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une soeur de plus

une soeur de plus
désigne une couleur de cheveux : un blond jaunâtre , brunissant. " Monsieur mon cousin, Jamais , non! jamais je ne vous pardonnerai de m'avoir ainsi insultée. Comment avez vous pu, avez-vous osé ? Dans votre histoire amoureuse des Gaules? J'ai lu , j'ai fini par lire votre portrait de moi...s'il eût été d'une autre , cela m'eût fait rire . Mais je dois dire qu'en l'occurrence ,il ne m'a même pas fait sourire. D'autant que j'ai entendu dire dans des salons que vous le complétiez d'allusions à la couleur queue-de vache de mes cheveux blonds..Je ne vous pardonnerai jamais d'avoir ainsi comparé ma chevelure à cet ignoble appendice. Etre ainsi l'objet des divertissements de toutes les provinces sans parler de la cour ! Recevoir cette douleur, par qui ? Un mien cousin ! Il ne me reste plus qu'à écrire à ma chère fille et à lui dépeindre le portrait de vous qu'on trouve en votre château .Portrait de vous en empereur romain ! Et où vous avez les cheveux couleur caca dauphin.
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une soeur de plus
JAVOTTE SE REBELLE, une édifiante révélation en ligne. Est- ce que vous avez la moindre idée de ce que cela signifie ? On se moque de nous, on nous traite de garces, ma soeur Anastasie et moi. Sur les réseaux sociaux, on nous déclare la guerre. On a même déguisé les cousines les plus ridicules de la reine d’Angleterre pour qu’elles nous ressemblent lors du mariage de Kate et William ; allez voir et vous verrez à qui on nous a comparées. Et encore cela ce n’est que ce qui se passe de vos jours . Car dans le passé, on nous a coupé les pieds, on nous a rendues aveugles, on nous a torturées. Je remercie M. Perrault d’avoir, somme toute, été convenable quand il nous a décrites mais ces Messieurs Grimm, quelle paire de sadiques… Allez relire leurs contes et vous le constaterez! C’est vrai : nous n’avons pas toujours été sympa avec Cendrillon. C’est vrai : nous vivions dans les pièces « parquetées » et elle pas. C’est vrai : elle nous servait de chambrière et en compensation; nous nous moquions d’elle. C’est vrai, nous sommes allées au bal du roi et j’ai refusé ( ce n’était pas Anastasie, elle, son truc c’était de supprimer ce qui ne lui plaisait pas avec des ciseaux ou de gros feutres no
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Défi
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Oui, dès l'instant que je vous scribavis, Défi féroce ,vous me sribayâtes Mais de quel air froid vous scribreçûtes, tous les soins que pour vous je sripris ! Combien de soupirs je scibrendis ! De quelle cruauté vous scryfûtes! En vain je priai, je sribagémis Dans votre dureté vous scrisûtes Mépriser tout ce que je scifis. Ah ! fallait-il que je vous scribouivisse, Fallait-il que vous me scyplussiez, Fallait-il que je vous scribaimasse, que vous me sridésespérassiez Et qu'en vain je me scryopiniâtrasse Et que je vous sridolatrasse Pour que vous me défissassassinassiez. ,
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une soeur de plus
- C'est quand même un peu fort, tout ça ! dit Papa Ours. - Tout ça parce qu'elle est humaine et nous, on n'est que des animaux, ajouta Maman Ours de sa voix douce. - Et en plus, on lui pardonne tout parce qu' elle est trop zolie, renchérit Petit Ours avec sa petite voix. - N'empêche qu'elle a squatté notre maison ! - Et qu'elle a vandalisé notre mobilier. - Et en plus, elle nous a volé de la nourriture ! - Quand ça vous arrive à vous, les hommes, d'avoir des inconnus qui squattent votre maison, cela vous horrifie. Vous en faites des reportages à la télé : vous savez bien que les spectateurs sont du côté des propriétaires et pas du côté des squatteurs. - Vous avez même fait des lois là-dessus : occupation illicite d'un logement article 226-4 de votre code civil. Vous avez des procédures d'expulsion avec ou sans préfet, avec ou sans commissaires de justice, avec ou sans forces de l'ordre. - Et en plus, c'est pas bien d'entrer chez quelqu'un sans avoir le droit, elle l'a dit la maîtresse. - Soyons clairs. Reprenons les choses dans l'ordre : en 2015, grâce à un héritage, nous avons enfin pu Maman Ours, Petit Ours et moi, acheter notre résidence secondaire sise au lieu-dit La Clairière
