Khaled Haddad
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Œuvres
L’ÉCRIVAIN VÉREUX
Pô, un jeune écrivain patenté traîne l'ennuie de ses journées moisi par l'espoir de se faire un nom quand, un crépitement suivit d'une odeur de brûlé le tire de la solitude de ses rêve,il lève la tête et... Il s'exclame, "je suis le plus fortuné de l’espèce humaine!". Il s'approche d'un homme se tenant debout, adossé à la fumé de l'autodafé qu'il vient d'allumer. En vérité l'homme n'est autre qu'un mythe vivant, un symbole de la pensée moderne vénéré par tous dont Pô, celui ci s'approche encore de l'icone intellectuelle en bavant et l'interpelle une fois à sa hauteur:
_ Bonsoir ô majesté littéraire, pensé intellectuelle du monde moderne, puis je m'adosser à votre honneur?
Le maître ne bronche pas. Le jeune auteur s'approche encore et, soudain en regardant le feu aperçoit le titre de la dernière oeuvre de l'écrivain entrain de brûler au milieux de plusieurs autres de ses titres. Touts les Best seller de cet auteur adulé par la gente littéraire, de ces œuvres qui l'ont poussé aux sommets. Le jeune auteur sursaute, estomaqué,affolé, il commence par bégayer puis un crie de terreur quitte son palet, enfin des sons quittent sa bouche et se transforment petit à petit en mots:
_ Que faites vous là, je vois votre dernière oeuvre brûler au milieux de tout votre patrimoine. Vous êtes un penseur, un philosophe et le monde a beaucoup appris de vous, d'autant plus que je ne l'ais pas encore cette dernière oeuvre, pourquoi suis je le témoin d'un cauchemar?... Vos chef d'oeuvre aux prises des flammes.
A ce moment l'icone vénéré par Pô répond: "Le désir petit, (Pô ouvre grand la bouche en écarquillant les yeux avec un gloussement dans les tripes), le désir de possession qui a annihilé mon plaisir d'écrire, le monde a lu des œuvres sans âme, flagellés par le mensonge car, mon désir de gravir les échelons de la gloire, l'argent les femmes le pouvoir tous, ont induit ma plume de poisse, cette plume a dessiné au monde un leurre, une utopie (rire), elle leur a dessiné l'illusion d'une histoire et, comme tu vois le genre humain se complaît dans la médiocrité, tout comme toi petit.
J'ai choisie le camp des fallacieux, des perfides en quittant la rive où s'abreuve la vérité, j'ai quitté la voie de la sérénité pour m’asseoir sur le pied-piédestal du faux où, on m'avait toujours utilisé pour appliquer la diversion, leurrer les idées du commun. Le petit peuple était constamment enflammé par la perversion que mes écris ont perpétuellement nourris. J'ai abandonné mon identité pour alimenter l'illusion qui manipulait la plèbe et les décideurs me vénéraient.
Ne dit on pas que l'histoire est écrite par les vainqueurs... Je suis un vainqueur solitaire, sans débarcadère, issu de l'imaginaire pour créer un présent arbitraire; l'écrivain sanglote; je suis devenu un exemple, une icône mais, je suis submergé, engloutit par les vagues d'un océan utopique, difforme et apathique, l'océan est sans rives, sans fond et je me noie en crachant la lave de mes maux...
Sur ce Po, prend la parole:
_ Mais, mais monsieur, personne n'arrive à écrire sans émotions, sans énergie!...
_ Tout à fait petit, je suis désormais sujet à une écriture automatique, machinale, irréfléchie, tout ce qui n'est pas en concordance avec mes principes ou mes pensées. Je fais cela juste pour abolir la sérénité de la morale afin de créer un buzz et nourrir ma célébrité...
Po reprit encore une fois la parole:
_ Monsieur, vous êtes un auteur de grande classe et outre les romans, vous faites de la poésie, vous écrivez des scénari...
Un rire narquois lui coupa la parole, c'était l'auteur qui répondit:
_ Effectivement petit, se sont les films qui ont un impact direct sur les mentalités, le petit peuple est avide d'histoires à l'eau de rose, de fleurs charnelles ou encore de récits versatile, c'est la petit que j'intervient, comme d'autres auteurs à évincer la réalité en poussant l'inconscient collectif à choisir un mode de vie plutôt qu'un autre, le consommateur est notre victime!
_ Je ne comprend pas! fit Po.
_ Vois petit, la machination de la publicité qui te pousse à utiliser des produits futiles, et ta vie est devenue futile, maintenant, et après avoir mis le feu dans ma mauvaise foi, mon âme... Je veux m'en aller car comme tu vois je viens de m'immoler.
_ Attendez je vous pris, j'ai encore quelques questions à vous poser comme, la liberté d'expression; je trouve que vous n'avez rien à vous reprocher puisque vous êtes libre de vous exprimer comme vous le souhaiter. Expliquez moi s'il vous plais .
