
Jacques-Charles
J'écris la nuit, la mer, le vent, le ciel, rivières.
Je m'assois et je saigne, je me dis et j'écris pour vivre fort. Mon style est lugubre, taciturne, cru et vivant.
Aussi vivant que la pluie. Je donne de la teneur au vide et un objet à la souffrance.
Lorsque le soir, le ciel rougit sous les compliments du temps, debout au bord de la vie, j'écris, assoiffé de nuits et de minuit,
de dieux et d'esprits, de jours fériés et pluvieux.
12
œuvres
0
défis réussis
19
"J'aime" reçus
Œuvres
Un recueil de poèmes qui fleurissent à l'ombre des yeux fermés.
Un livre fermé qui s'ouvre depuis la contemplation et non la lecture, dans des lieux arabesques, dans des rimes intellectuelles et pures.
Je frappe de dilemmes cornéliens, je récalcitre dans la déchirure du livre des lois de la langue et des adjectifs.
Je noie du vin dans des feuilles et vous voyez des poèmes vifs.
Le monde m'ennuie, le monde m'inquiète. Alors, j'écris ce qui me reste, mes fantaisies, mes éclairs de liberté.
Un livre fermé qui s'ouvre depuis la contemplation et non la lecture, dans des lieux arabesques, dans des rimes intellectuelles et pures.
Je frappe de dilemmes cornéliens, je récalcitre dans la déchirure du livre des lois de la langue et des adjectifs.
Je noie du vin dans des feuilles et vous voyez des poèmes vifs.
Le monde m'ennuie, le monde m'inquiète. Alors, j'écris ce qui me reste, mes fantaisies, mes éclairs de liberté.
8
4
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J'écris, ce que je ressens...
J'écris dépassé par la vie, exalté par mes sens, amant de la vigne...
J'écris dépassé par la vie, exalté par mes sens, amant de la vigne...
1
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35
Décicé à se suicider, incapable de résister à l'appel du vide.
Kuro vit mort et veut encore mourir.
Ce suicide, sa fin du monde n'est que le dernier tournant vers sa plus profonde géhenne.
C'est pire alors que le suicide et l'on s'enfonce, déchiré, dévoré et calcifié dans le désespoir malgré tout jusqu'à se trouver un beau jour assis aux pieds de soi-même, libéré et vivant.
Kuro vit mort et veut encore mourir.
Ce suicide, sa fin du monde n'est que le dernier tournant vers sa plus profonde géhenne.
C'est pire alors que le suicide et l'on s'enfonce, déchiré, dévoré et calcifié dans le désespoir malgré tout jusqu'à se trouver un beau jour assis aux pieds de soi-même, libéré et vivant.
3
6
1
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Questionnaire de l'Atelier des auteurs
Pourquoi écrivez-vous ?
Parce que la vie est la lente, pare que je peux ressentir des trous noirs. Parce que le temps dilate sans cesse mon âge, parce que j'entends des dieux. J'écris pour donner une voie à ce que personne ne veut entendre, je suis l'enterrement de la norme, l'avant ex nihilo. Je viens pour le progrès de la décadence.
Listes
Avec Aléna...