous on peut trouver quoi? Demande les enfants
Nous on a une fée qui peut vous donner une corne sur votre museau: Dire les rhinos
Ah bon! Et on peut la voir cette fameuse fée ? Réponde Epis et Fraisy
Bien sûr, Dire les rhinos
Suivez-moi! Demande le rhinos
Voilà je vous présente notre fée Papillote. Dit le rhinos
Mais on la connaît cette fée, c’est elle qui à donner des ailes à toute les licornes: Réponde Epis et Fraisy
A bon vous la connaissez! dit le rhinos
Ben oui, dire les enfants
Peu tu nous mettre une corne sur notre museau, et nous mettre des ailes pour qu’on puisse voler. Demande Epis et Fraisy
Oui je peu, Dit la fée
Mettez-vous tous les deux l’un à côté de l’autre. Demande Papillote
D’accord, Répond les enfants
Et Papillote prononça les mots magiques.
Chenilla Cornilla que la corne, et les ailes, te pousse immédiatement: dit Papillote
oh! C’est super, on a une magnifique corne, et de magnifiques ailes, maintenant on ressemble bien à une licorne. Dire les enfants
Oui vous êtes super, allez retourner chez vous pour annoncer la bonne nouvelle. Dit Papillote
D’accord nous partons et encore merci. Répond les enfants
Epis et Fraisy retourne chez eux, et annonce la bonne nouvelle à tout le monde.
Qu’avez-vous fait les enfants,Vous avez une corne sur votre museau, Et de jolies ailes Demande Eclair et Lilo
On a trouvé une ville qui s’appelle Rhinoville, et les habitants avez une fée qui avez le pouvoir de nous donner une corne, des ailes, et cette fée s’appelle Papillote. Dire les enfants
Mais nous la connaissons cette fée, vous pouvez lui faire confiance... Dit Lilo
En plus sa vous va très bien, vous ressembler vraiment à une licorne maintenant... Répond Lilo
Merci maman. Dire Epis et Fraisy
Maintenant, il se fait tard, allez prendre votre bain, et allez-vous coucher...Demande Lilo
D’accord maman...Réponde les enfants
Après cette rude journée tout le monde alla se coucher, et Eclair et Lilo était fier de leurs enfants.
Mais le lendemain, Eclair et Lilo se rendit à Rhinoville pour rende visite à Papillote.
En arrivant dans leur royaume, Eclair et Lilo saluer tout le monde, et demande à voir Papillote.
Un rhino alla chercher Papillote en lui disant que Eclair et Lilo voulaient lui parler.
Papillote sorti et Dit Bonjour Lilo, Bonjour Eclair
Bonjour Papillote Répond Lilo, et Eclair
Quel bon vent vous amène Répond Papillote
J’aimerais avoir une corne sur le museau Demande Lilo
Mais bien sûre Répond Papillote
Mais toi là et ne bouge plus Dit Papillote
A ce moment là, Papillote prononça les mots magiques.
Chenilla, Cornilla que la corne te pousse immédiatement Prononce Papillote
Ho merci! Je me sens encore plus belle, et maintenant je ressemble vraiment à une licorne Répond Lilo
Et toi Éclair veut-tu que je te transforme en un belle étalon Demande Papillote
Non merci, je préfère rester comme je suis Répond Eclair
Comme vous voudrais, je serais toujours là pour vous Répond Papillote
Eclair et Lilo remercie Papillote, et rentrer chez eux tout fier, et Lilo était contente d'avoir une corne sur le museau, elle la montre à tout le monde et c’est ainsi qu’ils vécurent tous à Chevaville petite ville calme et parfumée, où il vivait en harmonie avec toute la troupes de chevaux, de licorne, et de papillon, quant aux grands-parents, il restait à Corniville dans leur maison natale.
Les rhinos eux, resterons dans leur ville de Rhinoville en attendant une autre histoire.

Voilà les enfants, mon histoire et terminer, faites de beaux rêves, car à Corniville, Cheniville, et Chevaville, le rêve et encore plus doux.

Fin

Régent Catherine

Petite morale : Ne promettez jamais à personne de dire un secret si vous n’êtes pas sûr de le garder dans votre cœur.

POESIE

un jour une naissance

Ma mère m'a mise au monde
Un été d'août 69, un été chaud
Des larmes coulent de son visage
Des douleurs interminables
La petite rose se décide enfin
Le visage de ma mère s'illumine
Une larme, un sourire
Ma mère me serre contre elle
C'est l'heure de la tétée
La petite rose s'endort
Le ventre repus
Elle se repose en silence
La tétine à la bouche
Dans la nacelle de son berceau
Le temps s'écoule d'heure en heures
Quand une visite vient tout chambouler
Ce sont les parents de ma mère
Ils se penchent sur mon berceau
Pour me regarder et m'admirer
Ils me prennent dans leurs bras
Trop tard la petite rose est réveillée
Des pleurs toujours et encore
viennent me chagriner mon sommeil
Bercer par les bras de ma grand-mère
Qui pousse la chansonnette
En racontant son histoire
La petite rose se rendort blottis
Au creux de ses bras bien au chaud
Elle me repose tout doucement
Dans la nacelle de mon berceau
En me regardant une dernière fois
Le sourire au coin des lèvres
Mes grands-parents s'éloignent
Laissant le temps à ma mère
De se reposer en fermant les yeux
La tête vide et l'esprit tranquille
Ma mère s'endort paisiblement
Dans son lit d'hôpital matinale
Les journées se ressemblent et s'assemblent
Une nouvelle journée commence
Pour nos deux petites roses joyeuses
Elles se réveillent gaiement
Les yeux bien écarquiller
Le sourire au lèvre
La petite rose s'agite dans son berceau
Les pleurs toujours et encore
Fond de ma mère une femme inquiète
Elle se penche sur mon berceau
M'attrape doucement avec amours
Me berce et me console
Elle me met au sein
Prend mon bain
M'habille avec délicatesse
Me parle, chante des berceuses
Puis me repose dans mon berceau
La petite rose s'endort doucement
Ma mère se divertie
Quand viens l'heure des visites
Ce sont les frères et sœurs de ma mère
Ils se penchent tous sur mon berceau
Pour me regarder et m'admirer
Ils me prennent tous à tour de rôle
Dans leurs bras soyeux
Trop tard la petite rose est réveillée
Elle les regarde avec ses petits yeux rond
L'air de dire (laissez-moi dormir)
Ma tante me repose dans mon berceau
La petite rose est soulagée
Le sourire au lèvre
La petite famille quitte la chambre
Enchanté d'avoir connu ce petit bout
Un jour je grandirais
Un jour se serais adulte
Tant d'espoirs pour une vérité
Je ne connaîtrais jamais mon père
Un jour je serais vieille et moche
Quand la mort viendra me chercher
Je serais prête à l'accueillir
Quand tous mon passé resurgira
Je ne suis qu'une poussière
Qu'on montre du doigt
La peur au ventre
Elle me prendras sans un mot
Je donnerais mon corps à la science
Qui sauveras des vies
Quand tout s'éteint
Je me retrouve dans le noir
Il n'y a plus d'espoir
Je suis sereine et reposée
Mon cœur s'est arrêté de battre
Mais n'a jamais cesser de t'aimer.

Catherine régent.
Fin

Poppy

L'histoire que je vais vous raconter se passe dans la petite ville du Costa Rica près des fleuves, et des forêts tropicales.
Aujourd'hui le soleil brille, il fait très chaud, pas un brin de vent, une merveilleuse journée commence pour les habitants, soudain on entendit au loin une voix dans un mégaphone qui annonce l'arriver d'un cirque au centre ville.
Le cirque s'installe dans son acceptation moderne, un cirque est une troupe d'artistes, traditionnellement itinérante, qui comporte le plus souvent des acrobates, qui propose des numéros de dressage et de domptage d’animaux, qui donne des spectacles de clowns et des tours de magie.
Au cœur de ce cirque vit un étrange personnage qu'on appelle Gaspard, un maître très méchant et affreux, il a comme petit compagnon un petit chien au pelage tout rose qu'on appelle Poppy.
Gaspard force Poppy à faire des tours incompréhensibles tout les jours sans repos et parfois sans nourriture et sans eau, quand le petit chien n'obéis pas, il le frappe, le brûle ou le pique, et le tient prisonnier dans une petite cage et tout cela pour lui apprendre à faire des trucs et épater les spectateurs qui encouragent cette pratique en achetant des billets pour participer au spectacle.
Les animaux ne sont pas faits pour sauter, lever une patte, traverser des cerceaux de feux. Ils ne sont pas faits pour supporter un dressage contre leur nature, la violence est donc utilisée pour obtenir un résulta digne d'un spectacle.
Les conditions de vie de ce petit chien sont déplorable et ont des effets dévastateurs chez Poppy, blessures, stress intense.
Ce soir Poppy va faire son dernier spectacle en réussissant ses tours, il sait quand obéissant à son maître Gaspard, il aura le droit de manger et de boire sans se faire enfermer.
Le spectacle commence, Poppy et le premier à se rendre au milieux de la piste, il réussit ses tours, et son maître le félicite devant les spectateurs, il laisse la place à ses concurrents, et rejoint la roulotte avec son maître, Gaspard attache Poppy avec une corde devant sa niche pour ne pas qu'il s'enfuit, et lui donne à manger et à boire sans se soucier du petit chien, Gaspard fatigué monte dans sa roulotte pour dormir.
Après avoir bu et manger Poppy décide de mâchouiller la corde, il s'évade, et prend la poudre escampette jusqu'à en perdre haleine, il s'enfonce dans les bois, traverse le fleuve à la nage, et trouve un abri pour la nuit, il s'endort paisiblement au clair de lune, demain une nouvelle vie commencera, et Poppy fera de nouvelle rencontre.
Le lendemain Gaspard s’aperçoit de la disparition de son petit chien Poppy, mais en se baissant un peu plus bas, il trouve la corde mâchouiller, furax Gaspard fait appel à ses hommes de main et commence les recherches.
Pendant des jours et des nuits ils vont chercher sans relâche dans les moindres recoins de la forêt en suivant les traces de pattes de Poppy jusqu'au fleuve, mais la nuit tombe, il fait sombre, Gaspard et ses hommes arrêtent les recherches et rentre bredouille, ils continueront les recherches demain à l'aube en traversant le fleuve.
Le jour se lève à peine, Gaspard et ses hommes foncent vers le fleuve, et embarque sur un bateau de fortune, ils cherchent pendant des heures, quand tout à coup le commandant décide de faire demi-tour la jauge d'essence est presque vide, il rejoint la berge pour faire le plein, quand un des hommes du commandant vient annoncer que le bateau ne pourra pas naviguer pendant des jours à cause de la panne du moteur impossible de redémarrer, Gaspard et ses hommes sont furax, ils descendent du bateau et retourne au cirque en jurant qu'un jour il retrouvera Poppy coûte que coûte.
Pendant ce temps sur la rive voisine, Poppy se réveille doucement, il baille, s'étire, quand tout à coup une petite voix se fait entendre, Poppy ouvre les yeux et voit devant lui un minuscule escargot blessé donc la coquille est cassée sur le dessus.
Bonjour répond l'escargot
bonjour répond Poppy
que fait tu ici par cette matinée? demande Poppy
rien je passais par là quand je tes vu allongé dans ta niche , je me suis arrêté un instant pour te regarder dormir répond l'escargot
ho pardon je ne me suis pas présenté, je m'appelle Poppy et toi?
moi je n'ai pas vraiment de nom, mais je suis enchanté de faire ta connaissance Poppy répond l'escargot
attend comment ça tu n'as pas de nom, je vais en trouver un sur-le-champ répond Poppy
alors voyons, Alfred heu non pas assez lucratif, George non se nom est trop moche, saucisse non tu na pas le corps allonger, je ne trouve pas, je donne ma langue au chat, ho c'est quoi se bidule que tu porte sur ton dos? Quoi quel bidule tu parles Poppy répond l'escargot
ho je parle, je parle, mais j'ai trouvé je vais t’appeler Bidule répond Poppy
je parle de cette grosse boule que tu as au-dessus répond Poppy
ho sa, ben c'est ma coquille, ma maison si tu préfères, je l'emporte partout, je ne peux pas m'en séparer, mais Bidule comme prénom sa me va très bien, j'adore beaucoup répond l'escargot
alors ça te plaît génial, je te baptise Bidule répond Poppy
merci beaucoup Poppy répond Bidule
de rien, maintenant réparons ta coquille demande Poppy
non ce n'est pas nécessaire, ma coquille va se réparer toute seule grâce à mon mucus répond Bidule
grâce à quoi répond Poppy
à mon mucus, si tu préfères c'est grâce à ma bave que ma coquille peut se régénérer répond Bidule
d'accord, je comprends mieux maintenant, tu peux réparer ta coquille tout seul grâce à ta bave appeler mucus répond Poppy
oui c'est ça, bravo Poppy ta tout compris répond Bidule
mais comment elle s'est cassé ta coquille, ça ne se casse pas sans raison, tu as était maltraité par quelqu'un demande Poppy
ho oui je m'en rappellerai toute ma vie, mais ses une longue histoire répond Bidule désespéré
raconte demande Poppy
l’histoire commence à ma naissance, mes parents m'aimer beaucoup, mais il me surprotégé pour qu'il ne m'arrive rien, ils me surveiller nuit et jour, mais à mon adolescence s'est devenu plus compliqué, j'ai décidé de sortir seul et plus souvent les jours de pluie, seulement je ne savais pas qu'un jour j'allais être victime d'un enlèvement, j'ai crié et j'ai appelé mes parents en vain, une fillette me ramasse et me met dans une boîte à chaussures, elle m'emmène chez elle, et je m'aperçois que je ne suis pas seul, au début tout aller pour le mieux, nous avions de la nourriture à volonté, et beaucoup d'amour, elle nous sortait dehors dans l'herbe, elle était très gentille avec nous.
Mais un jour un couple avec un enfant débarque, elle lui fait voir toute sa collection d'escargot moi y compris, elle nous emmène dehors et soudain ce petit voyou se met à nous piétiner, quel vilain garçon, j’entends la fillette crier, mais moi j'en avais assez de vivre dans cette boîte à chaussures alors je décide de m'enfouir, je marche nuit et jour avec ma coquille cassée, et j'arrive enfin devant ta niche, voilà mon histoire Poppy raconte Bidule
alors on peut dire que tu as était maltraité par ce petit garçon, pourquoi les gens sont aussi méchant avec les animaux demande Poppy
ne t’inquiète pas, c'est dans leur natures qui sont méchant, il y a des gens gentils mais il y a aussi des gens méchant on ne refera pas le monde en un jour, et toi Poppy ta pas une histoire à me raconter demande Bidule
si j'ai une histoire à te raconter installes-toi et écoute demande Poppy
mon histoire commence dans un cirque, nous sommes arrivé dans la ville du Costa Rica, le soleil briller et il fessait très chaud, le cirque c'est installer au centre-ville, et mon maître a commencé à parler dans le mégaphone pour annoncer l'arrivé du cirque, le soir il y avait des représentations devant un public, il y avait une troupe d'artistes, des acrobates qui proposer des numéros de dressage et de domptage d'animaux, mais aussi des spectacles de clowns et des tours de magie, mon maître Gaspard était un homme étrange, méchant et affreux, il m’apprenait des tours incompréhensibles tous les jours sans repos et parfois sans nourriture et sans eau, quand je n’obéis pas il me frappe, me brûle, me pique et me tient prisonnier dans une petite cage, et tout cela pour qu'on apprenne à épater les spectateurs qui encouragent cette pratique en achetant des billets pour participer aux spectacles.
Nous les animaux nous ne sommes pas faits pour sauter, lever une patte où traverser des cerceaux de feu, on n'est pas fait pour supporter des dressages contre notre nature, la violence est utilisée pour obtenir un résultat digne d'un spectacle.
Mes conditions de vie était déplorables et avait des effets dévastateurs chez moi, blessures et stress intense.Un soir je décide de faire mon dernier spectacle en réussissant tous mes tours, je savais quand obéissant à mon maître Gaspard j'aurais le droit de manger et de boire sans me faire enfermé.
Après le spectacle mon maître m'attache avec une corde devant ma niche, il me donne à boire et à manger, sans se soucier de moi, mon maître Gaspard monte dans sa roulotte pour dormir, c'est alors que je décide de mâchouiller la corde pour m’évader, je pris la poudre d’escampette jusqu'à en perde haleine, je m'enfonce dans les bois, je traverse le fleuve à la nage, je trouve un abri pour la nuit et je m'endors paisiblement au clair de lune jusqu'à ton arrivé, voilà mon histoire Bidule répond Poppy
Quelle histoire, tu as subi beaucoup de choses, toi aussi tu as été maltraité, j'arrive pas à comprendre les gens, pourquoi ils font tous sa, enfin il ni à rien à comprendre, passons à autre chose répond Bidule
oui passons à autre chose, soyons amis, et voyageons ensemble, tu veux bien répond Poppy
bien sûre que je veux bien, je te suis, allez partons répond Bidule
Les deux compères avancèrent, mais au bout de quelques kilomètres, Poppy s’aperçoit que Bidule est à la traîne, il retourne sur ses pas, s’abaisse et demande à Bidule de monter sur son dos, puis ils continuent leur chemin, quand tout a coup une voix étrange et grave se fait entendre au loin, Poppy connaît cette voix, c'est la voix de Gaspard, il commence à trembler, puis cour de toutes ses forces, soudain il arrive à hauteur d'une mare, un gamin qui se trouver là, lui demande de sauter dans la mare, Poppy hésite, mais en voyant Gaspard se rapprocher il finit par sauter dedans, mais en ressortant de la mare il s'aperçoit en regardant dans un morceau de verre que son pelage à changer de couleur, quand Gaspard arrive sur les lieux, il voit un petit chien de couleur marron, il s’approche du gamin et lui demande.
As-tu vu un petit chien rose passer par ici? Demande Gaspard
non désolé je n'ai vu personne répond le gamin
c'est bizarre je les vu se diriger par ici demande Gaspard
écouter monsieur vous voyez bien qu'il ni à que moi et mon chien ici, allez voir plus loin répond le gamin
je suis désolé de t’importuner mais je les vu passer par ici répond Gaspard
moi aussi je suis désolé pour votre chien, mais il n'est pas ici répond le gamin
bon je te crois, je vais aller voir plus loin répond Gaspard furieux
Poppy content remercie le gamin et lui demande.
Pourquoi tu nous à aider? Réponds Poppy
je vous ai vu fuir au loin, alors je me suis dit que tu voulais échapper à quelqu'un, pas vrai demande le gamin
si c'est vrai, c’était mon maître, je le fuis parce qu'il est méchant avec moi répond Poppy
ton maître est méchant, ta bien raison de le fuir répond le gamin
mais peux-tu me dire pourquoi mon pelage est devenu marron? demande Poppy
ton pelage est marron parce que tous les jours je viens verser de la teinture dedans répond le gamin
tu verse de la teinture dans la mare, mais pourquoi tu fais ça demande Poppy
c'est pour aider les animaux qui sont maltraités, un peu comme toi, après ça, leur maître ne les reconnaisse plus, et les animaux peuvent vivre heureux dans une autre vie, et tu à beaucoup de chance aujourd'hui, parce que la teinture peut varier selon les jours répond le gamin
alors oui j'ai eu beaucoup de chance, merci encore répond Poppy
et moi alors on m’oublie, moi aussi j'ai changé de couleur répond Bidule
désolé Bidule mais tu était sur mon dos, je n'ai pas eu le choix répond Poppy
mais ce n'est pas grave, cette couleur me plaît beaucoup, ne sois pas désolé répond Bidule
après avoir remercier le gamin, Poppy et Bidule continue leur chemin, mais la nuit commence à tomber, Poppy et Bidule doivent trouver ou faire un abri pour la nuit, mais par malchance Poppy et Bidule ne trouve aucun abri, il décide donc d'en construire un rapidement.
Poppy ramasse des branches d'arbres pour la structure, et Bidule ramasse des feuilles de bananier pour la toiture, les deux amis construise leur abri, mais Poppy n'est pas content car il manque une petite porte, il sort et commence à chercher dans la nature, après une bonne heure de marche, Poppy revient avec un morceau de bois pour faire la porte, une fois installer, les deux amis fatigué de leur journée s'endorme jusqu'au lendemain.
A l'aube les deux amis se réveille, et quitte leur abri de fortune, et continue leur route, mais en chemin il rencontre un nouvel amis, un beau papillon aux couleurs rouge éclatante, seulement ce beau spécimen avait perdu une aile, et se reposer sur un rocher chauffé par le soleil, Poppy et Bidule s'arrêtent devant lui, et demande.
Bonjour beau papillon, comment t'appelles-tu? Demande Poppy
bonjour mes amis, je m'appelle Tomy et vous? Demande le papillon
moi c'est Poppy et lui c'est Bidule répond le petit chien
enchanté de faire votre connaissance répond Tomy
pourquoi il te manque une aile? demande Poppy
j'ai perdu une aile à cause d'un méchant gamin qui attrape des papillons comme moi avec un filet, après il nous mettait dans une boite, puis ensuite il nous arrachait une aile volontairement pour nous empêcher de voler, ensuite nous croyons mort il nous jetait à terre, je me suis traîné jusqu' ici, mais maintenant je ne peux plus voler répond Tomy
tu as été maltraité tout comme nous, veux-tu te joindre à nous, et voyager sur mon dos répond Poppy
ho oui je veux bien merci, mais vous aller où? Demande Tomy
nous allons dans un endroit que personne ne connaît, un endroit magique répond Poppy
mais cet endroit n’existe pas demande Tomy
bien sûr que si, je vais te conduire, monte sur mon dos répond Poppy Poppy s'abaisse et Tomy monte sur le dos du petit chien, il marche pendant des jours, quand soudain au loin il aperçoit un cercle scintillant, il s'approche tout doucement et se fait aspirer de l'autre côté, il arrive dans un petit village dédier aux animaux maltraités par leur maître, les trois amis n'en reviennent pas, ils ne savaient plus ou donner de la tête, il trouver des petites maisons en bonbon avec des barrières en chocolat, des cascades de lait et de chocolat, une pelouse de croquette, un bac à sable de pâté, des balançoires en forme d'os, pour un petit chien heureux.
Mais aussi des maisons d'escargot géant, de l'herbe en feuilles de salade, des douches de nuage, pour un petit escargot heureux.
Mais aussi des maisons en forme de fleurs, des arbres en forme de fruit, des cascades de nectar, pour un petit papillon heureux.
Les trois amis goûter à tous les plaisirs de la vie, il s'amusait, manger et dormez, il semblait tous heureux, mais un jour les trois compères commencait à s’ennuyer, en manque d'amis, ils décident de partir et de laisser leurs souvenirs derrière eux.
Il sorte du cercle scintillant et commence à chercher de nouveau amis, il arrive sur une place, ou une fontaine jaillissait, le sol était verdoyant, les arbres bien feuillus, des bancs étaient dispersés le long du chemin, mais un peu plus loin, Poppy découvre un parc avec de nombreux jeux à l’intérieur, les trois amis approche, et aperçoive deux autres amis chien en train de s'amuser dans le bac à sable, Poppy va à leurs encontre, et commence à discuter avec l'une d'entre elles.
Bonjour belle demoiselle, je m’appelle Poppy, et toi comment t'appelles-tu?
Bonjour jeune homme, je m'appelle Marguerita, et elle sait ma sœur Madeleine, nous sommes enchanté de faire votre connaissance.
Mais amis et moi cherchons de nouveaux amis pour nous tenir compagnie et jouer, serais vous partante? demande Poppy
heu oui pourquoi pas, nous aussi nous sommes en quête d'amis, et nous n'avons pas de maître qui nous retient alors plus on est de fou plus on rit répond Marguerita
Mais avant de partir Poppy présente ses deux autres amis à Marguerita et Madeleine
voici mes compagnons de jeux, Bidule et Tomy présentent Poppy
Enchanté de faire votre connaissance cher compagnons de route répondent Marguerita et Madeleine
voilà maintenant que les présentations sont faites en route nous avons encore tant de chemin à parcourir répond Poppy
Les cinq compagnons se mettent en quête de marche, mais en continuant sur leur lancer, il aperçoive un peu plus loin deux escargots glissant sur l'herbe, ils s'apprêtent à s'arrêter quand les deux escargots les aperçoivent il entre dans leur coquille.
Bonjour amis escargot répond Bidule
Les deux escargots apeurés n'osent plus sortir de leur maison
n’ayez pas peur je ne vous veux aucun mal, mais amis et moi cherchons juste de nouveau amis pour voyager, voulez-vous nous accompagner ? demande Bidule
A ce moment-là les deux petits escargots sorte leur petite tête dehors et regarde autour d'eux
bonjour cher compagnons, je m'appelle Boris et lui sait mon frère Tristan, nous sommes nous aussi en quête d'amis, nous avons était abandonner ici par notre famille, comme personne nous retiens ici nous vous suivons volontiers réponde les deux frères
Bidule commence les présentations de ses amis
je vous présente Poppy, Tomy et pour finir Marguerita et sa sœur Madeleine
Nous sommes enchanté de faire votre connaissance réponde Boris et Tristan
Maintenant que les présentations son faite monter sur le dos de mon ami Poppy répond Bidule
Poppy s'abaisse et les deux frères monte sur son dos se blottissant entre Bidule et Tomy
Allez en route cher compagnons ne perdons plus de temps, avançons, la nuit va bientôt tomber, cherchons un endroit pour dormir demande Poppy
Il continue à avancer, quant au loin il aperçoit une petite cabane longeant la rivière, il décide de s'arrêter et de camper ici jusqu'au lendemain matin.
Après une bonne nuit de sommeil, les sept compagnons reprennent leurs routes, ils marchent sans relâche, quand soudain il aperçoive deux cocons accrocher à un arbre, il s'arrête et admire le travail qui se passe sous leurs yeux, les deux cocons bouge et commence à s'ouvrir pour en laisser sortir deux magnifiques papillons.