A ses mots, l'écrivain suicidaire le toisa d'un regard...
Po interrompit l'expression sarcastique du regard de son interlocuteur en demandant:
_ Vous avez le droit d'écrire car généralement on écrit tout en étant sur les traces des mocassins de nos muses et ...
_ Va petit... j'ai trahi mes principes et mes valeurs, j'ai trahi les miens et j'ai trahi l'histoire. J'ai trahi l'âme de ma plume et ma muse aussi. Je vis désormais dans le flegme de ma cupidité qui a effacé mon honneur.
A la fin de ces mots, l'écrivain abattu voulu rebrousser chemin mais il fut encore une fois retint par Po:
_ Attendez monsieur, je ne vous lâcherai pas avant d'avoir compris. Je veux des explications.
L'homme de la plume répondit alors en soupirant:
_ Vois tu, la liberté d'expression n'est en vérité qu'un moyen de provocation, un pouvoir que seul les hommes de la plume ou encore ceux de l'expression plastique ont les moyens d'en bénéficier. Ces idées sont naturellement véhiculés par les médias. Un abus de pouvoir en somme.
J'ai par ma plume tracé le chemin de l'expression de plusieurs pseudo intellectuel, se sont ceux qui prennent les idées des penseurs pour argent comptant.
J'ai ensuite appuyé mes réflexions absurdes par un cadre social ludique car les âmes faible sont toujours attirés par le futile, le médiocre...
Ils sont à l'image de loups que je dompte, je dresse pour après les libérer en leur intimant l'ordre d'attaquer l'inconscient collectif, ses loups se ne sont autre que les petits suiveur, mes soldats; tout comme toi. Cette horde me soutient, me vénère, m'adule tout en imbibant le troupeau d'un poison appelé conditionnement, je leur hôte la faculté de penser.
L'écrivain qui jusque là avait la tête baissé, lève son regard vers un Po de marbre pour continuer son monologue avec le sourire cette fois:
_ Et veux tu savoir ce qui me fais le plus rire ou plus exactement jouir? Le fait que certains se targuent d'être des hommes d'esprit!
L'écrivain se tue avec un sourire au coins des lèvres en attendant de répondre à une autre question qui ne se fit pas attendre:
_ Je suis estomaquer monsieur, vous avez probablement besoin de vous reposer, de prendre des vacances!
_ Non petit, j'ai créer le conformisme et ceux qui se prennent pour des nihilistes ne font qu'appuyer les principes fondateurs de mes dogmes.
_ Vos dogmes? L'interrogea Po.
_ Tout à fait, ce ne sont que des courants de pensées destines à éparpillés les esprits et créer une dissonance cognitive chez le consommateur!...
_ Beh... Le monde?
_ Le monde est petit!
_ Vous avez quand même le droit à la conscience, vous ne pouvez pas vous en vouloir!
_ Ecoute petit, le droit de conscience a été élaboré et voté justement afin de priver l'Homme de la liberté de conscience. Il n'est plus libre puisqu'on lui offre le droit à la conscience ainsi, il aura la conscience tranquille tout en étant versé dans la malversation, foutaise...
_ Les droits de l'Homme???
_ La naissance te donne le droit à la vie, alors que l'usure te donne le droit à la mort, tout le reste n'est que propagande.
_ Je vois, donc l'usure se fais plus rapidement en cas d'accident. Bon, vous n'avez fais qu'insulter le genre humain depuis tout à l'heure!
_ Je te rappelle que tu me l'as demander par tes questions incultes. J'ai peut être brûlé quelques bouquins mais, mes idées voyagerons de part les ages, il faut que je rétablisse l'équilibre!
_ Je ne vois pas pourquoi vous changer d'avis puisque vous maîtrisiez si bien les choses.
_ Il se trouve que j'ai lu un livre qui porte un grand "L". Il est écrit en arabe petit.
_ Je ne vois pas!
_ Il faut tout d'abord te défaire de ta prison fantôme pour pouvoir voir, te libérer intérieurement, une fois chose faite, étudie Le soigneusement en évitant le comportement des Hommes car ceux ci sont nuisible.
Sur ces mots, l'écrivain rendit l'âme!...
KHALED HADDAD
Pô, un jeune écrivain patenté traîne l'ennuie de ses journées moisi par l'espoir de se faire un nom quand, un crépitement suivit d'une odeur de brûlé le tire de la solitude de ses rêve,il lève la tête et... Il s'exclame, "je suis le plus fortuné de l’espèce humaine!". Il s'approche d'un homme se tenant debout, adossé à la fumé de l'autodafé qu'il vient d'allumer. En vérité l'homme n'est autre qu'un mythe vivant, un symbole de la pensée moderne vénéré par tous dont Pô, celui ci s'approche encore de l'icone intellectuelle en bavant et l'interpelle une fois à sa hauteur:
_ Bonsoir ô majesté littéraire, pensé intellectuelle du monde moderne, puis je m'adosser à votre honneur?
