A, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n, o, p, q, r, s, t, u, v, w, x, y, z, 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9 sont des significations sans aucune explication logique. Pourtant les lois de la nature sont parfois dénuées de sens mais l’homme et la science font que parfois ce qui nous semble naturellement exploitable s’arrête au moment où, toute facette de la réalité n’est plus concevable. Par exemple dire que 1+1=2 est une loi de la nature, n’est pas prouvable mais qu’acceptable, pourtant 1+1 peut donner 3 ou même 11 si on se base sur l’association de deux nombres.
 Cette façon de voir les choses, démonte totalement tout sujet en matière de réflexion, ouverture d’esprit et sociabilité. Je ne vous apprends rien car tout ce que je mets en avant est automatique rejeté. N’est-ce pas une manière de voir les choses autrement ? Une façon de montrer que toute logique est illogique ? Se rendre compte de notre erreur en disant que tout ce qui est simple est plus complexe au sens propre du terme que figuré ? C’est un abordement tout bonnement incorrigible comme corrigeable. A la fois supportable et insupportable, tous les oxymores, antithèses et antonymes se valent vu que ma manière d’exprimer un principe est par ailleurs effacée de la liste.
 Ce qui m’a inspiré ceci est une simple discussion avec mon père autour des lois de la nature qui s’acceptent mais qui ne sont pour la plupart, pas démontrables et irréelles, elles sont juste présentes chaque jour et tout comme nous, elles s’imprègnent de la vie pour exister sans aucun but précis.
On peut débattre sur un autre sujet (même si je me contredis à longueur de chemin)…
 Prenons par exemple les équations d’oxydoréductions : quand bien même nous prenons de part et d’autre des équations chimiques qui démontrent l’existence de substances élémentaires, Lavoisier semble à la fois nous mettre sur la voie et nous montrer une erreur de sa part en énonçant ceci : « Rien ne se perd, rien ne se crée : tout se transforme ». Pourtant quand on y ajoute à gauche et/ou à droite un élément, il faut faire preuve d’équilibre mais si on ajoute un élément tel que l’eau (H20) dans du chlorure de sodium (NaCl), même si on le récupère d’une source connue, méconnue ou inconnue, dans la formule de développement, c’est de « l’eau » qui est créé, ajouter ne veut pas forcément dire créer vous allez me dire. Seulement, la manière de voir la création et l’ajout se complètent tout en se séparant.
 L’ajout et la création sont deux notions totalement distinctes mais en examinant leurs mises en situation, on se rend compte que le fait d’ajouter une substance dans une autre, quel que soit le domaine, nous créons un chemin, une passerelle, un intermédiaire même, entre chacun.
Mais finalement, la contraction vaut l’approbation ?

Bien que la pluie et le beau préparent leur assaut pour nous offrir le meilleur de nos moments, plus profond dans les hautes herbes séjournent des légendes qu'il ne faut surtout pas chercher...Oui celles qui devorent nos soirées, cauchemars après cauchemars et qui se permettent de nous apprendre à nous méfier de nous-memes ou d'avoir le gout de la peur qui, jusqu'à ce que l'adrénaline nous envahisse et anonce notre mort sur un pieds décidé !

 Bien qu'une puissance autre que la nôtre détienne le don de la création, elle n'en est pas moins faisante du bon ou mauvais, nous laisse le choix et l'issue de la roulette russe, seulement voilà chaque jour avec ou sans intention derrière un geste, on y trouve des paroles insencées, qui font nettement "froid dans le dos" : ce genre de gestuelle à adopter devant un public soumis à ses propres cicatrices, cette espèce de fourmilière prête à donner corps et âme juste pour "découvrir de nouvelles expériences"... "c'est une façon de voir les choses" dit le dernier des insoumis devant une silencieuse population le regardant étrangement avant que sa pendaison ne vienne l'emporter à jamais !