Bonjour amis papillon, mais amis et moi cherchons juste de nouveau amis pour voyager, voulez-vous nous accompagner? demande Tomy
bonjour cher compagnons, je m'appelle Lili et elle sait ma sœur Lilia, nous sommes nous aussi en quête d'amis, nous avons étais abandonner ici par notre famille pour apprendre le sens de la vie, savoir se débrouiller seules dans la nature, alors comme personne nous retiens ici nous vous suivons volontiers répondent les deux sœurs
Tomy commence les présentations de ses amis
Je vous présente Poppy, Bidule,Marguerita et sa sœur Madeleine, Boris et son frère Tristan
Nous sommes enchantées de faire votre connaissance répondent Lili et Lilia
Maintenant que les présentations son faite monter sur le dos de mon ami Poppy répond Tomy
Poppy s'abaisse et les deux sœurs montent sures son dos se blottissant entre Bidule, Boris, Tristan, et Tomy
Les 9 compagnons reprenne leur routes, il marche pendant des heures, quand soudain le ciel s'assombrit, les nuages deviennent noirs, la pluie commence à tomber à grosse goutte, Poppy et ses amis cherchent un abri, mais ses déjà trop tard, Poppy s’aperçoit que son pelage redevient rose, et Bidule s'aperçoit que sa coquille redevient grise, la teinture commencer à se dissoudre sur le sol, Poppy et Bidule reprenne leur couleurs d’origine un peu mécontent mais fier tout de même.
Poppy et ses amis trouve enfin un abri dans une cabane abandonner et si installe pour passer la nuit.
Le lendemain matin au réveille Poppy et ses amis reprenne leur route tout content, quand soudains dans les buissons droit devant eux surgis Gaspard venue de nulle part.
Ho non! C'est mon maître il m'a retrouvé retournons au cercle scintillant, c'est un petit village dédier aux animaux maltraités par leur maître nous y serons en sécurité venez les amis suivez-moi
Poppy et ses amis font demi-tour et retourne au cercle scintillant en courant de toute leur force et en zigzaguant entre les arbres, mais le méchant Gaspard les poursuit jusqu'à en perdre haleine en essayant de les attraper, mais Poppy et ses amis coure bien plus vite que Gaspard et s'enfuit dans les buissons et les hautes herbes en rampant sur le sol pour ne pas être aperçu par le vilain maître, mais soudain Marguerita et Madeleine vont marcher sur une branche morte qui va craquer sous leurs pattes, et la course va reprendre de plus belle jusqu'au petit village dédier aux animaux maltraités.
Allez on y est sauter dans le cercle répond Poppy
tout le monde saute de l'autre côté et arrive comme promis dans un merveilleux petit village dédiait juste aux animaux.
Quant à Gaspard il continue à chercher Poppy et ses compagnons, en essayant de passer de l'autre côté, mais rien à faire le cercle le rejette de plus belle et lui envoie de petite décharge électrique, Gaspard abandonne et retourne à ses occupations, on n'entendra plus jamais parler de lui.
Poppy fait visiter le village à ses compagnons et décide tous de si installer pendant plusieurs années.
Poppy s'installe avec Marguerita et Madeleine dans une petite maison en bonbon avec des barrières en chocolat, une pelouse de croquette et un bac à sable de pâté avec des balançoires en forme d'os, puis en continuant le petit chemin ils apercevront une petite montagne ou jaillit une cascade de lait et de chocolat pour des petits chiens heureux.
Bidule s'installe avec Boris et Tristan dans une petite maison en forme d'escargot géant avec de l'herbe en forme de salade, et des douches en forme de nuage pour des petits escargots heureux.
Tomy s'installe avec Lili et Lilia dans une petite maison en forme de fleur avec des arbres en fruit, puis en continuant leur vol ils apercevrons une petite montagne ou jaillit une cascade de nectar pour des papillons heureux.
Poppy et ses compagnons passe une bonne journée ensemble, il mange, il boive, puis la nuit tombe, les animaux prépare un grand feu de joie et s'installe tous autour du feu en se racontant des histoires drôles, puis chacun regagne sa maison pour dormir.
Les jours, les nuits, les années se suivent, Poppy et ses amis s'aperçoive que leur corps et leur silhouette change au fil du temps, ils prennent tous du poids de jour en jour, Poppy réunis tout le monde autour d'une balance en forme d'os et se pèse chacun à son tour en regardant l' aiguille du cadran annonçant 100 kg pour chaque individu, Poppy et ses amis décide d'en discuter autour de la table ronde.
Bonjour tout le monde, je vous ai réunis aujourd'hui pour discuter de notre surpoids, comme vous le saviez nous avons énormément pris du poids au fil du temps, la nourriture est tellement bonne que nous ne pouvons pas nous empêcher de manger, j'ai donc pris une décision, nous ne pouvons plus rester ici, nous allons devoir partir et recommencer une nouvelle vie ailleurs, êtes-vous d'accord avec moi? Je vous laisse une minute pour en discuter entre vous Demande Poppy
Après délibération les amis de Poppy décide de le suivre dans ses nouvelles aventures, ils prennent tous leurs petits baluchons, et rejoigne le cercle le cœur gros.
Poppy et ses amis s'approche du cercle tous ensemble et soudain ils sont projetés en arrière, le cercle les rejette en leur envoyant de petite décharge électrique, impossible de sortir les animaux sont pris au piège et vont devoir rester toute leur vie au petit village dédier aux animaux maltraités en prenant du poids tous les jours, ils continuer à grossir, grossir.
Quand soudain Poppy, Marguerita et Madeleine se réveille en sursaut et regardent autour d'eux les yeux bien écarquillés, les trois chiots sorte de leur rêve en poussant de petit aboiement.
Ho mon dieu que s'est-il passé? Demande les trois chiots
Je crois que j'ai fait un rêve abominable répond Poppy
moi aussi j'ai fait un rêve abominable répond Marguerita
c'est bizarre j'ai aussi fait un rêve abominable répond Madeleine
Les trois chiots avaient fait exactement le même rêve virtuel, sauf que dans la vraie vie, ils ont des maîtres très gentil qui s'occupe d'eux sans se poser de questions, la nourriture est à volonté avec de l'eau bien fraîche, ils ont une pièce rien que pour eux, avec de jolis paniers pour dormir, et de nombreux jouets pour se faire les dents, et quand ils ne fond pas de bêtises, ils ont droit à une friandise, ils ont aussi un carnet de santé tenu à jour par leurs maîtres.
Tous les soirs, ils ont droit à de petites caresses sur le divan en regardant la télévision, et tous les matins leurs maîtres les brossent pour rebrousser le poil, et une fois par mois ils ont droit à un bon bain à l'eau de rose.
Leurs maîtres prennent bien soins de leurs chiots pour qu'il reste en bonne santé et en pleine forme tous les jours.
Mais aujourd'hui une surprise attend les trois chiots, leur maîtres les ont inscrit à une exposition canine, pas le temps de faire une petite sieste qu'il faut déjà partir, les maîtres place les chiots dans des cages de transport et les poses sur la banquette arrière en prenant soin de les attachés avec la ceinture de sécurité pour ne pas quelle bascule sur le sol de la voiture.
C'est la première fois qu'il sorte de leur petit village natale situé dans la montagne du jura, heureusement qu'il ne neige pas, mais la route est longue et périlleuse, beaucoup de virage a passé avant de trouver la route direction Paris.
Il roule depuis 4 heures et arrive enfin à l'exposition canine, les maîtres vont s'installer dans les coulisses et prépare une dernière fois les chiots prêts à concourir, ils les peignent, les parfumes, coupe les griffes avant de rentrer dans le ring du concours, les chiots passent un par un en défilant chacun à leur tour au côté de leur maître.
Tous les concurrents sont passés, le jury délibère pour annoncer heureux gagnant canin, après 1 minute le verdict tombe, les gagnants sont:
Poppy, Marguerita et Madeleine les chiots de Mr et Mme Smith, bravo à vous, vous remportez le prix suivant: un beau trophée + un certificat d'aptitude de championnat national de beauté mention excellente.
Le championnat est terminé Mr et Mme Smith remballe leurs affaires, place les trois chiots dans leur cage de transport et rentre chez eux fière comme des pinsons.
Après 4 heures de route, les voilà enfin arrivé chez eux, les chiots vont pouvoir enfin se reposer et dormir, puis ils prendront un bon repas avec de l'eau bien fraîche.
Les maîtres ont accrocher au mur le certificat d'aptitude de championnat national de beauté, et posera le trophée sur la table en vue de tout le monde.
Poppy, Marguerita et Madeleine ont était récompensé par leurs maîtres pour avoir gagné le concours de beauté aujourd'hui, Nora et Brutus les parents des chiots arrivent à leurs tours pour les félicités en les sentant, et les léchant.
Nora et Brutus avaient eu aussi des années en arrière gagné le même concours avec une mention excellente.
Après une rude journée tout le monde part se coucher en faisant de beau rêve.
Voilà les enfants mon histoire est terminée, j'espère qu'elle vous à plus à très bientôt.
fin
Catherine Régent

Je vais vous raconter l’histoire de petit ours couleur et scintillant, et de Léa, la petite fille que petit ours rencontra sur son chemin.

Dans une campagne, près d’un grand champ de maïs coupé, vivait un petit ours aux couleurs scintillantes et lumineuses. Ce jour-là, petit ours n'était pas content, car il avait perdu ses jolies couleurs scintillantes. Il ne savait pas pourquoi cette chose arrivait, il décida donc d’aller trouver la fée des ours, et lui raconta son histoire.
<< Bonjour, fée des ours, j’ai un petit problème, mes couleurs scintillantes ont disparu. Sais-tu pourquoi ? >> dit petit ours.
Non, répondit la fée, as-tu fait une mauvaise manipulation ?
Non, répondit petit ours, je ne crois pas.
La fée ne sut que faire, elle était triste pour lui, mais elle eut une idée géniale.
<< pourquoi ne va-tu pas voir le chef des arcs-en-ciel ? >>
Petit ours répondit : << Oui, d'accord, c’est une bonne idée, j’irai trouver le chef des arcs-en-ciel demain matin. >> Puis il s'en alla chez lui et s'endormit profondément. Le lendemain matin, petit ours prit son petit sac avec des provisions pour le ravitaillement, et alla trouver le chef des arcs-en-ciel.
Mais, en chemin, il rencontra une petite fille nommée Léa, elle n'était pas plus haute que trois pommes, mais intelligente.
Petit ours dit : << Que fais-tu ici, petite fille, tu t’es perdue ? >>
Léa répondit : << Je me promenais, quand soudain, je me suis rendu compte que je tournais en rond et là, je me suis dit : << c’est fini je suis perdue et je ne retrouverai plus mon chemin >>. Mais, par chance, je tombe sur toi ! Peux-tu m’aider à rentrer chez moi ? >>
Petit ours dit : << Oui, je peux t’aider. Je sais comment rentrer, moi, mais j'ai beaucoup à faire et je dois continuer mon chemin, la route est longue. >>
Mais petit ours était embêté, car il ne voulait pas laisser Léa toute seule, on ne sait jamais ce qu’il peut arriver.
La petite Léa répondit soudain : << Mais toi, que fais-tu là, et comment es-tu arrivé là ? >>
Petit ours répondit : << Moi, c’est la fée des ours qui m'a conseillé d’aller voir le chef des arcs-en-ciel, car j’ai perdu mes belles couleurs scintillantes. Mais moi, je pars toujours seul sans me perdre, je connais ce chemin comme ma poche. >>
La petite Léa répondit : << Je peux venir avec toi ? Je me ferai toute petite, si petite que tu ne me verras même pas. >>
Et petit ours répondit : << Oui, bien sûr, tu peux m’accompagner, mais personne ne t’attend ? >>
Léa répondit : << Si, j’ai ma maman qui va m’attendre, mais je lui ai dit que je ne rentrerai pas tard, du moins je l’espère. >>
<< Génial, dit petit ours, on y va, mais il ne faut pas t’arder, car la nuit va tomber. >>
Ils partirent tous les deux sur le chemin. Ils marchèrent, marchèrent, si longtemps que la nuit tomba sur eux.
Mais la petite Léa se mit à pleurer, car elle avait très peur du noir et elle pensait très fort à sa maman.
Petit ours essaya de la consoler, mais en vain ; tout à coup il eut une idée de génie.
Il appela les lucioles et les Etoiles avec une flûte enchantée. Elles se mirent à éclairer dans la nuit et soudain la petite Léa s'arrêta de pleurer, elle rit aux éclats et dit :
<< Oh ! Quel chant mélodieux, que c’est beau, il y en a partout et c’est si joli ! >> Ensuite elle dit : << J’ai très faim maintenant, peut-on manger ? >>
Petit ours dit : << Oui, bien sûr, nous allons camper ici pour cette nuit. >> Et il sortit de son petit sac plein de bonnes choses à manger et ils allumèrent un petit feu pour ne pas avoir froid.
Ensuite, ils s’amusèrent ensemble pendant un instant et s’endormirent tous deux l’un à coté de l’autre.
Le lendemain matin, au petit jour, ils reprirent leur chemin. Ils marchèrent, marchèrent, si longtemps que tout à coup ils aperçurent un grand arc-en-ciel.
Petit ours dit : << C’est ici, nous sommes arrivés, je vois le chef des arcs-en-ciel qui nous attend. >>
Petit ours demanda au chef des arcs-en-ciel : << Sais-tu pourquoi mes couleurs scintillantes on disparut ?
Oui, petit sot, répondit le chef des-arcs-en-ciel, mais maintenant, va récupérer tes couleurs sur l’arc-en-ciel ! >>
Petit ours dit : << Oui, j'y vais avec mes pas de petit ours, c’est que j’ai de petites pattes, moi ! >>
Il prit les 3 couleurs manquantes : Le rouge, le vert et le bleu, Puis il retourna voir le chef des arcs-en-ciel.
Le chef des arcs-en-ciel dit : << As-tu ce qu'il te manquait ? >>
Petit ours répondit : << Oui, les 3 couleurs sont en place, mais ça ne s’illumine toujours pas. Comment se fait-il ?
Approche, dit le chef des arcs-en-ciel, tu n'aurais pas oublié, ceci ?
Oh si ! Grand chef des arcs-en-ciel je l’avais oubliée celle-ci ! >>
Le chef sortit une petite pile de sa poche et la donna à petit ours couleur, d’un air moqueur.
<< Essaie ça, dit le chef des arcs-en-ciel, ça marchera sûrement mieux avec ça. >>
Petit ours répondit : << Oui, merci, chef des arcs-en-ciel. >>
Petit ours demanda à la petite Léa d'appuyer sur sa main et, comme par magie, ses couleurs se remirent à scintiller.
<< ça marche, dit petit ours, c’est merveilleux ! >>
Le chef des arcs-en-ciel répondit : << La prochaine fois, ne l'oublie pas en route et ne pars pas sans elle.
<< Oui, répondit petit ours, je vous remercie bien, je ne l'oublierai plus. >>
Petit ours et la petite Léa remercièrent le chef des arcs-en-ciel et reprirent leur chemin. Ils marchèrent, marchèrent, si longtemps que la nuit finit par tomber. Mais heureusement, ils finirent par arriver à la maison de la petite Léa. Ils entrèrent sans faire de bruit et tous deux allèrent se coucher dans un bon lit chaud et douillet, car il se faisait tard.
Mais soudain, la maman de Léa entra dans la chambre et dit :
<< Mais où étais-tu et où as-tu trouvé ce petit ours scintillant où s'illuminent de jolies couleurs ? >>
Sa fille répondit : << Je l'ai trouvé sur le chemin en allant me promener, j’ai marché si longtemps que je me suis perdue en route, et en chemin j’ai rencontré ce petit ours couleur et scintillant. >>
La mère répondit : << C’est vrai, cette histoire ? je t’avais pourtant dit de ne pas t’éloigner, jeune fille. >>
Léa répondit : << Oui, maman, pardon, je ne recommencerais plus, c’est promis ! >>
La mère répondit : << Ça va pour cette fois, mais tu seras quand même punie pour t’être aventurée seule sur ce chemin. Mais ne recommence pas. j’étais tellement inquiète pour toi que je t'ai cherchée partout. >>
Puis la mère regarda par là et dit : << Je vois que tu étais en bonne compagnie avec ce petit ours. >>
Léa répondit : << Oui, maman, mais ce n’est qu’une petite peluche couleur et scintillante. >>
Puis la maman de Léa la regarda et embrassa sa petite fille, un peu pour lui faire comprendre qu’elle l’aimait beaucoup. Elle éteignit la lumière et ferma la porte de sa chambre. Mais la mère de Léa ne savait pas que petit ours était magique.
Léa regrettait ses erreurs et jura qu’elle ne recommencerait plus.
La petite Léa dit : << Maintenant que tu es mon ours scintillant et illuminé je n'ai plus peur du noir. >>
<< C’est bien, dit petit ours, voilà une bonne résolution, maintenant endors-toi vite, demain sera un autre jour.
Oui, petit ours >> , répondit Léa
Mais Léa avait du mal à dormir et elle continua à parler. Petit ours en avait un peu marre de l’entendre alors il trouva une solution.
Il dit : << Léa, si tu n’arrives pas à t’endormir, compte les moutons dans ta tête. A voix basse, bien sûr, pour ne pas m'empêcher de dormir, car, moi, j’ai sommeil. Oui, répondit Léa d’une voix toute douce, je vais essayer. >>
Elle compta les montons un à un à voix basse, 1 mouton, 2 moutons, 3 moutons, 4 moutons, 5 moutons et puis plus rien. Et tous deux s'endormirent j'usqu’au petit matin.
Mais au réveil, petit ours se mit à bouder, car il était loin de sa maison.
Il réveilla Léa et lui dit : << Écoute Léa, tu sais que j’ai une petite maison et que la fée des ours doit m’attendre. >>
Léa dit : << Je sais, petit ours, tu dois retourner chez toi. Oui, dit petit ours, mais tu n’es pas fâchée ? lui dit-il.
Non, répondit Léa, mais promets-moi que nous resterons amis.
Oui, répondit petit ours >>
Mais Léa était quand même un peu triste.
Elle lui chuchota à l’oreille : << Je t’aime beaucoup, petit ours, et tu resteras dans mon cœur.

Moi aussi, Léa, répondit petit ours, tu resteras ma meilleure amie >>
Et en signe de récompense il lui donna son bien le plus précieux, c’était une petite chaîne avec un petit médaillon en forme d’ours.
Et il lui dit : << Je te donne mon porte-bonheur, comme ça tu penseras à moi. >>
Léa répondit : << Oui, merci, petit ours, je ne t’oublierai jamais >>
Léa le remercia de tout son cœur d’avoir passé un peu de temps en sa compagnie.
Ils se dirent au revoir et petit ours rentra chez lui.
Arrivé à son village, petit ours alla voir la fée des ours pour lui dire qu’il était rentré et qu’il avait rencontré une merveilleuse petite fille qui se nommait Léa.
Puis la fée lui demanda : << As-tu récupéré tes couleurs scintillantes ?
Oui, répondit petit ours d’une toute petite voix >>
La fée demanda : << Qu’est-ce qui n’allait pas dans tes couleurs scintillantes ?
C’était juste la pile qui manquait, dit petit ours tout triste.
Bien, dit la fée, mais je vois que tu n’es pas dans ton assiette. Qu'y a-t-il ?
Je veux Léa, dit petit ours, car je m’ennuie sans elle.
Pas de problème, dit la fée, avec ma magie je peux te ramener tout ce que tu veux. C’est vrai, dit petit ours. Alors fais vite je t’en prie … >>
La fée fit une potion de bulles de savon géantes et prononça les mots magiques : maisonsime, léasime mamansime puis une grosse bulle de savon géante se souleva et partit à la recherche de la maison de la petite fille. Soudain, la bulle géante revint avec la maison et à l’intérieur se trouvaient ses amis. << Voilà, dit la fée, tu peux regarder par la fenêtre. >>
Petit ours regarda par la fenêtre et vit Léa et sa mère. Il sauta de joie, et dit avec une voix joyeuse :
<< Léa ...
Mon petit ours >> , dit Léa.
Ils s’amusèrent toute la journée ensemble, puis allèrent tous les deux remercier la fée en signe de reconnaissance.
Puis petit ours dit : << Tu vois, Léa, maintenant nous sommes ensemble pour toujours. << Oui, dit Léa, tu es mon ours pour la vie >>
Mais la maman de Léa arriva et dit : << Maintenant que vous êtes réunis, il va falloir rentrer et aller se coucher, car il commence à se faire tard, vous pourrez jouer ensemble demain. >>
Léa répondit : << Oui maman.
Bon, dit petit ours, allons nous coucher, la nuit est tombée et la lune est clair ce soir. >>
Ils se dirent bonne nuit et rentrèrent chacun à sa maison, et ils vécurent heureux dans leurs petits paradis.
Au petit matin, ils firent donner une grande fête en l’honneur de Léa et sa maman. Tout le monde était là, ils burent, mangèrent, et s’amusèrent tous ensemble et ils passèrent une bonne journée à s’éclater comme des petits fous.
Quand ils eurent fini leurs fêtes, ils allumèrent un grand feu de joie et chantèrent tous ensemble puis dansèrent autour du feu. C’était vraiment une très belle fête et très réussie en plus, car personne ne s’était plaint. Mais soudain, la fête s’arrêta car la pluie commençait à tomber.Ils rentrèrent tous se mette à l’abri et attendirent que ça se calme. La pluie finie, ils regardèrent tous dehors et ils aperçurent un joli arc-en-ciel : il était magnifique à regarder, avec de superbes couleurs. Ils sortirent tous le contempler et dirent tous ensemble :
<< Oh ! qu’il est beau ! Qu’il a de jolies couleurs ! >>
Et pour ne pas oublier la tradition des petits ours, ils déposèrent chacun un petit cadeau au pied de l’arc-en-ciel, et allèrent manger des petits gâteaux que la fée des ours avait préparés avec amour et gentillesse.
Cependant, petit ours et Léa allèrent se préparer pour une petite fête surprise. Ils revinrent habillés d’un costume époustouflant et firent leurs numéros sous l’arc -en-ciel. Tout le monde les applaudit et fut surpris de leur petit spectacle, mais c’était une très belle fête. Maintenant qu’ils avaient bien ri, ils retournèrent tous chez eux et allèrent tous se coucher en attendant le lendemain pour une nouvelle histoire.
Léa et petit ours vont à l’école
C’est une belle journée qui commencait pour Léa et petit ours : ils allaient à l’école pour la première fois. En chemin, ils rencontrent Theo, un petit garçon qui allait lui aussi à l’école pour la première fois. Ils arrivèrent tous les trois devant le portail de l’école et commençèrent à entrer timidement. En entrant, ils aperçurent des tas d’enfants en train de s’amuser, et ils décidèrent aussi d’aller s’amuser avec les autres enfants. Puis, soudain, la cloche de l’école retentit : c’était l’heure de rentrer en classe. Ils se mirent tous en ligne deux par deux. La maitresse arriva pour les accueillir et les fit entrer en classe.
La maitresse se présenta : << Bonjour, les enfants je suis Mme harcante, et je suis là pour travailler avec vous. >>
Puis elle fit l’appel et demanda aux enfants de se présenter. Elle appela les enfants un par un.
<< Léa ? Présente, dit-elle.
Theo ? Présent, dit-il.
Petit ours ? Présent, dit-il.
Leo ? Présent, dit-il.
Théa ? Présente, dit-elle.
Tout le monde est là, alors nous allons pouvoir commencer, dit Mme harcante.
Aujourd’hui, nous allons faire une ballade pour contempler les animaux de la forêt. Allez, youpla, mettez-vous en rang deux par deux. >>
Ils partirent dans la forêt et, en chemin, ils virent des tas d’animaux, des biches, des lapins, des sangliers, des oiseaux, etc. Mais aussi des arbres et des fleurs.
C’était une petite ballade très intéressante pour les enfants, savoir contempler, et observer la nature.
Puis la maitresse, Mme harcante, reprit le chemin de l’école et les fit rentrer en classe.
Elle posa une question aux élèves : << Dites-moi ce que vous avez vu comme animaux dans cette forêt. >>
Petit ours répondit : << Moi, j’ai vu des lapins.
Oui, c’est très bien, petit ours, dit Madame harcante, et puis ? >> Léa répondit : << Moi, j’ai vu des biches !
Oui, Léa, bien trouvé, dit la maitresse. Et encore ? >>
Les autres élèvent répondirent : << Des sangliers.
Oui, bravo, vous avez bien observé, dit la maitresse, mais j’aimerais entendre Théo. Qu’as-tu vu dans cette forêt ? >>
Théo tout timide répondit : << Des oiseaux, Madame.
Eh bien, oui, Théo, c’est très bien, pourquoi hésites-tu ?
J’avais peur de me tromper et de dire une bêtise.
La prochaine fois, n’hésite pas, car c’est comme ça qu’on avance et il faut toujours participer.
Oui, madame.
Alors, pour jeudi, vous me ferez un joli dessin sur ce que vous avez vu dans cette forêt.
Oui, Madame, dirent les élèvent. >>
Soudain la cloche sonna, c’était l’heure de rentrer à la maison. Les enfants prirent leurs affaires et sortirent en rang deux par deux, Jusqu’au portail de l’école.
Petit ours, Léa, et Theo rentrèrent chez eux, tout contents, et expliquèrent à leurs parents ce qu’ils avaient fait à l’école aujourd’hui.

Mais Léa, petit ours, et Théo avaient envie de faire une surprise à leurs mamans en leur faisant un joli dessin de petits animaux. Ils donnèrent leurs dessins à leurs mamans, elles les accrochèrent au mur près de la cheminée.
Les parents les remercièrent en les embrassant chacun à leur tour.
Puis Théo et ses parents rentrèrent chez eux, tout contents.
À la fin de la journée, Léa prit son bain de petite princesse à l’eau parfumée de rose. Pendant ce temps, petit ours commença à préparer la table, puis ils mangèrent tous les trois comme de bons amis, dans la salle à manger des petits rois. Mais soudainement, Léa eut envie de sortir et d’aller cueillir des fleurs pour sa maman. Elle en cueillit une bonne dizaine et revint chez elle pour les mettre dans un beau vase et les offrit à sa mère.
<< Merci, Léa >> , dit sa mère.
Puis elle alla voir petit ours qui était en train de regarder la télé, mais il commencait à s’endormir. Elle lui dit gentiment : << Petit ours, tu devrais aller te coucher maintenant, car tu as sommeil.
Oui >> répondit petit ours en bâillant.
Léa et petit ours dirent ensemble : << On a oublié nos devoirs !
Oh, ce n’est pas grave ; demain c’est mercredi, vous aurez tout le temps pour vos devoirs, répondit la mère de Léa.
Oui, maman a raison, allons-nous coucher ! >> répondit Léa.
Ensuite, ils se dirent bonne nuit et allèrent tous se coucher, chacun dans son lit douillet, et firent de beau rêves en attendant le lendemain.
Léa et petit ours vont au cinéma et invitent Théo à goûter
À l’aube, Léa et petit ours eurent envie d’aller au cinéma pour se distraire et s’amuser, mais en chemin, ils rencontrèrent Théo, le petit garnement.
Théo et un petit garçon qui faisait plein de bêtises et disait plein de gros mots.
<< Tiens, bonjour Théo, dirent Léa et petit ours.
Bonjour, dit Théo.
Que fais-tu ici ?
Je vais au cinéma, et vous ? Nous aussi, on va au cinéma. Alors, allons-y ensemble. >>
Ils partirent ensemble jusqu’au cinéma. En arrivant, ils prirent leurs billets et allèrent s’installer à leurs places sur une banquette rouge. Enfin, le film commença. À l’entracte, ils prirent des pop-corn et du coca.
Les trois enfants étaient fiers et grands de pouvoir aller au cinéma sans leurs parents et entre amis.
Ils passèrent une bonne journée.
Puis le film se termina et les enfants rentrèrent, mais Léa et petit ours eurent envie d’inviter Théo pour le goûter.
Ils goutèrent et burent ensemble comme des grands, et la journée se termina. Mais Théo commença à s’agiter comme une puce et décida subitement d’aller au petit coin. Il demanda à Léa et à petit ours, car ça commencait à presser.
Il alla aux toilettes, mais en ressortant il passa par la salle de bain et commença à jouer avec la pomme de la douche, puis il ouvrit l’eau et inonda toute la maison.