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Défi
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L’h...mme et la mer Charles B...delaire Hmme libre, tujurs tu chériras la mer ! La mer est tn mirir ; tu cntemples tn âme Dans le dérulement infini de sa lame, Et ton esprit n’est pas un guffre mins amer. Tu te plais à plnger au sein de ton image ; Tu l’embrasses des yeux et des bras, et ton ceur Se distrait quelquefis de sa prpre rumeur Au bruit de cette plainte indmptable et sauvage. Vous êtes tus les deux ténébreux et discrets : Hmme, nul n’a sndé le fnd de tes abîmes ; mer, nul ne cnnaît tes richesses intimes, Tant vus êtes jalux de garder vs secrets ! Et cependant vilà des siècles innmbrables Que vus vus cmbattez sans pitié ni remrd, Tellement vus aimez le carnage et la mrt, lutteurs éternels, frères implacables ! Charles B..delaire
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Défi
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je n'aurais jamais pensé qu'un cornichon puisse souffrir autant ; coincé dans mon burger, je manque d'air même émincé. Je suis coincé entre un bout de fromage coupé net à la trancheuse, des oignons qui me rampent dans le dos et ce pain , ce pain qui pèse si lourd et qui me bloque et qui m'étouffe. Rien de sexy .Et ce steak haché qui me dégouline dessus, je me sens sale . Horrible sensation! Pour corser le tout , cette sensation de chaud, de vertige ; je palpite ; je vais m'évanouir. Vivement que ce putain de conducteur arrive à la borne de paiement ! qu'il ouvre le sachet, la boite ! que je disparaisse une fois pour toutes!
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une soeur de plus
Le blog des laiderons Cher vilain petit canard , je sais combien il est difficile de réussir dans la vie quand on n’est pas joli. C’est d’ailleurs curieux que le physique ait autant d’importance dans la vie. Finalement, personne ne s’intéresse à ton intellect ni à tes qualités morales .En tout cas, pas au début . La première qualité pour franchir les barrières sociales, c'est être plaisant . On comprend à travers ton histoire combien tu as dû souffrir d’être sans cesse rejeté même par ta mère et tes frères . La différence , c’est quelque chose que les gens ne supportent pas . On parle beaucoup de délit de faciès à propos des gens d’origine étrangère mais pourquoi ne parle-t-on jamais du délit de faciès dans les cours de récréation : trop roux , trop gros , trop lunetté, trop maigre , trop boutonneux ? Pourquoi n’en parle-t-on jamais quand une fille choisit son premier petit copain : trop petit,trop gros , trop roux , trop boutonneux ? Pourquoi n’en parle- t on jamais dans les rangs des bonnes copines : « elle devrait faire un régime…. Tu as vu son acné à son âge? …..Il faudrait vraiment qu’elle s’arrange un peu » ? Pourquoi n’en parle-t-on jamais quand il s’agit d’embauche « Non ,m
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Défi
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Y'en a marre de leurs séminaires à la con ! ! ! Vive le confinement et le télétravail ! C'était bien mieux avant quand on n'avait pas le droit de sortir de chez soi et que, lors d'une réunion de boulot en "distanciel", on n'avait qu'à baisser le volume de son ordi pour être tranquille. Ils nous ont tout fait : le lasergame pour augmenter l'esprit d'équipe ; la compétition de Guitar héro pour voir qui a le meilleur doigté, le stage de boxe histoire de voir qui serait envoyé dans les cordes, le rafting en duo pour évaluer notre capacité à descendre le courant. Et cette semaine, un séminaire à la montagne dans un "charmant petit chalet" pour tester notre habileté sur des skis . Et ils appellent ça " Equilibre et coordination". Cela ne tiendrait qu'à moi, je les enverrais bouler eux et leurs séminaires à la c... , je partirais sur les sentiers, je ne penserais pas , je ne parlerais pas et j'irais loin, bien loin.