Le maître ne bronche pas. Le jeune auteur s'approche encore et, soudain en regardant le feu aperçoit le titre de la dernière oeuvre de l'écrivain entrain de brûler au milieux de plusieurs autres de ses titres. Touts les Best seller de cet auteur adulé par la gente littéraire, de ces œuvres qui l'ont poussé aux sommets. Le jeune auteur sursaute, estomaqué,affolé, il commence par bégayer puis un crie de terreur quitte son palet, enfin des sons quittent sa bouche et se transforment petit à petit en mots:
_ Que faites vous là, je vois votre dernière oeuvre brûler au milieux de tout votre patrimoine. Vous êtes un penseur, un philosophe et le monde a beaucoup appris de vous, d'autant plus que je ne l'ais pas encore cette dernière oeuvre, pourquoi suis je le témoin d'un cauchemar?... Vos chef d'oeuvre aux prises des flammes.
A ce moment l'icone vénéré par Pô répond: "Le désir petit, (Pô ouvre grand la bouche en écarquillant les yeux avec un gloussement dans les tripes), le désir de possession qui a annihilé mon plaisir d'écrire, le monde a lu des œuvres sans âme, flagellés par le mensonge car, mon désir de gravir les échelons de la gloire, l'argent les femmes le pouvoir tous, ont induit ma plume de poisse, cette plume a dessiné au monde un leurre, une utopie (rire), elle leur a dessiné l'illusion d'une histoire et, comme tu vois le genre humain se complaît dans la médiocrité, tout comme toi petit.
J'ai choisie le camp des fallacieux, des perfides en quittant la rive où s'abreuve la vérité, j'ai quitté la voie de la sérénité pour m’asseoir sur le pied-piédestal du faux où, on m'avait toujours utilisé pour appliquer la diversion, leurrer les idées du commun. Le petit peuple était constamment enflammé par la perversion que mes écris ont perpétuellement nourris. J'ai abandonné mon identité pour alimenter l'illusion qui manipulait la plèbe et les décideurs me vénéraient.
Ne dit on pas que l'histoire est écrite par les vainqueurs... Je suis un vainqueur solitaire, sans débarcadère, issu de l'imaginaire pour créer un présent arbitraire; l'écrivain sanglote; je suis devenu un exemple, une icône mais, je suis submergé, engloutit par les vagues d'un océan utopique, difforme et apathique, l'océan est sans rives, sans fond et je me noie en crachant la lave de mes maux...
Sur ce Po, prend la parole:
_ Mais, mais monsieur, personne n'arrive à écrire sans émotions, sans énergie!...
_ Tout à fait petit, je suis désormais sujet à une écriture automatique, machinale, irréfléchie, tout ce qui n'est pas en concordance avec mes principes ou mes pensées. Je fais cela juste pour abolir la sérénité de la morale afin de créer un buzz et nourrir ma célébrité...
Po reprit encore une fois la parole:
_ Monsieur, vous êtes un auteur de grande classe et outre les romans, vous faites de la poésie, vous écrivez des scénari...
Un rire narquois lui coupa la parole, c'était l'auteur qui répondit:
_ Effectivement petit, se sont les films qui ont un impact direct sur les mentalités, le petit peuple est avide d'histoires à l'eau de rose, de fleurs charnelles ou encore de récits versatile, c'est la petit que j'intervient, comme d'autres auteurs à évincer la réalité en poussant l'inconscient collectif à choisir un mode de vie plutôt qu'un autre, le consommateur est notre victime!
_ Je ne comprend pas! fit Po.
_ Vois petit, la machination de la publicité qui te pousse à utiliser des produits futiles, et ta vie est devenue futile, maintenant, et après avoir mis le feu dans ma mauvaise foi, mon âme... Je veux m'en aller car comme tu vois je viens de m'immoler.
_ Attendez je vous pris, j'ai encore quelques questions à vous poser comme, la liberté d'expression; je trouve que vous n'avez rien à vous reprocher puisque vous êtes libre de vous exprimer comme vous le souhaiter. Expliquez moi s'il vous plais .
A ses mots, l'écrivain suicidaire le toisa d'un regard...
Po interrompit l'expression sarcastique du regard de son interlocuteur en demandant:
_ Vous avez le droit d'écrire car généralement on écrit tout en étant sur les traces des mocassins de nos muses et ...
_ Va petit... j'ai trahi mes principes et mes valeurs, j'ai trahi les miens et j'ai trahi l'histoire. J'ai trahi l'âme de ma plume et ma muse aussi. Je vis désormais dans le flegme de ma cupidité qui a effacé mon honneur.