Petit ours et Léa se demandèrent ce qu’il pouvait faire et décidèrent d’aller voir ce que faisait Théo. Mais en arrivant dans la cuisine, ils s’aperçurent qu’il y avait de l’eau partout. Ils entrèrent dans la salle de bain et virent Théo en train d’inonder le sol. Ils refermèrent le robinet d’eau et dirent ensemble :
<< Théo, tu es vilain, on te faisait confiance, c’est mal ce que tu as fait. Pardon, dit Théo.
Maintenant, il va falloir nettoyer toutes tes bêtises, dirent ensemble Léa et petit ours. Et vite, aide-nous.
Oui >> dit Théo, la tête basse.
Ils nettoyèrent tous ensemble, mais avec du mal, car avant de tout éponger, ils avaient du pain sur la planche.
Le nettoyage fini, Léa et petit ours dirent à Théo : << Vraiment, Théo, tu es insupportable, tu n’arrêtes jamais de faire des bêtises ! On espère que ceci te servira de leçon et la prochaine fois, tu iras au cinéma tout seul.
Ne me grondez pas, je ne le ferai plus, mais je veux qu’on reste amis, dit Théo.
D’accord, mais c’est la dernière fois qu’on te fait confiance. >>
Puis ils décidèrent d’aller jouer dehors à cache-cache. Petit ours commença à compter. Arriver à 10, il les chercha partout. Puis soudain, il trouva Léa mais, quand il trouva Théo, le petit garçon commença à dire de vilains mots.
Petit ours et Léa lui dirent : << C'est pas bien, tu es vilain de dire des gros mots, nous, on voulait juste jouer avec toi.
Je suis désolé, dit Théo, mais je voulais gagner ! >>

Petit ours et Léa répondirent : << Si tu ne gagnes pas, c’est pas grave, le principale est de participer.
Oui, répondit Théo, je ne le ferai plus et merci de m’avoir aidé à comprendre.
Allons, allons, rentrons maintenant, dirent Léa et petit ours, la journée a été lourde et pénible. >>
Théo rentra le premier et les remercia encore une fois, mais il n’était pas fier de ses bêtises.
Puis Léa et petit ours rentrèrent aussi chez eux en se jurant de rien dire aux grandes personnes des bêtises de Théo. Et c’est ainsi que la journée se termina.
Léa et petit ours font une journée barbecue
Les beaux jours arrivèrent et la maman de Léa voulut inviter les parents de Théo pour un barbecue.
Mais petit ours et Léa savaient que ce n’était pas une très bonne idée de les inviter, car ils avaient peur que Théo recommence ses bêtises.
Le jour venu, ils firent un superbe barbecue avec plein de bonnes choses à manger.
Ils passèrent tous à table et commencèrent à manger et à boire sans contrainte et discutèrent tous ensemble.
Puis le repas terminé, ils décidèrent tous d’aller se baigner dans la grande piscine, car il commençait à faire très chaud. Ils s’amusèrent et jouèrent tous ensemble et sans bêtises de la part de Théo.
Ils avaient passé une merveilleuse journée et par chance Théo s’était arrêté de faire des bêtises. La baignade terminée, Théo remit ses vêtements et demanda à Léa et petit ours de jouer avec lui.
Mais Léa et petit ours refusèrent, car ils avaient une autre idée en tête. Ils laissèrent Théo jouer tout seul. Mais Théo le petit garnement alla du coté du jardin et pour se venger, il arracha tous les pieds de légumes que la mère de Léa avait plantés.
Après une bonne heure, Léa et petit ours cherchèrent le petit Théo, mais ne le trouvèrent pas. Ils allèrent trouver les adultes pour qu’il les aident à trouver Théo.
Puis soudain, ils virent le jardin dévasté comme si un ouragan était passé dessus.
Les parents dirent ensemble : << Mais que s’est-il passé ici ? >>
Léa et petit ours comprirent que Théo était passé par ici et qu’il s’était vengé sur le jardin parce qu'il n'avaient pas joué avec lui. Ils regrettaient leurs erreurs, mais c’était déjà trop tard pour réparer.
Ils cherchèrent Théo partout et le trouvèrent endormi sous un arbre. Comme il était mignon quand il dormait, ils appelèrent les parents tant bien que mal. Mais les parents de Théo s’excusèrent pour leur fils envers la mère de Léa et comprirent qu’il fallait qu’ils rentrent chez eux avec leurs fils dans les bras.

La mère de Léa leur demanda pourquoi Théo avait fait autant de dégât. Petit ours et Léa lui expliquèrent, mais ils n’étaient pas fiers d’avoir refusé de jouer avec lui.
La mère de Léa répondit : << Que ça vous serve de leçon. La prochaine fois, vous jouerez avec lui, même si ça vous plaît pas. Maintenant, il va falloir replanter tous les légumes du jardin et vous allez me donner un coup de main, que ça vous plaise ou pas. Oui, nous allons t’aider à tout replanter c’est promis >> dirent Léa et petit ours.
Ils replantèrent tous les légumes et jurèrent que la prochaine fois que Théo et ses parents viendraient passer une journée chez eux ils le surveilleraient et ne refuseraient plus de jouer avec lui.
La journée se termina tant bien que mal, puis fatigués, ils allèrent se coucher sans dire un mot.

La nounou
Par une belle journée, la maman de Léa va travailler comme nounou. Elle va l’annoncer aux enfants, Léa et petit ours, dans une minute. << Ah voilà les enfants, dit-elle. J’ai justement quelque chose à vous dire, asseyez-vous et écoutez-moi.
Je viens de recevoir un coup de téléphone des parents de Théo. ce soir, ils sortent au restaurant et vont au cinéma et je dois garder Théo pour la nuit. >>
Léa et petit ours étaient fous de joie et, malgré toutes les bêtises de Théo, ils l’aimaient beaucoup.
Petit ours et Léa dirent ensemble : << C’est génial que Théo dorme chez nous cette nuit, on va pouvoir jouer et chanter avec lui.
Tiens, dit la maman de Léa, on sonne à la porte. >>
La maman de Léa alla ouvrir
<< Bonsoir, dit la maman de Léa.
Bonsoir, dirent les parents de Théo, nous vous confions Théo pour la nuit car nous allons rentrer très tard,nous viendrons le chercher demain matin.
Ça ne vous dérange pas ?
Non, non, dit la maman de Léa, ne vous inquiétez pas vous pouvez partir tranquilles. Allez, bonne soirée.
Merci, dirent les parents de Théo, et à demain. >>
La maman de Léa alla mettre Théo en pyjama et petit ours et Léa firent de même.
<< Maintenant que tout le monde est en pyjama, je vous laisse vous amuser un peu, dit la maman de Léa.
Génial, dirent les trois enfants, on va s’amuser un peu. >>
Ils décidèrent de jouer aux pompiers sans se disputer et ils s’amusèrent beaucoup, mais la fatigue commença à se faire sentir.
Les trois enfants furent un peu fatigués et décidèrent de se coucher, mais Théo ne voulait pas dormir, car il avait peur du noir. Quand petit ours comprit le malaise, il dit :
<< Petit Théo, je vais t’aider à dormir en te chantant cette petite chanson :
Il éteignit la lumière et mit la veilleuse et commença à chanter.
Bonsoir, ptit Théo. Je m’appelle ptit ours Et je m’éclaire rouge, vert, bleu Pour que tu n’aies plus peur du noir Et ta maman, comme tous les soirs, Te raconte une belle histoire de petit ours Et je m’éclaire rouge, vert, bleu Pour que tu n’aies plus peur du noir.
Et c’est alors que le petit Théo s’endormit jusqu’au lendemain matin, sans histoire et sans peur.
Puis petit ours et Léa se couchèrent à leur tour en faisant de beaux rêves.
Le lendemain matin, les parents de Théo vinrent chercher leur petit garçon et demandèrent à la maman de Léa si ça s’était bien passé.
<< Oui, ça s’est bien passé, répondit la mère de Léa, sans problème, et en plus il s’est endormi avec une petite chanson de petit ours. >>
Les parents répondirent : << Eh bien, ma foi, nous vous remercions bien de nous avoir gardé Théo, car c'est pas un petit garçon facile à vivre. Merci encore.
De rien, répondit la mère de Léa, et si vous voulez encore sortir, je vous le garde volontiers.
Eh bien, encore merci et au revoir, dirent les parents de Théo. Au revoir, dit la maman de Léa.
Ma foi, c’est gens sont très gentils et leur petit garçon aussi, je suis très contente que ça se termine comme ça. Allez, les enfants, pour vous récompenser de m’avoir aidée à garder le petit Théo, je vous offre des bonbons.
Ouais ! dirent Léa et petit ours. C'est bon, les bonbons, merci beaucoup.
Mais après, vous irez vous brosser les dents, car les caries ne font pas bon ménage.
Oui, bien sûr, répondirent les enfants. >>
Et la journée se finit pour que commence une nouvelle.
Léa et petit ours vont visiter un zoo
La maman de Léa emmèna les enfants, Léa et petit ours au zoo. Ils arrivèrent au zoo et s’amusèrent à saluer et à regarder tous les animaux. Ils imitèrent les animaux en leur faisant des grimaces. Que c'était rigolo !
<< Ils sont vraiment magnifiques, tous ces animaux, dirent Léa et petit ours. Regardez les enfants, il y a des éléphants qui viennent vous voir, dit la maman de Léa.
Oh oui, c’est vrai ! Donnons-leur de la nourriture, dit Léa.
Non, c’est interdit, continuons notre chemin, dit la maman de Léa.
Nous pouvons aller voir les tigres, maintenant, dit petit ours.

Oui bien sûr, dit la mère de Léa. Ah non ! les tigres sont trop dangereux, dit Léa. Mais moi, je veux les voir, dit petit ours. Ne vous disputez pas, les enfants, dit la maman de Léa. Nous allons aller voir les tigres pour faire plaisir à petit ours, Répondit la maman de Léa.
D’accord, dit Léa déçue. Qu’ils sont magnifiques, ces tigres, dit petit ours. Oui, ils sont beaux et majestueux, dit la maman de Léa. >>
Ils visitèrent tout le zoo et allèrent manger un petit bout, car leurs ventres commençaient à faire des gloups, gloups.
Mais soudain Léa voulut rentrer, elle en avait marre de marcher. Mais ce qu’elle voulait, c’était punir petit ours à cause des tigres qu’il avait voulu regarder.
<< Je veux rentrer, je suis fatiguée, dit Léa d’un ton sec.
Comment ça, tu es fatiguée ? je croyais que tu voulais voir tous les animaux, dit sa mère.
Oui, c’est vrai, mais j’ai mal aux jambes, dit Léa. Bon d’accord, nous allons rentrer puisque tu es fatiguée, dis-la mère de Léa. >>
Ils rentrèrent à la maison. Puis la mère de Léa lui dit :
<< Maintenant que nous sommes rentrés, tu peux aller te mettre en pyjama et aller au lit, dit sa mère.
Ah non, dit Léa. Pourquoi non ? dit sa mère. Oh ! Pardon, j’ai été égoïste envers petit ours, je ne le ferai plus , dit Léa à petit ours.
Ah, c’était donc ça, c’est pour ça que tu voulais rentrer ? dit la maman de Léa, c'est pas bien de penser qu’à toi. Oui, je sais, excuse-moi, petit ours, dit Léa. T'es toute excusée, mais ne recommence pas, dit petit ours. D’accord, dit Léa. Mais moi, ça ne me suffit pas, dit sa mère. Je te congédie dans ta chambre et tu es punie pour la soirée.
Pardon, dit Léa. Non, répondit sa mère. Allez, vite, monte dans ta chambre !
Oui, maman, dit Léa. >>
Elle regretta ce qu’elle avait fait à petit ours et à sa mère, mais c’était trop tard. puis elle s’endormit profondément jusqu’au petit matin.
Pendant ce temps, la mère de Léa prépara une glace au chocolat pour récompenser petit ours.
<< Tiens, petit ours, tu l'as bien mérité, dit la maman de Léa.
Merci beaucoup, dit petit ours. Humm ! Que c’est bon, et c’est dommage que Léa soit punie.
Oh ! Elle a eu que ce quelle méritait, il ne faut jamais être égoïste envers son prochain. C’est comme ça qu’on pourra vivre en communauté.
Maintenant, allons nous coucher, il se fait tard. >> Dis-la mère
Et c’est ainsi que la journée se termina ; puis ils allèrent se coucher en pensant au lendemain.
Alors, les petits enfants, si vous aimez mes histoires, elle vous aideront à dormir le soir en compagnie de votre petit doudou ; vous n’aurez plus peur du noir.
fin
regent Catherine