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LE FORUM DES MARATRES -Oui, il faut que tu réagisses maintenant…ça commence toujours comme ça, on prétend que tu ne les aimes pas, que tu serais prête à les abandonner dans une forêt, à engager un chasseur pour les tuer, à convaincre leur père qu’ils sont de trop dans leur couple. Moi, on a raconté que j’étais jalouse parce qu’elle était plus jeune, plus belle ; que je passais mes journées à demander à mon miroir si j’étais toujours la plus belle… tu vois le genre ? Jalouse de cette gamine, moi ? Pas du tout. C’est elle qui a fugué dans la forêt, problèmes d’ado . classiques : plus de mère , père absent, tatati tatata…quand on l’a retrouvée dans une maison avec SEPT types, tu penses bien qu’il lui a fallu s’expliquer. Alors,on m’a tout mis sur le dos et maintenant mon mari me fait passer pour morte. Fais attention à toi. Ils sont capables de tout ces sales gosses. La Reine du miroir magique ________________________________________________________________________ -Merci de ton soutien, chère Reine. On n'arrête pas de dire que je soutiens mes filles, Javotte et Anastasie, que je n'arrête pas de la faire travailler aux tâches ménagères.Il n'en est rien. cette sotte de Cendrillon est c
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On ne se méfie jamais assez des petites mains. Vous ne savez pas le nombre de choses que l’on connaît et que l’on tait par simple esprit de fidélité …. Parce que c’est le job qui veut ça. Mais depuis l’histoire de cette malheureuse femme de chambre sur laquelle le prince de Fmilandie a voulu exercer son droit de cuissage, j’estime que la coupe est pleine et qu’il est temps de parler, de tout révéler. Il faut tout dire. _____________________________ D’abord cette fille, elle travaillait à refaire les lits et à nettoyer les chambres dans le palais .Sa vie, c’était ramasser les affaires des autres, nettoyer la crasse des autres, changer les draps salis par d’autres. On dit souvent qu’un valet sait tout de son maître. Elle, elle savait tout sur leurs personnalités : les crottes de nez écrasées sur le bois de lit,les toilettes dégoutantes, les bouteilles d’alcool vides dans la poubelle de la salle de bains, l’arrogance de certains, les petites humiliations gratuites. Il y en avait bien peu d’aimables... Elle, elle se taisait, constatait et nettoyait derrière eux. Elle n’aimait pas trop les rencontrer même si elle loupait ainsi quelques pourboires. Elle préférait intervenir dans des cham
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7 Décembre Ca y est, je me suis enfin barrée de chez ma daronne. je n'en pouvais plus de tout le boulot qu'elle me donnait à faire. Et puis jalouse avec ça, c'est de ma faute à moi si j'ai vingt ans de moins qu'elle et si je suis plus jolie ? Elle, elle passe son temps à se regarder dans un miroir et moi, je me tape le travail alors que la seule chose dont je rêve , comme tous les ados, c'est de faire la grasse mat et de buller sur mon lit. Alors je me suis barrée. Je suis partie dans la forêt, c'est là que ça s'est compliqué. Des branches, des cailloux, des bruissements, de la nuit. Bref, de quoi faire peur à n'importe qui. D'autant que je n’avais plus de logement, plus de famille, plus aucun endroit où vivre. J’avais marché, couru dans la forêt jusqu’à épuisement. C'est là que j’ai trouvé : une cabane dans les bois. Tout était si petit, si mignon. Et propre, si propre. C’était plutôt bon signe. La table était mise avec sa nappe blanche et sept petites assiettes ayant chacune son couvert: le petit couteau, la petite cuiller, la petite fourchette et le petit gobelet. Mignon comme tout ! Sept petits lits s'alignaient côte à côte le long du mur, bien faits, et tous avec de beaux drap
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Défi
une soeur de plus
Eh non ! quand votre frère a un avc et devient hémiplégique, cela ne fait pas de lui un demi-frère. Mon frère a vécu cet épisode douloureux de l'hémiplégie ,son corps et son esprit s'étaient lancés dans un duel abominable, interminable car la partie gauche fonctionnait quand la partie droite refusait d'obéir, car son cerveau enregistrait toutes les informations ,comprenait tout le langage mais était incapable d'émettre la moindre phrase. A la différence d'une lobotomie, l'altération du cerveau subie par mon frère n'avait entraîné ni déficience ni amnésie ni indifférence. Jojo n'était pas un voyageur sans bagages, il avait conservé tous ses souvenirs, toutes les empreintes de sa vie d'avant ; c'était cela qui le faisait souffrir... C'était cela qui nous faisait souffrir aussi et quelles que soient la sympathie ,l'amour dont il était entouré, on voyait bien qu'il vivait dans le regret de sa vie d'avant et cela, nous ne pouvions le lui rendre. La vie avait présenté ses factures, il fallait les acquitter : plus d'autonomie, plus d'activité professionnelle, plus de famille non plus en dehors de nous, ses soeurs, plus de moyen de communiquer, de se déplacer. Bloqué dans son fauteuil, à r
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