A la fin de ces mots, l'écrivain abattu voulu rebrousser chemin mais il fut encore une fois retint par Po:
_ Attendez monsieur, je ne vous lâcherai pas avant d'avoir compris. Je veux des explications.
L'homme de la plume répondit alors en soupirant:
_ Vois tu, la liberté d'expression n'est en vérité qu'un moyen de provocation, un pouvoir que seul les hommes de la plume ou encore ceux de l'expression plastique ont les moyens d'en bénéficier. Ces idées sont naturellement véhiculés par les médias. Un abus de pouvoir en somme.
J'ai par ma plume tracé le chemin de l'expression de plusieurs pseudo intellectuel, se sont ceux qui prennent les idées des penseurs pour argent comptant.
J'ai ensuite appuyé mes réflexions absurdes par un cadre social ludique car les âmes faible sont toujours attirés par le futile, le médiocre...
Ils sont à l'image de loups que je dompte, je dresse pour après les libérer en leur intimant l'ordre d'attaquer l'inconscient collectif, ses loups se ne sont autre que les petits suiveur, mes soldats; tout comme toi. Cette horde me soutient, me vénère, m'adule tout en imbibant le troupeau d'un poison appelé conditionnement, je leur hôte la faculté de penser.
L'écrivain qui jusque là avait la tête baissé, lève son regard vers un Po de marbre pour continuer son monologue avec le sourire cette fois:
_ Et veux tu savoir ce qui me fais le plus rire ou plus exactement jouir? Le fait que certains se targuent d'être des hommes d'esprit!
L'écrivain se tue avec un sourire au coins des lèvres en attendant de répondre à une autre question qui ne se fit pas attendre:
_ Je suis estomaquer monsieur, vous avez probablement besoin de vous reposer, de prendre des vacances!
_ Non petit, j'ai créer le conformisme et ceux qui se prennent pour des nihilistes ne font qu'appuyer les principes fondateurs de mes dogmes.
_ Vos dogmes? L'interrogea Po.
_ Tout à fait, ce ne sont que des courants de pensées destines à éparpillés les esprits et créer une dissonance cognitive chez le consommateur!...
_ Beh... Le monde?
_ Le monde est petit!
_ Vous avez quand même le droit à la conscience, vous ne pouvez pas vous en vouloir!
_ Ecoute petit, le droit de conscience a été élaboré et voté justement afin de priver l'Homme de la liberté de conscience. Il n'est plus libre puisqu'on lui offre le droit à la conscience ainsi, il aura la conscience tranquille tout en étant versé dans la malversation, foutaise...
_ Les droits de l'Homme???
_ La naissance te donne le droit à la vie, alors que l'usure te donne le droit à la mort, tout le reste n'est que propagande.
_ Je vois, donc l'usure se fais plus rapidement en cas d'accident. Bon, vous n'avez fais qu'insulter le genre humain depuis tout à l'heure!
_ Je te rappelle que tu me l'as demander par tes questions incultes. J'ai peut être brûlé quelques bouquins mais, mes idées voyagerons de part les ages, il faut que je rétablisse l'équilibre!
_ Je ne vois pas pourquoi vous changer d'avis puisque vous maîtrisiez si bien les choses.
_ Il se trouve que j'ai lu un livre qui porte un grand "L". Il est écrit en arabe petit.
_ Je ne vois pas!
_ Il faut tout d'abord te défaire de ta prison fantôme pour pouvoir voir, te libérer intérieurement, une fois chose faite, étudie Le soigneusement en évitant le comportement des Hommes car ceux ci sont nuisible.
Sur ces mots, l'écrivain rendit l'âme!...
KHALED HADDAD
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THEATRE : "La solitude d'une heure" acte 1
Le rideau s'ouvre sur ce décor:
un arbre mort se tient au bord d'un grand chaudron, une grosse louche à la main avec laquelle il mijote, à un moment un comédien portant le costume d'une baguette quitte le chaudron:
-le temps(symbolisé par l"arbre et le chaudron): pourquoi me quitter?
-l'heure (la baguette): je te quitte car je suis l'heure du pain et je souffre.
-le temps: t'as pas le droit de me quitter tu m'appartient et, et, qu'est ce qu'il a le pain il n'est pas bon?
-l'heure: nooooon.
-le temps:il n'est pas bon?
-l'heure: non, on en tue.
le temps: on tue qui? Le pain?
-l'heure: meuh non, on tue ceux qui veulent en manger!
-le temps: il faut bien qu'il y est des morts.
-l'heure:ils ont le droit d'en manger comme tout le monde.
-le temps: les autres aussi ont se droit, c'est à dire ceux qui tuent.
-l'heure: ce n'est pas kif kif, les uns en mangent alors que les autres en meurent...
-le temps: c'est normal, puisqu'on les tues.
-l'heure: c'est injuste...
-le temps:je porte l'histoire du monde; elle même injuste; d'ailleurs, ils auraient pue en manger avant de mourir.