 Raison pour laquelle je voulais me rencontrer une seconde fois, ne serait-ce qu'antérieurement aurait changer la donne. Je ne sais si la technologie actuelle me permettrait de me rencontrer moi-même par le biais de la communication à travers une dimension parallèle, voire même un univers personnellement lié. Etroitement intime, je pense être capable de m'avouer invaincu par moi-même, quel en serait l'avènement avec ma procrastination passée ? Cette entité qui a tout de moi sauf qu'elle n'est pas encore si développée que le prototype du futur. Ça pourrait être "marrant" de voir ce qui se passerait.
 Bien que j'eus l'occasion de pouvoir me remettre dans le bain, je me suis déjà imaginé une altercation entre mon passé et futur, mais n'avais pas pensé entre passé et présent car oui, je vis à présent le moment actuel, paradoxe pour lequel je confondais souvent futur et présent, cette minuscule interface faisant la passerelle entre deux ensembles profondément et prochement lointains.
Je me suis déjà mis en situation pour, dès à présent répondre à tout sur tout me correspondant !
(M [Mehdi] : le passé, B [Bunchoki] : le présent)
M : Ça sert à quoi de continuer, si tout ce que je fais ne me mène qu'à la solitude et au fait que j'aille à l'encontre-même de mes parents, des professeurs et même de ce qui me rattâche à la vie dont l'existence m'est incertaine ? Je dois forcément le savoir vu que je me connais déjà !
B : Franchement, sincèrement? Je connais déjà l'issue, raison pour laquelle je vais me remettre à nouveau à jour. Je dois me fixer des objectifs comme trouver mon point G en dehors des "meuf et tout ce merdier". Frémir de bonheur juste à l'idée d'avoir réussi à devenir moi-même, quelqu'un qui se connaît au-delà de sa progéniture. Cet exploit je ne le dois qu'à mes propres recherches, à mes moyens et modes de vie contradictoires mais qui me sont propres.
 J'ai pas vraiment répondu à ma question mais je pense, que je crois, que je suis sûr, que je peux changer ma vision des choses. Pas vraiment comme je le percevais au début, mais d'ici une vie antérieure, j'aurai sûrement compris grâce à la maturité et au fait de reporter à plus tard ou plus tôt ma procrastination que ma vie ne se compte pas sur le bout des doigts ou ne s'accelère pas comme une chronomètre. J'entends bien par vie antérieure, une vision qui s'est éteinte et une autre qui l'a remplacée ou l'ayant mise à jour.
M : Mh, je pense avoir compris ce qui se trame, sans m'être réellement instruit sur ma situation actuelle, mes manques se compensent grâce à la voie que j'emprunte. Cette lignée qui me paraît vraiment compliquée à toucher même du creux des doigts, je commence à m'y pencher tout doucement.
 Cette apologie qui est tout bonnement naturelle, cohéxiste dans notre monde, pas pour la même raison pour laquelle j'existe encore mais pour permettre aux "perdus sur la Lune" de s'adonner à leurs activités et affluer d'abondance. C'est-à-dire, de changer la donne par leur détermination et physiologie très particulière qui ne se dégage que de certain spécimen.

Etre ou ne pas être? On s'en fout en vrai !
Naître, paraître et disparaître trois notions qui nous sont propres et mortellement invraissemblables dès notre jeune âge. Je ne suis là que pour défendre l'idée dissimulée dans l'argumentation qui va suivre...
Devoir se poser la question n'est pas liée singulièrement à un principe philosophique mais correspond à une société d'une grandre envergure. En effet, ce n'est que quand une personne, un organisme ou un esprit errant entre le bon et le mauvais se pose la question " Etre ou ne pas être?" qu'il est souvent contraint à paraître ou disparaître, à se fier et/ou se méfier de lui-même comme de tout le monde, donc au final de personne.
Pour cela, se connaître apprend à quiconque de se fier en se méfiant et se méfier en se fiant à soi-même pour être prêt à en subir toutes conséquences conjuguées de part et d'autre aux individus venant à briser la confiance en soi, donc le petit et grand djiad ! Le petit correspond à transmettre ses savoirs à autrui tandis que le grand permet de se contrôler soi-même.
Qu'est-ce qu'être? Etre, c'est devoir se chercher, pouvoir expresser chaque brindille de mystère séjournant entre le Yin, le Yang et fusionnant les deux extrêmes en Tao. Etre c'est aussi ne pas être, demeurer demeuré dans les deux sens du terme : s'accepter en tant que résistant dans un monde de fou comme acquiescer fou dans un monde stable.
Poutant c'est un mot qui n'a pas besoin d'explication mais qui pour une majorité d'en nous, représente serment et honneur envers soi-même comme idole et fanatisme envers une puissance autre...

