La petite fille qui ne savait pas sourire

Dans un royaume prospère et charmant est née un jour une princesse qui aurait pu être l'égale des Raiponce, Aurore et autres Cinderella à ceci près qu'elle souffrait d'une tare bien particulière: elle ne savait pas sourire.
Faisant le désespoir de sa royale famille, elle prit un jour la poudre d'escampette, bien décidée à vivre une grande aventure et à revenir un jour chez elle avec un sourire ultra-brite.
En chemin, elle ira de déboires en calamités, causant moult catastrophes et désagréments aux malchanceux qui croiseront sa route.
On est ici dans le registre de la parodie pure et dure des contes de fées tels qu'on nous les présente depuis notre plus tendre enfance. Il y aura de l'humour (enfin j'espère que vous trouverez ça drôle), des gros mots (un peu), des parenthèses (pas mal (et parfois même des parenthèses dans les parenthèses)), du féminisme (#BalanceTonPrince) et pas (trop) de chansons.
Mon maître est le défunt Sir Terry Pratchett, maître de la fantasy burlesque, et la mise en page originale de ce texte propose moult notes de bas de page qui sont ici intégrées au corps de texte sous forme de *NDLA. J'espère que cette mise en page imposée par l'interface de l'Atelier des auteurs ne rendra pas la lecture pénible, n'hésitez pas à me le signaler bien sûr.
J'ai commencé ce texte il y a une dizaine d'années, me suis arrêtée et l'ai repris à chaque fois que j'en ai eu le temps, mais j'aimerai vraiment réussir à en faire quelque chose (et au moins, l'avancer et qui sait, le terminer?). Tout retour, critique, lecture est donc la bienvenue.
Merci d'avance et bonne lecture (j'espère).
Faisant le désespoir de sa royale famille, elle prit un jour la poudre d'escampette, bien décidée à vivre une grande aventure et à revenir un jour chez elle avec un sourire ultra-brite.
En chemin, elle ira de déboires en calamités, causant moult catastrophes et désagréments aux malchanceux qui croiseront sa route.
On est ici dans le registre de la parodie pure et dure des contes de fées tels qu'on nous les présente depuis notre plus tendre enfance. Il y aura de l'humour (enfin j'espère que vous trouverez ça drôle), des gros mots (un peu), des parenthèses (pas mal (et parfois même des parenthèses dans les parenthèses)), du féminisme (#BalanceTonPrince) et pas (trop) de chansons.
Mon maître est le défunt Sir Terry Pratchett, maître de la fantasy burlesque, et la mise en page originale de ce texte propose moult notes de bas de page qui sont ici intégrées au corps de texte sous forme de *NDLA. J'espère que cette mise en page imposée par l'interface de l'Atelier des auteurs ne rendra pas la lecture pénible, n'hésitez pas à me le signaler bien sûr.
J'ai commencé ce texte il y a une dizaine d'années, me suis arrêtée et l'ai repris à chaque fois que j'en ai eu le temps, mais j'aimerai vraiment réussir à en faire quelque chose (et au moins, l'avancer et qui sait, le terminer?). Tout retour, critique, lecture est donc la bienvenue.
Merci d'avance et bonne lecture (j'espère).
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