-l'heure: ils ne peuvent pas puisque tu es ce que tu es, tu devrais leur avancer du TEMPS.
-le temps: est tu l'heure de la famine ou... une association charitative?
-l'heure: je suis l'heure d'en manger... et comme ils n'arrivent pas à moi, je me vois obliger de jeter ma surproduction par dessus bord.
Sur ce, on voit le personnage disparaître dans le chaudron... un court silence puis des planches sont jetées par le bord du chaudron.
Théatre; La solitude d'une heure
THEATRE: La solitude d'une heure
2eme acte
le rideau se lève sur le même décor à savoir, l'arbre mort mijotant les heures dans un chaudron, un personnage en sort arborant un costume représentant un bouquet de fleurs. Le bouquet s'arrête puis, commence à tourner autour du chaudron et à chaque passage devant les spectateurs ce dernier jette une fleur, une rose jaune symbole d’infidélité puis une fleur de Camélia symbole de charme,au prochain tour, il jette une fleur de cognassier symbole de la tentation, au tour suivant c'est la fleur de châtaignier qui est jetée symbole de luxure, la dernière fleur fût celle de la Tubéreuse qui symbolise les plaisirs dangereux, ainsi le bouquet fît place à une fleur de coquelicot qui est le personnage lui même. Cette fleur symbolise une fille de joie. La fleur s'approche du chaudron, s'arrête de tourner, l'arbre arrête de mijoter, l'arbre mort s'adresse à elle:
_ Le temps: Oh heure de la joie, pourquoi me quitter?
_ L'heure: Je ne suis qu'une fille de joie et j'ai l'intention de me repentir.
_ Le temps: Ainsi, tu veux me priver de plaisir!
_ L'heure: Mon plaisir est sans joie figure toi...
_ Le temps: Il n'y a que toi pour vendre de la joie.
_ L'heure: Je ne peu te vendre ce que je n'ai pas, je ne vend que l'illusion d'un plaisir.
_ Le temps: Pourquoi donc, t'appelle t'on fille de joie?
_ L'heure: C'est pour la pub!...
_ Le temps; De ce fait, tu vis de plaisirs sans joies...
_ L'heure: Entre autres, je vend le désir!
_ Le temps; Je te rappelle que l'autre fois... je t'ais quitté avec quelque chose en moins!
_ L'heure: Serais ce ta décence sociale?
_ Le temps: Tu es un pieux de chaque société...
_ L'heure: oui, et je travaille à la sueur de mon corps!
_ Le temps: Alors que moi.. je paie les impôts!
_ L'heure: Ne me parle plus du système, ton crane renferme ton cerveau.
_ Le temps: Tu n'est qu'un fantasme qui renferme des billets...
_ L' heure: L'illusion se fait payer cher d'ailleurs, ils sont bien lotis en son sein.
_ Le temps: Et que renferme ton sein? (il parle sur un ton moqueur)
_ L'heure: La maternelle... vu que chaque client redevient enfant sous mes serres...
La fleur disparaît à l’intérieur du chaudron.
RIDEAU
ACTE 3
Même décor soit un arbre mort mijotant les heures à l’intérieur du chaudron à l'aide d'une grande louche, un personnage quitte le chaudron en cape rouge avec du feu remplaçant le visage. Il s'entoure de fumée:
_ L'heure: Je suis la peur, l'heure d'avoir peur a sonné.
_ Le temps: Tu es juste une heure...
_ L'heure: Et je te fais peur!
_ Le temps: Bof tu va passer comme toutes les autres.
_ L'heure: Je bouffe tes entrailles!
_ Le temps: Je suis ton maître...
_ L'heure: Moi... je transporte l'horreur, la misère.
_ Le temps: Après toi l'accalmie
_ L' heure: Nooon car tant que j'existe le monde a peur!
_ Le temps: Et quand fais tu du courage?
_ L'heure: Cette heure me devance généralement mais, très vite je la submerge pour qu'elle aille trembloter ailleurs.
_ Le temps: Tu peut aussi être un sauveur!
_ L'heure (avec un rire): C'est toujours les lâches que je sauve, et comme le monde en ait plein...
_ Le temps: Il y a aussi ceux qui t'adorent...
_ L'heure: Mes associés oui. C'est les mesquins et les faux cul, c'est eux qui me font vivre à travers toi. Je suis ton cousin, tu coule indifféremment et je marche à tes côtés.
_ Le temps: Ta vie est limitée par les secondes que je te prodigue.
L'heure(avec un sourire narquois): Je t'usurpe à chaque fois quelques instants, je t'insulte et tu aboie.
_ Le temps: Tu es donc mon côté sombre
_ L'heure: Je suis un virus qui se multiplie sans raison, je suis la mère de tout les maux,je suis un fléau qui manque de mots et qui broie les sots...
_ Le temps: Ton orgueil me fais rire!
_ l'heure: Je le mérite.