Insoumis comme la peste en 90
Si seulement les abysses
Nous avaient protégé...

"Destructeurs" avaient-t-ils dit
Si plaisantes que de la pisse
De ce cataclysme dissimulé !

 Sous un ciel de pluie de sang, germent des regards de trahison non loin de l'avenir aveuglément perdu dans l'eau de la rose du pauvre. Le monde auquel appartiennent ces domaines sont issus de la grotte à souvenirs lointains.
Grotte dans laquelle, le pouvoir de la balançoire a des penchants douteux sur l'envie précoce et donc la froide conviction de subvenir à la violence et donc à l'arme afin d'assouvrir leurs amants et amour d'un esprit perdu intérieurement. L'Homme l'appelle plus souvent la perte de contrôle, cette atmosphère si subitement atteinte, qui le rend amnésique durant le court d'un instant.
 Cet instant qui ne peut durer qu'un laps de temps comme toute une vie de vagabond du désespoir.
 Cependant, en plus de la démarche qui s'intensifie, une autre harmonie s'installe, celle de chanter ses mélancholies, sa raison d'être et celle de s'anéantir. Lorsque tout s'éteint, seul le silence vient nous chuchotter au creux de l'oreille "Hé ho, ça ne sert à rien d'aller plus loin, dors et peut-être qu'un jour, tu reverras tes envies de là-haut!"

L'histoire qui va suivre n'est pas comme le défi le voudrai : ELLE EST REELLE !
 Si j'évoque le sujet autour duquel : ceci n'est pas une mouche est très, je n'évoquerai pas de rêve souhaité même de celui s'est fait interrompre par la mouche mais la mouche qui l'a interrompu.
 Alors que je dormais profondément n'ayant aucunement l'intention de me réveiller, je me suis subitement réveillé à coup de décharges électriques, du moins c'est ce que je pensais.
 Ce n'était pas un coup de jus ou des pinces posées par quelqu'un mais bien UNE PUTAIN DE MOUCHE qui s'est introduite dans mon oreille et qui a du toucher l'une de branches neuronales et s'est effacé du monde réel... Ce qui me fait penser ceci est que j'avais fermé ma chambre à clé, du coup à part morte d'asphyxie, je ne peux encore aujourd'hui qu'affirmer ce que je vous dévoile.
 Cette saloperie a trouvé le moyen de m'éveiller à un moment non propice et s'est étrangement dissoute dans la seonde qui suivait...

Le temps de faire un RoadTrip, j'ai le temps de régler les pendules des églises pour accueillir sur la route de ma dernière heure le juron qui retentira dans ce ciel d'hiver...
Une odeur de jasmin viendra accompagner mon supplice et fera renaître le bleu de ce temps orageux annonçant la fin d'un beau jour.
Jour pendant lequel l'homme louche qui rôdait dans une nuit si crépusculaire qu'il en perdait ses mots, prétendra se promener autérieurement à la recherche de logique dans ce monde.
Ce genre d'atmosphère si familier que des expressions comme "Ce n'est pas au vieux singe que l'on apprend à faire la grimace" n'ont plus de sens.

Oui tout ce qui réfléchie dans l'essence première d'un homme perd son sens lorsque ce dernier devient un coup de vent aussi doux que son dernier souffle.

 Alors qu'un combat rude menant notre cher héros à la bête qu'il allait achever, elle lui fit une déclaration et l'envouta durant un court instant...le temps qu'il s'en apercevoive serait déjà un instant qui chamboulerait ses plans?