LA FAMILLE BEDUCHON

Dans un petit village de Bretagne qu'on appelle Pornichet vit la famille Béduchon. Bien sûr que suis je bête vous ne connaissez pas encore la famille Béduchon. Je vais vous présenter la famille un à un.
Mr Béduchon Henri est archéologue, il travaille dans le plus grand musée du monde, mais sont patron Mr Jasper ne l'aime pas beaucoup, parce que Mr Henri est un peu tête en l'air.
Mme Béduchon Anne est coiffeuse, elle travaille dans un grand salon de coiffure, mais sa patronne Mme Jacquet ne l'aime pas beaucoup, parce que Mme Anne a des manques d' inattentions.
Mlle Béduchon Sophie est toiletteuse pour animaux, elle travaille dans un grand salon de toilettage, mais sont patron Mr Jardin ne l'aime pas beaucoup, parce que Mlle Sophie commet beaucoup d'erreurs.
Ce matin Mr Béduchon est le premier à se rende sur les lieux de son travaille pour faire l'inventaire du musée, son patron Mr Jasper demande à Mr Henri de ranger toutes les collections anciennes dans de grosse caisse en bois et de les envoyer au dépôt sans rien casser, mais la journée ne va pas se passer comme prévu, après 10h de travaille Mr Henri un peu fatigué de sa journée va commettre l’irréparable, il tient entre ses mains un très beau vase antique, Henri admire l’œuvre de haut en bas, quand soudain le vase lui échappe des mains et se brise en mille morceaux.
Mr Jasper qui n'était pas très loin, entend le chahut et accoure vers Mr Henri, mais en voyant le vase antique au sol, Mr Jasper hurle et le renvoie sur le champ son employé sans indemnité, Mr Henri essaie de s'excuser mais celui-ci ne veut rien savoir, Mr Henri sort prendre l'air et marche quelques heures, avant de rejoindre le cocon familiale.
Mme Anne est la deuxième à se rendre sur les lieux de son travaille, sa patronne Mme Jacquet lui a téléphoné vers 8h30, pour lui annoncer qu'une cliente de haute importance allez arriver vers 9h et qu'il fallait qu'elle se rende au salon avant 8h45, quel poisse se dit-elle un peu en colère, elle monte dans sa voiture et file à toute allure vers son travaille, elle arrive au salon et regarde l'heure sur la pendule qui affiche 8h55, ouf se dit-elle je ne suis pas en retard, elle se dirige de l'autre côté pour se changer et revient pour accueillir les clientes, Mme Jacquet demande à Anne de s'occuper des trois premières clientes, puis vers la fin de la matinée Mme Jacquet revient lui recommander encore trois autres clientes, puis viens l'heure de la pause, soudain la sonnerie du téléphone retentit, c'est la dernière cliente qui appelle pour leur annoncer qu'elle ne viendrait pas se matin, mais qu'elle serait la vers 14h, Anne est en colère parce qu'elle doit attendre cette fameuse cliente, quand enfin cette dernière montre le bout de sont nez, Mme Jacquet recommande la cliente à Anne, mais la journée ne va pas se passé comme prévu, après 8h de travaille Mme Anne un peu fatigué de sa journée, va commettre l'irréparable, elle commence par lui faire sa teinture, mais soudain Anne se rend contre qu'elle s'est trompée dans les ingrédients, Anne ne sais plus quoi faire, mais continue de s'occuper de la cliente en recouvrant sa tête de papier aluminium, à la fin du temps de pause, Anne lui retire le papier alu, quand soudain un hurlement retentit dans le salon, Mme Jacquet qui n'était pas très loin, entend le chahut et accoure vers Mme Anne, mais en voyant la tête de la cliente, Mme Jacquet hurle et la renvoie sur le champ son employée sans indemnité, Mme Anne essaie de s'excuser mais celle-ci ne veux rien savoir, Mme Anne sort prendre l'air et marche quelques heures, avant de rejoindre le cocon familiale.
Mlle Sophie est la troisième à se rendre sur les lieux de son travaille, sont patron Mr Jardin lui a téléphoné en urgence, pour lui annoncer qu'une célébrité allez amener son petit chien et qu'il fallait qu'elle se rendre au salon au plus vite, elle prit le tant de boire un café, puis monte dans sa voiture et file vers son travaille, elle arrive au salon avec 15 min de retard, son patron qui l'attendait est un peu furax, Sophie se dirige de l'autre côté pour se changer, et revient pour accueillir la cliente et son petit chien. Mr Jardin demande à Sophie de faire un shampoing au chihuahua, puis de le sécher, Sophie s'exécute quand soudain elle s’aperçut que le shampoing employé n'est pas du shampoing mais de la teinture, Sophie ne sais plus quoi faire, mais continue de s'occuper du chihuahua, elle finit par le sécher et le ramène à la cliente, soudain un hurlement retentit dans le salon, Mr Jardin qui était dehors, entend le chahut et accoure vers Mlle Sophie, mais en voyant le petit chien tout bleu, Mr Jardin hurle et la renvoie sur le champ son employé sans indemnité, Mlle Sophie essaie de s'excuser mais celui-ci ne veut rien savoir, Mlle Sophie sort prendre l'air et marche quelques heures, avant de rejoindre le cocon familiale.
Henri, Anne et Sophie rentre tous les trois tête baissée et marche vers leur domicile, ils arrivent tous les trois en même temps devant la porte de la maison, ils relèvent la tête ensemble et crièrent à haute voix ( virés ! ) la famille Béduchon n'est pas très futée, mais aujourd'hui ils ont beaucoup apprient de leurs erreurs, mais c'est à se moment là qu'ils vont décider de faire un grand voyage sur les îles de Miami pour une année sabbatique en réunissant toutes leurs économies. Anne attrape le téléphone et commande trois billets d'avion à l'agence de voyage, pendant que Mr Henri et Sophie s'occupèrent des valises et des meubles du salon qu'ils recouvrent d'un drap blanc, pendant se temps, Anne va concocter un petit repas qu'ils dégusterons ensemble. La nuit tombe, les étoiles brilles, la lune est lumineuse, Henri, Anne et Sophie mettent leur pyjama avant d'aller dormir.
Au petit matin le réveil sonne, il est 7h, la famille Béduchon se lève, passe à la douche et déjeune, ils prennent les valises, avant de prendre le taxi qui les transporte vers l'aéroport, ils courent à toute allure pour ne pas rater leur vol et embarque à bord du Airlines France.
Une hôtesse les accompagne à leur fauteuil et pose leurs bagages en cabine et leur demande d'attacher leur ceinture avant le décollage, le commandant de bord fait une brève annonce pour leur souhaiter un bon voyage, une hôtesse passe de fauteuil en fauteuil pour proposer une petite collation à ses passagers, l'avion vole maintenant vers Miami quand soudain un gros orage fait son apparition, le commandant de bord annonce aux passagers par l'interphone qu'il allait y avoir quelques perturbations et des secousses, quand une tornade les frôle de justesse, le commandant signal à L'hôtesse l'incident qui vient de se produire.
L' hôtesse demande aux passagers de poser leur tête sur leur genoux jusqu'à nouvelle ordre du commandant, deux heures on passé et l'avion est toujours en difficulté et les pilotes n'arrivent toujours pas à redresser l'avion, le commandant engage le pilote automatique comme seul recours, quand soudain un cercle brillant et blanc fait sont apparition dans le ciel, l'avion et soudainement aspirer vers une seconde dimension comme une sorte de triangle des Bermudes, la tempête touche le réacteur qui s’enflamme, puis explose, l'avion perd le contrôle, frôle, puis accroche des grosses branches d'arbres qui éventre une partie de l'avion, la dépressurisation arrache les fauteuils de certains passagers qui tombent dans le vide, les passagers restant sont paniqués et commencent à prier pour leur vie, quand les masques à oxygènes tombèrent devant eux, l'avion pique du nez et crash sur une île déserte.
Les passagers sortent de l'avion blessés, ainsi que l' hôtesse et le commandant, mais le cos-pilote succombe pendant le crash, les gens se rassemblent et prennent avec eux le stricte minimum avant de partir pour trouver un abris sûr. La famille Béduchon et les passagers du vol Airlines France marchèrent depuis des heures dans la jungle épaisse et humide, soudain ils aperçoivent au loin de petite hutte abandonnée, le commandant et ses passagers font une halte et décident de rester dans ce camp pour quelques jours à l’abri des regards de la nuit. Le commandant Mr Gérard et L' hôtesse Mme Julie distribuent des rations et une bouteille d'eau avec des couvertures à tous les passagers. Le médecin Mr Paris José soigne les passagers blessés puis chacun entre dans leurs huttes pour dormir.
Dans la nuit des grondements et des pas lourds se font entendre, au réveil Gérard et Julie aperçoivent sur le sol boueux d'énormes empreintes de pas, affolés ils réveillent les passagers et décident de continuer leur route vers le sud pour trouver un autre abri plus sûr, mais les passagers ne savent pas où ils mettent les pieds.
Ils marchent sans relâche dans les hautes herbes humide frôlant sur leur passage des fougères gigantesques, des petits singes leur rendre visite en se balançant de liane en liane en poussant de petit cris pour les avertir d'un danger mais les passagers ni prête pas attention, soudain droit devant eux surgis un tyrannosaure affamé, le commandant Mr Gérard leur demande de ne plus bouger d'un poil car sa vision était basé sur les mouvements.
Le tyrannosaure s'approche des passagers qui tremblent de peur en les reniflant de haut en bas, mais soudain la famille pique se met à crier et à courir, le monstre les pourchasse dans la jungle abattant des arbres sur son passage, Mr et Mme pique courent de toutes leurs forces quand au loin ils aperçoivent un gros tronc d'arbre creux, ils entrent à l'intérieur sans bouger et attendent que la bête s'éloigne, Mr et Mme pique sortent du tronc au bout d'une demi-heure, quand une bande de cannibales les captures en les attachants comme des cochons pendu à un morceau de bois et les ramènent à leur village, les prisonniers sont mis en cage, les femmes cannibales préparent le feu et y pose un gros chaudron remplis d'eau et de plantes sauvages, les hommes cannibales vont chercher le prisonnier dans sa cage et lui font boire un mélange anesthésiant qui l'endort aussitôt, les sauvages le découpe avant de le faire griller sur le feu, les cannibales prennent quelques morceaux et les apportes à Mme pique sans savoir quel déguster sont mari, après le festin les femmes cannibales nettoie Mme Pique et l' habille de vêtement pour lui faire comprendre qu'elle fessait partie de la tribu.
Le commandant Gérard et L' hôtesse Julie accompagne les passagers en lieu sûr dans une grotte et leur demande dit rester jusqu'à leur retour, mais quand ils arrivent au village des cannibales c'est déjà trop tard pour Mr Pique, Mr Gérard essaie de délivré Mme Pique mais celle-ci refuse, l'homme rebrousse chemin sans se faire voir en attrapant sur sont passage un coupe choux et rejoint Julie dans les hautes herbes ils retournent vers la grotte annonçant aux passagers que Mr et Mme Pique était mort et qu'il ni avait plus rien à faire pour eux.
Mr Gérard demande à la famille Bourdon d'aller chercher du bois pour le feu, Julie et Carine la femme du médecin vont chercher des provisions dans la jungle, la famille Béduchon cherche une source d'eau naturelle pour remplir toute les bouteilles vide, pendant se temps Gérard commence le nettoyage de la grotte et ramène des pierres et une grille pour confectionner un petit barbecue à l'intérieur de la grotte, il confectionne des torches, puis il prend le coupe choux pour couper du bois et commence à fabriquer des lits pour tous les passagers, il fabrique aussi des petits rangement pour y mettre la nourriture.
La famille Bourdon revient avec le bois tirant derrière eux une petite charrette qu'ils ont trouver dans la jungle, à leur arriver Gérard leur demande de déposer le bois dans la grotte, quelques heures plus tard, Julie et Carine reviennent les bras charger de fruit bien mûre qu'elles déposent dans les rangements en bois, suivit de la famille Béduchon qui ramène les bouteilles pleines d'eau de source placer sur un chariot tout rouiller, les habitants sont exténuer voilà une journée bien remplis, les hommes prépare le feu et les femmes distribue les fruits récolté dans la journée, la nuit tombe Gérard allume les torches et demande au passager de venir, pour l'aider à faire basculer le rocher et bloquer l'entrer de la grotte pour plus de sécurité.
A l'aube Mr Gérard qui était réveillé depuis une heure prépare le petit déjeuner pour sa tribu qui dormaient encore, deux heures plus tard tous le monde est levé et déjeune dans le silence pas un bruit, le repas matinale est enfin terminé chacun apporte sa vaisselle puis la dépose dans une bassine, Mr Gérard demande à sa tribu de venir l'aider à déplacer le gros rocher pour que chacun puissent faire ses corvées, la famille Bourdon est chargée d'aller faire la vaisselle à la rivière, Julie et Carine s'occupe du ménage dans la grotte, Gérard et José partent à la chassent, et la famille Béduchon doivent se rendre à l'épave de l'avion pour récupérer du kérosène, une trousse de secours.
Une heure à passer la famille Bourdon remonte vers le campement pour y déposer la vaisselle propre, Gérard et José ne reviennent pas bredouille ils portent dans leur bras un gros chevreuil pour le repas de midi, mais la famille Béduchon n'est pas encore rentrer, Gérard réunis tous le monde autour de la table en bois situé dehors et demande à se que tous le monde l'aide à dépecer l'animal, mais l'odeur est tellement forte, qu'un tyrannosaure refait sont apparition en grondant de toute ses forces la gueule grande ouverte il commence à chasser les habitants et leur cour après, il détruit tous sur sont passage et fini par attraper la famille Bourdon et les avalent tous crus, puis il reprend sa chasse et arrive derrière Gérard qui ne l'avez pas vu, Julie,Carine et José lui font des signes mais quand il regarde derrière lui ses déjà trop tard, il lève la tête et le tyrannosaure l'attrape et l'avale sans le moindre regret, les filles cris tellement fort que le gros pachyderme revient vers eux, José cour et grimpe tout en haut d'un arbre feuillu et regarde la scène qui se passe sous ses yeux, Julie et Carine ne bouge plus, elle reste immobile en se prenant dans les bras elle regarde l'animal droit dans les yeux, elle se croyez en sécurité si elle ne bouger pas mais comme elle sentez le sang à cause du dépeçage l'animal les chopent et les avalent puis il repart dans la jungle comme si rien ne c'était passer.
José apeuré et tremblant décide de rester sur sont arbre jusqu'au retour de la famille Béduchon, mais après cinq heures d'attente ne voyant pas arriver la famille, il décide de quitter son arbre et de partir se mettre à l’abri dans la grotte, dix heures on passé et Henri, Anne et Sophie montrent enfin le bout de leur nez, quand ils voient le désastre ils appellent les habitants mais ne voyant personne à l'horizon ils accourent vers la grotte et trouve José en pleure leur expliquant que tous le monde était mort et que lui en avait réchapper de peu.
La famille Béduchon demande à José de prendre tous les sacs à dos et de prendre le stricte nécessaire, ne pouvant plus rester dans la grotte ils décident de continuer leur route pour trouver un autre abri plus sûr, avant de partir la famille Béduchon attrapent toutes les armes de défense ainsi que le coupe choux et s'éloignent du campement.
Ils marchent maintenant depuis des heures à travers la forêt tropicale charger de leur lourd fardeau ils décident de faire une halte près de la rivière pour casser une petite graine et faire un petit feu pour se réchauffer, mais à peine installer une bande de petit dinosaure compsognathus affamé viennent les perturber, ils se lève d'un bon, prennent leurs affaires et fuit en laissant la nourriture sur le sol, ils continue leur route dans la jungle épaisse et humide et traverse un pont suspendu, mais soudain surgis du ciel un ptérodactyle géant sorti de nul part, il plonge droit sur José et l'attrape avec ses griffes acérées et s'enfuit droit vers sont nid en traversant les hautes falaises. La famille Béduchon s'empresse de marcher jusqu'au bout du pont et se dirige tout droit vers les hautes falaises pour aller délivrer José le plus rapidement possible, arriver devant la haute falaise Mr Henri déploie sont parapente et survole la falaise ou se trouve Mr José qui était en difficulté avec les bébé ptérodactyles, Mr Henri lui demande de s'approcher du bord et de sauter à son arriver, Henri fait un premier passage, puis au deuxième passage José prend son élan et saute vers le parapente et s'accroche au corps de Mr Henri, mais soudain José commence à glisser vers les jambes de Mr Henri et tombe dans la rivière situé un peu plus bas, Henri perd le contrôle du parapente et s’écrase lui aussi dans la rivière, les deux compères se rejoignent et nage jusqu'à la berge, Anne et Sophie qui on assister à la scène accourent et rejoignent les deux survivants et continue leur route dans la jungle épaisse et feuillus.
Après plusieurs heures de marche, la famille Béduchon et José s'apprête à passer la nuit à la belle étoile près d'une cascade, mais en inspectant les lieux minutieusement ils s'aperçoivent qu'il y avait une entrer derrière la cascade, ils passent de l'autre côté et s'y repose jusqu'au lendemain.
Au réveil Henri, Anne, Sophie et Mr José continue leur inspection et aperçois au loin une petite lueur, ils se dirige tous les quatre vers la lumière et aperçoivent sur les murs de la cascade de jolie petit dessin préhistorique qu'ils admire avec passion, arriver au bout de la grotte ils trouvent un petit passage qui les mènent dans une grande prairie, ils sortent de la grotte les yeux grand ouvert ils aperçoivent au loin des brachiosaures qui était en train de manger le haut des arbres bien feuillu.
Ils traversent la prairie et arrive devant un petit panneau portant les inscriptions suivante il est écrit: Vous êtes sur l'île au grande dent, passer votre chemin pour ne pas être dévorer...
La famille Béduchon et Mr José visite l'île à pied quand ils aperçoivent sur leur route droit devant eux de nombreux Tricératops et Diplodocus, ils continue à marcher quand un bruit de bourdonnement se fait entendre, ils lèvent tous la tête vers le ciel et aperçoivent des abeilles géante qui fonce droit sur eux, tout le monde commence à courir et fonce droit dans la forêt pour se cacher et attendent que les abeilles s'éloignent, nos quatre compagnons continue leur route bien décidé de trouver d'autre survivants, ils marchent maintenant depuis des heures fatigués et exténuer ils s'arrêtent dans un petit village complètement vide, ils s'installent dans une case en paille pour dormir quelques heures, mais la sieste va être de courte durée quand deux papillons géants font leur apparition, nos compagnons sorte dehors mais en voyant les deux monstres Mr José et la famille Béduchon décide d'attraper deux cordes et de capturer les deux papillons en les attachants sur la barrière en bois, bien décider de s'en servir pour voyager d'un point à un autre, nos habitant attachent de gros panier sur les côtés des papillons et charge leurs affaires dedans, ils montent deux par deux sur le dos des papillons et s'envole dans le ciel en explorant et en découvrant d'autre lieux lointain, ils se pose soudainement sur une île en croyant avoir vu quelque chose. Mais en arrivant sur l'île ils découvrent de nombreuses plantes carnivores en action pas moyen de se frayer un chemin à travers une masse compacte de fleur 1m20 de hauteur et mangeuse d'homme, ils ne savent que faire, quand soudain la famille Béduchon a une idée, ils leur donne de petit morceau de viande avariée et nos compagnons passe sans difficulté avec leur papillon géant enfin presque sauf qu'ils n'avait pas prévu la dernière fleur qui était plus affamé que les autres et José en paya les frais la plante carnivore l'avale en rejetant ses vêtements et son sac de transport .
La famille Béduchon dégoûter et triste attrape le sac de transport de José et s'envole tous les trois sur le dos d'un papillon géant à travers la forêt et les broussailles et décident d'atterrir près d'un lac laborieux pour y passer la nuit, Henry, Anne et Sophie sont seul au monde et doivent se débrouiller pour trouver de la nourriture pour survivre, pendant la nuit Mr Henry pose des collets pour attraper du petit gibiers et va rejoindre sa famille pour dormir.
Le lendemain matin Mr Henry retourne dans la forêt pour vérifier ses collets et découvre qu'il na rien attraper, il rentre bredouille et retourne près de sa famille en leur annonçant qu'il ni avait rien à manger, sauf des fruits que sa femme et sa fille avait trouver se matin là, la famille désespéré continue leur périple, quand soudain au moment de partir surgis un gros Allosaure affamé qui se jette sur le papillon géant et le dévore en une bouchée, la famille s'enfuit à pied à travers la forêt et se cache dans un énorme tronc pourris en attendant que la bête féroce s'éloigne.
L'allosaure s'éloigne enfin et disparaît au loin, la famille peu sortir en toute sécurité, ils prennent leur sac et commence à marcher, ils se dirigent droit vers les montagnes neigeuses en prenant de la hauteur ils espère trouver d'autre survivants.
Mais soudainement ils entendent au loin une voix qui les interpelles, la personne court à toute allure et crie en fessant des gestes, quand soudain surgis devant eux Mme Pique tous essouffler.
Vite, vite cacher vous, je suis poursuivis par les cannibales, nos quatre compagnons court vers une grotte qui était à leur porter et ci cache en attendant que les méchants cannibales s'éloignent.
Que faites vous là Mme Pique, on nous avait dit que vous était morte demande Mr Henry
Pas du tout je suis bien vivante, je me suis échappé et j'ai suivis vos traces jusque là, j'en avais assez de manger de la viande crus ou à peine cuite et puis c'est pas mon truc de tuer des gens, je veux voyager avec vous, je peu me joindre à vous svp demande Mme Pique
bon d'accord venez avec nous, on ne va pas vous abandonnée ici, prenez votre sac et partons, l'hiver approche et il va faire très froid je le sens et je me trompe rarement réplique Mr Henry
Comme Mr Henry l'avait prédit l'hiver approche à grand pas, la neige tombe à gros flocon, il commence à faire très froid et l'air devient glacial, sans le savoir la famille Béduchon et Mme Pique entre dans le cercle polaire qui les conduits tout droit dans une autre dimension, ils avancent à petit pas dans la tempête neigeuse, leur corps ne les porte plus, leur mains et leur pieds son gelé, leur lèvres son gercée par le froid, soudain nos quatre compagnons s'écroulent au sol, des hommes de Cro-Magnon qui passer par là découvrent leur corps recouvert de neige, ils les transportent sur des civières et les ramènent jusqu'à leur camp.
Dans leur grotte les femmes de Cro-Magnon s'occupent des nouveaux arrivant en soignant leurs engelures avec des huiles essentielles, la famille Béduchon et Mme Pique ont dormit pendant trois jours et trois nuits, mais à leur réveillent ils s'aperçoivent que leur chance à tourner et qu'ils leur est impossible de faire marche arrière, leur seul moyen est de continuer leur chemin, mais les hommes de Cro-Magnon ne veulent pas les laissé partir, la famille Béduchon et Mme Pique devront attendent la nuit pour s’enfuir en prenant quelques vivres et des peaux de bêtes.
La famille Béduchon et Mme Pique poursuivent leur périple quand soudain droit devant eux déboulent une colonies de mammouth laineux, Henry, Anne et Sophie et Mme Pique se cachent derrière un gros rocher en les regardants passer.
La famille Béduchon et Mme Pique se relèvent et poursuivent leur route quand soudain un Hypacrosaurus lézard géant fait son apparition devant eux, pour se nourrir se lézard géant chasse et attrape c'est victime pour les dévorées, nos quatre compagnons sautent vite dans la tranchée de neige sans que le méchant lézard ne les aperçoivent, et continue d'avancer en rampant sans s'arrêter jusqu'à leur prochaine rencontre, Henry, Anne et Sophie et Mme Pique ne son pas au bout de leur peine et s'aperçoivent enfin qu'ils sont prisonniers du temps.
Nos quatre compagnons continue leur voyage et trouve sur leur chemin une carapace de tortue géante ils embarquent tous les quatre dedans et glisse juste en bas de la montagne à une vitesse vertigineuse quand soudain ils se retrouvent dans le cercle polaire qui les conduits dans une autre dimension cette fois nos quatre compagnons se retrouvent dans un monde de géant alors imaginer un peu leur tête en arrivant là-bas.
La famille Béduchon et Mme Pique son minuscule et mesure pas plus de 3mm, les herbes son très haute, les arbres son géant, les fleurs son immense, les insectes et les animaux n'en parlons pas je vous laisse deviner, ils avancent dans un monde effrayant qu'il ne connaisse pas, nos compagnons on du pain sur la planche, pour s'en sortir ils devront être très prudent pour ne pas tomber dans une embuscade animal ou insectivore.
Les survivants avance sans relâche dans une jungle peu sure, quand soudain la pluie se met à tomber à grosse goutte, Henry, Anne et Sophie et Mme Pique Solange courent se mettre à l’abri avant d'être noyer par l'eau, ils trouvent sur leur route une géante boite de conserve, ils si abritent mais celle-ci était déjà habiter par un bébé fourmi qui était en train de déguster un cookie, la fourmi s'affole un peu mais partage volontiers son butin avec la famille Béduchon et Mme Pique Solange qui l'accepta comme amis.
La pluie cesse et un soleil radieux perce les nuages, nos quatre aventuriers attrapent des lianes et les passe autour du cou de la fourmi pour la dompter, la fourmi ne se laisse pas faire et les envoies valdingué dans une marre de boue, ils essaies à nouveau mais cette fois ils lui mette sous le nez un cookies, la fourmi se laisse dompter et nos quatre compagnons montent sur son dos et continue leur voyage dans la jungle.
Nos quatre compagnons traversent toute la jungle à dos de fourmi, ils passent sur un pont suspendu qui n'est pas très stable, mais de l'autre coter ils aperçoivent un énorme trou dans la terre, ils s'arrêtent et attache la fourmi et décident d'aller visiter se trou à l'aide d'une corde, chacun descend au fond de se terrier et ils s'aperçoivent qu'il y a de nombreuses galeries creuser par quelque chose d'énorme, ils continuent d'avancer et tombe nez à nez avec un ver de terre géant, nos quatre compagnons fond demi-tour mais c'est déjà trop tard, le ver les aperçois et les prends en chasse, nos aventuriers courent de toute leur force et fonce vers la sortie, ils grimpent tous sur la corde et sortent du trou et ils se cachent dans les hautes herbes en oubliant la petite fourmi, le ver de terre se bat avec la fourmi pendant quelques heures puis il ouvre la gueule et avale la petite fourmi qui na eu aucune chance, le ver retourne dans sa galerie et nos aventuriers continue leur voyage à pied en pensant à la petite fourmi qui les avait bien aider.
La nuit tombe nos quatre aventuriers doivent trouver un abris pour la nuit, ils marchent depuis tellement longtemps que leurs pieds ne les porte plus, ils se traînent et après des heures de marche, ils aperçoivent au loin une grotte, ils entrent, posent leurs affaires, et exténuer ils s'endorment paisiblement sur un ours qui était en train d'hiberner.
Au petit matin l'ours commence à remuer et à bouger doucement, sont hibernation est terminé et il doit sortir pour manger, nos quatre aventuriers se réveillent et s'aperçoivent qu'il sont coucher sur une peau d'ours, ils s'agrippent de toute leur force au poil de l'animal qui se met debout sur ses quatre pattes, il sort de sa tanière et flair la bonne chair fraîche, il commence à courir et prend de la vitesse, il traverse la forêt et se dirige vers la rivière pour attraper quelque saumon, il s'aventure dans l'eau et attrape un bon poisson pour sont dîner, il revient sur la berge pour le déguster, pendant se temps nos quatre aventuriers se décide à quitter la peau de l'ours, ils descendent et courent se réfugier dans la forêt.
Maintenant nos amis non vraiment plus rien, ils doivent se débrouiller seul dans cette jungle immense et espère encore trouver d'autre survivants. Nos amis marche depuis des mois, ils mangent les fruits qu'il trouve et quelques insectes et poissons, ils prennent leur courage à deux mains et continue leur voyage en traversant un pont et de l'autre coter ils trouvent de vieille ruine incas qu'ils admire avec passion, ils montent toute les marches et arrive devant une porte avec un mécanisme ancien, ils ne savent pas comment l'ouvrir, alors ils cherchent un moyen ou une pancarte qui pourrais les aider, soudain ils trouvent un dessin avec les inscriptions suivante.
Visiteur prenez garde, si vous entrer c'est à vos risque et péril, mais si vous décider de continuer dans cette direction voici le code pour y enter:
pour enter il vous faudra aligner 3 symboles identiques, si vous réussissez vous serais recouvert d'or, mais si vous échouer vous ne serais plus là pour en parler, je vous souhaite bonne chance. Ps suivez bien mes instructions.
Tournez 1 fois vers la gauche, 3 fois vers la droite, et enclencher le bouton du milieux pour faire tourner et aligner les trois symboles du soleil.
Nos quatre amis retournent vers la porte au mécanisme ancien et tourne 1 fois vers la gauche, 3 fois vers la droite et enclenche le bouton du milieux, la roue tourne et aligne les 3 symboles du soleil, la porte s'ouvre nos amis entre et attrape des torches qui se trouver là, ils continuent tout droit en longeant une parois d'un mur qui les dirige dans une grande pièce éclairer par de nombreuses torches, ils continuent leur marche dans les catacombes et arrive dans une autre pièce remplis d'or, nos compagnons crie de joie, danse et touche toute cette or avec leur mains, ils remplissent chacun leur petit sac en toile de pièce d'or quand soudain un mécanisme se met en route et les fait tomber dans une autre pièce remplis de diamant, Henry, Anne, Sophie et Solange sont au ange ils n'en crois pas leur yeux, ils prennent à nouveau de petit sac en toile et commence à les remplir de diamant, quand au loin ils aperçoivent une lueur, ils si dirigent et trouve enfin une sortie qui les mènes dehors, ils éteignent et pose leur torche et continuent leur route charger de trésor bien mérité.
Ils marchent maintenant depuis des heures, quand ils tombent nez à nez devant un scorpion géant, Henry, Anne, Sophie et Solange commencent à courir, mais étant charger comme des bœufs le scorpion les rattrape et plante sont d’art au sol en les manquant de peu, ils se remette à courir quand soudain ils entrent dans le cercle polaire qui les transportent dans une autre dimension.
Nos quatre voyageur peuvent respirer et arrête de courir, ils marchent droit devant eux et après de longues heures, ils arrivent devant un haricot géant, ils décident d'escalader la plante géante juste en haut et découvrent un magnifique château entouré de verdure et de fleur, ils s'approchent vers le château et regarde la porte qui leur sembler immense, ils attrapent la chaîne et la cloche retentis, la porte s'ouvre et une belle jeune femme sort et leur souhaite la bienvenue et toute son hospitalité et leur demande d'entrer pour se réchauffer . Bonjour cher voyageur, je m'appelle Élisa quel bon vent vous amène dans ma belle demeure demande la femme
excuser-nous mais nous sommes juste de passage répond Henry
ho! vous aller bien dîner avec moi demande Élisa
volontiers répond Anne
alors venez avec moi je vais vous installer à ma table, allons ne soyez pas timide suivez-moi demande Elisa
voici la salle à manger installer vous et prenez place, je vous apporte le dîner demande Elisa
aujourd'hui c'est du ragoût de lapin j'espère que vous aimerez demande Elisa
oui merci nous aimons tous ça et en plus sa sent si bon répond Henry
aller une petite prière avant de commencé a manger demande Elisa
maintenant vous pouvez manger et régaler vous, bonne appétit demande Elisa
le repas est enfin fini, est nos quatre compagnons veulent filer avant la nuit, mais Elisa leur demande de passer la nuit chez elle pour lui tenir compagnie.
Nos quatre amis accepte, Elisa accompagne nos quatre aventuriers dans leur chambre en leur disant:
mon mari ne rentre pas avant deux lune, alors vous pouvez dormir ici deux jours demande Elisa
d'accord mais après deux lune nous partirons, on ne veux pas vous déranger répond Henry
mais vous ne me déranger pas Mr Henry et je vous souhaite une bonne nuit à tous et à demain répond Elisa
à demain et encore merci pour votre hospitalité répondent nos quatre compagnons
merci répond Elisa
Tous dorment à poing fermé dans leur chambrette quand soudain un gros bruit de coup de poing se fait entendre dans la porte d'entrée.
Ma chérie j'ai oublier ma grosse clé pour ouvrir la porte d'entrée, peu-tu m'ouvrir stp demande Ogrus
Ciel mon mari dit Elisa
Elle saute de sont lit et se dirige vers la chambre de nos invités et leur dit de resté dans leur chambre et de ne pas se faire voir par son mari.
Nos compagnons lui demande pourquoi, mais Elisa leur dit simplement de lui obéir sinon ils courent un grand danger.
Elisa file à la porte d'entrer et ouvre à son mari.
Tu en a mis du temps à venir ouvrir demande Ogrus
Et bien tu ma réveillé en sursaut, j'ai mis le ragoût sur le feu à chauffer et je tes mis une assiette pour que tu puisse manger, mais je t'attendais pas avant demain demande Elisa
oui je sais, mais j'ai chasser pendant longtemps et j'étais un peu fatigué, alors j'ai décider de rentré cette nuit et je m'en excuse de t'avoir réveiller dit Ogrus
ho c'est pas grave mon poussin je suis contente que tu sois rentré, allez mange tu dois avoir la dalle demande Elisa
oui j'ai une grosse faim, ma d'abord mais le gibier dans la réserve demande Ogrus
oui mon poussin je range le gibier dans la réserve et j'arrive répond Elisa
Elisa revient vers Ogrus et lui sert son repas, mais l'ogre n'était pas stupide il renifle si fort qu'il sent une odeur pas très familière, il demande à Elisa si elle sentais cette odeur, mais Elisa lui dit simplement que l'odeur qu'il sentais n'étais que le ragoût qu'elle lui avait préparé.
Ogrus lui dit qu'elle avait peu être raison, mais il sentais encore cette odeur alléchante une odeur que tout les ogres connaissez, il se lève et commence à chercher dans toute les pièces de la maison et dit:
Sa sent la bonne chair fraîche ici, je sens des enfants humain, ou sont-il, ou les as-tu cacher ma douce demande Ogrus
il ni a pas d'enfant ici Ogrus répond Elisa
tu ment femme, je sens une odeur très forte d’humain par ici dit Ogrus
écoute Ogrus l'odeur que tu sens ses sûrement ton odeur de gibier, tu es sale, tu tes pas laver depuis que tu es partis chasser, alors viens avec moi je vais te faire couler un bon bain dit Elisa
d'accord je te suis, je vais me laver, mais après si je sens encore cette odeur je continuerais à chercher toute la nuit si il le faut, et si je trouve des humains je les croquerais tous crus répond Ogrus
Elisa se précipite dans la chambrette de nos voyageurs et leur demande de filer avant que son mari l'ogre ne les trouve, mais c'était déjà trop tard Ogrus avait fini de prendre son bain et se tenais debout devant la chambrette de nos voyageurs, Ogrus rouge de colère essais d'attraper nos amis avec ses grosses mains, Elisa demande à nos voyageur de la suivre et leur montre le bon passage pour quitter la maison par le sous sol qui mené dehors, ils se dire adieux et nos voyageur continuent leur route jusqu'au prochain hiver qui avancé a grand pas, ils continuer de marcher sans relâche quand soudainement ils entrent à nouveau dans le cercle polaire qui les transportent vers une autre dimension.
L'hiver est enfin arriver, il neige très fort, et un peu plus loin un panneau affiche: bienvenue au pôle nord, bienvenue chez le père noël, continuer votre chemin vous êtes presque arriver à la cloche du bonheur, sonner trois fois est le père noël vous ouvriras ses portes et vous accueilleras à bras ouvert. Mr Henry, Mme Anne et leur fille Sophie ainsi que Mme Pique Solange arrivent enfin à la cloche du bonheur, ils sonnent trois fois et le père noël vient leur ouvrir en les accueillant à bras ouvert enfin ils vont pouvoir souffler un peu sans avoir peur du danger qui les guetter sans arrêt.
Le père noël leur montre leur chambre et nos quatre compagnons range enfin leur affaires dans une armoire propre, ensuite ils descendent les escaliers et vont rejoindre la mère noël et le père noël dans la salle à manger pour un bon repas d'amitié entourer des elfes coquins.
La nuit tombe sur le village est nos amis vont se coucher dans un bon lit douillet en pensant au lendemain.
A l'aube nos amis descendent prendre leur petit déjeuner que la mère noël avait préparer avec amour, ensuite une longue journée les attendent, c'est la veille de noël est nos compagnons doivent aider le père noël à décorer leur maison pendant que la mère noël prépare le repas du réveillons.
Ensuite ils doivent accompagner le père noël en pleine forêt pour aller couper un sapin et l'installer dans leur maison afin de le décorer pour la fête de noël pour accueillir les beau cadeaux du jour J.
Mais avant de partir le père noël et la mère noël ainsi que leur invité dégusterons un bon repas tous ensemble.
Tout est enfin prêt le père noël prépare ses rennes et son traîneau pour s'envoler et faire le tour du monde de tous les pays en y déposant dans chaque maison un très beau cadeau au pied de leur sapin en se fessant aider par ses elfes il mettra une nuit entière avant de retourner vers le pôle nord pour se reposer.
Quant à la mère noël elle déposera en secret tous les cadeaux de nos invité au pied du sapin et animera une petite soirée afin de détendre l’atmosphère, nos invités se sente bien et commence à s'amuser, la cloche du bonheur sonne minuit, il est l'heure d'ouvrir les paquets, la mère noël se dirige vers le sapin et offre les premiers cadeaux à nos invités content de recevoir un petit présent mais ils vont attendent le retour du père noël pour ouvrir leur paquet.
La nuit est paisible, les étoiles brilles et nos amis remercie tout le monde avant de rejoindre leur chambre, ils se brossent les dents et prennent une bonne douche, mais en regardant par la fenêtre ils aperçoivent une aurore boréale qu'ils contemplent généreusement avant de rejoindre leur lit et de s’endormir profondément.
Le père noël à enfin fini sa tournée et rentre enfin au pôle nord, quand soudain il s’aperçoit que le bouclier du village n'est plus activé et qu'un ogre est à la limite du village, il va bientôt pénétré dans leur village, le père noël se dépêche et atterri en plein milieux de son village, il appelle les elfes pour lui donner un coup de main à rentré le traîneau dans le hangar, ensuite il détache les rennes et les mets à l’abri dans la grange, les elfes donne à manger et à boire aux rennes avant de sortir pour aller aider le père noël.
Le père noël ordonne aux elfes de sonner la cloche pour avertir du danger qui rôde, il ordonne aux elfes d'aller chercher une grosse corde pour ligoter l'ogre et le faire repartir chez lui, mais avant tout ça le père noël doit remettre en route le bouclier, les elfes vont chercher Mr Henry et Mme Anne pour empêcher l'ogre d'entrer mais c'est déjà trop tard l'ogre Ogrus vient d'enter et essaie d'attraper les elfes et nos deux compagnons, Mr Henry attrape la corde avec sa femme Anne et la lance sur les pieds de l'ogre, ils tirent ensemble et Ogrus tombe à terre en se débattant, les elfes viennent à leur secours prennent la corde est entoure l'ogre à plusieurs reprise, ils le tirent hors du village et le balance assez loin pour ne pas qu'il revienne, à ce moment là le père noël actionne le bouclier et la paix revint au village.
Le père noël remercie tout le monde et leur donne rendez-vous dans la salle de réception pour un petit gueuleton et une petite fête, puis il se donne tous rendez-vous au pied du sapin pour ouvrir enfin leur cadeaux tant mérité.
Le père noël et la mère noël décident ensemble de donner une maison aménager ainsi qu'un travail à nos quatre compagnons en guise de remerciement, Henry, Anne, Sophie et Solange donne un coup de main tout les ans au père noël et vécurent très heureux au village.
Sophie rencontre un beau jeune homme au pôle nord et se marie, Solange referas sa vie avec un homme plus mûr, Mr Henry et Mme Anne vieillirons ensemble jusqu'à la fin de leur vie et continuerons à s'aimer très fort.


Fin
Catherine Régent

L’œuf surprise

L’histoire que je vais vous raconter s'est passé à Granville. Oh, excusé-moi vous ne connaissez pas encore Granville. Granville est une forêt arborée d’arbres, de fleurs et de champignons de toutes sortes, et abrite de nombreuses espèces animales et volatiles.