_ Le temps: Je t'envoie la bravoure, elle est derrière toi!...
_ L'heure: Oh non! Elle est incorruptible, c'est la seule qui me nuit...
Précipitamment, l'heure de la peur s'enfonce dans le chaudron, l'arbre mort reprend son mouvement.
RIDEAU
Théâtre: La solitude d'une heure, (suite et fin) :
Le rideau se lève, on voit encore et toujours le temps imperturbable, impassible symbolisé par l'arbre mort entrain de mijoter les heures dans un chaudron avec une grosse louche, subitement un personnage "symbolisant l'heure" quitte le chaudron. Ce personnage porte le costume d'un squelette qui tient un faux dans sa main, il est recouvert d'une cape noire, c'est l’allégorie de la mort qui prend la parole:
_ L'heure:Je suis l'heure de la mort Oh temps!
_ Le temps: Tu te consumeras comme tes sœurs...
_ L'heure: Il y en aura toujours d'autres.
_ Le temps: Je représente le présent, tu n'es rien sans moi!
_ L'heure: Quand j’existe le présent m'appartiens et tu n'y peu rien
_ Le temps: Tu me défie, mais tu n'as pas d'avenir.
_ L'heure: Il y a les autres!
_ Le temps: Elles m'ont oubliées!
_ L'heure; Comment peuvent elles le faire puisque tu les as faites?
_ Le temps: T’inquiète... Tu es à moi et tu la ferme...
_ L'heure: Oublie tu la liberté d'expression, je dirais mon avis!
_ Le temps: Laisse moi rire, tu n'as rien à dire puisque tu es l'heure de la mort.
_ L'heure: Nous les heures avons décidé de manifester, nous ferons gréve.
_ Le temps: J’effacerais l'émeute le temps d'un tsunami!
_ L'heure: Je me la boucle alors?
_ Le temps: Tout à fait, et dis toi bien que tu attend le bus qui... éventuellement t’aidera à avancer. Mais tu ne fais qu'attendre.
_ L'heure: Très drôle d'autant plus que le station de bus s'éloigne sans cesse de moi!
_ Le temps; Cour... Il y en aura un pour tout à l'heure...
_ L'heure; Je ne peux courir vu que je suis astreinte par les secondes de mon temps!
_ Le temps: Tu divague. C'est moi le temps.
_ L'heure: Tu me feras donc crédit de quelques secondes, c'est marrant au fait, comment pourrais je le reconnaître?
_ Le temps: Il sera de sang...
_ L'heure; Il y a trop de sang inéquitable sur terre, je me sens déjà perdu...
_ Le temps: Il se transformera en lumière.
_ l'heure: Je serais morte avant sa transformation, je ne suis qu'une heure!
_ Le temps: Tu me fais rire... Il rattrapera tes funérailles.
_ L'heure: Je ne trouve pas qu'il s'agit de la bonne solution. Tu vois, le peuple n'est jamais content!
_ Le temps: Tu crois peut être que j'ai des solutions à profusions?
_ L'heure: Tu est le temps non?
_ Le temps; Affirmatif et j'attend.
_ L'heure: Toi aussi tu attend le bus?
_ Le temps; Non, j'attend mon heure!
_ L'heure; Surprise... Je suis ton heure!
L'heure de la mort s'avance vers l'arbre mort et lui assène un coup à l'aide de son faux.
Rideau..... FIN
KHALED HADDAD
Le rideau s'ouvre sur ce décor:
un arbre mort se tient au bord d'un grand chaudron, une grosse louche à la main avec laquelle il mijote, à un moment un comédien portant le costume d'une baguette quitte le chaudron:
-le temps(symbolisé par l"arbre et le chaudron): pourquoi me quitter?
-l'heure (la baguette): je te quitte car je suis l'heure du pain et je souffre.
-le temps: t'as pas le droit de me quitter tu m'appartient et, et, qu'est ce qu'il a le pain il n'est pas bon?
-l'heure: nooooon.
-le temps:il n'est pas bon?
-l'heure: non, on en tue.
le temps: on tue qui? Le pain?
-l'heure: meuh non, on tue ceux qui veulent en manger!
-le temps: il faut bien qu'il y est des morts.
-l'heure:ils ont le droit d'en manger comme tout le monde.
-le temps: les autres aussi ont se droit, c'est à dire ceux qui tuent.
-l'heure: ce n'est pas kif kif, les uns en mangent alors que les autres en meurent...
-le temps: c'est normal, puisqu'on les tues.
-l'heure: c'est injuste...
-le temps:je porte l'histoire du monde; elle même injuste; d'ailleurs, ils auraient pue en manger avant de mourir.
-l'heure: ils ne peuvent pas puisque tu es ce que tu es, tu devrais leur avancer du TEMPS.
-le temps: est tu l'heure de la famine ou... une association charitative?
