Cette nouvelle se déploie comme un huis clos moderne, où l’intimité d’un salon, d’un bar ou d’un écran de smartphone devient tour à tour scène de joute verbale, laboratoire érotique et terrain d’expérimentation existentielle. Le texte oscille entre la comédie nerveuse et l’exploration sensorielle, avec un langage cru qui assume sa poésie.

Derrière la nouvelle érotique se cache un récit qui interroge la possibilité d’un érotisme réellement partagé à l’ère des scripts numériques. Elle suggère qu’« être libre » n’est pas fuir la norme, mais se donner les moyens d’en écrire une – ensemble, révisable à chaque interligne.