Mets dans cette forêt, vit une famille de bûcheron assez coriace, mais très gentils, ils travaillent très durs pour gagner leur vie.

Le bûcheron, sa femme et leur fils, vivent une petite maisonnette au cœur de la forêt près d’un puits.

Tous les jours, ils partent sur les sentiers avec leur outils, et leur charrette pour aller couper du bois.

Bob le bûcheron commence à tronçonner le bois, le fils Teddy fend le bois, et sa femme Marie ramasse, et range le bois dans la charrette.

Après de bonne heure de travail, Bob, Marie, Teddy rentre enfin chez eux, mais en chemin ils aperçoivent au loin une grotte.

Il entre, et commence à explorer la grotte de fond en comble, mais en fouillant, il tombe sur une cavité souterraine remplie de stalagmites et stalactites, de peintures rupestres préhistoriques, d’ossements et de lampe ancienne.

Soudain dans un coin ils aperçoivent deux gros œufs, il les regarde un moment, les touches, les admires, puis emporte avec eux un gros œuf calé dans leurs bras, ils sortent de la grotte récupère leur outils, leur charrette à bois, reposant leur gros œuf dessus, il s’enfuit à toutes jambes dans leur maisonnette.

Arrivé devant leur demeure, Bob dépose et range les outils dans l’établi, Marie range le bois, et leur fils Teddy s’occupe du gros œuf trouver dans la grotte.

Bob allume un bon feu de cheminée, pendant que son fils Teddy emballe d’un linge doux le gros œuf un peu froid, et n’oublie pas de le déposer près du feu en attendant son éclosion.

Il passe à table pour le souper, quand soudain un grondement se fait ressentir, tous les trois se regardent d’un air effrayé mais n'y prêtent pas attention.

Bob, Marie et leur fils Teddy ayant sommeil décide d’aller se coucher dans leur lit bien douillet, mais dans la nuit des bruits, et grondement se font entendre longuement, comme si quelque chose pleurer de solitude et d’angoisse.

Le lendemain matin, le bûcheron, sa femme et leur fils retourne coupé du bois dans la forêt, en chemin il rencontre de nombreux animaux : cerf, biche, lapin, renard, castor, loup, sanglier, etc... et de nombreux volatiles : chauve-souris, hiboux, aigle, moineau, perroquet, etc... mais le plus effrayant était les animaux et volatile préhistorique.

Mais en travaillant ils entendent à nouveau bruit et grondement, quand soudain une ombre effrayante apparaît, de peur il se cache dans les fougères, et regarde passer le monstre plein de tristesse, à cette réflexion ils accourent tous les trois vers la maisonnette, ils entrent et regarde cet œuf sur toutes ses coutures, de haut en bas.

Ils ne savent pas quoi faire, et pourtant ils l’aiment déjà, ils le protègent comme leur propre enfant, mais ne se décourage pas, il continue à le réchauffer près de la cheminée, quelques bisous par ci, bisous par-là, il pense tout simplement que l’œuf aime se faire bichonner.

Sans faire de bruit, il se mette assis par terre tous les trois, près du feu, et attende le moment propice de l’éclosion, mais après des heures à le contemplé l’œuf resté intact, que faire pensait-il dans leur tête, à ce moment ils se mettent à le caresser, mais l’œuf ne voulait rien savoir, il prit leur mal en patience et décide d’aller se coucher.

Le lendemain Bob prend l’œuf encore tout chaud, le pose devant lui, et Bingo l’œuf bouge, il tend ses deux oreilles au-dessus, écoute de petit gazouillis, et soudain il entend des petits craquements, le pauvre petit animal se décide enfin à sortir en cassant le haut de sa coquille.

Apeuré le petit reptile pleure, et décide de se cacher, entendant des bruits Marie et Teddy accourent dans la pièce principale avec joie et bonheur, se penche tous les deux au-dessus de sa tête pour le contempler sans lui faire Peur.

Marie pleine d’enfreindre se demande à quelle famille il appartient, en tout cas ce n’est pas un carnivore, sinon il nous aurait déjà dévoré, elle réfléchit, et ce dit :

il est vert, un peu gros, un coup assez long pour son âge, de grosses pattes, une petite queue, j’ai trouvé se dit-elle, c’est un brachiosaure, il doit manger des herbes, et des feuilles d’arbres.

Marie sort dehors, et ramasse une grosse branche d’arbre feuillu, elle la tend au dino avec prudence. Tient c’est pour toi mange

Voilà, je le savais, il aime les feuilles, il est tellement mignon quand il mange, ho, pardon il va falloir lui trouver un nom, comment l’appeler se dit-elle.

Je sais, dit Teddy on va l’appeler Kinder, c’est notre œuf surprise

Oui, ce nom lui va comme un gant Réponds Marie

Maintenant que tout le monde est d'accord, allons faire un tour dehors, nous avons des choses à faire, et ça ne peut pas attendre trop longtemps Réponds Bob

Le nez dehors, la petite famille se rend dans la forêt avec leur petit panier, pour ramasser des fruits bien mûre et bien juteux, il en ramasse assez pour aller les vendre au marché.

Kinder s’amuse comme un petit fou, mange les branches d'arbres feuillus en se mettant sur ses deux pattes arrière.

Soudain Kinder entend des petits bruits, il décide d’aller voir, mais en courant, il se blesse la patte droite, il se traîne en boitant, et arrive devant une grotte, il entre, fouille, et aperçois au loin une petite ombre.

Il s'approche avec méfiance et dit : il y a quelqu'un

Une toute petite voix lui répond : oui, je suis là

Qui est tu ? Réponds Kinder

Je suis un brachiosaure

Répond la petite voix Et toi qui es-tu ? Demande la petite voix

Moi aussi je suis un brachiosaure Réponds Kinder

Comment t’appelles-tu ? Répond Kinder

La petite voix répond : je m'appelle Caly

Sors de ta cachette que je te vois Répond Kinder

Très bien je sors Répond Caly

Bonjour Caly Répond Kinder

A qui ai-je honneur Répond Caly

Ho, Pardon je ne me suis pas présenté, Je m'appelle Kinder

Enchanté Kinder Répond Caly

Pourquoi tu boîtes, tu à mal à la patte droite Demande Caly Oui je me suis blessé en venant ici Réponds Kinder

Viens avec moi, je vais te soigner, et te faire un bandage Demande Caly

D'accord Réponds Kinder

Aie, Tu me fais mal Dit Kinder

Ne sois pas si douillet, Voilà j'ai terminé Répond Caly

Merci beaucoup mademoiselle Répond Kinder

Tu vis seule dans cette grotte Demande Kinder

Non, Je vis avec ma mère, elle est partie chercher de bonne branche feuillue de bonne heure, elle devrait plus tarder maintenant Répond Caly Et toi tu vis où ? Demande Caly

Moi je vis dans une maisonnette avec de braves gens, ils me nourrissent, et me fond plein de câlin quand je suis un peu triste, ils sont très gentils avec moi Répond Kinder

A l'autre bout de la forêt on entend appeler : Kinder, où es-tu ?

Ho, C'est ma famille, je dois rentrer, à très bientôt Caly Répond Kinder

A très bientôt et reviens vite Répond Caly Je suis là Répond Kinder

Où étais-tu petit garnement Répond sa famille

Pas très loin, j'ai rencontré une amie, et on s'est bien amusé Répond Kinder

Il ne faut pas t’éloigner comme ça Kinder, on croyait qu'on t'avait perdu, Maintenant rentrons Répond Bob

La petite famille rentre, mais Kinder était triste, il aimerait bien vivre dans une grotte comme Caly, mais son destin en a voulu autrement.

Dans la grotte la mère de Caly rentre enfin avec un bon festin de branches vertes feuillus, et Caly ne dit rien de sa journée à sa mère.

Les mois passent et l'hiver montre le bout de son nez, une année très difficile, pour les animaux de la forêt, les arbres ont perdu leurs feuilles et la neige commence à tomber, le vent est glacial, et certains animaux hibernent tout l'hiver.

La mère de Caly dit à sa fille nous ne pouvons plus rester ici, il ni a plus rien à manger, il faut aller vers le sud sinon on va mourir

D'accord, partons Répond Caly

Nous reviendrons le printemps prochain, le voyage va être long et périlleux Répond sa mère

Mais la mère de Caly voyez bien quelle était triste de partir, elle demande à sa fille pourquoi elle était si triste.

Quand tu étais partie pour chercher de la nourriture, j'ai rencontré Kinder, un brachiosaure comme toi et moi, on a sympathisé et on a beaucoup ri

Répond Caly Ne sois pas triste tu le verras l'année prochaine, je vais te raconter quelque chose que je n'ai jamais dit à personne, moi aussi j 'ai été triste un jour, j'étais seul et je devais aller chercher de la nourriture comme aujourd'hui, mais quand je suis revenue, un de mes œufs avait disparu, j'ai beaucoup pleurer et beaucoup chercher dans la forêt sans rien trouvé, je me suis fait une raison et j'ai arrêter les recherches, mais aujourd'hui nous sommes toutes les deux alors j'ai un peu oublié cet œuf disparu Répond sa mère

ça veut dire que j'avais un frère Demande Caly

Oui tu avais un frère, mais je l'ai jamais retrouvé, il est sûrement mort aujourd’hui, alors pensons à autre chose, et dépêchons-nous d'avancer, il fait très froid Répond sa mère

Et si Kinder c'était mon frère Dit- elle à sa mère

Ho, Non je crois que tu fais fausse route ma fille, ton ami ne peut pas être mon fils Dit sa mère

Et pourquoi pas, il m’a dit qu'il vivait avec des gens dans une maisonnette pas très loin de la grotte où on vit Dit Caly

Caly ça suffit, ton frère est mort, continue à avancer, nous sommes plus très loin

Répond sa mère Mais maman tu peux pas dire ça Répond Caly

Écoute ma chérie, quand il a disparu ce n'était qu'un œuf, alors je ne pourrai pas le reconnaître, passons à autre chose tu veux bien Réponds sa mère

D'accord maman, je suis désolé, excuse-moi Dit Caly Ce n’est pas grave ma chérie, on va être heureuse là-bas, tu verras Réponds sa mère

Sur leur chemins il rencontre beaucoup d'animaux, comme eux ils allaient tous vers le sud, et chercher de quoi manger, mais certain s'y rendait pour mettre bas.

Nous sommes arrivés, regarde ce n’est pas magnifique, des arbres à perte de vue, des lacs, et tous nos amis sont là pour nous accueillir Dit sa mère

Caly se sentez bien seule, mais à l’autre bout de la terre Kinder se sentez bien seul aussi, comme si quelque chose lui demande de partir à son tour, la famille de Kinder voyez bien qu'il était triste, il ne manger plus, il pensait nuit et jour à Caly.

Le lendemain Bob, Marie et Teddy décide de ramener Kinder à la grotte, pour lui dire la vérité, mais en lui annonçant tout doucement pour ne pas le braquer.

Voilà, c'est ici qu'on ta trouvé, nous on croyait que ta mère t'avait abandonné,

mais on s’est trompé, et on est désolé de ne pas t'avoir dit la vérité avant, on t'a aimé dès le premier jour comme notre propre enfant, j'espère que tu nous en veux pas Répond Bob, et Marie Je ne vous en veux pas, mais maintenant je dois partir, et voler de mes propres ailes, je dois reconstruire ma vie avec ma propre famille, j’espère que vous me comprenez et que rien ne changera entre nous, je vous dis adieux, ou je devrai dire peut-être à bientôt, merci pour tout. Réponds Kinder

Au revoir Kinder à très bientôt, on pensera toujours à toi, bonne route Réponds la famille

Kinder continue sa route pour retrouver Caly et sa mère, le ciel commence à s’assombrir, et l'air était glacial, la neige tombée de plus en plus fort, et Kinder avait de plus en plus mal à la patte, il chercher un endroit où s'installer pour la nuit, car la tempête de neige été pas loin, il se blottit sous un gros arbre, mais en se déplaçant il donne un grand coup sur le tronc qui fait descendre un gros tas de neige qu'il prit sur la tête.

Kinder se relève d'un air fâché, et continue sa route, il n'en peux plus, il s'arrête devant une petite grotte, mais celle-ci était habité par un ours, Kinder s'approche tout doucement, et demande l’hospitalité.

Puis-je entrer Demande Kinder

Bien sûr mon garçon, viens t'abriter, ne reste pas dehors Répond l'ours


Je me présente : je m'appelle Baly, Et toi comment t'appelle- tu mon garçon ? Dit l’ours Je m'appelle Kinder monsieur

Que viens-tu faire ici par ce mauvais temps ? Dit Baly

Je cherche ma famille, une jeune fille et sa mère, ils sont partis depuis des jours, vous ne les aurai pas aperçu par hasard Répond Kinder

Heu, Réfléchissons un peu, ho si, elles m'ont demandé la route pour aller vers le sud, elles se sont reposer chez moi, on a fait connaissance quelques heures, puis elles sont repartis Dit Baly

Vers le sud vous dîtes, je dois continuer ma route, merci pour tout, et à très bientôt Dit Kinder

Merci à toi Kinder, pour la conversation Dit Baly

Kinder continue sa route vers le sud, en espérant retrouver sa famille rapidement, il marche, il coure, et soudain il tombe dans une crevasse, et tombe au sol sur une pierre, assommé, il reprend ses esprit quelques heures plus tard, à son réveil, une meute de loup l’observe. Aie ! ma tête, ma patte me fait très mal, qu’est-ce que je fais ici ? Dit Kinder Tu es tombé dans une crevasse, tu t’es assommé et tu as perdu connaissance Dit le loup Ma fille va soigner ta patte, et faire un bandage de ta tête Tu partiras quand tu seras guéri Comment t’appelles-tu mon garçon ? Répond le chef de la meute. Kinder monsieur, et vous ? Répond le brachiosaure. Je suis wakan le chef de cette meute, et voici ma fille lica, puis manitou, dragon, eros, darius, sheena et cheyenne, voilà tu connais tout le monde Kinder reposes- toi, et dans quelques jours tu pourras courir comme un lapin Dit wakan Je ne peux pas rester, je dois retrouver caly et sa mère Dit kinder Tu n’as pas le choix, tu es blessé et tu as une commotion à la tête, je ne peux pas te laisser repartir, c’est qui ses gens pour toi ? Répond wakan Je crois que ses ma mère et ma sœur Répond kinder Pourquoi tu dis je crois Réponds wakan Parce que je ne suis pas sûr, mais mon instinct me dit le contraire Répond kinder Ha la famille c'est sacré, tu la retrouveras c’est promis, mais dans quelques jours quand ton état le permettra Dit wakan D’accord, merci à tous de m’accueillir parmi vous, c’est très gentil Dit kinder Lica tu t’occupes bien de kinder, donne-lui à manger et à boire, et veille à ce qu’il se repose, soigne bien ses plaies, manitou, dragon faite le gué et surveiller bien l’horizon, eros, darius, sheena et cheyenne avec moi nous partons chasser, nous serons de retour dans une semaine Dit wakan Bonne route, bonne chasse Répond kinder Les jours passent, et kinder attend impatiemment le retour de wakan, kinder et maintenant guérit pour reprendre sa route, au loin on entend des hurlements, le clan reviens de la chasse la gueule bien chargé. Hé bonjour kinder, on dirait que tu vas mieux Demande sheena et sheyenne Oui je vais beaucoup mieux merci Dit kinder Eros et darius mettent le gibier en lieu sûr, pendant que wakan prépare le barbecue pour un grand festin, mais kinder était assez pressé de partir. Tu ne vas pas nous quitter le ventre vide, nous avons prévu de faire une fête ce soir Dit wakan Une fête pour moi, mais en quel honneur Demande kinder Une grande fête pour célébré ta guérison, et notre chasse Dit wakan Bon d’accord, je reste ce soir, mais demain matin, je devrais repartir Dit kinder C’est d’accord mon garçon, marché conclu Réponds wakan. La nuit commence à tomber, il fait sombre, Les étoiles brillent, et la fête s’annonce chaleureuse devant un grand feu de joie, on entend les bruits de la nuit, hurlement et ulule d’une chouette, effrayant et très joli à entendre, la fête bat son plein, et le clan décide d’aller se coucher. Au petit jour le clan s’éveille, et kinder est déjà prêt pour une nouvelle aventure, il fit ses adieux à wakan, lica, manitou, dragon, eros, darius, sheena et cheyenne. Attends kinder, j’ai un petit quelque chose pour toi Dit wakan C’est quoi Demande kinder Je te donne ce sifflet en guise d’amitié, si un jour tu as besoin de nous et de tous les animaux qui se trouvent dans cette forêt, sifflent très fort dedans, et nous accourrons tous à ton secours Dit wakan Merci beaucoup, je vais le mettre à mon cou pour ne pas le perdre, merci pour votre gentillesse, et votre hospitalité, à bientôt Dit kinder A bientôt et bonne route Réplique le clan Kinder reprend sa route, mais après quelques kilomètres, il entend des grognements devant lui, il a peur, il s’approche doucement sans faire de bruit, il observe en bas de la colline, mais ne vois rien, il se demande d’où viennent ses grondements, mais en cherchant un peu, il tombe nez à nez sur un gros tyrannosaure qui avait son pied pris dans un piège. Attends-je vais t’aider, ne bouge pas, je vais essayer de libérer ton pied, ce gros morceau de bois fera sûrement l’affaire, voilà tu es libre Dit kinder Merci à toi jeune étranger de m’avoir libéré, j’étais si pressé, que je ne me suis pas rendu compte, qu’il y avait ce piège devant moi, et puis le drame est arrivé, mon pied est resté coincé pendant trois jours, et tu es arrivé pour me libérer, merci pour ton aide Dit le tyrannosaure. Ce n’est rien du tout, on doit s’aider entre amis Réponds kinder Oh, je ne me suis pas présenté désolé, je suis rex, et toi qui est- tu ? Dit rex Je suis kinder le brachiosaure, enchanté de faire votre connaissance Dit kinder Viens- je vais te présenter ma petite famille, c’est par ici, suis-moi, notre grotte n’est pas loin, voilà nous sommes arrivés, je te présente ma femme rexi, et mon fils rex junior Dit rex Enchanté et heureux de faire votre connaissance Dit kinder De même monsieur kinder Dit rexi Tu veux bien jouer avec moi Dit rex junior Junior n’embête pas kinder, va plutôt jouer avec tes amis Dit son père rex Je ne vais pas rester très longtemps, j’ai beaucoup de chemin à faire avant d’arriver jusqu’à la plaine de verdure Dit kinder Oh, tu vas bien manger un morceau avec nous avant de repartir mon garçon, en plus tu m’as sauvé la vie, et j’ai beaucoup faim Dit rex Ok je mange avec vous, mais après je reprends ma route Réponds kinder. Tu as tout ton temps kinder, la plaine de verdure n’est plus qu’à trois kilomètres, tu es presque arrivé, alors tu peux rester, le temps qu’on fasse plus ample connaissance, tu veux bien Demande rex Bon d’accord, je reste un peu avec vous Dit kinder. Alors comme ça vous avez sauvé la vie de mon cher époux, je vous en remercie monsieur kinder Dit rexi. Ce n’est rien vous savez, j’aime bien aider les autres, ne me remercier pas, c’est tout à fait normal Réponds kinder Kinder tu as le super siffler, qui te la donner Demande rex C’est wakan la meute de loup que j’ai rencontré juste avant vous, je siffle si je suis en danger, et toute la forêt accoure pour m’aider Dit kinder C’est un beau sifflet, ne le perd pas, il est très précieux Dit rex Passons à table vous voulez bien, le repas est prêt, manger Dit rexi Attention ma femme a parlé Dit rex Ne te moque pas de moi rex, je n’apprécie guère Dit rexi Je rigole ma chérie, ne te met pas en colère Dit rex Bon kinder comment ta trouver le repas ! Dit rexi Très bon madame rexi, c’est le meilleur repas que j’ai mangé jusqu’à présent Dit kinder Merci beaucoup pour ce compliment, monsieur kinder Dit rexi Nous allons vous laisser repartir maintenant, vous avez une longue route à faire je suppose Dit rexi Heu, votre mari m’a dit que j’étais presque arrivé Dit kinder Oui c’est vrai, je crois aussi qu’il y a un petit raccourci, si vous voulez mon mari peu vous accompagnés jusqu’au chemin, puis vous finirez seul votre route Dit rexi Je vais te montrer le raccourcie kinder, viens Dit rex Au revoir madame rexi, au revoir rex junior Dit kinder J’arrive monsieur rex Répond kinder C’est là-bas kinder, encore quelques pas, nous y sommes, je te laisse ici kinder, bonne route, et n’oublie pas de siffler si tu es en danger Dit rex Je n’oublierais pas, merci pour tout, au revoir Répond kinder Kinder continue sa route en pensant à toutes les bonnes rencontres qu’il a croisé sur son chemin, il rêve un instant, et se dit : tout le monde est gentil dans cette forêt, mais le danger rôde, des chasseurs arrivent en masse pour capturer les animaux de la forêt avec des filets, des cages et bien d’autres choses, kinder était maintenant en danger, il sentait une forte odeur d’humain mais ne se méfie pas, les chasseurs qui était caché dans les buissons font irruption devant lui et le capture avec de grosse corde et de filet, kinder grogne et meugle, mais les chasseurs le mette à terre, ils le font entrer dans un énorme box et l’enferme, un hélicoptère arrive et soulève le box, kinder a juste le temps de prendre son sifflet, il souffle très fort, ses amis entendent, et accourt, mais trop tard, kinder avait disparu dans les airs, une chouette qui avait tout vu, et tout entendu , leur explique que des chasseurs avec un objet non identifié avaient capturé un brachiosaure et filer tout droit vers la ville la plus proche, pour le mettre dans une réserve. Tous les animaux de la forêt partent chercher caly et sa mère, pour leur annoncer que kinder c’était fait capturer par des chasseurs mal intentionnés, et qu’il fallait partir pour retrouver sa trace. Mais j’aimerais comprendre avant de partir, que fessait kinder ici ? Dit caly Heu excusé moi, pardon, je suis baly, il m’a parlé de vous, et votre mère, il était assez pressé et content de vous retrouver au plus vite, il voulait vivre avec vous en famille Et c’est grâce à nous qu’il est en vie, il nous est tombé dessus, parce qu’il n’avait pas vu cette crevasse, il voulait repartir, mais manque de pot, il c’était blessé en tombant, ma fille lica s’est occupé de lui pendant une semaine, elle a soigné ses blessures, lui a donné à manger, mais avant de repartir, je lui ai donné mon bien le plus précieux, mon joli sifflet, au cas où il serait en danger, et j’ai bien fait, sinon nous ne serions pas ici aujourd’hui Dit wakan Je ne vous reproche rien, vous avez bien fait, mais maintenant il faut aller à sa recherche, partons sur- le- champ Annonce caly Excusé -moi je suis rex, kinder ma sauver la vie, il m’a aidé et sorti mon pied du piège qui me retenez, alors je viens avec vous pour son sauvetage D’accord allons-y Dit caly Nous sentons des traces d’humain, et de kérosène par ici Dit le clan des loups Combien d’heure pour arriver à destination Demande caly Je pense une bonne heure, on peut y être avant la nuit, si on s’active un peu Répond wakan Très bien, plus le temps de se reposer, marchons Dit caly Après une bonne heure de marche, baly, rex, caly, wakan et son clan arrive enfin à destination sans trop de problème Nous allons camper ici, attendons la nuit, pour délivré kinder, nous passerons sans doute inaperçus, enfin je l’espère Dit wakan Quelle est cette forteresse immense Demande la mère de caly C’est une réserve, là- bas c’est le camp des humains, il va falloir se la jouer fine, si on veut le libérer de toute urgence Dit Wakan Comment allons-nous faire, tout est fermé, il ni à pas d’issus Dit la mère de caly On va trouver un plan, ne vous inquiétez pas Dit wakan Regarder il y a des singes là-bas Dit baly Allons les voir, ils savent peut-être quelque chose Réponds rex Bonjour, les singes, que faite vous ici Demande caly On nous a dit que vous avez besoin d’aide, pour porter secours à votre ami, nous sommes ici pour faire diversion Répondent les singes D’accord sa marche Répond wakan Dans une heure il fera nuit, tout le monde a son poste, pendant que les singes feront diversion, mon clan et moi irons chercher notre ami, nous sommes les plus rapide, les autres attendez- nous ici, si ça tourne mal, partez sans nous Dit wakan Nous ne partirons pas sans vous, jamais de la vie, si ça tourne mal on viendra vous aider Répondent les autres Comme vous voulez, faite de votre mieux pour libéré kinder Répond wakan Allons-y, le temps presse, pas une minute à perdre Ordonne wakan La mère de caly arrache un morceau de la clôture pour aider le clan à entrer en douceur sans se faire repérer, il avance, et cherche l’enclos de kinder, il cherche encore, mais ne trouve rien, soudain une petite voix les interpelle Hé par ici, vous chercher le nouvel arrivant Répond le tricératops Oui nous cherchons notre ami kinder, il est ici Oui il se trouve dans la nouvelle réserve, délivré moi, et je vous montre, où il se trouve, oh faite je suis corey Délivré- le ordonne wakan Merci les amis, il faut délivrer le reste des animaux maintenant Demande corey Ils décident donc de délivrer tous les animaux de la réserve Allons chercher kinder ! Ordonne wakan Par ici Réponds corey Les autres sortez, et allez rejoindre nos amis dans la forêt Réponds wakan On n'a trouver kinder Dit corey Bonjour kinder, tu vas bien, il tond pas fait de mal Réponds wakan Non ça va merci, il était temps que je sorte Dit kinder Ouvrez et sortez-le de là Demande wakan Maintenant que tout le monde est- là partons rejoindre les autres, il va faire jour dans quelques heures, dès que les humains s’apercevront de leurs absences, nous serons déjà loin Dit wakan Les voilà, ils ont retrouvé kinder Dit caly Bonjour kinder Dit la mère de caly Bonjour Réponds kinder Assez les présentations, nous devons partir, vous ferez vos présentations plus tard Dit wakan Ils reprirent tous le chemin, content d’avoir délivré leurs meilleurs amis, quelques heures plus tard, ils arrivent à destination sain et sauf, le jour s’est levé, et à l’autre bout on entend la sirène retentir, les humains on découvert la réserve vide.