-l'heure: je suis l'heure d'en manger... et comme ils n'arrivent pas à moi, je me vois obliger de jeter ma surproduction par dessus bord.
Sur ce, on voit le personnage disparaître dans le chaudron... un court silence puis des planches sont jetées par le bord du chaudron.
Théatre; La solitude d'une heure
THEATRE: La solitude d'une heure
2eme acte
le rideau se lève sur le même décor à savoir, l'arbre mort mijotant les heures dans un chaudron, un personnage en sort arborant un costume représentant un bouquet de fleurs. Le bouquet s'arrête puis, commence à tourner autour du chaudron et à chaque passage devant les spectateurs ce dernier jette une fleur, une rose jaune symbole d’infidélité puis une fleur de Camélia symbole de charme,au prochain tour, il jette une fleur de cognassier symbole de la tentation, au tour suivant c'est la fleur de châtaignier qui est jetée symbole de luxure, la dernière fleur fût celle de la Tubéreuse qui symbolise les plaisirs dangereux, ainsi le bouquet fît place à une fleur de coquelicot qui est le personnage lui même. Cette fleur symbolise une fille de joie. La fleur s'approche du chaudron, s'arrête de tourner, l'arbre arrête de mijoter, l'arbre mort s'adresse à elle:
_ Le temps: Oh heure de la joie, pourquoi me quitter?
_ L'heure: Je ne suis qu'une fille de joie et j'ai l'intention de me repentir.
_ Le temps: Ainsi, tu veux me priver de plaisir!
_ L'heure: Mon plaisir est sans joie figure toi...
_ Le temps: Il n'y a que toi pour vendre de la joie.
_ L'heure: Je ne peu te vendre ce que je n'ai pas, je ne vend que l'illusion d'un plaisir.
_ Le temps: Pourquoi donc, t'appelle t'on fille de joie?
_ L'heure: C'est pour la pub!...
_ Le temps; De ce fait, tu vis de plaisirs sans joies...
_ L'heure: Entre autres, je vend le désir!
_ Le temps; Je te rappelle que l'autre fois... je t'ais quitté avec quelque chose en moins!
_ L'heure: Serais ce ta décence sociale?
_ Le temps: Tu es un pieux de chaque société...
_ L'heure: oui, et je travaille à la sueur de mon corps!
_ Le temps: Alors que moi.. je paie les impôts!
_ L'heure: Ne me parle plus du système, ton crane renferme ton cerveau.
_ Le temps: Tu n'est qu'un fantasme qui renferme des billets...
_ L' heure: L'illusion se fait payer cher d'ailleurs, ils sont bien lotis en son sein.
_ Le temps: Et que renferme ton sein? (il parle sur un ton moqueur)
_ L'heure: La maternelle... vu que chaque client redevient enfant sous mes serres...
La fleur disparaît à l’intérieur du chaudron.
RIDEAU
ACTE 3
Même décor soit un arbre mort mijotant les heures à l’intérieur du chaudron à l'aide d'une grande louche, un personnage quitte le chaudron en cape rouge avec du feu remplaçant le visage. Il s'entoure de fumée:
_ L'heure: Je suis la peur, l'heure d'avoir peur a sonné.
_ Le temps: Tu es juste une heure...
_ L'heure: Et je te fais peur!
_ Le temps: Bof tu va passer comme toutes les autres.
_ L'heure: Je bouffe tes entrailles!
_ Le temps: Je suis ton maître...
_ L'heure: Moi... je transporte l'horreur, la misère.
_ Le temps: Après toi l'accalmie
_ L' heure: Nooon car tant que j'existe le monde a peur!
_ Le temps: Et quand fais tu du courage?
_ L'heure: Cette heure me devance généralement mais, très vite je la submerge pour qu'elle aille trembloter ailleurs.
_ Le temps: Tu peut aussi être un sauveur!
_ L'heure (avec un rire): C'est toujours les lâches que je sauve, et comme le monde en ait plein...
_ Le temps: Il y a aussi ceux qui t'adorent...
_ L'heure: Mes associés oui. C'est les mesquins et les faux cul, c'est eux qui me font vivre à travers toi. Je suis ton cousin, tu coule indifféremment et je marche à tes côtés.
_ Le temps: Ta vie est limitée par les secondes que je te prodigue.
L'heure(avec un sourire narquois): Je t'usurpe à chaque fois quelques instants, je t'insulte et tu aboie.
_ Le temps: Tu es donc mon côté sombre
_ L'heure: Je suis un virus qui se multiplie sans raison, je suis la mère de tout les maux,je suis un fléau qui manque de mots et qui broie les sots...
_ Le temps: Ton orgueil me fais rire!
_ l'heure: Je le mérite.
_ Le temps: Je t'envoie la bravoure, elle est derrière toi!...
_ L'heure: Oh non! Elle est incorruptible, c'est la seule qui me nuit...
