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LEclatDuFil

Bienvenue dans mon univers.

Je suis une conteuse passionnée par les récits où la magie murmure dans chaque recoin, où les voix inattendues, comme celle d’un chat aux moustaches, racontent des histoires oubliées.

Mes récits mêlent aventure, mystère et un soupçon de fantastique, avec des personnages qui cherchent leur place dans un monde en équilibre fragile.

Ici, vous trouverez des histoires de donjons oubliés, d’artefacts mystérieux, et d’âmes liées par le destin.

Je publie régulièrement et j’adore échanger avec mes lecteurs, alors n’hésitez pas à laisser vos impressions.

Merci de me suivre, et que la magie guide votre lecture.

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œuvres
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défis réussis
37
"J'aime" reçus

Œuvres

LEclatDuFil
Un récit raconté par un chat. Pas un chat ordinaire.

Je suis Seylia. J’ai des moustaches, un pelage soyeux, et des secrets plus anciens que cette guilde pleine de jeunes héros.
Liuwen, elle, croit m’avoir adoptée.
Mais dans les ombres des ruines, entre les pages d’un grimoire oublié, dans le reflet d’un œil étrange et brillant… ce n’est pas elle qui veille sur moi.
C’est moi qui veille sur elle.

Dans un monde où la magie vacille et les racines pourrissent, une simple mission d’exploration se transforme en quête interdite.
Elle est jeune, brillante, un peu trop curieuse.
Ils sont un groupe de bras cassés unis par le hasard.
Et moi, je suis là. Toujours là.

Un œil arraché au mur. Une vérité enfouie. Et la promesse d’un danger venu de très loin.

Ils croient encore choisir leur route.
Moi, je sais déjà que le fil est tendu.
Et qu’il commence à vibrer.
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Défi
LEclatDuFil
Il était une fois un dragon qui n’aimait ni l’or, ni les trésors, mais les fraises Tagada. On l’appelait Sir Goulaflamme, bien que personne ne l’ait jamais vu flamber quoi que ce soit, à part un flan caramel une fois, par accident. Son ventre était aussi rond qu’une boule de gomme géante, et ses ailes étaient un peu collantes à force d’atterrir dans du sirop d’érable. Un jour, alors qu’il faisait sa sieste digestive sur un nuage vanille, une flatulence particulièrement sucrée le propulsa dans le ciel. Il tourna, fit un looping, éternua trois arcs-en-ciel de skittles… et s’écrasa avec un plouf moelleux dans une rivière de jus de Nectarine. — Mhh… la gravité a bon goût ici, marmonna-t-il en se redressant lentement, le museau dégoulinant de liquide orangé. Il se trouvait au cœur du Royaume de Sucrémiel, une contrée gouvernée par la princesse Caramella III, réputée pour sa diplomatie fondante et ses décrets enrobés de chocolat. Le sol était en pâte d’amande, les rivières coulaient au cola, et les papillons étaient des réglisses volants, zigzaguant entre les arbres de cristaux pétillants de la forêt de Givréclairs. Un paradis pour Sir Goulaflamme, qui s’installa dans un ancien volcan re
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Défi
LEclatDuFil
À ma porte se tient la Laideur. Mais elle n’est pas une étrangère venue d’un autre monde. Non, elle est l’enfant de l’humanité, née de nos choix, de nos silences, de nos blessures. Elle porte mille visages : celui d’un mari dont la colère brûle plus fort que l’amour, d’une mère qui noie ses peines dans l’alcool pour oublier l’ombre de ses jours, d’un dealer dont le regard trahit la faim et la misère. La Laideur, ce n’est pas qu’une apparence déformée ou une tâche sale. C’est le reflet brisé de ce que nous avons créé, un miroir que nous refusons souvent de regarder. Je l’observe, et dans ses yeux fatigués, je vois nos erreurs, nos peurs, nos espoirs déçus. Au mari en colère : Tu ne connais que la violence. C’est ton langage, ton abri, ton armure. Tu cries parce que tu n’as jamais appris à parler autrement. Tu frappes parce qu’on t’a frappé, parce que les sentiments refoulés te brûlent plus fort que les mots. Mais dis-moi, comment pourrais-tu aimer… si personne ne t’en a jamais montré le chemin ? À la mère noyée dans l’oubli : L’oubli, c’est la sortie de secours que tu as prise trop souvent. L’alcool a remplacé les bras qui auraient dû te retenir. Tu n’as jamais voulu fuir, pas vraim
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Questionnaire de l'Atelier des auteurs

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Avec INTYLHAË - Tome 1 : Les Exilés Obscurs., Comme un air de déjà vu...
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