(Kiko : la bête, Rym : le...)
Kiko : Prends mon âme si tel est ton serment, chien !
Rym : Après coup, je préfère t'écouter et pimenter par ailleurs notre affront !
(Rym lança son arme en l'air d'une puissance si colossale que Kiko ne la vit que plus tard...)
Kiko : Pourquoi ne m'as-tu pas achevé ? J'étais à porté de vue pourtant !
Rym : J'en ai décidé un jour lorsque j'ai compris qu'il faut vivre l'expérience pour prendre une décision. Rien à voir avec toi précisément. Certes, j'ai été envoyé mais rien ne m'empêche defaire enthorse au réglement, je ne suis maitre que de moi-même, je n'ai pas à me ranger dans une garde royale ou n'importe quel autre ordre mondial !
Si tu veux m'achever, hé bien qu'il en soit ainsi, je n'en connaîtrais sûrement que très tard une infime raison de ton intention !
Que choisis-tu ?
(Kiko surpris, passant au plan B...)
Kiko : Tiens tiens, maintenant que nous sommes sur la même longueur d'ondes, je n'ai d'autres raisons que de te mettre en mauvaise posture et t'empêcher quand bien même d'en faire un choix !
Rym : Essayons ainsi !

(Rym s'assit à terre puis se coucha les yeux rivés dans le ciel, le dos lourd et les muscles engourdis, le temps le rattrapa plus vite qu'il ne pensait...)
Kiko : J'en ai affronté des Ningen mais toi, tu sembles différent voire même reculé. Bref, commençons !
Quelle mort te serait la plus favorable à ton avis ?
Rym : Laisse-moi le temps de vivre cette expérience le temps que je te dise peut-être ce que j'en pense.
Kiko : Je ne comprends pas ton principe de vivre le moment présent, il y a tellement de mauvaise nouvelle que je n'y vois plus le bout de fil...
Rym : Ce n'est pas à moi de te dire comment agir, tue-moi si ça te chante, je pense avoir atteint ma limite pour ne plus pouvoir fiare un autre périple, mon souhait serait de trouver ma jeunesse, cette incroyable changement dont j'en suis aujourd'hui maitre de moi-même, m'a ancré dans un nouveau monde, celui des vieux.
Kiko : Je ne comprends pas vraiment tout ce que tu racontes mais je veux bien savoir ce qui te rend si détendu alors que tout ton corps ne te réponds plus comme à ton époque où ta finesse force dominait ton quotidien.
Rym : La réponse, je ne pourrais te la dire, le temps m'est compté et tout comme croyant de soi-même, j'ai une dette envers un autre...
Kiko : Comment es-tu arrivé à aboutir à une telle conclusion ? J'ai échoué dans ma mission...
Rym : A toi aussi ? Ce n'était pas par tout hasard, une guerre entre homme et bête pour parvenir à la conclusion suivante : apprendre de soi-même dans l'ennemi faisant parti de la même terre ?
Kiko : ...
(Au moment où Rym finit sa phrase, Kiko pleura pour la première fois de retrouvaille durant un laps de temps et vu l'épée revenir sur Terre et trancher la tête de Rym)
Kiko : Merci infini ! Je saurai peut-être un jour qui je suis, ce que je veux et pourquoi as-tu choisi la mort au même prix que la mienne ...
A présent, je retourne remettre de l'ordre dans ma vie, ma tête brouille de cauchemars et je me débrouillerai ainsi jusqu'à ce que mort s'en suive...