Précipitamment, l'heure de la peur s'enfonce dans le chaudron, l'arbre mort reprend son mouvement.
RIDEAU
Théâtre: La solitude d'une heure, (suite et fin) :
Le rideau se lève, on voit encore et toujours le temps imperturbable, impassible symbolisé par l'arbre mort entrain de mijoter les heures dans un chaudron avec une grosse louche, subitement un personnage "symbolisant l'heure" quitte le chaudron. Ce personnage porte le costume d'un squelette qui tient un faux dans sa main, il est recouvert d'une cape noire, c'est l’allégorie de la mort qui prend la parole:
_ L'heure:Je suis l'heure de la mort Oh temps!
_ Le temps: Tu te consumeras comme tes sœurs...
_ L'heure: Il y en aura toujours d'autres.
_ Le temps: Je représente le présent, tu n'es rien sans moi!
_ L'heure: Quand j’existe le présent m'appartiens et tu n'y peu rien
_ Le temps: Tu me défie, mais tu n'as pas d'avenir.
_ L'heure: Il y a les autres!
_ Le temps: Elles m'ont oubliées!
_ L'heure; Comment peuvent elles le faire puisque tu les as faites?
_ Le temps: T’inquiète... Tu es à moi et tu la ferme...
_ L'heure: Oublie tu la liberté d'expression, je dirais mon avis!
_ Le temps: Laisse moi rire, tu n'as rien à dire puisque tu es l'heure de la mort.
_ L'heure: Nous les heures avons décidé de manifester, nous ferons gréve.
_ Le temps: J’effacerais l'émeute le temps d'un tsunami!
_ L'heure: Je me la boucle alors?
_ Le temps: Tout à fait, et dis toi bien que tu attend le bus qui... éventuellement t’aidera à avancer. Mais tu ne fais qu'attendre.
_ L'heure: Très drôle d'autant plus que le station de bus s'éloigne sans cesse de moi!
_ Le temps; Cour... Il y en aura un pour tout à l'heure...
_ L'heure; Je ne peux courir vu que je suis astreinte par les secondes de mon temps!
_ Le temps: Tu divague. C'est moi le temps.
_ L'heure: Tu me feras donc crédit de quelques secondes, c'est marrant au fait, comment pourrais je le reconnaître?
_ Le temps: Il sera de sang...
_ L'heure; Il y a trop de sang inéquitable sur terre, je me sens déjà perdu...
_ Le temps: Il se transformera en lumière.
_ l'heure: Je serais morte avant sa transformation, je ne suis qu'une heure!
_ Le temps: Tu me fais rire... Il rattrapera tes funérailles.
_ L'heure: Je ne trouve pas qu'il s'agit de la bonne solution. Tu vois, le peuple n'est jamais content!
_ Le temps: Tu crois peut être que j'ai des solutions à profusions?
_ L'heure: Tu est le temps non?
_ Le temps; Affirmatif et j'attend.
_ L'heure: Toi aussi tu attend le bus?
_ Le temps; Non, j'attend mon heure!
_ L'heure; Surprise... Je suis ton heure!
L'heure de la mort s'avance vers l'arbre mort et lui assène un coup à l'aide de son faux.
Rideau..... FIN
KHALED HADDAD
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LA PERLE NOIRE
A ce cou dénudé,
Agrementé d'une cicatrice,
J'ai volé un baiser,
Psalmodiant un caprice.
A ce sein à moitié nu,
Voilé par un foulard,
Vers lequel je me mûe,
Vénérant son dard!
On n'a pas le droit de la réprimander,
En cherchant sa voix,
Elle a choisie le péché!
Au plaisir que j'aurais,
A partager sa couche,
Constamment violée,
Par des diables de souches.
Mais pourquoi m'en faire,
De sa vie brisée,
Qui n'a de cesse de lui plaire,
Ainsi que ma jalousie dévouée!
A la voir appartenir aux choses de la chair,
Que j'irai sans cesse maudire,
Sous son toit en un éclair...
C'est au sortir d'une mosquée,
Que la vit ma foi travestie,
Pour qui il manque un pieu...
serais ce la faute d'un cœur éblouie!...
C'étais à l'avenue de la liberté...
Un bistrot et une moquée,
Se trouvaient sur le même trottoir,
Assortis de la femme en noir!
Son passage délirant,
Fait remuer les queues.
Et son flegme palpitant,
Réchauffe les cœurs des gueux...
Ceux au sortir des tavernes,
Se trouvent sans le sou,
Pour rassasier leurs gouvernes,
Ces miteux ces poux!...
KHALED HADDAD
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Questionnaire de l'Atelier des auteurs
Pourquoi écrivez-vous ?
c'est plus l'écriture qui est venu vers moi que le contraire, je me suis alors vu contrains d'écrire ce qui n'est pas du tout à me déplaire bien au contraire. Je trouve cela délicieux.