Tous les animaux arrivent dans la plaine verdure, ils se réjouissent d’être arrivé à destination, des arbres et des fleurs à perte de vue, des lacs, et des cascades, un superbe soleil brille de mille feux, et les habitants de l’île viennent les saluer, et les embrasser. Voilà vous êtes arrivé, nous vous laissons ici Dit wakan Ah non, vous n’allez pas partir comme ça, nous allons organiser une fête pour le retour de kinder, et vous êtes nos invités Dit la mère de caly Kinder vient me voir, j’ai à te parler Demande la mère Oui j’arrive madame Dit kinder Fais-moi voir ton postérieur, je dois vérifier quelque chose Dit la mère Kinder montre son postérieur, elle voit une marque de naissance, et proclame : Kinder tu es bien mon fils, tu as la même marque de naissance que moi et caly sur ton postérieur, maintenant tu peux m’appeler maman où momy, caly ses biens ton frère, tu avais raison Dit la mère Merci maman, je le savais avant toi, je n’ai jamais douté Réponds caly Maintenant que la fête commence, venez manger et boire, et vous amuser, ensuite nous prendrons un bon bain Dit la mère La nuit tombe sur la plaine verdure, les invités sont restés pour la nuit, ils repartiront à l’aube, tous les animaux rentrent se coucher dans leurs habitations de fortune. Le lendemain wakan et son clan repartent chez eux, dans leurs tanières, baly repart chez lui dans sa grotte, rex et sa petite famille parte retrouver leurs grottes dans la forêt. Kinder, caly et leur mère vivent heureux dans la plaine verdure, avec tous leurs amis, et peut-être un jour, caly et kinder trouveront l’âme sœur. Kinder, caly et leur mère commence une nouvelle vie, un jour nouveau pour eux, ils s’habituent à leurs environnements, et prennent leur marque, leur mère vie maintenant avec le chef des brachiosaures, il s’appelle funky, caly vit avec un jeune brachiosaure qui s’appelle tanguy, et kinder vie maintenant avec une jeune brachiosaure qui s’appelle léna, tous vivre une sérénade très heureuse, et s’amuse beaucoup, ils resteront tous a la plaine verdure, pour y couler des jours heureux, mais aussi pour la nourriture qui est très abondante. Cinq années se sont écoulé, mais aujourd'hui le temps n'est pas au rendez- vous, une tempête tropicale s'annonce, le ciel s'assombrit et le vent commence à souffler très fort, les animaux se réfugient chez eux, mais les arbres fragilisés se déracinent, et tombent sur des habitations, une tornade prend tout sur sont passage en épargnant quelques habitants, la tempête s'éloigne, et les animaux sorte pour voir les dégâts. Kinder et caly se dirigent vers la maison de leur mère en courant, mais à l'heure arrivée funky essayer de soulever un gros tronc d'arbre qui était beaucoup trop lourd pour lui, kinder et caly lui donnent un coup de main, mais c'était déjà trop tard, leur mère était morte écrasé par cet arbre. Caly et kinder pleurent à chaudes larmes la mort de leur mère, consoler par funky, il décide tous de conduire la dépouille de momy au cimetière des brachiosaures, où chacun laisse un petit message d'amitié (La blessure vit au fond du coeur). De retour à la plaine verdure, tous les survivants commencent à déblayer, quand soudain des humains font leur apparitions, et leur dise : vous devez nous suivre tout de suite, un tsunami approche à grande vitesse, embarqué tous sans discuter si vous-voulez vivre Dit un humain. Tous les animaux survivant embarquent sans se poser de questions, le camion démarre et file tout droit, à toute vitesse, et très loin vers une autre demeure . Ils roulent maintenant depuis des jours, et arrivent enfin dans un zoo animalier qui possède une très grande réserve arborée, on y voit des cascades, et des aménagements qui ont été conçu spécialement pour l'arrivée des animaux, chacun descends, et commence la visite du parc. Mais au loin Kinder croit voir quelqu'un qu'il connaît, il s'approche tendrement, et par son excitation il crie : Bob, que fait tu là Demande Kinder Comme tu vois je suis le patron de cette réserve Dit Bob Tu n'es plus bûcheron Demande Kinder Non ! J'ai démissionné pour ouvrir la plus grande réserve du monde Dit Bob C'est génial, nous allons être tous très heureux dans cette immense réserve Dit Kinder Rejoint tes amis kinder, j'ai encore beaucoup de travail, nous viendrons te voir tout à l'heure Dit Bob Nous, commença nous Réplique kinder. Ben moi, Marie et Teddy Réponds Bob Ils sont là aussi Réponds Kinder Bien sûre qu'ils sont là, je n'aurais pas ouvert une réserve sans ma femme et mon fils Réponds Bob Bien sûre que je suis bête Réponds kinder Je vais rejoindre le groupe, nous allons nous installer, peut- être à tout à l'heure Bob Dit kinder OK nous te rejoindrons plus tard, c'est promis Dit Bob Kinder rejoint le groupe tous exciter, et va parler à Caly, il lui annonce la bonne nouvelle Caly je suis trop content, tu ne devineras jamais qui est le patron de cette grande réserve Dit kinder Qui est le patron de cette grande réserve ? Allez parle Kinder, dit moi tout Demande Caly C'est Bob, la famille qui m'a recueilli, tu te rappelles, je t'en avais parlé dans la grotte, on venait tous juste de faire connaissance Dit kinder Oui je me rappelle, c'est la famille qui croyait que momy t'avait abandonné Dit Caly Oui c'est ça, je suis trop content, ils vont venir nous voir tout à l'heure, dès qu'ils auront fini leur travail Annonce Kinder Tout à l'heure tu dis, pas besoin d'attendre, regarde ils arrivent déjà, c'est bien eux là-bas Demande Caly Oui ce sont eux, venez tous, je vais vous présenter ma famille adoptive Dit Kinder Je vous présente Bob, Marie et Teddy leurs fils Dit Kinder Nous sommes enchantés de faire votre connaissance Dirent les animaux

Bon maintenant que tout le monde se connaît, nous allons pouvoir continuer à vivre, et encore merci pour nous avoir sauvé de cette terrible tempête tropicale et du tsunami Dit Kinder Oh faîtes, où et votre mère, je ne la vois pas Demande Bob Elle est morte dans la tempête, un arbre lui est tombé dessus, on n'a rien pu faire Réponds kinder Oh ! Pardon je ne savais pas, toutes nos condoléances à vous deux, désolé nous sommes parfois indiscrets Répondent Bob et Marie Ce n'est pas grave, vous ne pouviez pas savoir, oublions se mal entendu, et continuons à vivre pour notre mère momy Demande Kinder Très bien, faîtes comme chez vous, et soyer heureux, nous repartons à notre domicile, si vous aviez besoin de quelque chose, vous saviez où nous trouver Dit Bob Merci Bob Dit Kinder La vie reprend son cours lentement, le soleil est de retour, les cascades chantent, les arbres sont verdoyants, et la nature fleurie, le printemps est arrivé, la chaleur est insoutenable, Kinder, Caly et les autres vont se baigner pour se rafraîchir, ils s'amusent tous comme des petits fous, quand soudain Bob leurs annonces une très grande nouvelle. Bob ! qu'est-ce qu'il y a ? demande Kinder Je viens vous annoncer, que nous avons trouvé des survivants dans les alentours de la plaine verdure, et ils m'ont dit qu'il vous connaissait très bien Dit Bob Y a- t- il un ours répondant au nom de Baly ? Demande Kinder Oui Réponds Bob Il réfléchit, as-tu trouvé des loups répondant au nom de Wakan, Lica, Manitou, Dragon, Eros, Darius, Sheena et Cheyenne Demande Kinder Oui ! Ils sont là Réponds Bob Mais ce n'est pas encore fini, j'ai aussi retrouvé quelqu'un d'autre devine qui c'est Réponds Bob. Je crois savoir, tu as retrouvé Rex, Rexi et Rex junior Dit kinder Comment tu as deviné Demande Bob C'était facile, ils sont tous derrière toi Réponds Kinder Ce n'est pas du jeu, tu as triché Réponds Bob Non, Mais je suis très heureux de les revoir, allons fêter ça Demande Kinder Allez je vous laisse à votre fête, bonsoir Dit Bob Bonsoir Bob, et bonne nuit Dit Kinder Bonjour les amis, vous m'avez manqué, j'avais tellement peur que la tempête vous emmène loin de nous, mais vous vous en êtes bien sortie, merci mon Dieu Dit Kinder Nous t'aimons tous Kinder, on veut tout simplement être avec vous tous, c'est bien plus marrant ensemble Réponde Wakan et Lica Maintenant que tous nos amis sont parmi nous, trouvons un nom à cet endroit magnifique, comment- allons nous baptiser notre nid d'amours Demande Kinder Tous les animaux se creuse la tête, pour trouver un nom à cette grande réserve, mais personne n'a d'idée, sauf un J'ai trouvé Dit Kinder Rendons hommage à notre mère Dit Kinder Nous allons baptiser cet endroit Momy for ever Dit Kinder Oui c'est génial, j'en demandais pas autant, mais c'est super Réplique Caly La nuit commence à tomber, la journée est terminée, tous les animaux rentrent pour dormir, et faire de beau rêve en regardant les étoiles qui brillent dans le ciel, c'est la pleine lune qui éclaire toute la réserve, les années passent trop vite, un beau jour s'annonce pour Kinder, sa femme Léna vient de mettre au monde un merveilleux petit être, Kinder et Léna le baptiseront Kinder junior, l’œuf surprise tant attendu, Caly annonce à Tanguy et à toute la troupe d'animaux, qu'elle attend un heureux événement sous le soleil pour l'été prochain. voilà mon histoire est terminé, j'espère qu'elle vous a plu. Fin Catherine Régent

POESIE

L' HISTOIRE D'UN JOUR

Un jour, une histoire
Une histoire, un livre
Un livre, des pages
Des pages, des écrits
Des écrits, effacés
Effacés, la mémoire
La mémoire, réfléchit
Réfléchit, sans attendre
Sans attendre, en retour
L' histoire d'un jour

Un jour, un bulbe
Un bulbe, une fleur
Une fleur, un parfum
Un parfum, une odeur
Une odeur, somptueuse
Somptueuse, femme
Femme, aimer
Aimer, la vie
La vie, s' envole
S' envole, sans attendre
Sans attendre, en retour
L' histoire d'un jour.

Un jour, une planète
Une planète, tourne
Tourne, autour du soleil
Autour du soleil, une boule
Une boule, de feu
De feu, la lumière
La lumière, du jour
Du jour, la nuit
La nuit, la lune
La lune, brille
Brille, dans le ciel
Dans le ciel, les nuages
Les nuages, la pluie
La pluie, inonde
Inonde, la terre
La terre, est cultiver
Cultiver, par les agriculteurs
Les agriculteurs, travaillent
Travaille, sans attendre
Sans attendre, en retour
L' histoire d'un jour.

