Suivez, soutenez et aidez vos auteurs favoris

Inscrivez-vous à l'Atelier des auteurs et tissez des liens avec vos futurs compagnons d'écriture.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
Image de profil de null

Célestin

Bonjour à toutes et tous,

Je m’appelle Célestin, passionné de récits où le réel vacille (la maison de feuilles, le cycle d'ender, l'histoire de ta vie, la horde de contrevent, anihilation...). J’écris parce que c’est la seule manière que j’ai trouvée de tenir en équilibre entre science, mystère et poésie.

Après avoir exploré la forme courte à travers deux nouvelles, je me suis lancé dans un projet plus vaste : un roman de fantastique et science fiction teinté linguistique, que j’ai intitulé Le Verbe Fracturé.

L’histoire mêle effondrement du langage, perception non linéaire du temps, et quête d’identité à travers un monde où les mots peuvent sauver… ou détruire.

Le manuscrit est aujourd’hui à 80 %. Je suis à ce moment fragile où l’on perd le recul nécessaire, où chaque scène semble à la fois évidente et douteuse. J’écris ce que j’aimerais lire, mais je sais que ce n’est pas toujours ce que d’autres aimeraient lire. C’est pour cela que je suis ici : pour échanger, écouter, confronter, affiner.

Je suis à la recherche de regards exigeants mais bienveillants, capables de pointer ce qui sonne faux, ce qui manque, ce qui touche. Si l’univers que je déploie vous intrigue, je serais honoré de vous embarquer dans cette traversée.

Au plaisir de lire vos retours… et de lire vos textes aussi.

1
œuvres
0
défis réussis
14
"J'aime" reçus

Œuvres

Célestin
Dans un monde ravagé par une ancienne faille linguistique, le Verbe ne se contente plus de désigner : il façonne la réalité. Les noms fixent l’existence. Les syntagmes stabilisent les lieux. Les oublis deviennent des absences tangibles. Et lorsque les mots se dérèglent, c’est le monde lui-même qui se plie, se replie ou s’efface.
Au coeur de cette société régie par la syntaxe, Élom est un enfant sans nom véritable, recueilli à Saint-Mathieu, un orphelinat mi-monastique, mi-institution cadastrale. Il est surveillé de loin par le Cadastre, l’autorité qui régule les usages du langage et traque les fractures phrastiques. Car autour d’Élom, les mots hésitent. Les objets réagissent. Les phrases changent à même le papier.
Alors que d’étranges incidents se multiplient — enfants parlant en dormant, villages effacés sans trace, miroirs qui se recollent en silence — certains voient en Élom une menace, d’autres une clé.
Et toujours, en périphérie, une figure silencieuse réapparaît. Il l’appelle le Lige. Ni entièrement Luide, ni humain, Elom le décrit comme un vide habité, une forme glyphique vivante, dont la présence précède souvent les fractures… ou les stabilisations. Il ne parle pas — ou parle dans les marges. Il ne suit pas — mais semble toujours là. Dans les rêves. Dans les replis. Dans le souffle des noms tus. Et parfois, il regarde Élom.
Pendant ce temps, dans les marges du monde, une entité floue — une forme enfantine, peut-être un Luide — apparaît toujours juste avant les effondrements. Son silence semble provoquer les fractures. Ou les révéler.
13
39
219
159

Questionnaire de l'Atelier des auteurs

Pourquoi écrivez-vous ?

J’écris ce que j’aimerais lire moi même

Listes

Avec La ville en flammes...
0