(L'altercation prit fin et Kiko prit un penchant totalement différent grâce à une rencontre hors-norme)

~Dans mon monde, je ne trouve que ce qui me fascine ! Dans ma dimension je ne ferais référence qu'aux visages qui me dévisagent, les voici !~
 Bien que nous connaissions trois grandes faces cachées telles que l'optimisme, le pessimisme et la neutralité, arriver à maturité, j'ai pu, pour ma part, m'adonner à plus d'ouvertures antérieures : elles recellent les péchés capitaux mais aussi celles qui sont face contre terre, nous menant au désespoir comme à l'acception!
 En effet, je retiens quinze "mod" dont la complexité est toute particulière :
 Nous avons tous un esprit rêveur, oui ce "mod" qui s'anonce et énonce des moments forts et difficiles qui nous caractérisent. Ce qui nous renvoie à d'autres comme la colère envers soi-même ou autrui, ce manque de patience ou d'incompréhension s'éloge notamment avec ses deux extrêmes. Dont, la perte de contrôle totale, le fait d'être hors de soi dépend de la personne mais pour ma part, je reste indécis et laisse place à mes subordonnés... mais il y a aussi l'acceptation qui est le sommum de tous les autres, le fait de vouloir comprendre mon état, ce fondement ne s'acquiert qu'à l'exception de se connaître un minimum, de se remettre en question etc... que "j'allégorifie" par l'instinct animal, cette principale sonorité interne qui nous rapproche en tout point de l'animal à proprement parlé !
 Par ailleurs, j'ai aussi repéré dix autres tels que la tristesse qui est soit tirée par ce qui se rapproche le plus du bonheur ou de l'envahissement total de désarroi et de rage. Pour parvenir à la première option, il faut avoir une estime de soi-même assez large et profonde pour devoir se dire "Est-ce que je mérite vraiment cette manière d'agir?", tandis que l'autre s'appostrophe au fur et à mesure que l'entendement est de plus en plus torturé par la différence de peau, d'origine, de but et de maturité surtout !
 En plus de cela, il me reste deux états perturbateurs (et bien d'autres) mais quand même importants à expliquer tels que : le fait d'oublier, cette incapacité élevée à différents degrés. Ce quime mène au pressentiment... OUI cette sensation d'avoir vu durant un court instant le futur, de frissonner à l'idée de devoir se confronter à un danger majeur. Ainsi, il en reste un qui se base sur la fait de cacher se qui me préocupe, qu'il soit bon ou mauvais pour moi. Un dernier état passagé dans ce registre perturbateur est tout simple l'amour que je porte à ou envers quelqu'un ou quelque chose, qui me fait soit vasciller soit chavirer vers un tout autre mod.
Les quatre derniers sont le fait de se sentir "à l'aise" mais pas dans un bonheur imagé mais juste réel qui dure souvent un court instant chez moi... Il y a aussile fait de pouvoir contrôler ses émotions et/ou sentiments qui est tout le contraire de devoir exprimer ouvertement ses pensées cognitivement avancées par l'instinct. Le dernier détient le deuxième rang le plus haut placé dans mon esprit car il me permet de me "réorganisé" selon la situation et non de m'adapter à la situation, NUANCE ! Il s'image par le fait de s'être compris, d'être arrivé à être soi-même dans toutes les situation et s'accepter !

 ~Un dernier optimise tous les principes énoncés jusqu'à présent et est bien entendu le dernier objectif que j'ai à atteindre, l'apogée de la personnalité : s'exétoriser totalement pour fluidifier mes mod en une seule fois !~


 Bien sûr, chaque mod porte un nom de code dont je détiens le secret mais sachez que vous pouvez vous aussi vous adonner à mes principes et non pour me faire de la pub, mais bien pour votre valorisation !

Comme étant donné que que mon rôle au poste d'assistant de ma propre maturité ne cesse de régresser, je décide de démisionner de mon rang de sbire et devenu maitre de ma propre boîte noire.

Raison pour laquelle je vous adresse ces mots, je suis en quête de vérité et je ne laisserai pas un amateur ou professionnel me dire qu'est-ce qui serait mieux pour moi : d'adoucir mes pulsions ou me comporter moins salacement avec ma communauté.

Je n'ai pas d'ordre à recevoir en tant que rêveur accompli, prime avec laquelle j'admets avoir dévoilé la face cachée de ce qui se dit tout bas "Vous êtes embauché [Encore un mouton parmi tant d'autres]".

Dans ce cas, est-ce un test pour nous prouver la dure réalité ou simplement vous confronter à la royale?

Je vous laisse en divulguer des informations capitales et je retourne m'affirmer!