Catherine Régent Fin

Je sais que quelques années auparavant ma mère avait fréquenté un Portugais qui s'appelait Jean, mais un jour Jean a dû partir au Portugal pour aller voir son père qui était très malade, du coup ils se sont perdus de vue, les mois passent et ma mère s’aperçoit qu'elle est enceinte, quand Jean revient de son voyage, il et déjà trop tard, ma grand-mère va lui parler, et lui dit que Claudine donc ma mère, ne veux plus le voir, et je suppose que le pauvre Jean est parti sans demander d'explication.
Mais comme à l'époque les filles mère c'était mal vu, je pense que les parents de ma mère l'ont forcé à se marier avec Guy, je sais aussi que c'est Jocelyne la meilleure amie de ma mère qui lui a fait connaître Guy, et je sais aussi qu'un jour ma grand-mère a dit à Jocelyne qu'il fallait les marier rapidement avant que les gens s'aperçoivent que ma mère était enceinte, donc, je pense de source sure que c'était un mariage arrangé par cette Jocelyne et ma grand-mère, et que ma mère n'a pas trop eu le choix et à cette époque on ne disait pas non aux parents comme cela. !!!!
Ensuite mes parents se sont mariés le 03/05/1969 à la mairie de Treuzy Leveley trois mois avant ma naissance, je n'ai aucune photo de naissance, les seules photos que j'ai dans mon album sont celles où je suis avec ma tante et mon oncle ou dans les bras de ma mère approximativement je dois avoir 4 à 6 mois, pourquoi ma mère n'a jamais pris de photo de moi à l'hôpital? C'est un peu dommage, enfin ce n'est pas grave passons à mon histoire, mais ce qui se passait à l'époque, j'en ai de vagues souvenirs.
Je suis arrivé sur la terre le 22/08/1969 à 19h55 à l'hôpital de Nemours au 39, rue du Docteur Chopy.
Je pesais 3kg300 Ma taille de naissance néant, parce que ce n'était pas inscrit sur mon carnet de santé.
J'ai les cheveux châtain et les yeux marron.
Comme tous les bébés, je crie et je pleure.
La sage-femme coupe le cordon ombilical, me débarrasse des impuretés qui se trouvent dans mon nez et ma bouche, me pèse et me mesure, finissant par un petit brin de toilette, elle me pose délicatement sur le ventre de ma mère quelques instants.
La sage-femme revient, me prend dans ses bras et commence à m'habiller avec mes jolis petits vêtements, puis elle me pose sur le poignet un joli bracelet rose avec inscrit dessus mon prénom Catherine, avant de me reposer dans les bras de ma mère.
Quelques heures après, la sage-femme me dépose dans un petit berceau de maternité emmaillotée dans une petite couverture, elle nous accompagne dans notre chambre ou ma mère peu enfin se reposer.
La sage-femme revient nous voir et apporte avec elle un biberon de lait chaud, enfin je vais pouvoir prendre mon souper, je suppose que ma mère m'a nourri avec délicatesse et amour avant de me mettre contre elle pour me faire mon rototo.
Après mon repas, ma mère me change ma couche mouillée et me nettoie avec du lait de toilette et badigeonne mon petit postérieur de talc,elle me met une petite couche propre pour passer une bonne nuit et m'habille avec un joli pyjama, ma mère me prend devant elle, me regarde, me sourit, et me fait milles bisous, avant de me reposer dans mon berceau,elle remonte le drap et la couverture sur moi pour éviter que je ne prenne froid pendant la nuit, ma mère tranquille se couche enfin dans son lit tout en gardant un œil sur moi, elle s'endort paisiblement jusqu'au petit matin.
Le lendemain matin vers 8 heures une ASH frappe à la porte et entre dans la chambre, et dépose sur la table le plateau du petit déjeuner de ma mère, je suppose que je laisse ma mère prendre son petit déjeuner avant de me mettre à brailler pour réclamer mon biberon de lait chaud.
Ma mère se lève de son lit, et se dirige vers la salle de bains pour y prendre une bonne douche, quand soudain je me mets à brailler et a gigoté dans tous les sens, ma mère termine rapidement sa toilette, et accourt vers moi, elle me prend dans ses bras en me berçant un peu en attendant l'arrivée de la puéricultrice, quelques minutes plus tard, la puéricultrice apporte enfin mon biberon de lait, enfin je vais pouvoir prendre mon petit déjeuner, ma mère s'assoit sur le lit et me donne mon biberon de lait qui me calme tout de suite, puis elle me met contre elle pour me faire mon rototo, je régurgite un peu, ce qui est tout à fait normal chez le nourrisson, on appelle cela le trop plein.
Pour la première fois, ma mère va me faire prendre mon premier bain avec l'aide de la puéricultrice,elle me pose sur la table à langer et commence à me déshabiller, elle m'attrape et m'allonge soigneusement dans mon bain, elle me savonne, et me met du shampoing doux qui ne pique pas les yeux, je braille un peu, puis je me calme et je savoure l'instant présent, l'eau me rappelle le liquide amniotique dont je me baignais dans le ventre de ma mère.
Ma maman me sort de l'eau, et me sèche avec une serviette douce, et m'habille d'une jolie petite robe rose avec des petits chaussons assortis, avant de me reposer dans mon berceau pour une petite sieste.
Dans l'après-midi je suppose que ma mère a reçu de nombreuses visites de son mari, ainsi que de ses parents et de ses frères et sœurs lui apportant des cadeaux de naissance ainsi que des fleurs, ils veulent tous me voir, alors ils se penchent tous sur mon berceau en me regardant et en me touchant, ils me réveillent et je passe de bras en bras, et tous essaie de me chanter une petite berceuse pour me calmer, mais moi je ne veux rien savoir, je pleure et je crie, ma grand-mère agacée par mes pleurs, me berce en poussant la chansonnette, je me rendors au creux de ses bras, elle me repose doucement dans mon berceau, en me regardant une dernière fois, la petite famille s'éloigne laissant le temps à ma mère de se reposer.
L'heure du souper approche, les puéricultrices de nuit apportent à ma mère le dernier biberon de lait, mais moi, fatiguée de ma journée, je dors paisiblement sans me réveiller, quand soudain une petite faim me prend au ventre, je commence à m'agiter, je pleure et je crie si fort que je réveille ma maman au milieu de la nuit, cette nuit-là ma mère à passer une nuit blanche.
Le lendemain matin, après une nuit bien agitée, ma mère se réveille bien fatiguée, le séjour prend fin, et ma mère attend la visite du pédiatre pour signer les papiers de sortie, plus tard dans la journée, mes grand-parents font leur apparition, enfin c'est l'heure de rentrer à la maison.
J'ai grandi dans la maison familiale route de Montreau à Treuzy Leveley, les deux premières années que mes parents étaient ensembles, on a habité à cette adresse dans deux pièces séparées chez mes grands-parents.
Puis après nous avons déménagé dans une petite maison à Darvault, notre foyer n'était pas loin de l'usine ou ma mère travaillait, à l'époque l'usine s'appelait Antoine, tous les matins ma mère me déposait chez ma tante Denise qui habite aussi Darvault, et qui me gardait jusqu'au soir, ensuite à la fin de son travail ma mère se dépêchait de venir me rechercher et nous reprenons le chemin de la maison bien fatiguées de notre journée.
Ma mère n'a pas toujours été heureuse avec Guy son mari, il buvait beaucoup, et il fréquente un café à Darvault qui s'appelait à l'époque chez Mme Darde, et on m'a même dit un jour que Guy avait mis ma mère nue dehors, et pour ne pas être vue ma mère, s'est réfugiée dans la niche du chien.
La vie de mon enfance a été très triste, ma maman et moi avons subi des méchancetés de mon père Guy qui n'en finissais pas, ma mère m'a dit un jour qu'il nous menaçait avec des armes blanches, couteaux et armes à feu qu'il avait ramené de la guerre d’Algérie.
Souvent il nous frappait en nous faisant très mal, il buvait tellement qu'il en était devenu alcoolique, sans se rendre compte qu'il nous faisait du mal tous les jours, j'ai aussi fait des fugues quand j'étais petite, je devais avoir 3 ou 4 Ans, je m'en allais sur la route en restant bien sur le côté avec mon landau et ma poupée, mon père me retrouvait et me demandait: où tu vas comme ça, je lui réponds: je vais chez mémère, où sinon je me réfugiais dans la niche du chien quand mon père se fâchait trop, mais à chaque fois le chien me défendait en mordant mon père jusqu'au sang.
Quand il rentrait à la maison bourré et complètement défoncé, il traitait ma mère de tous les noms, et, moi il me traitait de sale portugaise, enfin c'est ma mère qui me l'a raconté, à l'époque, je ne comprenais pas pourquoi il réagissait comme cela.
Puis un jour, ma mère tombe enceinte, et mon frère Rudy voit le jour le 22/04/1972 à Saint Pierre Les Nemours, nous habitons toujours la maison de Darvault, ma mère savait que ça allait mal entre eux, alors pourquoi s'est elle retrouvé enceinte, je ne comprends pas, elle sait peut-être dit que cela ira mieux avec un deuxième enfant, et elle espérait peut-être que Guy arrêterait de boire, ou tout simplement, elle n'avait pas de moyen de contraception, enfin je suppose, souvent notre père nous emmenait avec lui dans les cafés, puis il nous ramenait à la maison complètement ivre, je ne sais pas comment il sait débrouillé pour ne pas avoir d'accident, sûrement que la chance ou le bon dieux était avec nous, bref, on m'a dit que Guy avait été jeté en prison parce qu'il ne payait pas la pension alimentaire de ses premiers enfants à son ex-femme.
Pendant ce temps ma mère, mon frère et moi quittons la maison de Darvault pour retourner vivre chez les parents de ma mère qui nous accueillent à bras ouverts, ma mère décide avec l'aide de ses parents de demander le divorce, enfin le calvaire se termine, quelques mois ou années plus tard le divorce est prononcé en faveur de ma mère, à cette époque j'avais 6 ans et mon frère à 3 ans, après sa nous n'avons plus revu Guy.
Je sais aussi que parfois ma tante Nadine m'emmenait à l'école, et comme moi je pleurais pour ne pas y aller, du coup ma tante me ramenait à la maison, alors la directrice de l'école avertie ma grand-mère, et après ça ma tante n'avait plus le droit de m’accompagner à l'école, du coup, je ne sais pas qui m'emmenais à l'école, mais je crois aussi que l'enfance m'a beaucoup perturbé.
Je remercie mes grands-parents pour le bien qu'ils ont fait à ma mère, et je remercie ma grand-mère qui était toujours là pour nous, je la remercie de tout mon cœur.
Nous avons grandi au sein de la famille, et nous avons continué notre chemin, ma mère devait à présent s'occuper de nous à plein temps.
Je sais qu'à l'époque ont déménageaient souvent d'endroit, et nous avons souvent changé d'école en cours d'année, mais cela ne nous a pas empêché d'apprendre à l'école, au contraire nous avons beaucoup appris, pourtant on n'était pas des lumières à l'école ou au collège, je n'ai pas obtenu de diplôme, mais nous avons fait notre maximum pour nous débrouiller dans la vie active.
Pendant les grandes vacances scolaires et pour nous sortir du désarroi les grands-parents nous ont emmenaient en vacances à Toulon, c'est la que ma mère va connaître Hermann Julot, (dit Patrick), un marin Réunionnais qui faisait son service militaire à Toulon, mais avant qu'ils se mettent ensembles, il fallait que Patrick termine son service, et pour ne pas être renvoyé sur l’île de la Réunion, il fallait lui fournir un document d’hébergement que ma grand-mère à bien voulu signer.
Après je ne sais pas s'ils se sont mariés, ou s'ils vivaient ensembles en concubinage, je sais seulement qu'elle a eu 2 enfants avec lui, Fabrice voit le jour le 12/07/1978 , et Jonathan voit le jour le 30/11/1981.
je crois qu'à un moment nous avons habité le beauregard, c'est là que j'ai commençais à m'intéresser aux majorettes,j'ai pratiqué la gymnastique pour les échauffements et puis nous avons déménagé sur Nemours.
A l'époque on habite dans un HLM en Seine-et-Marne, Patrick, mon beau-père allait travailler tous les matins en mobylette, jusqu'à la tuilerie de Treuzy Leveley, c'est ma mère qui lui préparait sa gamelle le soir pour le lendemain, parce qu'il ne pouvait pas rentrer le midi, ça lui faisait beaucoup trop loin, et quand il rentrait le soir, il était trop fatigué pour jouer avec nous, ou avec ses enfants, par contre tous les week-ends, il se rendait dans un café à la ZUP pour jouer au tiercé, et il dépensait des fortunes aux jeux, et par la même occasion, il consommait de l'alcool, je le sais parce que quelquefois ma mère m'envoyait le chercher, il était tout le temps fourré dans ces journaux, enfin bref.
Je me souviens qu'un jour, ma mère s'est mise en colère contre lui, parce qu'elle avait trouvé sur sa gamelle des traces de rouge à lèvre, elle lui a demandé les raisons de ses traces, et Patrick lui a ri au nez, je m'en souviendrais toute ma vie, comme si c'était hier.
Vers l’âge de 16 ans, j'ai commencé à faire des crises d'épilepsies, et j'ai dû prendre des médicaments jusqu'à mes 18 ans, et je me suis suivant retrouvé à l’hôpital, et j'ai eu de nombreux examens, le pire, c'est que je ne sentais pas les crises arrivées, je m'évanouissais et je tombé, j'avais souvent de grosses bosses à la tête, et le médecin se déplacer pour me faire une piqûre à chaque crise.
Nous sommes restés à Nemours, jusqu'à la fin de nos études, puis nous avons déménagé à Souppes/ Loing, là-bas on était bien, c'était une grande maison avec un jardin, mes frères Fabrice et Jonathan allaient à l'école à Souppes sur Loing, mon frère Rudy et moi on commençait à entrer dans la vie active.
A cette époque, je me souviens, que ma mère m'avait envoyé en colonie de vacances à la montagne, c'est là que j'ai connu Mickaël, un petit con qui flirtait avec moi et qui changeait de fille comme de chemise, puis j'ai connu Gaston, un gentil camarade mais un peu trop pot de colle, je ne lui en veux pas MDR, par contre les autres ados le rejetaient et se moquaient de lui, alors moi j’allais lui parlais de temps à autre pour le réconforté un peu,les gens peuvent être parfois très méchant et cruelle.
Puis les vacances se sont terminées, et nous sommes tous rentrés chez nous, par la suite j'ai appris que Gaston habitait la région de Souppes sur Loing, à ce moment-là, je me suis dit, comme le monde est petit.
Puis le week-end, je sortais avec mon frère et ses copains dans les cafés, où l'on avait l'habitude d'aller, non pas pour boire, mais pour aller jouer au baby-foot, ou pour écouter de la musique sur un juke-box, genre disco, à l'époque on ne s'ennuyait pas, et on s'amusait bien, enfin, c'était la belle vie, j'ai connu 5 copains dans ma vie, mon premier amour ne sait pas passé comme je l'espérais j'ai trouvé cette relation nulle, et pas du tout excitante et inutile, je l'ai largué par la suite, le deuxième, s'appelait Laurent, je l'ai connu au restaurant où je travaillais, mais cette fois, c'est lui qui m'a largué, il avait peur de mes crises d'épilepsie, le troisième, s'appelait Marcel, il m'a largué parce que j'avais pas fermé les volets, c'est la seule explication qu'il ma donnée, puis quelques semaines plus tard, je l'aperçois avec une autre femme et quatre gosses quel con celui là, le quatrième, s'appelait Christian, je l'aimais bien, mais je ne le voyais pas souvent, alors je me suis lassé de lui, puis je l'ai quitté en lui envoyant une petite lettre de rupture, et ensuite j'ai rencontré mon copain Jean-Pierre, et on ne s'est plus quitté.
Les années passent, et je décide de quitter le cocon familial, pas de mon plein gré, mais à cause de Patrick, mon beau-père, qui un jour me dit, si tu n'aies pas contente, tu dégages, je l'ai pris au mot, et je suis sortie prendre l'air pour ne pas me crêper le chignon avec lui, quand je suis rentrée chez ma mère, j'aperçois toutes mes affaires dehors, furax, je fais demi-tour et je vais voir Jean-Pierre qui logeait chez un copain à Souppes sur Loing, je leur explique que je suis à la rue et que mon beau-père a mis toutes mes affaires dehors, et que j'avais besoin d'aide pour mes cartons et ma vaisselle, c'est depuis ce jour là, que j'ai vécu chez Émile avec Jean-pierre, nous nous sommes beaucoup amuser durant notre jeunesse et on ses beaucoup aimer.
Puis un jour, nous décidons de quitter Émile, pour nous rendre sur Paris, nous cherchons un hôtel pas trop cher pour nous loger, parce qu'à l'époque on n'avait pas beaucoup d'argent, et finalement nous trouvons un hôtel juste en face de la gare de Lyon, je laisserais ma bague en or en gage jusqu'à que nous puissions régler la chambre, à l'époque, on commencé à fumer, alors par manque d'argent, nous allons à la gare de Lyon, pour demander des cigarettes aux passants, et ont rentrés à l'hôtel quand notre paquet était plein.
Nous allons dans les petits commerces de proximité, pour demander des sandwichs, et de la nourriture et vous n'allez peut-être pas me croire, mais les seuls commerces qui nous aidaient à l'époque, c'étaient les commerces arabes que je remercie infiniment.
Par la suite, et pour nous sortir de la merde, Jean-Pierre décide d'aller s'inscrire dans les boites d'intérim, Jean-Pierre va trouver de nombreux petits boulots, comme électricien au ministère des finances, nous sommes restés sur Paris, le temps de nous remettre à flot, quelques semaines plus tard, je m'aperçois que je suis enceinte de ma première fille, tous les mois, je vais prendre le métro en fraude, pour me rendre chez les médecins du tiers-monde, pour faire mes examens de grossesse jusqu'à mes trois mois.
A l'époque, je commençais tout juste à faire des recherches pour retrouver Guy, en me renseignant à la mairie du 15ème où il était né, j'ai pu avoir son adresse, je lui ai écrit, pour lui demander si je pouvais passer le voir, il a accepté, puis un soir, nous sommes partis de l'hôtel en pleine nuit, on a jeté les clés de la chambre dans la Seine, puis nous avons pris le train, direction Pau.
Après huit heures de train, nous arrivons enfin à Pau, nous sortons de la gare, nous nous dirigeons à pieds vers Billère, puis arrivés au pieds du HLM, nous montons jusqu'au troisième, et nous frappons à la porte, une femme nous ouvre, c'était sa femme, je lui demande si Mr Hervault Guy est là, et je lui annonce que je suis sa fille, elle nous laissent entrer, et pour la première fois, je vois ce Monsieur droit devant moi, il avait bien vieilli, et j'espérais qu'il avait arrêté de boire, il c'était remarier, et il avait deux enfants, Aurore 7ans et Bruno 1ans.
Ma mère m'avait prévenu, mais je voulais voir par moi-même, nous avons été bien reçus, et nous avons longuement discuté, mais dans la soirée, Guy nous demande d'aller faire quelques courses, et de lui avancer des sous pour ses cigarettes, normalement on n'aurait pas dû accepter, mais comme il n'y avait rien à manger, nous avons accepté de le dépanner, normalement on devait rester juste pour les vacances, puis on devait repartir en Seine et Marne, mais comme Guy nous prenaient pour des vaches à lait, et que nos économies diminuaient à vue d’œil, le lendemain Jean-Pierre s'est inscrit dans une boîte d'intérim pour avoir du boulot, une semaine plus tard, Jean-Pierre avait du travail, super les vacances, moi je devais rester toute la journée avec eux, ce qui ne m'enchantais pas.
Puis dans l'après-midi, je voulais sortir dehors pour prendre l'air, et Marie-Thérèse la femme de mon père me séquestrer dans la maison en fermant la porte d'entrée à clé.
J'ai vu rouge et la colère est montée, je les insultais, et j'ai soulevais la table de la salle à manger pour lui faire comprendre qu'elle n'avait pas la loi, j'étais enceinte de 3 mois, et à l'époque, il ne fallait pas me faire chier, c'était hallucinant comme ma force avait triplé, je me calme, et je crois que ce jour-là, j'ai eu très peur, parce que Guy est arrivé en colère, il a emmenait sa femme vers la fenêtre pour la balancer du balcon, moi, je n'arrivais pas à le résonner, c'est alors que Jean-pierre est arrivé du travail, et de justesse, il a attrapait Marie-Thérèse par ses vêtements et la remontait, après ce malentendu, la femme de mon père n'a plus jamais essayé de me séquestrer, et si j'avais voulu, j'aurais pu porté plainte contre elle.
Les mois passent, et les grandes vacances arrivent enfin, Guy décide de nous emmenait sur le camping de Contis plage pour nous distraire et prendre du bon temps, sauf, que les vacances vont être de courte durée, Aurore qui était en train de jouer pas très loin envoie d'un seul coup de pied le ballon dans la fenêtre de la caravane et casse le carreau, ce jour-là Guy était furax et nous sommes rentrés sans délai à la maison pour faire changer le carreau cassé par un spécialiste.
Plus tard, Guy nous fait connaître ses amis qui habiter Uza dans les Landes, Thierry et Nathalie, ils avaient une grande maison avec un grand terrain, mais au moment de partir, Guy nous annonce qu'on ne pouvait pas rentrer avec eux, en faites ils avaient prévu de nous abandonner chez leurs amis sans vêtement, moi, j'entamais mon 4ème mois de grossesse, et c'est Nathalie qui me prêter ses robes de grossesse, et Thierry prêter s'est vêtement à Jean-pierre, les semaines suivantes, Guy revient seul pour nous apporter nos vêtements qu'on avait laissé chez lui, à l'époque, il nous avait dit que c'était Marie-Thérèse qui ne voulait plus de nous chez eux.
Nous sommes resté chez Thierry et Nathalie encore un mois, le temps de faire tout les papiers nécessaires, et nous avons connu David, c'est lui qui ma apprit à conduire une voiture, sauf que ce jour-là, j'ai eu très peur, je ne trouvais pas le frein, et j'ai failli rentrer dans la salle à manger de nos amis, David me dit de freiner, et d'appuyer sur la pédale du milieu, ouf, je m'arrête net, sinon j’aplatissais la voiture, et puis plus tard, nous avons trouvé un camping à la ferme du côté de Castets dans les Landes juste à côté de la Mer.
Au début, nous avons loué au mois une caravane avec eau et électricité compris, à cette époque, j'entamais mon 5ème mois de grossesse, puis comme moi, je m'ennuyer un peu de ma mère, nous avons acheté une voiture et nous sommes descendus dans le Loiret pour aller la voir à Dordives pour quelques jours.
Mais au moment de partir, mon frère Rudy, nous demande de l'emmener, nous acceptons et nous repartons au camping de Castets dans les Landes.
Le mois suivant, j'entamais mon 6ème mois de grossesse, nous laissons Rudy seul au camping et nous repartons à Dordives pour aller chercher ma mère et mes deux petits frères pendant que Patrick travaillé parce qu'elle ne s’entendait plus avec lui.
De retour au camping, ma mère loue une caravane avec un auvent et s'installe, pendant ce temps, nous rejoignons Rudy à la caravane qui était bien malade, parce qu'il avait manger tous les chocolats de la bonbonnière, puis quelques semaines après Rudy devenaient un peu trop prétentieux, il se lever à midi pour déjeuner pendant que nous, on passaient à table, de plus, il ne foutait rien de la journée et il commençais à agacer Jean-Pierre, c'est alors que ma mère tentera de parler à Rudy, et elle lui achètera un billet de retour, pour qu'il retourne s'installer chez les grands-parents.
Ensuite, nous avons abandonné la caravane pour nous installer dans un mobil-home, parce que moi, j'entamais mon 7ème mois de grossesse, et j'avais besoin de confort, parfois le fermier venait nous voir avec un panier remplie de nourriture, il était très gentil, et part gentillesse, nous l'aidions à ramasser les choux fleurs de son champ, et tous les matins, on avait du lait de vache bien chaud.
Souvent, Jean-Pierre donné un coup de main au fermier pour l’ensilage des vaches avec le tracteur, et moi, j'allais dans la forêt ramasser les cèpes avec le père du fermier et à chaque fois, on ramenait un panier plein.
Puis au bout de 2 jours, ma mère vient nous voir un soir, et me demande si je pouvais garder Fabrice et Jonathan, je lui demande pourquoi, elle me répond quelle a un rencard avec le fermier, puis un peu plus tard, elle revient chercher mes frères, toute contente et joyeuse elle me remercie pour le baby-sitting et comme il se faisait tard, ils sont rentrés à leur caravane, je ne veux pas blâmer ma mère mais je trouve qu'elle va un peu vite en amour.
Puis un jour, nous voyons débarquer un camion van aménager, et nous voyons descendre notre amis David, qui venait lui aussi s'installer au camping, nous avons partager des repas ensemble, et nous avons passer des moments inoubliable.
Au bout de mon 8ème mois de grossesse, nous décidons de quitter le camping, pour aller nous installer dans un appartement à Tartas avec ma mère et mes petits frères, Jean-Pierre, c'était débrouiller pour avoir un travail, et moi, j'entamais mon 9 ème mois de grossesse.
Vers 2 heures du matin, j'ai ressenti des douleurs dans mon ventre, mais peu important, elle durer un peu près 15 secondes, puis les contractions se sont intensifier au fur et à mesure, et duré 40 secondes, mon ventre se tendait et se durcissait, je réessaye de dormir, mais je n'y arrivais pas, inquiète, je m'allonge sur le dos les jambes repliées et j’attends que sa passe.
Puis j'ai ressenti un pincement désagréable, voire très douloureux, et les contractions survenaient toutes les 5 minutes, c'est alors que j'ai réveillé Jean-Pierre pour qu'il m'emmène à l'hôpital de Dax, arriver là-bas, je suis prise en charge par un brancardier qui me montre ma chambre, puis je suis examinée par une sage-femme pour voir si mon col de l'utérus était assez ouvert, mon col était ouvert de 5 minis mètres de diamètre, donc, j'ai dû attendre en souffrant et sans broncher pendant des heures, la sage-femme annonce à Jean-Pierre, que je ne suis pas prête à accouché, il décide alors de repartir à la maison, puis vers 12 heures 30, l’hôpital appelle Jean-Pierre et lui annonce que je n'allais pas tarder à accouché, Jean-Pierre revient accompagné de ma mère et mes petits frères, puis ils m'ont fait la péridurale, et le moment temps attendu est arrivé, Jean-Pierre assiste à l'accouchement, et notre fille Cécile née, quand elle est arrivée au monde, notre fille avait le cordon ombilical autour du cou, donc, ils l'on emmenait dans une autre pièce pour la réanimer, puis nous l'avons entendu crier, et nous avons été rassurés.
Quand Jean-Pierre sort de la salle d'accouchement, il annonce à ma mère que j'ai accouchée d'une petite fille, il paraît que ma mère a sauté de joie, et a frapper dans ses mains, puis ils sont venus me voir dans la chambre, et nous avons longuement discuté, puis ma mère a pris ma fille dans ses bras pour la contempler de plus près, elle était contente, et elle avait les yeux qui pétiller.
Cinq jours après, je suis sortis de l'hôpital avec mon bébé, et nous sommes rentrés à la maison, on nageait dans le bonheur, et on faisait énormément de sortie à la plage avec ma mère et mes petits frères, je me rappelle, que notre fille Cécile avait du mal à digérer ses biberons de lait, elle vomissait à chaque repas, alors nous l'avons fait examiner par un spécialiste, nous lui avons fait passer une radio gastrique, les résultats de la radio, on révéler qu'elle avait un reflux gastrique, c'est la soupape de l'estomac qui ne se fermer pas, le spécialiste nous prescrit un médicament et nous dit que ça disparaîtra en grandissant.
Ensuite, ma mère a voulu son indépendance, et nous lui avons trouvé un appartement au 1er étage avec un petit jardin sur Pontonx, nous lui avons fait avoir des meubles par une assistante sociale, de la nourriture par des associations, mais aussi de l'argent qu'elle a reçu en main propre.
Puis un jour, j'appelle ma tante Nadine pour prendre des nouvelles, et de fil en aiguille, elle m'annonce que ma mère et rentrée sur Nemours, sur le coup, je ne l'ai pas cru, et elle me dit, si tu ne me crois pas, va voir par toi-même, nous montons jusqu'à Pontonx, et en effet, ma mère n'habitez plus son appartement, en fait, j'ai su plus tard que les parents de ma mère était venue la chercher sans rien me dire, ce jour là, j'ai pleurée toutes les larmes de mon corps.
Ensuite, nous avons déménagé de Tartas, parce que Jean-Pierre n'avait plus de travail et il nous était très difficile de payer nos factures, alors j'ai appelais Guy pour qu'il vienne nous chercher le plus rapidement possible, par la suite, nous avons habité chez Guy à Lévignacq, puis, pour ne pas rester sans rien faire, nous nous sommes inscrit tous les deux pour le castrage du maïs, et c'est la femme de Guy qui gardé notre fille Cécile pendant que nous, on travaillait dans les champs.
Ensuite, nous sommes allés chez des amis Christian et Agnès qui habité une maison juste derrière celle de Guy à Lévignacq, ils nous ont accueillis chez eux avec notre fille Cécile, parce que Guy ne pouvait plus nous garder chez lui, enfin, nous ça nous arranger parce que la vie avec Guy nous était insupportable surtout quand il buvait.
Puis, plus tard, pour ne pas embêter Christian et Agnès, nous avons repris une petite location de vacance, et c'est dans cette maison que j'ai eu une allergie aux acariens, j'avais les jambes pleines de boutons, puis de temps en temps, nous passons voir Agnès et Christian, sauf que ce jour-là, il y avait Guy et sa femme qui parlait à haute voix, et nous avons entendu Marie-Thérèse dire, je ne veux pas voir ses vêtements sur cette petite pute, en parlant de notre fille Cécile qui n'était qu'un bébé de trois mois, ce jour-là, on a vu rouge et nous nous sommes fâchés, ensuite nous sommes partis en Seine-et-Marne, parce que Guy venait foutre le bordel chez nous.
De retour en Seine-et-Marne, nous sommes de nouveau héberger chez Émile avec notre fille Cécile, pendant un certain temps, puis nous prenons rendez-vous avec une assistante sociale pour un nouveau logement, sauf, que pour le moment, il n'y avait pas de logement de libre, alors l'assistante sociale, se démène et se renseigne à la mairie de Nemours auprès du maire qui nous accorde deux mois tous frais payés à l'hôtel formule 1.
La directrice de l'hôtel madame Bernadette nous accueille et nous souhaite la bienvenue, elle nous accompagne jusqu'à la chambre et nous remet une carte magnétique pour ouvrir la porte, ensuite nous nous installons et nous faisons la connaissance d'une mère et sa fille dans la chambre d'en face, nous avons sympathisé, et nous avons passé des soirées sympas, Bernadette aimé bien Cécile, elle nous offrait tout le temps des cadeaux pour notre fille, qu'elle déposer sur notre lit, elle était vraiment gentille la patronne et nous l'avons regretté à notre départ.
Puis un jour, nous quittons l'hôtel pour un nouvel appartement qui se trouve à Puiseaux dans le Loiret, Jean-Pierre trouve un travail dans l'usine de colle, et moi, je trouve des stages rémunérées, nous faisons garder Cécile chez une nounou, et nous la récupérons le soir, je prend le bus de 6 heures 30 le matin, et je rentre que le soir vers 18 heures, mais à l'époque, les stages étaient bien payés, et on vivait mieux qu'aujourd'hui, le week-end, on se reposer, sauf que ce jour-là, Christian un ami klaxon devant la maison pour nous emmener dans un concours de pêche du FN, en arrivant là-bas, il dit à tout le monde que j’allais leur en mettre plein la vue et que j’allais gagner et ça n'a pas loupé, ce jour-là, j'ai gagné le concours de pêche, et on m'a remis une coupe avec une bouteille de vin.
A Puiseaux, on passait des après-midi avec nos amis, j'ai appris à préparer des bouchées à la reine par une alsacienne, et on passait des week-end à la pêche avec les grands-parents, enfin, c'était la belle vie, puis un jour, mes stages se sont terminés, et j'ai retrouvé du boulot dans une boucherie.
Pendant un jour de congé, j'emmène Cécile avec moi chez le boucher, et pour ne pas que ma fille attrape les délicieux plats qui se trouver sur une table à l'entrée, je la tire par le bras, et patatras, je lui déboîte le bras, je retourne en urgence à la maison, et j'appelle au téléphone l'usine de Jean-Pierre en leur expliquant qu'il fallait que j'emmène ma fille à l'hôpital en urgence, et que j'avais besoin de mon homme pour m'y emmener.
Vous n'allez peut-être pas me croire, le patron a attendu le soir pour avertir Jean-Pierre, mon homme avant de partir dit au patron: j'espère pour vous que ce n'est pas grave, sinon je porterais plainte contre vous, Jean-Pierre rentre enfin et nous filons à l'hôpital de Nemours, le médecin qui se trouver là ce jour-là, lui replace sont os d'un coup sec, puis les douleurs on cessé, et Cécile ses calmé, puis nous sommes rentrés à la maison, Cécile étant petite à toujours était une casse-cou, elle ne tenait pas en place, et dans la voiture elle détacher sa ceinture de sécurité, elle courait dans la maison s'en regarder ou elle allait, se qui lui a valu énormément de points de suture.
Nous sommes restés 3 ans sur Puiseaux, puis un jour, Jean-Pierre se fait licencier à cause de son patron qui lui avait dit: travaille esclave, mon homme réplique, et ça ses mal terminé, du coup plus de travaille, nous devons quitter le logement, et nous nous retrouvons au domaine de Nargis dans un mobil-home.
Le domaine de Nargis était un petit village sympa bordé de mobil-home ou de chalet, mais surtout, il y avait une piscine, bar, snack, douche et toilette, ma mère et mes grand-parents y habitait déjà, et l'été, c'était très agréable de manger dehors et de faire un bon barbecue.
Le mobil-home était assez spacieux, il comprenait: une salle à manger, une cuisine, deux chambres, et une salle de bain avec un toilette, nous avons aussi embelli l'intérieur pour que ce soit plus agréable à regarder.
A l'époque, nous avions un petit chien qu'on avait appelait Geckos, et Cécile l'aimer beaucoup, sauf qu'un jour, j'entends le chien couiné, je demande à ma fille de 3 ans pourquoi Geckos couine, elle me répond dans son langage de bébé: Kackos ma mordu, alors je lui ai mordu l'oreille, déjà toute petite, elle savais se défendre, ensuite nous avons inscrit Cécile à l'école de Nargis, puis tous les matins, elle prenais le bus scolaire, le midi, elle mangeait à la cantine, et le soir, elle reprenait le bus pour rentrer à la maison, quant à Geckos, il attendait sagement le retour de Cécile, mais quand il voit le facteur en vélo, il lui court après pour lui mordre les mollets, se chien n'aimer pas les gens qui se balader en vélo, il les mordait tous et on n'a eu de nombreuses plaintes, alors, nous décidons de nous séparer de Geckos.
Puis plus tard, nous nous sommes mariés entre deux témoins à la mairie de Nargis le 27/03/1993, mon témoin était Séverine, et le témoin de Jean-Pierre était Eric, puis le repas s'est déroulé chez les parents d'Eric, mais quand on s''est mariés, j'étais enceinte de ma deuxième fille, puis en même temps, il y a eu les noces d'or de mes grands-parents et je n'ai pas pu y assister parce que le maire avait changé la date de notre mariage, normalement, on aurait dû se marier une semaine avant pour que je puisse assister aux noces d'or, mais le maire là annulé parce qu'il avait une réunion ce jour-là, du coup s'est tombé le même jour que les noces d'or des grands-parents et j'en étais désolé, ce n'était pas de ma faute, mais je crois qu'à l'époque les grands-parents on cru que je l'avais fait exprès, je suis désolée mais sa venais pas de moi.
Mais après la cérémonie et le repas du mariage, Jean-Pierre a dû partir prendre le train pour assister au funéraille de son arrière-grand-père Mr Fortin rené, donc ça n'a pas dû être très facile pour lui, enfin bref, passons à autre chose.
Puis 9 mois plus tard, j'accouche de ma deuxième fille, et Alison voit le jour le 06/11/1993 à l'hôpital de Nemours, Alison et née avec un polype à l'anus, nous lui avons fait enlevé à la naissance, car les polype en grossissant peuvent devenir cancéreux, et nous voulions pas qu'elle en souffre plus tard.
Puis le domaine commencé à devenir trop cher pour nous, surtout en électricité et en eau, alors nous déménageons de Nargis et nous avons reprit un logement sur Fontenay-sur-Loing avec nos deux enfants.
L'appartement de Fontenay comprenait: une cuisine américaine, un petit salon, une salle de bains avec toilette, et deux chambre, mais quand on s'est installé, on n'avait pas vu le chemin de fer qui passait juste derrière, alors au début, on n'arrivait pas à s'endormir parce que les trains passés assez souvent, puis à force de les entendre, on n'y prêter plus attention.
Jean-Pierre allait travailler tous les matins, et je mettais Cécile au bus pour aller à l'école, ensuite, je m'occuper de ma petite Alison qui n'était encore qu'un petit bébé de 6 mois environ, puis nous avons repris une petite chienne de race yorkshire, puis un jour, Cécile me demande si elle pouvait sortir la chienne dehors, je lui réponds oui, mais tu y fais attention, quelques minutes plus tard, Cécile remonte en pleurant parce qu'elle ne trouvait plus notre chienne, je descends pour la chercher et je l'appelle, mais je ne la retrouve pas, j'ai appris plus tard, que quelqu'un nous avait volé notre petite chienne.
Nous sommes restés deux ans sur Fontenay, puis nous avons déménagé à cause du voisin qui venait tout le temps nous faire chier, de là, nous partons dans un camping à Fontenay, mais pas pour longtemps parce que j'étais enceinte pour la troisième fois.
Nous avons loué une caravane avec un auvent, et nous y sommes installés, a l'époque le camping resté ouvert toute l'année, plus tard sur notre parcelle, nous avons installé une balançoire et une piscine pour les enfants, l'été, on manger dehors en se régalant d'un bon barbecue, on n'y était bien, et on s'était fait des amis, mais l'hiver, c'était une autre paire de manche, on supporter les tempêtes et un jour, le camping fût inonder, le propriétaire du camping a fait évacué en urgence et la mairie a fait fermer le camping, du coup, on s'est retrouvé dans un autre camping, je ne pourrais pas vous dire le nom, car j'ai tout oublié, on n'y était bien, mais un peu trop isolé du monde, les journées étaient un peu longues et pour se distraire, nous jouons avec nos enfants et nous avons appris à Cécile à faire du vélo, puis comme mon accouchement approché, nous avons était voir une assistante sociale pour faire une demande de HLM, ensuite nous avons déménagé sur Courtenay dans un appartement F3 sans jardin, le logement comprenais: une grande salle à manger, une cuisine, une salle de bains avec WC et deux chambres, puis les semaines passent, et j'accouche de mon troisième enfant, Dylan voit le jour le 28/10/1995 à l'hôpital d'Amilly.
Sept mois plus tard, après la visite de mes grands-parents et de ma mère, Dylan manifeste un gros problème respiratoire, dans la soirée, nous téléphonons au samu, en leur expliquant que notre fils de 7 mois avait du mal à respirer, le médecin à l'autre bout du téléphone qui entend la respiration avec difficulté de notre fils, nous envoie un médecin en urgence, il lui fait immédiatement une piqûre qui lui dégonflera le larynx, le diagnostic du médecin stipule une laryngite, il nous dit aussi que nous avons eu beaucoup de chance et que nous avons eu raison d’appeler aussi rapidement, si nous avions attendu au petit matin, notre fils Dylan serait décédé, le médecin nous conseille de déménager dans le sud pour la santé de notre fils.
Sur le conseil du médecin, nous déménageons en méditerranée direction Barcarès plage avec l'aide d'un ami, nous louons un petit appartement juste en face de la plage, l'été, c'était agréable parce qu'il y avait beaucoup de monde, on sortait avec les enfants jusqu'au bateau le Lydia pour aller jouer aux machines à sous, mais arriver l'hiver, c'était mort, les estivants étaient repartis et le village était vide, nous étions seuls au monde, mais quand il y avait la tramontane, il ne fallait pas être dehors, parce que le sable s’élever avec le vent et nous fouetter le visage, les gens sur la plage hurler de douleurs, c'est pour vous dire que le vent était très fort, puis notre contrat de location ses terminés, et nous avons déménagé un peu plus loin dans un autre logement où nous avons passé tout l'hiver, le médecin disait vrai à propos des laryngites, notre fils Dylan n'en a plus jamais refait.
Puis un peu plus tard, mon frère Rudy débarque à Barcarès avec sa copine Céline, ils viennent passer quelques vacances avec nous, à l'époque Jean-Pierre avait un bateau à moteur qu'un pêcheur lui avait prêté où donner, je ne sais plus ,enfin bref, ils s'en vont tous les trois pour pêcher, et en revenant Jean-Pierre et Rudy demande à Céline de bien se tenir parce qu'ils allaient remorquer le bateau sur la rive, ils tirent tous les deux, quand soudain, ils entendent un gros plouf, Céline part en arrière et tombe dans l'eau, Jean-Pierre et Rudy ont eu très peur ce jour-là, parce que Céline n'ait pas remonté de suite en surface, ils étaient près à sauter dans l'eau, quand soudain, ils ont aperçu des bulles dans l'eau, Céline remonte enfin et sort de l'eau toute tremper, ils rentrent tous les trois à la maison en expliquant leur journée, quant ils m’ont raconter leur mésaventure, ça était plus fort que moi, je me suis mise à rire et parfois en y repensant, nous en rions encore aujourd'hui.
Les vacances se terminent, Rudy et Céline préparent leurs valises et rentrent chez eux, les jours passent, Jean-Pierre va rendre visite au voisin et discute de choses et d'autres, les filles Cécile et Alison voulaient aller jouer dehors avec leur copine, je leur réponds oui, mais vous fermé bien le portillon avant de sortir, moi, j'étais en train de préparer une mayonnaise, quand soudain, Jean-Pierre vient me voir en hurlant, et me dit: tu n'as pas entendu le youpala descendre les escaliers, je lui réponds: non, je ne l'ai pas entendu avec le bruit du batteur, et bien, vous n'allez peut-être pas me croire, le youpala de Dylan est rester sur ses roues en déboulant les escaliers sans se renverser, ce jour-là, nous avons eu beaucoup de chance et Dylan s'en est sorti avec quelques éraflures, par contre les filles se sont fait gronder, parce que je leur avais dit de bien fermer le portillon et elle n'ont pas obéis à mon ordre.
Toutes ses mésaventures me donnent la chair de poule aujourd'hui, quand je repense à tout ce qu'on as vécu, je ne revivrais pas ça aujourd'hui, enfin bref passons à la suite, un peu plus tard, j’apprends par quelqu'un que les grands-parents viennent nous rendre visite à Barcarès, je crois que c'était en 1996, oui c'est sa, parce que j'étais enceinte de mon quatrième enfant, ce jour-là nous avons passé de merveilleuse vacances, mais j'ai appris plus tard par les gendarmes que ma grand-mère était décédée, et j'ai compris à cette instant que je ne la reverrais plus, j'ai pleuré pendant des jours, parce que j'arrivais pas à faire mon deuil, puis les jours ont passaient, et je commençais à m'ennuyer et le climat n'était plus à l'ordre du jour, il n'y avait pas de travail, les gens ne nous parler très rarement, et à cause des inondations provoquer par la mer, nous décidons de quitter Barcarès, alors j'ai appelé Guy, et il est venu nous déménagé avec un copain qui avait un camion de Barcarès à Labouheyre.
Arrivé à Labouheyre, nous déchargeons le camion et à peine installer, nous voyons débarquer les gendarmes à l'appartement de Guy pour un contrôle de papiers, nous avons était très surpris, ont ils le droit de venir chez les gens pour contrôler, je ne sais pas, enfin, oublions ça et passons à autre chose.
Le lendemain matin, je demande à Guy de m'emmenait à la pharmacie, mais sur le chemin du retour, Guy va m'annoncer qu'il n'ait pas mon père, il me jette un petit regard, et m'annonce qu'il m'a reconnue à la mairie, mais qu'il n'ait pas mon géniteur, ensuite, il m'annonce que mon père est un Portugais et qu'il se nomme José, ce jour-là ma vie a basculer, je l'ai cru sur parole parce qu'il n'avait pas bu une goutte d'alcool, et puis il était très sérieux, ensuite, il ma regardé et ma dis: tu ne le savais pas, je lui réponds: non alors il me dit oups, j'ai fais une grosse boulette, alors je ne t'en dirais pas plus, puis il sais-tu, plus la peine pour moi de lui poser des questions, il me répondait à chaque fois, je t'en ai déjà trop dit, à l'époque, je n'y prêter pas vraiment intention, mais aujourd'hui, je regrette de ne pas avoir posé plus de questions sur mon vrai père.
Le soir même, nous déplions le canapé pour aller dormir, mais dans la nuit, quelques choses va venir perturber mon sommeil, je me réveille, quand soudain, j'aperçois une lueur et une forme humaine s'avancer vers moi, elle me parle, mais je ne l'entends pas, elle est transparente de couleur vert et blanc, puis, je prends peur et je me lève pour aller allumer la lumière, chose que je n'aurais pas dû faire parce que je pense que le fantôme que j'ai vu cette nuit-là, n'était que le fantôme de ma grand-mère décédée, elle venait me dire un dernier au revoir pour que j'arrive à en faire mon deuil.
Les mois passent, et après réflexion, nous décidons de prendre notre vie en main, nous interpellons une assistante sociale et nous faisons une demande HLM en urgence sur Mont-de-Marsan, la vie en communauté avec Guy n'était plus possible, alors nous déménageons avec l'aide de Guy au Peyrouat dans un grand appartement type F4 au troisième étage avec nos 3 enfants, au début, on avait rien, alors nous avons appelé l'assistante sociale pour nous aider, elle a appeler en urgence une associations Lande partage, et le jour même, ils nous, on ramener et livrer des meubles, table, chaises, gazinière, frigo, lit etc, puis les mois, on passait, et on s'est remeublé au fur et à mesure.
Nos trois enfants étaient excité, tous les soirs, je devais les endormir avec une berceuse, les filles Cécile et Alison ne pouvait pas s'endormir sans moi, alors je resté près d'elle, ensuite, j'allais faire dormir Dylan, mais à chaque fois que je le poser dans son lit même doucement, il le sentait, et il se mettait à brailler, combien de fois j'ai longé le couloir du Peyrouat avec Dylan dans les bras, je ne compte plus, et Dylan était toujours dans mes jupons, il ne me lâcher pas d'une semelle.
Au Peyrouat, nous avons connu une amie qui s'appelait Babeth, elle vivait seule avec ses trois enfants, Alex, Edwige et Billy, mais de temps à autre, ses enfants venait à la maison pour jouer avec mes enfants, quant à moi, j'entamais mon neuvième mois de grossesse, un soir, en allant me coucher, j'ai commencé à ressentir de petite douleur dans le ventre, c'était des contractions, mais comme elle n'était pas très forte, j'ai attendu, je me suis levée pour ne pas réveiller Jean-Pierre, et je me suis allongée dans le lit de ma fille pour dormir, cette nuit là, j'ai eu beaucoup de mal à m'endormir, mais au réveil les douleurs se sont accentuer, il est temps de partir à l'hôpital, j'accouche de mon 4eme enfants dans une salle opératoire, parce que les médecins avait peur d'une complication, parce que le bébé était positionné par le siège, alors ils ont pris leur précaution et la sage-femme me faisait respirer de l’oxygène pour donner de l'air à mon bébé, puis ma fille Mélanie à vu le jour le 25/08/1997 à l'hôpital de Mont-de-Marsan.
Je suis resté 5 jours à l'hôpital, puis je suis sortie, mais sans mon bébé, Mélanie et resté deux semaine de plus, parce qu'elle était en couveuse et brancher par un tube digestif avec des petites électrodes sur sa poitrine, elle était très petite et ne faisait pas le bon poids, nous passons la voir tous les jours dans le service de néonatalogie, ensuite, elle est sortis de la couveuse et ils l'on mise dans un berceau de maternité, plus pratique pour moi, je pouvais la prendre dans mes bras, je pouvais lui prendre son bain, changer sa couche, l'habiller, la nourrir, et lui faire pleins de câlins, ensuite, le moment t'en attendu est arrivée, Mélanie faisait le bon poids et nous avons pu la sortir de la maternité pour rentrer à la maison.
Mélanie à toujours était un bébé difficile, quand elle a commencé à s’asseoir et à marcher à quatre pattes, et que je ne l’entendais plus, c'est qu'elle me faisait une grosse bêtise, Mélanie se diriger vers mes pots de fleurs pour jouer et manger la terre, combien de fois, j'ai dû lui rincer la bouche avec de l'eau, je ne compte plus, on va dire assez souvent, Mélanie faisait des colères et pleuré tout le temps, elle se cogner la tête sur le sol, mais je ne la laisser pas faire, elle voulait que je la prenne tout le temps dans les bras, mais quand je la reposais dans son youpala, elle se mettait à pleurer, c'était très pénible pour moi, parce que je ne pouvais pas faire le ménage ou le repas tranquille, parfois, notre voisine Babeth prenait Mélanie chez elle pour me soulager et pour que je puisse souffler un peu, je la remercie de tout cœur.
En 1997, nous partons en vacance pour deux semaines en plein mois d’août avec des amis, Alain et sa mère au village FACAF de Biscarrosse avec nos quatre enfants, nous avons loué une maison avec tout le confort nécessaire, Cécile, Alison et Dylan allaient tous les jours faire des activités, je laissais Mélanie à la crèche pendant toutes nos activités et je la récupérer après, Jean-Pierre et Alain était monté sur un bateau de pêche pour une ballade, moi, j'avais été faire une ballade à cheval, ensuite, nous avons fait du tir à l'arc un après-midi, puis on allait tous se baigner à la piscine, on allait à la plage en famille et entre amis pour se baigner, s'amuser et se distraire, tout le monde ramassés des coquillages, puis ensuite, on rentrait pour manger, c' était des super vacance, enfin presque, parce que Mélanie faisait toujours ses colères, nous avons fêté les 1 ans de Mélanie à Biscarrosse, puis, les vacances se sont terminés et nous sommes rentrés à la maison tous bien bronzés.
En décembre 1999, une tempête ravage l'Aquitaine, des arbres tombent dans le parc derrière chez nous, la tempête n'a pas épargner les maisons, les lignes du téléphone sont coupées par la chute des arbres, les pylônes de téléphonie mobile ne sont plus alimentés en électricité, les réseaux deviennent muets, une grande partie du département des Landes est privée d'électricité, le vent souffler à travers les volets, ce jour-là nous avons très mal dormis, je me rappelle Aurore était venue passer les vacances de Noël avec nous.
Nous sommes restés au Peyrouat 3 ans et puis nous avons déménagé, les HLM on en avait un peu marre des cages à poules, et nous avons loué une maison avec un jardin du côté de l'avenue du Colonel Rozanoff à Mont-de-Marsan, ensuite, je suis tombée enceinte de mon 5 ème enfants, et Alizée à vu le jour le 19/03/2001 à la clinique de Mont-de-Marsan.
Je me rappelle aussi, que ma mère était venu nous rendre visite avec Frédéric, Alizée venait d'avoir 3mois, j'ai était tellement surprise par son arrivée que ce jour-là j'ai pleurée, mais en même tant j'étais contente de la voir.
Puis les problèmes son arrivé, Alizée était une petite fille qui avait du mal à s'alimenter, alors elle est allée et restée à l'hôpital quelques jours, ensuite, elle me chope une bronchiolite, allez retour à l'Hôpital, et puis elle me choper des rhumes et faisait de l'asthme, le médecin lui prescrit un bronchodilatateur avec de la ventoline en aérosol-doseur pour l'aider à respirer, ensuite, d'autres problèmes sont arrivé, Alizée était très en retard pour marcher, alors le médecin m'envoyer voir une spécialiste une fois par mois, sauf qu'un jour, j'en ai eu marre, et j'ai arrêté les consultations parce que la spécialiste disait qu'elle avait des problèmes psychomoteur et qu'elle ne marcherait jamais, sur le coup la spécialiste ma fait peur, mais je ne me suis pas inquiété plus que ça, parce que moi, je me souviens avoir marcher vers 2 ans, puis ma fille Alizée a commencé à se mettre debout avec appuis, j'étais contente de la voir se mette debout, puis un jour, elle a commencé à marcher et à se lâcher en faisant quelques pas, et vers l'âge de 2 ans Alizée marcher, vaut mieux que tard, que jamais, donc, la spécialiste raconter un peu n'importe quoi.
À quatre ans, j’inscris Mélanie à l'école maternelle, puis un jour le maître de ma fille me convoque, parce que Mélanie avait beaucoup de mal à suivre en classe, ma fille était gauchère et elle n'arrivais pas à suivre les apprentissages demandés, et en récréations, elle se plaignait de ses camarades qui la frappait, les maîtresses et le maître ne bouger pas, alors, on s'est déplacé à l'école une bonne fois pour toute, pour mettre les ho las.
Ensuite, Jean-pierre a trouvé un travail, et pour éviter qu'il ne face le trajet de Mont-de-Marsan à Roquefort, parce qu'il y avait quand même 30 bornes à faire chaque jour, nous avons décidé de déménager, nous avons loué une maison avec un jardin à la mairie de St Gor, les enfants prenaient le bus tous les matins pour aller à l'école, ils travaillaient tous bien sauf une, deviner qui Mélanie.
Vers l'âge de 6 ans, notre fille commençait à faire des dessins morbides, cela m’inquiète, mais à cette époque, on pouvait encore la gérait, puis un jour, la maîtresse nous convoque pour nous annoncer que Mélanie se mettait en danger et qu'elle mettait la vie des autres en danger, et en plus, elle ne travailler pas à l'école, la maîtresse la fait redoubler 3 fois son CP, pour éviter qu'elle aille trop tôt dans une école spécialisée, cela m’inquiète beaucoup, mais pour le moment, on ne pouvait pas faire grand chose, puis Mélanie grandit et continue sa scolarité catastrophique, ne sachant pas lire, ni écrire, nous décidons avec l'aide de Mme Destruhaut de faire appel au juge pour la placer sous tutelle et nous déposons auprès de la Maison Landaise des personnes handicapées une demande allocations d'aah, Mélanie était une petite fille très perturbée avec des troubles comportementaux perduraient avec des crises très violente au domicile, en 2006, la maîtresse décide de la scolariser en Clis niveau CE1, Mélanie sera placer dans une famille d’accueil la semaine, et le week-end au domicile.
En 2007, je donne naissance à mon 6 ème enfants, Théo voit le jour le 06/03/2007 à l'hôpital de Mont-de-Marsan, nous resterons 6 ans sur St Gor, et Jean-Pierre se fera licencier à cause d'un accident de travail, en 2009, nous déménageons à cause d'un problème familiale que j'essaye d'oublier, et nous louons une grande maison avec un grand jardin sur pouydesseaux.
En 2010, je deviens écrivain, et j'écris mon premier livre qui s'intitule l'ourson qui fait scintiller les yeux des enfants, je m'inspire du champ d'en face et de la peluche de mon fils Théo, je publie mon livre en 2010 avec nos économies, et je vends le reste de mes livres à des particuliers.
Théo a maintenant 2 ans et il commence à faire des bêtises, un jour, nous avons oublié de ranger un briquet qui était resté sur la table, moi, j'étais sur l'ordinateur, et machinalement, je tourne la tête vers la cuisine et je vois ma nappe en feux, je me lève d'un bon, j’attrape la nappe et je la sors dehors en urgence, ensuite, je reviens vers la cuisine et je vois mon petit Théo qui sort de sous la table, je l'ai grondé et je lui et dit de ne pas recommencer, ce petit con aurait pu brûler si je n'avais pas aperçu ma nappe en feux, enfin bref, ce jour-là, j'ai eu très peur, un après-midi, moi et Jean-Pierre, on regardait la télévision, mais on entendait plus notre petit Théo, alors on s'est dit, il fait sûrement une bêtise, et ça n'a pas loupé, on arrive dans la cuisine, et on voit Théo dans la salle de bains en train d’inonder la cuisine avec la douchette, je me suis mise en colère après lui et on la punis dans sa chambre, pendant ce temps-là, nous avons évacué toute la flotte dehors, heureusement que la maison était en plein pied.
L'été arrive, et nous passons des journées agréables dehors, on avait mis une grande piscine pour faire trempette, une balançoire en bois avec un toboggan, les enfants ne manquez de rien, on faisait griller de la viande sur le barbecue qu'on déguster sur une table dehors, enfin, c'était vraiment agréable, Jean-Pierre avait fait un jardin, et on était content de récolter nos légumes, et nos arbres fruitiers, je me rappelle aussi, qu'on élevé des lapins et des poules.
En 2011, Mélanie est scolarisé à L'IME dans une école spécialisée, elle a 14 ans, elle y restera jusqu'en 2014 en internat.
puis plus tard, nous déménageons en catastrophe parce que le propriétaire, mais en vente la maison de pouydesseaux, nous retrouvons un appartement sur Roquefort, mais nous y resterons pas longtemps à cause de la fête foraine et des char qui venaient tous les été sur la place devant chez nous, trop bruyant, impossible de dormir, nous déménageons dans un autre appartement qui donne dans une rue derrière.
Mélanie est maintenant une ado, elle rentre tous les week-end à la maison pour nous en faire voir de toutes les couleurs, elle fugue, elle se scarifie, elle prend les couteaux pour se faire du mal, elle nous menace, combien de fois, nous avons appelé les gendarmes, je ne compte plus, je sais que la famille d’accueil commencé à en avoir marre parce que Mélanie leur en faisait voir de toutes les couleurs.
Quelques années plus tard, nous déménageons de Roquefort parce que le propriétaire mettait en vente son appartement, nous retrouvons une maison F3 avec un jardin sur Sarbazan, nous faisons un jardin, je plante des arbres fruitiers, et nous faisons des travaux dans la maison en outre la peinture et nous redécorons la maison à notre goût.
Un jour, je reçois un coup de fil de l’hôpital St Anne me disant qu'il ne pouvait plus prendre Mélanie en charge, et qu'il fallait que je me prépare à l'accueillir parce qu'elle allait arriver chez nous en taxi, je leur ai dit que je ne pouvais pas la prendre à la maison parce qu'il y avait une mesure prise par le juge, et que Mélanie présentait des troubles psychiatriques important et pouvait être menaçante envers son frère et sa sœur mais il non rien voulu savoir.
Quelques heures plus tard je vois Mélanie débarqué en taxi, je l'accueille comme il se doit et je lui montre sa chambre, elle pose ses affaires, et nous entamons une conversation, tout se passe pour le mieux le premier jour, mais les jours suivants Mélanie changés de comportement, elle sortait dehors se promenait sur la route du magasin carrefour, et s'amuser à téléphoner en Algérie, sois disant à un copain qu'elle connaissait.
Et un jour, je vois un gendarme nous ramenait notre fille, il nous dit que le patron du magasin carrefour lui a téléphoné par que Mélanie se mettait en danger sur la route, sauf que ce jour-là Mélanie va être odieuse contre le gendarme parce qu'elle ne voulait pas rentrer à la maison, elle insulte le gendarme, et commence à prendre la poudre escampette, le gendarme court après elle,la rattrape, et la ramène chez nous, Mélanie insulte une nouvelle fois le gendarmes de fils de pute, le gendarme nous demande de ne plus la laisser sortir, chose qui n'était pas facile pour nous.
Une orientation vers la clinique Jean Sarailh est envisagée, il résulte des éléments communiqués par le pôle de protection à l'enfance le 18/06/2015 que la situation de Mélanie était extrêmement préoccupante dans la mesure où ses comportements l'ont fait exclure de l'IME départemental et que le service ne peut pas proposer une prise en charge en famille d'accueil ou en foyer pour cette jeune fille.
Mais Mélanie sans prend à nous, elle nous insulte, elle nous menace de mort, elle pique des crises de folie qui nous son insoutenables, elle prend les couteaux pour se tailler les veines devant notre fils Théo qui sait mis à pleurer, elle nous disait qu'elle allait tous nous tuer pendant la nuit, alors, j'ai appelé ma fille Alison pour qu'elle prenne son frère et sa sœur pour quelques jours pour qu'ils soient en sécurité, puis dans la soirée, Mélanie s'est mise en danger, elle est allé s'allonger sur la route, par peur qu'une voiture l'écrase, Jean-Pierre va la relever en urgence alors qu'elle était en crise, il a eu beaucoup de mal à la faire rentrer à la maison parce que Mélanie pesé pas loin de 100 kg, quelques minute plus tard, Jean-Pierre avait du mal à respirer, et il avait de forte douleur à la poitrine et dans son bras droit, je voulais appeler le samu, mais mon homme m'en a dissuadé parce qu'il ne voulait pas que je reste seul avec Mélanie, quant à nous, la nuit, nous fermons notre porte de chambre à clés pour pouvoir dormir en sécurité.
Le lendemain, nous avons appelé les gendarmes et le médecin, pour faire interner notre fille Mélanie à l'hôpital St Anne.
Nous n'avons pas porté plainte contre notre fille, mais nous avons sollicité une institutions pour le bien de notre fille Mélanie, on s’inquiète de la situation de nos deux autre enfants présents au domicile.
Mélanie sera majeure le 25/08/2015, elle refuse tout, et peut se montrer d'une très grande violence envers ses proches et envers les autres.
Après avoir vécu et subi toutes les menaces de Mélanie, nous avons essayé d'oublier et de vivre notre vie, je conseille à personne d'avoir un enfant comme notre fille, parce que ses douloureux et pas très facile à gérer.
Aujourd'hui nos deux enfants sont épanouis, heureux et travaille bien à l'école, nous téléphonons quelquefois à Mélanie pour prendre de ses nouvelles, mais ses humeurs resterons à jamais gravé dans nos mémoires, mais quand je repense à la naissance de Mélanie cela me fait beaucoup de mal.
En 2014, je suis prise de violentes douleurs au bas du dos, je vais voir mon médecin qui me fera passer un IRM, je reçois les résultats de la radio et je retourne voir mon médecin qui m'annoncera que j'ai une hernie discale, mon médecin me fera une lettre pour aller voir un chirurgien, mais il ne m'a pas opéré de suite, il a commencé par une ordonnance de médicaments qui ne me faisait absolument rien, puis il m'a donné un rendez-vous pour faire des infiltrations qui ne durait qu'un mois sans douleurs, ensuite, je souffrais tellement que je suis retournée voir mon médecin qui m'a prescrit une ordonnance pour des piqûres, donc l'infirmière venait tous les matins, les piqûres agissait bien, mais par la suite, les douleurs revenaient de plus belle, donc, je retourne voir le chirurgien qui décide enfin de m'opérait en avril 2015, mais même avec l'opération de mon dos, je souffre encore aujourd'hui, j'arrive pas à comprendre pourquoi j'ai encore mal, alors que je suis opérée.
Je suis retournée voir mon chirurgien pour prendre un rendez-vous d'IRM, il n'y avait plus hernie, et il n'y avait pas d'autre hernie en vu, pour lui tout aller bien, seulement aujourd'hui, il ne veut plus toucher à mon dos, pourquoi, je ne sais pas, enfin si, il m'a juste interdit de porter des charges lourdes, je pense que le chirurgien qui m'a opéré à louper mon opération, alors je vit avec mes douleurs tous les jours, je ne peux plus travailler en usine, alors je cherche un petit boulot pas trop pénible, je ne peux pas rester debout toute la journée, aujourd'hui, j'aimerais que mon métier d'écrivain sois reconnue comme tel, et j'aimerais surtout en faire mon métier.
Vous allez peut-être me dire qu'on a beaucoup déménagé, oui je vous l'accorde, je vais avoir 48 ans et Jean-Pierre va avoir 51 ans, il est temps maintenant d'arrêter les déménagement et de penser un peu à nous.
Aujourd'hui Cécile à 27 ans, elle vit avec son copain, ils travaillent tous les deux en usine, mais il n'ont pas encore d'enfant, j'espère qu'un jour leur vie sera meilleur.
Alison à 24 ans, elle vit avec son copain, ils travaillent tous les deux par ci par là, mais ils n'ont pas encore d'enfant, j'espère qu'un jour leur vie sera meilleur.
Dylan à 22 ans, il n'a pas de copine, pour le moment, il travaille par ci par là, il n'a pas d'enfant non plus, j'espère qu'un jour sa vie sera meilleur, pour le moment il vit encore chez nous.
Mélanie à 20 ans, elle à un copain qu'elle voit le week-end, elle ne travaille pas, j'espère qu'un jour, elle comprendra qu'on a fait tout ça pour son bien.
Alizée à 16 ans, elle n'a pas de petit copain, elle pense juste à ses études et elle vit encore chez nous.
Théo à 10 ans, il est en classe de CM1, il travaille très bien à l'école, et il vit encore chez nous.
Nos deux dernier enfants on encore besoin de nous, allez encore quelques années, et ils seront majeure à leur tour et nous pourrons enfin souffler, mais personne n'a jamais dit que la vie de parents étaient facile.
J'espère que l'avenir leur réservera une vie meilleure, parce que la vie ne fait de cadeau à personne.
Les années ont passaient tellement vite, qu'on à rien vu venir, la vie et courte, alors profiter de votre jeunesse.
J'ai 4 oisillons qui on prit leur envol, à eux maintenant de fonder une famille, et de laisser leur propre oisillon s'envoler.
Les enfants sont la chose la plus précieuse dans la vie, un parent doit faire tout ce qu'il peut pour donner à un enfant le sens de la famille.
S'excuser auprès de son enfant, lorsque nous avons tort, c'est aider à préparer la blessure que nous avons pu lui causer et c'est aussi lui dire inconsciemment: '' toi aussi tu peu te tromper, tu n'as pas à être parfait.
Par la suite tu peu venir pour réparer.'' voilà le pouvoir de l'exemple.
Le plus bel héritage qu'un parent puisse laisser à son enfant est un peu de son temps chaque jour.
Pour les parents, il est plus facile d'élever la voix que d'élever ses enfants.
Vous pouvez être un parent formidable, même si vous n'êtes pas parfais.
N'allez pas voir vos parents pour leur déposer vos enfants, allez les voir!
Une maman, c'est l'épaule sur laquelle on peut s'appuyer pour avancer dans la vie.
Une maman c'est celle qui gronde mais qui pardonne tout.
L'amour d'un père est plus haut que la montagne, l'amour d'une mère est plus profond que l'océan.
ce qu'on essaie de vous dire, c'est qu'on vous aime tous très fort.
Vos parents.
Pour revenir sur mon père, je sais qu'il s'appelle José (Domingués), mais je ne suis pas sur de son nom de famille, je sais seulement qu'il est portugais, et qu'il aurait connu dans les années 1967 où 1968 une certaine Claudine, Nicole, Adam, ma mère faisait partis d'une familles nombreuses, et à cette époque, elle habité Treuzy Leveley, je sais que José a connu mes grand-parents Mr et Mme Adam Marcel, je sais aussi que José avait offert à sa plus jeune sœur, un accordéon en jouet, et à cette époque ce Monsieur avait perdu sont père.
Pourquoi ma mère ma toujours soutenu que Guy était mon père, alors que lui m'a toujours soutenu le contraire, lequel des deux ment, je ne sais pas et je ne le serais peut-être jamais, quand j'ai posé la question à ma mère qui est mon père, elle l'a mal pris et ma mère m'a plus jamais adressé la parole, pourquoi fait-elle ça, a t-elle quelques choses à se reprocher, je ne sais pas, mais si un jour par miracle, je retrouve mon vrai père, je serais la plus heureuse des femmes.
Aujourd'hui j'ai une partie de ma mère qui reste allumée, mais du coté de mon père la partie est éteinte parce que je serais toujours dans le doute.
Je cherche la vérité, où et la vérité, qui pourra me dire un jour, enfin la vérité.
L'enfance c'est comme être bourré Tout le monde se souvient de tout ce que tu faisais, sauf toi.
J'ai mal …. dit le cœur, tu vas oublier …. dit le temps, mais je vais toujours revenir …. dit la mémoire.
Fin
Catherine Régent

Le soleil s'est couché ce soir, et les nuages noirs commencer leur danse, la pluie tombée sur le sol et un orage noir a éclaté. Quand tout à coup un énorme entonnoir géant s'est formé au loin, elle tourbillonner et ramasser tout sur son passage, les arbres sont arrachés de leurs base, les toits des maisons s'élèvent vers le ciel gris et les voitures valdinguer tout autours du monde. Elle se poser un instant puis remetter ça, elle gambader à travers les champs s'en jamais être fatiguée. Souple comme un ressort, elle sauter comme un kangourous, toujours de bonne humeur, elle continuer sa route. Empruntant des chemins différents, elle vous flanquer un coup au cœur, sans jamais s'arrêter. Sans prudence, ni peur, elle s'élève vers le ciel. Je voulais l'attachée avec une laisse et lui demander de me suivre jusqu'au bout de la terre. Tant de bonds incessants vous fais tourner la tête, bondissant, sautillant, elle étourdit le monde en criant de prendre soin de la planète. Elle se fatigue, vous enquiquine, sans le moindre souci, elle rit, vous taquine, elle vous pousse à bout tout en s'amusant elle se dissipe, pour finir par disparaître dans les cieux pour que le paysage reprenne sa forme originale au soleil couchant.